Quand deux soeurs s’enculent
Comme d’habitude, je suis allé déjeuner chez ma copine. Cela faisait presque un an que nous étions fiancés officiellement et en toute honnêteté ses parents m’avaient reçu les bras ouverts. Sa soeur cadette avait tout de suite sympathisé avec moi. Mes beaux parents avaient une entreprise non loin de leur domicile, ce qui leur permettait de venir déjeuner à la maison et même de faire une sieste avant de retourner au travail. Je n’ai jamais dédaigné la bonne cuisine et ma belle mère était un cordon bleu et bien qu’elle n’avait pas beaucoup de temps, elle nous préparait des plats succulents. Ce jour là, il faisait une chaleur insupportable et après le déjeuner, nous sommes tous allés nous reposer. J’avais trop mangé, je pouvais à peine tenir debout, soudain je m’écroulais sur le divan. J’ai dormi pendant presque deux heures, mais j’aurai pu dormir encore un peu, si je n’avais pas entendu la voix de ma belle mère : "Je m’en vais" dit-elle. J’allais me lever, une fois la porte d’entrée fermée, j’entendis ma soeur dire :"Enfin elle nous laisse seuls". Je parlais à voix basse pour que Michel n’entende pas. Les dernières paroles prononcées par ma copine m’incita à faire semblant de dormir et sous l’oreiller que j’avais l’habitude d’avoir sur le visage, je pus voir ce qu’il se passait. Tout semblait être normal, Marie, ma copine, Rose, sa soeur avaient l’intention de prendre un livre dans la bibliothèque. Mais ce fut étrange car Marie debout sur une chaise passait des livres à sa soeur qui les posa par terre. Tout ce qu’on pouvait voir, c’était qu’elles essayèrent de ne réveiller, mais pour une toute autre raison. Alors intrigué, je tentais de comprendre ce qu’elles faisaient, lorsqu’il arriva quelque chose qui m’a surpris un peu : Rose glissa sa main sous la mini jupe de Marie et lui caressait le cul. Ne sois pas stupide tu pourrais réveiller Denis, tu sais très bien qu’il me plaît, allons dans notre chambre" ."Qu’est-ce que vous aimez ? Je vis que Rose était revenue à l’attaque. Cette fois avec une main, elle avait soulevé la minie jupe de Marie, découvrit son beau cul et avec l’autre main lui avait descendu le slip et enfila son doigt dans le petit trou interdit."Arrête" dit Marie sans grande conviction, juste avant que Michel se réveille, avec ce qu’il a mangé, il va bien encore dormir pendant une heure. Mais je suis gênée. Je pense que tu le fais en face de quelqu’un qui nous regarde. Ne te gène pas petite soeur, tu sais très bien que ton petit ami est le plus cochon de nous tous…Pendant qu’elle parlait, je remarquais sa main glisser de plus en plus vers les cuisses de Marie, qui maintenant n’opposait plus de résistance et qui pleurnichait presque. Je t’en prie, prends la, allons sur le lit. Comme ça je ne résiste pas. Je le sais très bien : Ta chatte est toute mouillée et la mouille se répand sur tes cuisses. Si tu insistes, tu vas me faire jouir. Non tu sais très bien que nous devons jouir ensemble. Est-ce que j’ai rêvé ? Était-il possible que les deux soeurs se sont bien amusées ensemble et puis, l’une d’entre elle, c’est ma môme, et Rose comment a-t-elle pu dire que j’étais cochon. Je n’avais certainement jamais rien fait de mal, quand elle était là. Marie saisit une énorme bite, si grosse et longue qu’elle semblait être la bite d’un cheval.
