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Quatre filles et leur jardin secret. – Chapitre 1

Quatre filles et leur jardin secret. - Chapitre 1



<b>Les filles et la fenêtre.</b>

Ou, le journal de bord de quatre amies

Kathleen :

Ce samedi de début juillet promettait une journée merveilleuse.

J’ai l’habitude de dormir nue, alors comme toujours lors de congés, je reste nue dans l’appartement. J’adore cette sensation de soleil dans la nature, c’est un vrai délice.

Ainsi je prenais mon petit-déjeuner nue, quand mon amie Sarah est arrivée. Elle était vêtue d’une petite robe légère présageant la chaleur de ce jour d’été. Sarah est une grande fille mince, un rien plus grande que moi, les hanches un peu étroites et une taille fine ajoute à l’impression longiligne de son corps. Avec son visage ovale un peu allongé, encadré de cheveux châtains assez foncés et ses yeux noisette, elle a un charme très particulier.

En entrant Sarah laissa tomber sa robe, puis ses dessous et vint prendre un café avec moi, tout en démêlant ses longs cheveux d’une main. Puis posant les doigts de l’autre main sur les lèvres de son sexe, elle me dit comme elle aurait dit bonjour : ’ je vais me refaire un lissage ’. Aussitôt elle entre dans la salle de bain. Je savais qu’elle allait égaliser son rasage intime.

En l’attendant, j’ai ouvert le store de la baie vitrée de mon petit studio.

J’habite une petite ville universitaire, une de ces villes nouvelles construite de toutes pièces dans les champs. C’étaient les années 70, alors que les francophones, s’étaient fait virer par les Flamands, de l’université de Louvain qui se trouve être en zone flamande. Vous savez les Flamands, les gens qui habitent la moitié nord de la Belgique. Ils parlent une langue qui ressemble au Hollandais, qui diffère un peu d’une ville à l’autre. Ils revendiquent de ne pas avoir de francophones sur ’leur terres’. C’est comme ça que fut construite Louvain la Neuve, ville nouvelle, qui a poussé dans les champs, à 20km aux sud de Bruxelles, en zone bien wallonne et francophone. Voilà pour la petite histoire belge.

Toujours est-il que c’est une ville piétonne : les voitures circulent et se garent sous la ville.

L’imbrication des bâtiments et des ruelles la rend fort compliquée, et même si cela fait son charme, après un an comme tout le monde, je m’y perds encore et toujours.

En tout cas, la baie vitrée de mon petit studio plonge sur une de ces rues piétonnes et commerçantes, un étage plus bas.

Souvent je me poste derrière la vitre qui descend jusqu’au sol pour regarder les vitrines et les passants. Surtout, bien sur, les jeunes étudiants qui passent ici en majorité.

Avec l’habitude et comme personne ne faisait attention a moi, j’ai fini par me poster là en petite tenue, juste une petite culotte souvent, simplement pour regarder la vie dehors.

Mais cette fois en ouvrant le store je me trouvais nue devant la vitre, je le savais bien, et non seulement je m’en moquais, mais je trouvais cela délectable.

Je restais là en attendant Sarah, me laissant envahir par la sensation très agréable que me procure la vue des étudiants un étage plus bas. Comme d’habitude, personne ne me remarquait, sauf…

Sauf que ce matin-là, après un moment, une jeune étudiante toute blonde qui marchait distraitement vers moi…

Une jeune fille avec un polo bleu marine et une petite jupe blanche, genre tennis, qui laissait apparaître ses longues jambes, elle semblait toute droite sortie d’un collège anglais.

Elle s’est arrêtée, elle a levé les yeux droit sur moi. Je suis restée figée là, alors qu’elle ne me lâchait pas d’un regard doux et rêveur.

Aurélie :

Je m’appelle Aurélie c’est moi qui passais dans la rue ce matin-là, en revenant du court de tennis. J’avais levé les yeux par réflexe, je ne sais pas trop pourquoi ni comment, et mon regard s’était dirigé tout droit vers cette fille nue, là juste aux dessus derrière une baie vitrée. Fascinée, je restais là avec l’envie secrète d’être à sa place, à la fenêtre. Ce n’est pas moi qui pourrais me permettre ça, chez mes parents, et dans leur cadre bien trop BCBG, pensais-je. Aussi pour moi, cette vision, c’était un comme un vent de liberté, mais soufflant derrière une vitre.

Mais déjà deux garçons arrivaient derrière moi, et, attirés sans doute par la direction de mon regard, ils levèrent aussi les yeux.

Kathleen :

Je vis arriver les garçons. Quand les ils sont arrivés à la hauteur d’Aurélie, suivant son regard, ils ont levé les yeux sur moi. Et quand ils m’ont vue, qu’ils ont éclaté d’un rire que je devinais graveleux, ce fut un réflexe : je me glissais de côté.

Aurélie :

Je vis disparaître la fille de sa fenêtre alors que les garçons continuaient leur chemin en blaguant. Je suis sûre qu’ils n’en revenaient pas de ce qu’ils avaient vu. Aussi ne pouvaient-ils s’empêcher de se lancer de blagues stupides sur ce qu’ils avaient surpris.

Je restais là, un peu estomaquée moi aussi, en regardant la fenêtre vide. Mais la fille de la fenêtre réapparut. À ce moment, très émue, j’ai eu un sentiment excitant de complicité.

Cela me rappelait les chambrées entre filles des voyages scolaires, quand on se laisse aller entre copines.

Kathleen :

J’avais glissé un regard en coin, et comme les garçons continuaient leur route je revins devant ma baie, la jeune fille blonde était toujours là, rêveuse, elle semblait si nature, sympa, si belle.

