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Quand on veut on peut… – Chapitre 1

Quand on veut on peut... - Chapitre 1



    Avant toutes choses, je tiens à me présenter et vous présenter ma vision des choses : J’ai 21 ans, j’ai grandi en campagne, et je ne sais dire depuis quel âge j’ai été attiré par les animaux…

Chiens, vaches, taureaux, chevaux; jamais je n’arriverai à expliquer cette attirance naturelle qui, je pense, a toujours été en moi.

    Étant épris d’une grande passion et un grand respect pour les animaux, je ne considère pas la zoophilie comme un vice, une passion bien incomprise et pourtant considérée par notre société comme cruelle et irrespectueuse envers ces êtres pour qui j’ai bien plus de respect qu’envers la race humaine avec laquelle je n’éprouve aucun plaisir. Je me considère malgré cela comme sain d’esprit, je ne suis pas un de ces individus égoïste qui forcent et maltraitent les animaux pour leur simple plaisir, sans aucun respect pour l’animal qu’ils considèrent comme un simple objet sexuel… en ce qui me concerne, tout cela est bien plus profond et spirituel, se faisant avec respect et  le consentement de chacun, avec douceur et sans force, dans la compréhension du mode de fonctionnement et des codes comportementaux de chaque espèce.

    J’avais fait part dans un précédent (et bien piètre) récit de ma première expérience avec le chien de la famille de l’époque, récit mêlant à la fois fantasme et réalité.

Entre temps, il s’est passé beaucoup de choses, récemment, de multiple barrières ce sont ouvertes, car ayant pris mon indépendance, je n’ai plus à me cacher et à monter des opérations commando d’escapades nocturnes pour me livrer à mon plaisir interdit… (tout comme je l’avais conté dans une autre histoire publiée il y a 3 ans, appelée Escapade nocturne et équidés, publiée sur un autre ancien compte…)

    Les bases étant posées, nous pouvons entrer dans le vif du sujet!

Voilà maintenant un an et demi que je vole de mes propres ailes, j’ai enfin trouvé du travail et après plus d’un an consacré à de la formation, mon esprit se déleste.

Pendant tout ce temps, je n’avais pas eu l’occasion de m’adonner à la zoophilie, à part fantasmer sur quelques vidéos sur internet, tout ce que j’avais vécu précédemment, avec des chevaux notamment, commençait à me manquer, mais, ayant déménagé, je ne m’étais pas posé de question sur l’endroit où je pouvais trouver un équidé avec lequel je pourrais passer du bon temps.

C’est alors qu’il y a deux jours, j’avais décidé de partir à la recherche de l’endroit idéal où je pourrais trouver mon prochain compagnon équin.

Ceux qui ont déjà pratiqué savent à quel point il est difficile de trouver à la fois le compagnon idéal mais surtout l’endroit le plus discret, c’est donc après avoir parcouru pendant presque trois heures les campagnes environnantes que je parvins à trouver un endroit suffisamment discret, où se trouvèrent deux magnifiques chevaux.

Je ne cherchais pas spécialement un cheval ou une jument, peu m’importais, je trouve mon plaisir avec les deux…

    

    Il était vers 23h, la nuit était tombée, la route n’était pas bien loin, il fallait tout de même faire attention, de plus il y a une sorte de grand manoir qui donne juste sur le pâturage où sont les chevaux, j’effectue un bref contrôle et perçois une lumière d’allumée, il fallait faire attention de ne pas s’aventurer trop près.

La proximité avec les chevaux que je n’avais pas eu depuis si longtemps fait monter une vive émotion en moi, je décide de m’approcher de la clôture, il y a un cheval avec un somptueuse robe alezan clair, je ne m’y connais pas en race, au garrot il n’est pas très grand, il est à une dizaine de mètres, il broute tranquillement, je décide de l’appeler, mais il n’en n’a que faire et continue de brouter sagement.

A quelques mètres à peine, un autre cheval, avec une belle robe grise pommelée, un petit peu plus grand, à l’air beaucoup plus curieux, il me regarde et s’approche, c’est bon signe!