J’étais vraiment réveillé, ne rêve pas : Ma copine a des rapports incestueux et de plus, elle est lesbienne. Mais la chose eut une tournure étrange : J’avais un érection incroyable, telle que ma bite sortait du minuscule slip que je portais. Regardez le, regardez la bite qu’il a . Il va sûrement rêver qu’on l’encule. Mon érection était absurde, la façon de parler de ma soeur, ma copine qui avait des relations lesbiennes. Puis, parce qu’il pensait, que je rêvais qu’une personne m’enculais, comment pouvait-il savoir que ça ne me déplaisait pas du tout. En attendant Marie faisait tournoyer sa bite de caoutchouc sous les yeux de Rose qui tenta de la lécher. Je me suis rendu compte que le bite avait deux têtes parfaitement adaptées pour faire l’amour entre filles. Maintenant ça suffit, regagnons tous nos postes. Nous n’avons pas beaucoup de temps. Nous remettons en place les livres qu’elles avaient pris. Ils terminèrent à ranger et Marie est descendue de la chaise. Oh! tu as vraiment une belle bite. Tu le lui as jamais fait un pompier et avale son foutre ? Je voudrais aussi qu’il me pisse dans la bouche avec cette bite. Je ne veux pas entendre vous comprenez ? Michel n’est pas drôle et je peux t’assurer que s’il peut entrer dans ta bouche il y déversera des litres de succulente pisse chaude . Puis ils se dirigèrent en direction de leur chambre et fermèrent la porte. Puis il allèrent dans leur chambre et fermèrent la porte. J’étais surexcité à l’idée d’être trompé par une fille, comme disait Rose, je suis vraiment très cochon. Comme je me souvenais que dans la chambre de mes beaux parents, il y avait une sorte de trou dans le mur qui servait au passage d’un tuyau de poêle à bois.. C’était une vieille maison sans couloir. Je me levais et j’allais sans faire de bruit dans la chambre de mes beaux parents et je me dirigeais vers le trou. Pour y parvenir, j’ai dû grimper sur une chaise, que je n’eus pas à déplacer sur le sol heureusement. J’avais de la chance parce que les lits de Marie et de Rose étaient disposés juste en face du trou. Les deux filles étaient debout, elles s’étreignaient et se serraient. Elles ressemblaient à deux fiancés. Quelques instants plus tard, elles échangèrent une baiser qui dura une éternité. Marie déchira presque le corsage de Rose, tirant sauvagement sur les deux nichons de l’adolescente. Puis avec le pouce et l’index elle commença à pincer les pointes de ses superbes doudounes mais Rose lui demanda de continuer et même de lui faire encore plus mal. J’aime quand tu jouis, lorsque je te fais mal. Je te prie de les mordre les pointes de mes nichons dit-elle. Marie alors remarqua que les mamelons étaient habitués à être distendus, car malgré qu’elle avait de petits seins, les mamelons étaient énormes et particulièrement longs. Je pouvais voir les dents de ma copine mordre le mamelon gauche de Rose, et Marie serrait le mamelon droit entre ses dents. Marie et Rose sortirent comme des furies et bientôt elles furent complètement nues. Leur cul et leur con étaient superbes, puis elles sautèrent sur le lit et s’accrochant comme deux serpents, elles se mirent en position "69". Marie était sous Rose, et je pouvais voir parfaitement sa langue lécher la chatte de sa soeur avec beaucoup de lubricité. Si ma chatte est mouillée, la tienne est un véritable lac. Elle est tellement lubrifiée que je pourrais y rentrer ma main sans peine. C’est trop bon. J’aime la saveur de tes liquides, le parfum de ton con. Moi aussi j’aime ta chatte, ça me plaît de la lécher, barbouille mon visage avec ta mouille et ne te lave pas avant ce soir. Tu es une salope, je le fais exprès pour que maman s’en aperçoive. Oui comme ça, c’est excitant et baiser avec papa c’est encore mieux et pouvoir jouir du spectacle. Tu es une grosse salope plus salope que moi. Tu me fais jouir…Je jouis ! Oui, salope jouis sur mon visage, inonde moi la bouche. Comme ça. Ah! Voila, je jouis. Je pouvais remarquer clairement les spasmes de Maria. C’était incroyable comme ces deux salopes savaient se faire plaisir mutuellement. Rose prit cette grosse bite de caoutchouc. Elle demanda à Marie de se mettre en position de levrette, j’avais le cul de ma copine devant moi. Comme je l’avais déjà dit, son cul était magnifique, bien rebondi et rond. Dans un premier temps Rose enfila la grosse bite dans la chatte mouillée de Marie, mais après l’avoir entrée et sortie plusieurs fois, elle l’enfila soudainement dans le trou de son cul. Va doucement, ne lui fait pas mal. Bien sur, petite soeur, je ferai entrer cette bite de façon que tu ne t’en rendes pas compte…Au lieu de ça, elle enfila la pine brutalement dans son trou du cul. Ah!