Je me surpris alors à lui faire signe de me rejoindre…

Un geste : ’ viens, viens !’. Puis par signes, je lui désignais l’entrée de l’immeuble pour accéder à mon appartement. Ces années 70 ont vraiment fait des immeubles compliqués, vous savez !

Aurélie :

J’aperçus son geste, ce geste d’invitation. Il me semblait si spontané, si naturel, que je ne sus faire autrement que d’approuver de la tête, et me diriger comme une somnambule vers l’entrée de l’immeuble. J’étais abasourdie, qu’est-ce qui m’arrivait ?

Kathleen :

Aux coups de sonnette, je tirais la porte sans même un allô. Je découvris Aurélie, un peu plus petite que moi ou Sarah, plus jeune aussi. Elle était légère et sexy avec les cheveux blonds mi-longs et des yeux bleus pétillants d’excitation et de vie. Sourires et bonjours, mélange de gêne et de complicité, je me présentais : ’ Kathleen ’, elle répondit, ’ Aurélie ’.

Aurélie :

En entrant, je découvris le petit studio de Kathleen. Il me parut si intime et agréable, comparée à ma chambrette chez mes parents. Je jetais un ?il sur la baie vitrée où j’avais aperçu cette fille avec ses cheveux châtains très clairs, presque blonds et ses yeux d’un bleu très foncé. Mais mon regard fut attiré sur quelque chose de beaucoup plus intéressant

Kathleen

?videmment, en me découvrant, Aurélie eut le regard irrésistiblement attiré par les lèvres lisses de mon sexe. Comment aurait-elle pu faire autrement ? Mais son regard était étonné, comme amusé. Sa grâce à fleur de peau, la rendait intensément touchante. Comme je le savais, comme je l’avais deviné, le temps qu’elle monte à l’appartement, ce regard vers mon sexe m’était très agréable, je savais qu’elle ne pourrait pas regarder ailleurs.

Tout cela n’avait pas duré suffisamment de temps pour permettre à Sarah de sortir de la salle de bain. Aussi la nouvelle venue ne tarda pas à découvrir mon amie Sarah sortant de ses activités, disons, hygiéniques. Elle nous rejoignait, toujours nue, mais maintenant redevenue lisse.

Sarah, quant à elle était à peine étonnée, cela correspondait bien à son caractère aventureux, négligé, curieuse aussi. Elle me demanda seulement : ’ qui est-ce ? ’ en découvrant la jeune fille toute blonde et pétillante d’excitation.

Aurélie plus petite, légère et sexy, avec un corps pulpeux aux formes très féminines (même si visiblement elle avait de très petits seins) avait un visage triangulaire, doux et rêveur, entouré par ses cheveux mi-long, blonds comme les blés et des yeux d’un bleu profond à se noyer dedans.

’ Une fille qui passait en bas ’ répondis-je à Sarah, ’ je l’ai invitée a monter, elle s’appelle Aurélie. ’

’Ah bon, bienvenue, moi c’est Sarah ’ répondit-elle sans se démonter le moins du monde, en tendant déjà sa joue pour la bise de bienvenue.

C’est à ce moment seulement que je pensais à fermer la porte d’entrée.

Aurélie :

La nudité de mes nouvelles amies confortait encore mon impression nouvelle de liberté. Cette sensation qui m’était apparue si excitante depuis la rue tout à l’heure. Même si je vais souvent me cacher dans la nature pour me mettre nue, dans les bois attenants à la propriété de mes parents, là il y avait quelque chose de particulier dans cette liberté à ne pas se cacher.

Kathleen :

’ Tu prends le petit-déjeuner avec nous ’ décidais-je pour Aurélie, en prenant la chaise du petit bureau de mon ordinateur pour l’installer avec nous à table.

Aurélie demanda alors : ’ vous vivez ensemble ? ’ Sa vivacité et le ton naturellement gentil de sa voix me poussaient à la confidence. De toute façon, l’inattendu de la situation nous obligeaient à aller vite dans la conversation. Il était évident que nous ne pouvions, moi et Sarah nues, Aurélie inconnue entrant ici pour la première fois, échanger des banalités.

’ Non pas du tout, nous nous connaissons depuis l’enfance, répondis-je, toutes petites nous prenions déjà le bain ensemble, je pense que l’on devient pudique par éducation et que ce n’est pas forcément inscrit dans nos gènes. Mais je pense aussi que l’amitié au féminin peut être très profonde si on la laisse s’épanouir.

’ Les choses ont vraiment changé pendant un été passé ensemble il y a 6 ans, les parents de Sarah m’avaient invitée à partir en vacances avec eux.

’ Ils ont une petite maison en Provence, continuais-je.

’ Il y a un cours d’eau qui passe dans la propriété, ajouta Sarah, et nous étions toujours fourrées là, alors un jour que nous étions toutes les deux en robe d’été le long de l’eau, dans un endroit à nous, très isolé

Continuait Sarah emballée par ses souvenirs.

’ Avec le soleil, la nature et l’eau, cela avait quelque chose de très érotique, j’étais accroupie devant la rivière et j’ai vu se refléter ma culotte sous la robe dans l’eau.

’ Sarah m’a dit : ’ viens voir, racontais-je à Aurélie amusée par son regard captivé.

’ On s’est retrouvée toutes les deux à se regarder dans l’eau. Alors, à ma grande surprise Sarah a retiré sa culotte. Avec beaucoup d’hésitation, et parce qu’elle insistait, je finis par faire la même chose. Quand nous nous sommes relevées, j’ai constaté que c’était incroyablement agréable, de sentir l’air circuler sur nos sexes en écartant les jambes, et je ne pouvais m’empêcher de le faire, pour profiter pleinement de cette sensation.