Il s’approche à petit pas, puis arrive juste devant moi, comme à mon habitude, tout doucement je tend la main droite, le laisse renifler, je ressens ses expirations qui me donnent quelques frissons, je veille ses moindres mouvements, ses pas, ses oreilles, puis je tente, toujours aussi doucement, de le caresser, je pose ma main sur l’avant de son museau, pas de mouvement de répulsion, je le caresse alors un peu plus et ça n’a pas l’air de lui déplaire, je teste sa tension émotionnelle en me déplaçant un petit peu et faisant quelques mouvements, je ne constate pas de sursaut, le cheval à l’air confiant et posé, mon expérience avec les chevaux me dit que c’est une bonne nouvelle et que je peux essayer d’aller un peu plus loin.

    

    Je sors un petit morceau de sucre de ma poche que j’avais préparé auparavant, je lui donne et continue les caresses, la confiance s’installe petit à petit, j’avance un peu et il décide de me suivre, encore un nouveau bon point, il longe la clôture, je m’arrête et me retourne pour essayer d’aller le caresser sur tout son long, me voyant avancer vers sa croupe, il ne cherche pas à se détourner pour me faire face, signe que la confiance est bien installée, c’est très rare qu’au premier abord une telle confiance soit ainsi présente, j’ai donc affaire à un cheval bien éduqué, toutes les conditions semblent réunies pour passer un bon moment, la phase d’approche peut donc continuer, j’en profite pour me baisser et regarder à qui ai-je l’honneur, il se trouve en fait que "il" est plutôt "elle", j’ai affaire à une charmante jument! Super! je n’ai encore jamais goûté au plaisir charnel avec une jument

    Je décide alors de franchir la clôture, pas évident, Elle me suit, et j’évite de faire des mouvements brusques pour passer au-dessus du barbelé et zut! mon short s’accroche sur un picot et je galère à le retirer, me retrouvant dans un position délicate, chevauchant le barbelé, après une trentaine de seconde de peine, je parviens à me dégager et passe l’autre jambe.

Ça y est, une nouvelle grande étape de franchie, la barrière qui me séparait de ma nouvelle copine est franchie, la jument est toujours là à coté de moi, elle me renifle, je continue les caresses qu’elle semble apprécier, je ressens cette fameuse odeur chevaline que j’avais oublié et qui me rend un peu plus fébrile sous ce magnifique clair de lune, je m’approche de sa tête qui est tournée vers moi, me penche vers elle et lui offre un petit baiser sur le nez, je me redresse et nous nous regardons dans les yeux, un moment que jamais je n’ai vécu auparavant, entre nous le courant passe bien, et je ressens quelque chose de très spécial.

Je reste sur mes gardes, il est minuit moins le quart il y a encore un peu de circulation, j’aperçois au loin une voiture qui ne me vois certainement pas, elle passe en plein phares, elle est au moins à 300 mètres, mais je ne prends pas de risque, je me baisse et attend qu’elle passe, deux minutes plus tard, j’aperçois la lueur de gyrophares bleus! Mon cur se met à battre, ai-je été repéré? On s’attend toujours au pire dans cette situation, et ouf! Juste les pompiers qui passent…

Je suis là depuis bientôt une heure, je ne vois pas le temps passer, une relation de confiance est bien installée entre moi et la jument, je continue de temps en temps à lui faire des mamours et à lui donner quelques morceaux de sucres, je décide alors de me diriger vers sa croupe, faisant bien attention de rester sur son flanc le plus éloigné possible de ses postérieurs, et je commence délicatement à effleurer sa douce vulve, va-t-elle se retirer? Gare à la ruade!

    Mais, à ma grande surprise, celle-ci lève légèrement la queue, je peine à y croire… je m’obstine un peu plus, et sa queue se lève de plus en plus, l’excitation commence à réellement me gagner, j’avais déjà vu comment réagissait une jument qui n’était pas réceptive à mes avances, j’y introduit tout doucement un doigt de façon à écarter un tout petit peu ses lèvres, sa queue se lève au plus haut point, aucun signe de refus, un léger rictus se dessine sur mon visage, je ressens cette douce chaleur et cette humidité au bout de mes doigts que j’introduis de plus en plus.

