Je mappelle Justine, jai 18 ans, je suis lycéenne en classe de terminale ou jai des résultats plus que passable, une adolescente tout à fait normale en somme.
Au lycée, je suis assez populaire, en grande partie je dois bien lavouer grâce à mon physique plus quagréable, qui ma valu le titre de sosie officielle de Lindsay Lohan la starlette américaine
Comme je vous lai indiqué précédemment mes résultats scolaire ne sont pas exceptionnels et cest donc tout naturellement quen cette fin dannée, je me suis retrouvée au rattrapage de mon bac ES.
Me voici donc parti avec ma mère pour la fatidique épreuve de science éco, épreuve déterminante pour la réussite de mon bac.
« Bonne chance » me souhaite ma mère en me déposant, elle ne le sait pas mais je nai pas souhaité men remettre à une chose aussi aléatoire aussi ai-je préparé quelques anti-sèches que je compte bien sortir en temps voulu pour maider un peu.
Je rentre dans la salle, ou une dizaine délèves sont déjà disposés, il ne reste plus que la table en face du surveillant de disponible. Pour sortir mes anti-sèches il va falloir jouer serré
Le surveillant à la trentaine, il a une tête un peu perverse mais est plutôt beau gosse, il commence à distribuer les sujets et à voir les mines déconfites le sujet doit pas être simple. Pas manqué, infaisable si je ne sors pas mes anti-sèches, il va falloir que je trouve un moyen.
Au bout de 15 min la salle est déjà à moitié vide, quant à moi je me décide à sortir ma feuille de ma trousse, le surveillant me scrute du coin de lil.Alors que je me crois repéré, je me rends compte quen réalité, cest mon décolleté quil regarde avec insistanceIl est vrai que ce matin je me suis fait plaisir et que cela mets bien en évidence ma belle paire de seins
La salle se vide de plus en plus, et moi je triche de manière de plus en évidente mais lui est toujours obnubilé par mes seins, et pour lui faciliter la tâche je remonte de plus en plus ma poitrine jusquà laisser entrevoir un téton.De même je décroise les jambes pour quil ait le regard attiré par ma petite culotte.
Au bout dune heure, le dernier étudiant encore présent sen va et je me retrouve en tête à tête avec le surveillant qui se lève alors brusquement.
« Vous croyez que je ne voie rien de votre petit manège » massène til « Et moi rien du votre » je lui réponds avec mon insolence habituelle.
Je sens à son regard excité, et à la bosse formée sur son pantalon, que jai un ascendant indéniable sur lui, il me faut le conserver et je pourrais me tirer daffaire sans peine.
« Vous avez lair très fière, je vous propose un deal si vous conservez votre superbe et que vous êtes docile, vous sortirez sans encombre et avec votre bac, sinon cest lexclusion pour vous »
« Je ne crains rien » dis je bravache.
Le surveillant se lève alors et descends mon décolleté pour faire apparaître totalement ma poitrine.
« Quelle belle paire de seins !!! »
« Nest ce pas », il est à mes pieds je le tiens
Il malaxe mes seins violemment, je sens son excitation montée Dun coup il baisse sa braguette et en ressort son volumineux sexe en érection
« Tu vois ce qui tattend ma cocotte », et il commence a taper son sexe contre mes seins, à le branler dans le creux de ma poitrine.
Je lui lance un regard gourmand de mes yeux verts pour mieux asseoir ma domination.
« Tu commences à ménerver avec tes grands airs », il attrape alors ma tête et fourre son sexe dans ma bouche en faisant de violents allers retours.
Sa queue tape au fond de ma bouche ce qui me donne des hauts le cur mais je nen laisse rien paraître.
Il continue de plus en plus violemment
« Tu ten sors très bien », puis il me soulève sur la table et marrache ma culotte
« Epilation brésilienne, jen étais sûre petite salope », il prend se queue avec sa main et la frotte contre mon minou sans la faire rentrer.
« Tu es coriace mais jen ai maté des plus dures, je te parie que dans 5 minutes tu me supplieras darrêter »
Dun coup, il me retourne contre le bureau, mécarte les fesses et menfonce son sexe en érection dans le cul
« Une salope comme toi ça doit aimer prendre par derrière me dit-il ».
Je perds un peu de ma superbe sur le coup car je ne métais jamais fait sodomisée auparavant, la douleur est atroce je serre les dents et ne laisse rien paraître de ma douleur car je sais quil nattend que ça.
Il continue avec ses grands va et vient, mexplosant littéralement le cul
« Je peux arrêter si tu veux me dit-il dun air triomphant », je ne réponds rien.
« Bon je prends ca pour un non, alors je vais passer la deuxième », les coups de butoir redouble de plus belle, je souffre le martyre, les larmes me montent aux yeux.
« Tu es sûre on arrête me demande t il » il est maintenant quasiment à la verticale afin de donner le plus de profondeur à ses coups de queues
La douleur est horrible, au moment où jallais me résigner à lui demander darrêter, jentends un râle dans mon dos et je sens mes fesses se remplir dun liquide chaud.
« Releves toi et pars maintenant mintime til, tu tes bien défendue ».
Je ressors chancelante, je suis perdue encore sous le choc, ma mère me récupère.
« alors ca cest bien passée ?
* Oui je pense que je laurais je lui réponds, alors quun filet de sperme s écoule de mes fesses sur le siège