’ Sarah me dit alors : ’ plus haut je connais un coin vraiment tranquille où l’on pourrait se mettre toutes nues si ça te fait envie. Pour ma part j’ai très envie d’essayer ’.

’ ?a c’est une bonne idée, répondis-je après avoir vaincu une dernière hésitation.

’ Nous avons remonté la petite rivière, et par un accès en escalade par-dessus une grosse roche, je découvris un peu plus haut un petit espace, superbe le long de l’eau, en partie sous les arbres qui parsemaient le lieu de taches de lumières apaisantes, et dissimulaient l’endroit.

Aurélie :

J’étais fascinée par mes nouvelles amies : complètement nues, elles me racontaient leur histoire tout en se passant de temps a autre un doigt distrait sur les lèvres de leur sexe. Complètement détendue maintenant, j’étais heureuse de pouvoir me laisser aller entre filles : en effet, j’avais pris sans m’en rendre compte une pose alanguie. Je crois que je laissais apparaître ma culotte rose et blanche sous ma petite jupe de sport.

Kathleen :

Quand je proposais de boire quelque chose, Sarah répondit : ’ oh oui, ça se fête une nouvelle amie, aurais-tu du Martini ? ’

Pendant que je servais nos verres, elle continua à raconter nos souvenirs.’ Plus haut, l’eau arrivait en cascade et nous étions juste devant une petite chute. Elle faisait un joli murmure. Mais devant nous l’eau était toute calme et plus profonde, se préparant à passer la chute suivante.

’ Là, sans même avoir à se le dire, on a laissé tomber nos robes. On savait que toutes les deux on était venues ici pour ça. Je profitais de la vue de nos corps nus. Je sentais aussi le soleil chauffer ma peau et mon sexe, Dis-je en coupant Sarah pour poursuivre l’histoire.

’ Nous passions par effleurement les doigts sur nos lèvres intimes et, sous ces caresses, l’idée de se masturber montait en nous de plus en plus intense.

’ Je sentais littéralement mon sexe devenir liquide. Glissant doucement mon majeur entre mes lèvres en m’effleurant le clitoris, je sentis tout mon corps résonner de plaisir et d’envie.

’ Sarah avait fait de même et je l’entendais dire ’ hummm c’est trop bon, j’ai trop envie ’.

’ Pour la première fois nous abordions le ’grand’ sujet, je veux dire vraiment, pas par des blagues ou des à peu près.

’ Sarah continua en disant, j’adore la masturbation et toi ?

Jusque-là, le mot ’ masturbation ’ nous avait paru tellement difficile à dire ! Aujourd’hui, il résonnait à nos oreilles comme si on l’entendait pour la première fois. Ce mot était devenu tellement naturel !

’ J’adore me masturber, lui confiais-je, et là j’ai une envie démente, j’ai comme une envie de pipi, l’impression que mon sexe s’écoule, comme quand on a le vertige.’ Oh toi aussi, c’est formidable, regardes, moi aussi mon sexe coule ! ’

’ On était maintenant toutes les deux agenouillées, chacune, une main dans le sexe, l’autre parcourant nos seins, en face l’une de l’autre.

’ Je me rappelle très bien de la beauté de la scène, des taches de lumières qui couraient sur la peau de Sarah.

’ Bientôt ce fut un concert de murmures et de gémissements, de plus en plus fort, pour finir presque dans les bras l’une de l’autre. Mais ce jour-là c’était presque Nous ne l’avons pas fait. Nos regards étaient tout brillants.

’ Notre amitié a vraiment commencer à être intime ce jours là, je veux dire intime sans secret, où l’on se dit tout, où on se montre tout, ou la pudeur n’existe plus entre nous.

’ Après s’être assurées que l’on ne nous entendrais pas du sentier plus loin, nous sommes allées ensuite tous les jours dans notre petit coin de paradis secret, pour profiter de la nudité et des plaisirs de la masturbation partagés à deux.

’ Nous partions avec un sac à dos, quelques biscuits, deux essuies et l’on avait pris l’habitude d’enlever nos sous-vêtements et de les mettre dans notre sac. Puis arrivées sur place on laissait tomber nos robes.

’ Quatre jours plus tard, alors que nous étions allongées là le long de l’eau, à nous caresser doucement, l’envie nous gagnait, de plus en plus forte. Tu comprends, c’était une autre envie, c’est pas difficile de deviner laquelle, non ?

’ Regardant Sarah je dis, l’ennui c’est que nous n’avons que deux mains, alors on ne peut pas se caresser les tétons et le clitoris en même temps.

’ Sarah sans un mot vint à croupetons derrière moi, elle me tira par les épaules sur ses genoux et me caressa les seins en me disant : ’ caresse ton sexe exploses toi… ’

’ Les doigts de Sarah effleurant mes tétons. Mes propres doigts entre mes petites lèvres je sentis mes tétons exploser de plaisir, et une jouissance partir de là vers les profondeurs de mon sexe, ce fut tellement fort que je me senti en train de la communiquer à Sarah.

’ Oui ajouta Sarah, c’était extraordinaire de la sentir jouir si fort contre moi, son corps humide contre le mien, avec ses mouvements de plaisir.

’ C’est vrais ajoutais-je, reprenant la parole, j’ai vraiment sentie Sarah jouir si fort que j’ai eu envie de glisser un doigt entre ses lèvres a ce moment là…

Je les écoutais, captivée, gagnée par une excitation indescriptible. Je sentais ma culotte se détremper. Sans m’en apercevoir j’avais appuyé mes doigts sur le tissu mouillé, sentant avec délices mes lèvres brûlantes en dessous.