…C’est bon, défonce mon cul, Oh… c’est trop bon…Enfonce ta bite plus profondément dans mon cul, oui dans mon cul. Il n’était pas possible que Marie se fasse enculer, elle n’avait jamais voulu se faire enculer , elle disait que son trou du cul était trop étroit et maintenant, elle jouissait, elle aimait que Rose lui enfonce son énorme pine dans le trou de son cul. Jouis, salope… jouis, que je défonce ton cul ….Ah… je voudrais avoir une bite pour t’enculer. Qu’est-ce que tu attends, petite putain, encula la aussi. Rose se mit alors en position de levrette et dans une manoeuvre digne d’un acrobate, elle introduit l’autre partie de la bite artificielle dans son cul. Alors elle commencèrent à s’enculer mutuellement en cadence. Ah! … C’est bon, je jouis ! Oui, défonce moi le cul !! C’était une performance exceptionnelle. Après avoir joui, les deux soeurs déculèrent, mais le spectacle n’était pas terminé. Maria mit un oreiller sous son cul. Rose prit un lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit, elle enduit la chatte de Marie et puis s’en enduisit la main droite. Elle posa le tube et commença à masser le con de Marie et fit entrer sa main dans la chatte bien lubrifiée. Ah!!. ..Que c’est bon, oui…défonce moi aussi la chatte ! Oui je te la défonce, je te baise avec toute la longueur de mon bras. Ainsi elle s’approcha des cuisses de ma copine, et la pénétra jusqu’à la vulve. Ah! comme c’est bon …Tu m’as rempli la chatte… Oh…. Je sais qu’elle est pleine… Ah!!.Cela te plaît salope, ça te plait de te faire remplir la chatte! Oh!! Sais tu ce que tu es? Tu es la plus salope de nous tous. Tu as une chatte qui pourrait engloutir trois mains, en disant ça, elle s’enfonça de plus en plus dans ce con adorable. Ah je jouis.. Oui je jouis, comme c’est bon, Ah… Oui, tu as joui petite putain. Les spasmes font trembler toute ta chatte salope.. .. Rose sans ménagement sortit sa main de la chatte de Marie si rapidement qu’on pouvait voir un trou béant. On peut voir ton utérus, petite soeur, tu m’as rendue folle! Eh bien maintenant, c’est à moi de jouir. Les deux soeurs se levèrent sans dire un mot et pendant un instant, je ne les voyais plus, elle revinrent un peu plus tard avec une toile qu’elle tenait dans la main et qu’elles disposèrent sur le lit. C’était une toile en plastique qui couvrit entièrement le lit. Cette fois Rose s’allongea sur le lit, et Marie était debout à côté de sa soeur à la hauteur de sa tête. Marie avait une expression étrange. En fait après quelques minutes, j’entendis : Donne moi ta pisse, pisse moi dans la bouche, je t’en prie? Maintenant je le fais, je t’inonde de pisse, je te remplis la bouche. Le spectacle était sublime et lorsque Marie commença vraiment à pisser, je commençais à me masturber violemment. De son trou sortait un jet de pisse qui atterrit directement dans la bouche de Rose. Une giclée de foutre sortit de ma bite et puis une autre et encore une autre. J’avais joui. Les deux soeurs s’enlacèrent et il ne me restait plus qu’à descendre du fauteuil pour regagner mon divan.
Mais j’aurais bien aimé aussi les enculer les deux soeurs avec ma bite et avec un gode enfoncé dans mon cul. Vous imaginez la position: Je pousse avec ma bite dans le cul d’une fille et je recule lentement pour enculer l’autre fille avec ma bite artificielle. Je sais que les trous du cul de ces jeunes filles étaient très très serrés car elles étaient très jeunes et vierges du cul.
Bien sur leur trou du cul n’était pas aussi serré que le trou du cul de la soeur de mon copain qui à 18 ans avait été enculée par son oncle de 95 ans
Il n’a pas d’âge pour enculer une belle petite fille chaude du cul.