La jument tourne la tête vers moi, je lui chuchote doucement : "dis-donc, tu as l’air d’aimer ça!" je suis raide, jamais je n’étais arrivé aussi loin avec une jument…

Je la caresse et la gratifie de nouveau, je m’approche un peu plus, je réintroduis un doigt, puis un deuxième et je ressent la moiteur torride se dégageant de ce magnifique puits d’amour, je pose les yeux là où sont mes doigts, et je perçois une magnifique petite vulve noire tachetée de rose, ça y est, je ne regarde pas une vidéo là, je suis bel et bien en train de donner du plaisir à cette somptueuse jument, j’enfonce doucement mes deux doigts et à ma grande surprise, sa vulve cligna, exhibant son magnifique clitoris, elle y prend du plaisir, cette douce chaleur humide que je ressent du bout des doigts, les bruits de glissement de mes doigts contre ses chairs mouillées et ses contractions me font vibrer d’excitation, le plaisir est mutuel, c’est pour moi un point important, la jument est réceptive, je me demande même si elle n’est pas habitué vu le peu de temps qu’il m’a fallu pour en arriver là…

    L’excitation est à son comble, il me tarde de la dévorer, c’est alors que je m’affaire au cunnilingus le plus sensationnel… je plonge mon visage entre ses cuisses, je passe sa queue par dessus mon épaule, j’apprécie cette chaleur, cette odeur qui m’excite au plus haut point, je commence par la sentir par de grandes inspirations et m’enivre à n’en plus finir de ses effluves sauvages, puis je l’embrasse, j’embrasse avec une intensité folle la partie inférieure de cette somptueuse fente, ce clitoris qui s’ouvre à mes intenses baisers, j’agrippe ses cuisses de toutes mes mains tout en la caressant, et je finis par introduire ma langue, d’une grande lapée tout du long de ce con qui me rend fou, je ressens et me délecte infiniment lentement ses chairs, je la goûte, je la fouille, et je peux sentir son clitoris cligner sur le bas de mon menton, elle à l’air d’apprécier tout autant que moi ce délicieux déferlement de sensations torrides  qui nous envahit, je reste ainsi prisonnier de cette croupe durant plusieurs minutes qui semblaient être une éternité.

Je suis raide dingue de cette jument, après m’être repu de ses chairs, je décide de passer à l’étape final, j’enlève mon short, et place le tabouret que j’avais pris en cas de besoin, derrière elle, je m’apprête alors a la pénétrer avec passion, je saisi alors mon sexe et le frotte contre le sien cherchant l’entrée de la porte du paradis, et c’est alors que je m’introduis, seconde extase, je sens mon sexe passer la frontière serrée entre ses lèvres et sa frontière vaginale qui enserre mon gland, je débute alors mes va-et-viens, mais, celle-ci se retire, et avance de quelques pas…

Je me repositionne alors, et entame le même procédé, je suis au bout de mes sensations, et épris par l’excitation je ne suis pas loin de venir, je m’introduis, il n’a fallu qu’une paire d’aller-retours pour qu’une première giclée survienne, mais elle se retira de nouveau alors qu’une autre rasade de nectar de passion vient arroser ses lèvres somptueuses, dommage, j’aurai voulu y rester un peu plus longtemps, mais je respecte sa décision et par respect pour elle  je ne la force pas et surtout sous peine de prendre un sévère coup de sabot…

    Pleinement satisfait de cette aventure que je peine à croire, vient le temps de dire au-revoir à ma nouvelle amie, la caressant de tout son long, remontant vers sa tête, je lui murmure quelques compliments et remerciements et lui offre un dernier tendre baiser puis encore un morceau de sucre qu’elle s’empresse d’avaler à peine sorti de ma poche.

Je traverse le près pour regagner la sortie, la jument me suivit jusqu’à cette dernière, de ce fait, avant d’enjamber les barbelés, je lui fit quelques derniers petits câlins avant de définitivement la quitter, le gorge un peu serrée, mais, c’est sûr, je reviendrais demain!

    Si cette part de ma dernière expérience vous a plu, n’hésitez pas à me le faire savoir en commentaires et je posterais la suite…

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