Je passais mes doigts sous le tissu et je me tordais machinalement de plaisir. Quand mes doigts atteignirent mon sexe, ils glissèrent tout naturellement entre mes lèvres glissantes.

Nous la regardions, attendries par cette jeune fille avec ses yeux bleus si doux, qui se laissait aller avec nous. J’étais intensément heureuse qu’elle s’adonne à ce laisser aller si particulier que je connais si bien, d’une part parce qu’elle est très jolie et paraît si douce, d’autre part parce qu’une demi-heure avant nous ne nous connaissions pas. Cette soudaine proximité était pour moi un véritable enchantement. Sa jupe toute relevée lui donnait un air très sexy et sans pudeur.

Elle croisa notre regard et se mit à rougir, alors pour la détendre je dis :

’ Quel plaisir la masturbation entre filles, tu ne trouves pas ?

Et j’ajoutai en montrant ma vulve :

’ As-tu déjà essayé de te raser les lèvres, moi j’adore je ne pourrais même plus m’en passer ! La sensation sur les lèvres est vraiment douce, tu sais. ’

À mon grand étonnement, Aurélie répondit directement : ’ à vous voir depuis tout à l’heure j’ai vraiment envie d’essayer aussi, mais dites-moi, chez le médecin, ce n’est pas gênant ? ’ Mais en fait je ne tardais pas à comprendre que la rapidité de ses réparties cadrait bien chez elle avec une absence totale de préjugés. Son éducation n’avait pas été coincée. Elle avait été inexistante sur tous ces sujets. Aussi c’était par quasi-naïveté qu’elle allait directement droit au but. Et puis cette ambiance si particulière de ce jour nous portait toutes à plus de franchise que je n’en avait même habituellement avec Sarah.

’ Non dis-je, il suffit de laisser un peu repousser, mais de toute façon comme tu vois je ne rase que les lèvres et je garde le triangle en dégradé vers le bas, personne ne s’en préoccupe en fait. ’

De plus en plus gagnée par cette liberté nouvelle que j’avais trouvée ici, j’avais terriblement envie de me laisser aller avec mes deux nouvelles amies. Je demandais à Kathleen si elle avait un rasoir particulier pour son sexe… Comme elle approuvait, je lui demandais si je pouvais m’en servir.

’ Waw, Aurélie ! ’ sursauta Sarah, de plus en plus interloquée malgré sa nonchalance au fur et à mesure que la matinée avançait, alors que, pour mon compte, j’étais e plus en plus à l’aise, sentant monter une langueur que j’appréciais alors tout particulièrement. ’ C’est super alors, on est vraiment trois amies maintenant ! ’

’ Pourquoi, le signe de reconnaissance entre amies, c’est d’avoir le minou rasé ? ’ demanda-t-elle avec ce mot enfantin, qui me fit littéralement fondre.

’ Viens ’ lui demandais-je en l’entraînant vers la salle de bain.

Alors que je lui tendais le rasoir, elle s’assit sur le bord de la baignoire et enleva sa culotte. Je jetais un coup d’?il, puis pour confirmer mon impression je ramassais cette culotte et la tâtant, je sentis qu’elle était presque détrempée. Nous apparut à Sarah et à moi, alors une toison légère, fine, et d’un blond très clair, on sentait dans tout son sexe, l’appel du plaisir.

Cette fois c’est nous qui étions fascinées.

Aurélie fit tomber sa jupe et comme sa chemise venait dans le chemin, elle l’enleva timidement. J’étais surprise par cette soudaine timidité, elle qui jusque-là avait été si spontanée : ’ vous êtes sexy vous, regardez, moi je n’ai rien ’ dit elle en enlevant un petit soutien gorge.

’ Oh si ce n’est que ça ’ lui dis-je, ’ tu es ravissante et pleine de charme, avec ton regard tout bleu. Tes seins, ils sont tout mignons ! ’

Sarah ajouta, ’ petits mais tout jolis et bien faits, je t’assure qu’on est sous le charme. ’

Nous étions maintenant toutes les trois nues.

Aurélie avait un corps particulièrement sensuel, une taille toute mince et une peau fine : du velours !

Alors qu’elle passait avec attention le rasoir électrique, la peau douce de ses lèvres nous apparaissait laissant entrevoir ses petites lèvres roses particulièrement bien faites, fines et longues, elles se refermaient sur son clitoris qui avait quelque chose de particulièrement attirant.

Elle agissait, méticuleusement, sensuellement, le mouvement de ses lèvres au passage du rasoir était très érotique.

Alors en me regardant, elle demanda, ’ Pendant ces vacances, vous avez fini par vous masturber l’une l’autre ? ’

’ Ho oui dit Sarah, mais d’abord, je ne sais pas pourquoi ça nous est venu en premier, mais nous avions décidé d’essayer le rasage intime. Le lendemain nous sommes revenues avec un rasoir emprunté pour la circonstance, nous avions étendue nos essuies sous les taches de lumières très brillante sous les arbres à cette heure de la mi-journée.

’ Après s’être rasées on s’est regardées, comparées et la première impression passée, on a d’abord trouvée ça laid…

’ Mais comme l’envie de plaisir se faisait sentir de plus en plus fort, en passant nos doigts nous avons été de plus en plus submergée par la nouvelle sensualité de nos minous. ’ Tiens pensais-je Sarah prend le vocabulaire d’Aurélie, ça aussi c’est mignon.

’ C’est plus tard, continuais-je, alors que nous étions étendues laissant le soleil chauffer nos lèvres lisses, après les avoir caressées avec un plaisir de plus en plus fort, couchée sur notre essuie, c’est plus tard en chahutant que je me retrouvais étendue, en travers, sur Sarah.

’ Posant mon visage sur son ventre, je me retrouvais à regarder son sexe. Je passais presque machinalement trois doigts, oh très légèrement, sur ses lèvres lisses.

’ La sensation me parut si agréable que je me suis mise à passer et repasser mes doigts, à écarter ses lèvres. Puis, son sexe doux et glissant commença à m’exciter tellement fort, que je laissais mes doigts entre ses lèvres à glisser le long des petites, douces comme la soie.

’ J’ai approché mon visage, attirée par son sexe.

’ Tout en explorant son sexe, fascinée par son excitation, j’approchais encore mon visage pour être tout près, irrésistiblement attirée vers son humidité et sa chaleur.

’Je me retrouvais avec le visage tout proche avec cette envie terrible d’y poser les lèvres. J’en avais envie, tu ne devineras jamais pourquoi

Pas parce que c’était le minou de ma meilleure amie (tiens moi aussi je m’y mettais), mais parce que depuis longtemps, j’avais l’envie de faire la même chose sur le mien. Si je te jure ’

’ Tu ne m’avais jamais avoué ça ’ Déclara Sarah presque boudeuse. Mais je poursuivais.

’ Ce fut irrésistible, en posant mes lèvres sur ses lèvres humides, mon sexe brûlant d’envie embrouilla toutes mes idées. Je la sentais, la goûtais, je fus comme aspirée avec sur mes lèvres et ma langue, une incroyable sensation de délice.

’ Je passai ma langue entre ses lèvres, sentit le bouton dur de son clitoris, puis en descendant vers son intimité, je laissai ma langue pénétrer le plus profond possible.

’ La sensation, le goût qu’avait le sexe de Sarah me parut si bon, que je restais longtemps à tourner autour de l’entrée, puis je l’enfonçais le plus profond possible.

’ Pendant ce temps, je devinais que Sarah se caressait les tétons, et dans tout son corps, je la sentais prise par une inondation de sensations extraordinaires qui montaient depuis le sexe et l’envahissaient complètement…

’ Kathleen, me coupa-t-elle en entrant dans mon récit, tu ne peux pas savoir la jouissance que j’ai ressentie, tu m’as vraiment envoyée en l’air comme on dit… ’

L’expression nous fit rire toutes trois de bon c?ur dans la salle de bain.

’ Le soir dans notre chambre, alors que nous étions au lit, nous passant encore les doigts sur le minou lisse en riant, nos lits l’un a côté de l’autre nous permettaient de nous voir sous les draps.

’ C’est alors qu’après un coup à la porte, mon cousin vint dans la chambre, mes parents l’avait aussi invité à passer les vacances avec nous.

’ Bien que du même âge que nous, nous restions plutôt entre filles, on ne l’aimais pas beaucoup.

’ Gilles était un grand et beau garçon et Sarah avais déjà vue qu’il ne me laissait pas physiquement indifférente. Il nous demanda alors : ’ mon rasoir c’est vous qui l’avez pris ? ’

’ Heu oui ’ répondit mon Sarah.

’ Que faites-vous avec ça, vous ne me l’avez pas cassé aux moins ? ’

’ Tu ne te fâcheras pas répondit sa cousine, si on te dit pourquoi. ’

’ ?a dépend ’ répondit Gilles du ton hautin que prennent souvent les garçons avec les filles.

’ Si tu jures de ne pas crier répondit mon amie, je te montre. ’

Mes yeux grandirent.

’ Bon d’accord ’ dit le garçon radouci, ’ mais je ne vois pas ce que vous pouvez faire avec ça. ’

Pauvre cousin pensais-je, avec Sarah tu vas avoir une drôle de surprise. À trois tu pousses la couette me chuchota-t-elle dans l’oreille à la grande perplexité de son cousin.

Un, deux, trois : Gilles resta pétrifié, écarlate, non seulement il n’avait jamais vu de filles nues de si près, mais en écartant les genoux on lui faisait voir à quoi avait servi son rasoir.

Nous vîmes avec délices son visage rougir et son pantalon gonfler, la forme de son sexe apparaissant, c’était vraiment trop bon.

L’envie de lui baisser son pantalon était intense, mais comme il y avait des pas dans le couloir.

Gilles n’osa pas bouger. Il découvrait sa cousine sous un nouveau jour et ne savait quoi penser.

Mon amie lui dit alors en remontant nos couvertures : ’ assieds toi là !’.

Me chuchotant à nouveau dans l’oreille, Sarah me regarda et dit, je donnerais cher pour savoir comment c’est le sperme…

Le cousin dont les sens explosaient essayait discrètement de faire un peu de place dans son slip pour son membre qu’il ne contrôlait plus vraiment.

Sarah, rêveuse déclara : ’ au fond, ce serait assez normal de se découvrir en jouant docteur entre cousin cousines, non ? Toi tu serais le doc. Kathleen. Qu’en pensez vous ? ’

Le cousin Gilles resta muet, il semblait de plus en plus idiot. Sa cote ne montait pas dans mon estime, mais je trouvais la situation suffisamment extraordinaire pour participer au jeu de Sarah. J’étais fascinée.

Poursuivant Sarah demanda : ’ Gilles, serais-tu capable de garder un secret ? Pourrais-tu nous jurer de ne pas venir nous rejoindre sans être invité ? ’

Gilles intrigué et subjugué par sa jolie cousine répondit : ’ Tout ce que tu veux Sarah, je te le jure. ’ Il me paraissait de plus en plus benêt, mais ce sont les garçons qui me font cet effet-là.

Discrètement, Sarah me souffla qu’elle le connaissait, que c’etait mon cousin préféré et qu’il nous laissera en paix. J’étais perplexe, mais j’étais déjà engagée trop loin. Je devais suivre mon amie dans son idée.

Ce fut comme cela qu’un garçon eu l’immense privilège de découvrir notre petit paradis de filles.

En écoutant Kathleen et Sarah, je ne pouvais m’empêcher de me passer le bout des doigts sur les lèvres. Ainsi je découvrais des sensations inédites sur mon minou. La folie de la situation, qui incroyablement me paraissait toute naturelle, me poussait à et me laisser aller, et à profiter de cette sensualité inconnue.

À ce moment de leur récit, imaginant la situation, je levais les yeux en disant : ’ humm c’est super agréable, je sens déjà que je ne pourrai plus m’en passer maintenant. ’ Toutes deux me sourirent, avec une gentillesse confondante, et c’était cette gentillesse, en lieu et place d’une visible excitation sexuelle, qui m’excitait encore plus. Leurs yeux ne traduisaient pas l’envie ou le désir, mais la joie de partager cette masturbation. Et c’était ma masturbation. En fait elle étaient bien évidemment excitées, mais elle savaient profiter de cette étape avant que le désir ne s’exprime ouvertement. Je devais apprendre plus tard qu’elle savaient prolonger ce sentiment, sachant qu’il ajoutait au plaisir final. Alors qu’une heure plus tôt, je n’imaginais pas me masturber autrement que solitaire et cloîtrée dans ma chambrette.

’ Et alors continuais-je, comment avez-vous joué docteur ? ’

Sarah reprit alors le récit.

’ Cette fois ci nous n’avons pas enlevée nos culottes en chemin, j’ai juste demandé a Gilles, si on ne devait pas lui bander les yeux. Mais c’était irréalisable il serait tombé à chaque pas. Ce qui acheva de me convaincre c’est que Gilles était beaucoup trop heureux de participer à nos secrets pour nous trahir plus tard. Enfin si je n’en étais pas vraiment sure à ce moment, par la suite c’est devenu un excellent complice.

’ Arrivée là, je lui déclarais : ’ tu vois Gille ici ont vit nus… Ici pas de vêtements. ’

Je continuais :

’ Tu te rappelles que tu t’étais assise sur une branche, pour laisser volontairement ton cousin découvrir ta culotte sous sa robe d’été ?

Gilles était fasciné par la forme charnue de tes lèvres bien formées, que le tissu humide moulait parfaitement. Je sais qu’il était fasciné parce que moi-même je l’étais, peut-être, sûrement, plus que lui.

En regardant Aurélie toute à notre histoire, je ne pus m’empêcher de lui déclarer tout à trac : ’ On vas te faire découvrir tous les délices de l’exhibe, tu verras comme c’est bon ! ’

Je repris notre histoire.

’ Le regard de Gilles sur Sarah m’excitait, j’ai enlevé ma culotte par dessous ma robe, mais sensuellement de manière à ce que Gilles pu entrevoir un instant mon sexe.

’ Toute en lui demandant, ’ qu’est ce qui t’attire le plus avec une jupe, une petite culotte ou rien dessous ? ’

’ Histoire de ne pas laisser de répit au beau Gilles, je vins a côté de Sarah, elle avait relevé un genoux laissant toute la vue sur ses dessous.

’ Assise à côté de mon amie et prenant la même pose, mais avec le sexe nu, je lui demandai, alors qu’est qui est le plus sexy.

’ Les yeux du garçon trahissaient une excitation extrême. Tétanisé devant mon intimité, il resta juste à faire ’ heu, heu ’, alors que son sexe allait finir pas dépasser par le haut du pantalon. Mes impressions sur son compte se confirmaient.

’ Bien ’ dit Sarah, ’ tu veux faire une journée de nudisme avec nous, alors ’ continuait-elle en enlevant sa culotte toujours assise sur la branche.

Puis tout en se levant, elle laissa tomber sa robe.

Le manque total de pudeur de mon amie me paraissait étrangement naturel dans ce lieu à nous.

Comme le garçon gardait lui encore un peu de réticence, le bas de son tee-shirt enroulé dans les main je, pris l’initiative. Je me mis illico à dégrafer son pantalon.

’ Gille tu veux de l’aide ? ’. Ainsi nous fûmes tous trois nus.

Qui découvrait qui ? Qui de nous était le plus excité, lui ou nous deux découvrant son membre droit et dur, perlant de gouttes d’excitation ?

’ Je peux ? ’ demandais-je au garçon en prenant son sexe en main sans attendre la réponse. Je serrai ma main entière sur son pénis, c’était dur, souple et infiniment agréable, descendant ma main je fis apparaître le gland lisse et rouge.

’ Sarah ne disait mot, elle découvrait l’anatomie de son cousin en même temps que celle des garçons, n’ayant pas non plus eu le loisir d’approcher un zizi de si près. Pourtant, comme si le lieu nous portait à avoir de l’assurance je me regardais faire avec un étonnement croissant. ’ C’était un peu la même ambiance qu’aujourd’hui, tout paraît simple à faire, comme partager la masturbation d’une inconnue, alors qu’il y a une heure c’était inimaginable.

’ Comme j’étalais sur son gland les gouttes de liquide qui en perlaient, Sarah dit, ’Gilles tu me laisses toucher aussi ? ’ Le grand benêt ne put même pas répondre. Nous avions toutes les deux l’intégralité de l’initiative.

Quand Sarah posa ses doigts fins sur cette chose si grosse et si attirante, j’avais glissé mes doigts sous ses testicules, et appuyé dessous.

Sarah explora le sexe du jeune garçon d’une main légère et sensuelle. Mais c’était devenu trop de sensations pour lui. Je sentis alors les contractions de son sexe, sous les couilles là ou il rejoint les fesses, et le sperme sortit avec force, se répandant sur la main de Sarah. ?a n’avait pas tardé, mais il est vrai que nous étions deux et qu’il ne devait pas être beaucoup plus expérimenté que nous.

Sarah sentit la chaleur sur sa main, le liquide blanc la fascina un moment et quand elle dirigea sa main vers moi je la pris dans la mienne pour sentir la consistance du sperme.

’ Eh oui, ajouta Sarah à l’adresse d’Aurélie, à partir de là il devait y avoir une complicité entre nous trois. Mais cela nous a vraiment rapprochée Kathleen et moi ; et l’on peu dire que nous sommes maintenant des amies tout a fait intimes. Depuis ce moment mon cousin reste un peu plus proche que les autres, c’est toujours mon préféré. ’

Lisha allait ajouter quelque chose, mais dis-je, toi tu n’est pas encore sensée être là dans le récit, tu viens plus tard.

’ Mais moi, c’est comme Aurélie je découvre aussi vos aventures, non ? ’ Elle ouvrait son Jean pour y glisser la main pendant que Sarah continuait.

On doit d’abord raconter comment tu es arrivée parmi nous Lisha.

’ Mais d’abord avec Gilles : que s’est-il passé ensuite ? ’ demanda Aurélie, toujours nue sur le rebord de la baignoire, ne cessant depuis une bonne heure de solliciter les lèvres roses et nouvellement dégagées de son entrejambe.

Oui approuva Lisha, que s’est-il passé avec le garçon ?

Je reprends donc le récit où nous en étions. Nous sommes retourné à notre endroit secret les jours suivants, mais cette fois à trois.

Nous n’avions pas la pilule et Gilles étant le cousin de Sarah, c’est resté d’abord aux stade du nudisme et des explorations de l’un et de l’autre.

Mais, le deuxième jour, je ne pus résister à prendre son sexe en bouche, alors comme la sensation que je ressentais était trop forte, la curiosité aidant, je me l’entrais et le sortait de la bouche en le caressant de la langue.

Je nageais dans le bonheur de ces sensations, quand il me fit signe par un pincement (comme convenu) que ça allait venir pour lui.

Je ne pus me soustraire tellement c’était bon, un peu aussi par curiosité du goût que cela pouvait avoir.

Je sentis venir le liquide chaud dans ma bouche, après un instant mitigé ou le goût fort me sembla désagréable et ne me plut pas du tout, je fut étonnée qu’en fin de compte la première impression passée, peut être aussi par l’état d’excitation dans lequel j’étais, je commençait à trouver ça bon. Cela augmenta considérablement mon désir.

’ Comment est-ce ? ’ demanda Sarah.

’ Je ne sais pas trop lui dis je, ce n’est pas vraiment bon mais ça a quelque chose de très excitant et finalement c’est bon. ’

En disant cela je m’étais assise par terre jambes écartées, Gilles venu sans un mot passa ses mains sous les fesses et posa ses lèvres sur mon sexe. Quand sa langue commença son exploration de mon intimité la plus profonde, je fus envahie pas une jouissance qui sembla monter en crescendo sans plus ralentir.

Sa langue ne se lassait plus ne me lâchait plus et cela ne finit que par un feux d’artifice remplissant tout mon corps sous les yeux de mon amie qui se caressait en même temps.

Sarah excitée à en perdre tout contrôle d’elle même, complètement dans les nuages, tira Gilles vers elle, et comme il se retrouva entre ses jambes, elle pris son visage entre ses mains et l’attira vers son sexe.

Les mains douces de sa cousine sur le visage, Gilles se retrouva les lèvres dans son sexe, il fut envahi par une telle sensualité que son esprit fut noyé dans le flot de sensations de délices qui l’inondait. Sarah entièrement submergée par toute l’excitation accumulée, partit dans un orgasme sidérant qui restera à jamais dans ma mémoire.

Quittant la salle de bain, nous avions regagné la pièce principale. Aurélie, dont le désir et l’envie de se libérer des tensions accumulées étaient devenues insoutenables, s’était assise rêveusement au bord de mon lit. Son sexe, que ses petites lèvres gonflées ouvraient, pour nous apparaître mignonnes et humides, me semblait luisant, aspirant, il m’hypnotisait de bonheur, et je sentais un sourire quasi-béat s’épanouir sur mon visage.

Bientôt, n’y tenant plus, mise en confiance par notre conversation, et par notre propre confiance en elle (puisque nous l’avions accueillies directement au plus secret de notre intimité), avec deux doigts introduits dans son minou, elle se laissa tomber en arrière en fermant les yeux, et se caressa avec une sensualité étonnante pour cette petite fille semblant sortie de son collège.

Elle nous parut si belle, alors qu’elle prenait de plus en plus de plaisir, devant nous !

C’est comme ça qu’avec une excitation extrême, je me retrouvai sans m’en rendre compte à aider Aurélie a se masturber.

Sarah, tombée bien évidemment elle aussi sous le charme de la blondinette, était venue à côté d’elle, lui massait les tétons pendant que je me laissais inexorablement aspirer vers son intimité.

Aurélie avaient la poitrine qui explosait sous les doigts de Sarah. Quant aux siens, ils massaient ses points sensibles internes pendant que le bout de ma langue appuyait sur son clitoris. Son clitoris qui m’attirait si fort depuis tout à l’heure !

Nous sentîmes la jouissance d’Aurélie monter inexorablement vers une explosion de sensations plus fortes les une que les autres.

Plus tard alors que nous continuions à parler toujours assise sur le lit, Aurélie reprenant ses esprits comme sortant d’un de ces rêves où l’on ne sais plus ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, nous dit alors :

’ j’ai aussi une amie… ’

Sarah et moi nous regardâmes interloquées (Aurélie semblait si jeune et innocente, je suis sure que toutes les deux étions convaincues que c’était sa première expérience sexuelle).

’ Nous sommes toujours ensemble, j’aurais aimé qu’elle soit ici. ’

Sarah comprenait toujours la situation plus vite que moi. Et comme avec Gilles c’est elle qui prit l’initiative.

’ Demandes lui de venir ’, proposa-t-elle.

Je restais songeuse un court instant. Pourtant, je le savais bien, c’est moi qui avais pensé à mon amie, puis qui avais pris le risque d’en parler, puis de dire qu’elle me manquait. Pourtant à aucun moment je n’avais eu la sensation de la trahir, alors que je m’étais déjà masturbée avec mes deux nouvelles amies, et qu’elle m’avait fait l’amour. Enfin, comme nombre d’évènements insensés depuis le début de la matinée, la réponse me parut évidente : ’ pourquoi pas, j’aimerais bien qu’elle partage tout ça avec nous ! ’ Et c’était absolument évident, soudain, il fallait qu’elle vienne. Je n’imaginais pas un seul instant que la situation put être gênante, et pourtant, si j’avais pu réfléchir un peu plus à ce moment

Comme Sarah lui tendait un GSM, Aurélie fit le numéro de son amie.

’ Allo oui, coucou Lisha, comment va

— Bien, je suis chez de nouvelles amies.

Non tu sais quoi, je fais du nudisme avec elles.

Oui on passe la matinée nue.

Ce serait super si tu étais là.

Viens avec nous, je sais que tu aimeras. ’

Après un peu de parlotte elle communiqua mon adresse à son amie.

’ Lisha, tu ne t’effrayes pas en entrant si tu nous trouves nues hein… ’ compléta-t-elle.

’ Elle va venir ’ nous dis Aurélie en raccrochant.

’ Et ensuite continua-t-elle, que s’est-il passé dans votre paradis ? ’

’ Bien dis-je, alors que nous y étions retournées à nous deux, on a eu une envie très forte de se glisser quelque chose dans les orifices.

’ Ainsi nous avons passée la maison au peigne fin pour réunir des objets divers à essayer.

Nous avons alors passé de long moment à deux dans notre paradis, asseyant sur l’autre nos découvertes. ’

Notre nouvelle amie arriva une demie heure plus tard.

Sarah ouvrit la porte sur une ravissante asiatique en chemise légère et jeans moulant, de la taille d’Aurélie, fine et sexy, légère comme le pendant asiatique d’Aurélie.

’ Oh… ’ dit Sarah en faisant entrer la nouvelle venue.

Comme l’avait fait Aurélie, Lisha entra les yeux pétillants d’excitation.

Cela présageait déjà que nous serions vite quatre amies.

Aurélie un peu survoltée par tout cela essayait de nous présenter,

’ je sens que l’on va devoir tout recommencer depuis le début pour ton amie. ’ dis-je pour la calmer, je sentais qu’elle perdais malgré tout un peu de la confiance qu’elle avait acquise si facilement ce matin. Mes mots la rassurèrent.

C’est à ce moment là reprenant mes esprits, que j’eus cette si simple idée :

’ Et si on écrivais tout cela toute en lui racontant, ce serais le début d’une sorte de journal de bord de notre amitié. ’

Là je dois dire que c’était une idée, le regard de Sarah en disait long, alors c’est comme ça que l’on se retrouva a quatre autour de l’ordinateur.

Je m’étais mise au clavier, Aurélie a coté de moi, Sarah et Lisha assise derrière nous sur le lit.

Ainsi nous avons racontées à nouveau nos aventures pour Lisha, mais cette fois à trois puisque Aurélie en faisait déjà quelque peu partie.

En je marquais un premier titre, ’Les filles et la fenêtre’

Mais Lisha me souffla ’ Le journal de bord de quatre amies ’ présageant le moment où elle allait venir nous rejoindre dans ce récit.

L’idée alors que l’histoire allait avoir des prolongations était d’autant plus excitante pour moi, que j’avais envie de vivre avec Lisha ce qu’avait vécue mes amies Kathleen et Sarah.

Mais nous étions alors loin de nous douter que tout cela allait prendre un autre envol lorsque nous partirions en camping toutes les quatre, Les garçons entrant alors vraiment dans la danse…

Lisha écouta le récit de mes deux amies comme je l’avais fait, mais cette fois nous l’écrivions en même temps. Arrivées au moment où elles m’entraînent vers la salle de bain, Lisha ressentait visiblement la même excitation que moi tout à l’heure. Elle me regarda avec un air particulièrement amusé.

Au moment du récit ou je pose ma main sur ma culotte toute mouillée, elle se leva et ôtant son Jeans, elle dit : ’ continuez j’en profite, comme Aurélie ’ et en s’asseyant la main sur la culotte elle ajouta : ’ hhmm, tu me prêteras aussi le rasoir, vous me donnez envie depuis un moment. ’

Tellement heureuse et soulagée de la réaction de Lisha, j’ajoutais d’une voix si excité que je me reconnus à peine : ’ si tu veux, je te fais ça impec… ’ Elle approuva d’une voix aussi excitée que la mienne.

’ Tu sais Aurélie dit Lisha, en entrant, la vue de ton sexe rasé m’a fait sursauter !

’ Imagines, continuait elle, une grande fille nue avec des seins de rêve m’ouvre et derrière elle toi aussi nue, les lèvres lisses à côté d’une troisième fille &agrave

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