« Quel pied jai pris à vous regarder !
Quelle chance vous avez davoir une nana qui baise comme ça ! Non seulement vous êtes encore bien faite pour votre âge et en plus vous aimez le sexe comme personne !
Je vous ai vu arriver suivi par le jeunot et je me suis dis quil allait y avoir certainement du spectacle. Jai attendu un peu et je me suis approché, presquen rampant par moments ! Jen ai pas perdu une miette ! Et puis quel cul vous avez ! Superbe ! »
Nous navions pas bougé depuis que nous lavions découvert.
La quarantaine bien sonnée, un peu bedonnant, un air sympa et surtout on sentait la sincérité dans ses propos.
« Merci, content que vous ayez apprécié ! »
« Ca vous embêterait de recommencer pour moi ? Je me suis caressé, mais jai pas joui et jai la queue qui me démange ! Soyez sympas, vous nallez pas me laisser comme ça ! »
Il faisait beau, le coin où nous étions était vraiment désert, il avait lair cool. Jai interrogé Louise du regard. Elle fit non de la tête mais sans insister plus que ça. Je pense quelle avait encore envie de baiser.
« Oui mais il peut encore venir quelquun ! »
« Vous savez madame, celui qui viendrait profitera du spectacle tout comme moi. Cest pas des méchants dans le coin. »
Javais pris Louise dans mes bras et lui caressait les fesses. Je remontai sa jupe jusque la taille, découvrant son cul « superbe », nu car elle navait pas remis sa culotte. Une main sur chaque globe je lui écartai les fesses pour mettre à jour son anus. Je le frôlais dun doigt ce qui fit réagir Louise qui commença à se dandiner.
Je mécartais et la prenant par la taille je lemmenai à lendroit plus isolé où nus étions tout à lheure. Lhomme nous suivait à quelques pas, sa queue dans la main.
Jembrassai Louise à pleine bouche, mes mains allant de sa chatte découverte à ses nichons que javais fait apparaître. Elle avait déboutonné mon pantalon qui tomba sur les chaussures, baissé mon slip et me branlait fortement la bite. Javais joui depuis peu et je pensai quelle aurait du mal à se redresser à nouveau aussi rapidement.
Notre homme sétait approché et promenai ses mains sur Louise. Je senti ses doigts près des miens entre ses cuisses. Je lui laissais la place et aux réactions de Louise qui se projetait vers moi, je compris quil la pénétrait.
« Je voudrais lui bouffer la chatte ! elle est pleine de mouille, jadore ça ! »
« Moi aussi jadore mais jaime aussi voir quon la déguste ! »
Nous nous dirigeâmes vers le tronc couché ou nous avions fumé notre cigarette quelque temps auparavant. Louise mis un pied dessus en écartant bien les jambes.
Notre homme se positionna et entrepris un cunnilingus de qualité à en croire les soupirs de Louise et la façon dont elle pressait la tête de cet inconnu sur son bas ventre.
Je vis la main de lhomme sagiter et je compris quil me demandait de venir près de lui. Toujours léchant la chatte, il me prit la queue dans la main, la caressant doucement. Soudain il quitta la vulve de Louise et pris ma bite en bouche. Quel bon suceur. Je rebandais à men faire mal. Louise lui pressait la tête pour quil prenne vraiment ma bite à fond.
« Je vais partir ! »
« Jute-lui dans la bouche, me dit ma chérie »
Il continuait à me pomper et je lui éjaculais dans la bouche. Il avala promptement nen laissant échapper aucune goutte.
Je venais de me faire pomper et javais juté dans la bouche dun homme deux fois en peu de temps.
Linconnu lâcha ma bite ramollie pour sen reprendre à la chatte de Louise. Il était plus excité et ses mains malaxaient les fesses de ma belle. Il lui caressa la rosette et entreprit de faire glisser de la mouille pour la lubrifier davantage.
Jembrassai Louise qui se tortillait sous ses caresses. Je lui pelotais les nichons, lui tirait les bouts.
« Baise là ! elle a baisé pour la première fois avec un autre que moi tout à lheure et jai envie de revoir comme elle aime ça ! »
Ma chérie me regarda surprise, mais elle se laissa guider. Il la fit courber en avant sur le tronc, lui écarta les jambes. Il sortit une capote, lenfila prestement, et senfonça doucement dans cette chatte offerte. Sa bite était plus courte que la mienne mais plus grosse en diamètre. Je la voyais qui entrait et sortait, arrachant des soupirs à la salope quelle était aujourdhui. Il accéléra lallure et la limait de plus en plus fort. Son bas ventre tapait contre les fesses de Louise et cela faisait du bruit. Javais peur que quelquun entende et je regardais partout.
Mais non, nous étions bien seuls cette fois-ci. Louise semblait faire corps avec le tronc, tellement les coups de bite la pressaient contre celui-ci. Il la défonçait vraiment fort. Elle haletait, elle prenait son pied et moi aussi. Ma queue se redressait à nouveau. Je me mis devant elle et lui présentait mon sexe quelle avala. Elle avait des difficultés à me garder en bouche tant les coups de butoir la secouaient. Notre homme avait du mal à jouir.
« Je peux lenculer ? »
« Non, ta bite est trop grosse, tu vas lui défoncer lanus ! »
« Je crois pas, elle sest faite enculer tout à lheure, il doit encore être distendu ! »
« Je veux pas quil mencule ! »
Louise avait le dernier mot.
« Cest dommage, jaurai bien aimé. Là je peux te limer pendant une heure, je jouirai pas, je narrive à le faire que dans le cul. Cest aussi pour ça que je suis ici, pour les mecs. »
Il se retira de la chatte et retira la capote.
Louise était toujours appuyée sur le tronc. Je pris la bite de linvité dans la main et je la présentais devant la bouche de Louise. Elle se mit à le sucer en le branlant en même temps.
Jétais derrière lui et je lui caressais les fesses, laissant trainer un doigt le long de la raie. Il ondula un peu vers larrière et je pressai davantage mon doigt.
« Tu peux menculer si tu veux, jai lhabitude ! »
« Une prochaine fois si tu veux, mais je crois que pour aujourdhui ma queue nen peu plus ! »
La langue de ma chérie devait faire son effet car il commença à sagiter davantage. Il tenait la tête de ma belle bien fermement et il me sembla que cest lui qui imposait la cadence.
« Je vais jouir ! »
« Pas dans sa bouche, ok ! »
Soudain il se retira, se branla un peu et il envoya de longs jets de sperme sur le tronc.
Nous étions tous fourbus. Après avoir remis un peu dordre nous nous sommes assis, comme tout à lheure sur le tronc, en évitant les traces de sperme, et avons allumé une cigarette que nous offrit notre compagnon.
Il venait régulièrement dans ce bois, presque tous les lundis.
« Si vous voulez recommencer vous me trouverez sur le parking, jarrive vers 14h/14h30 ! Merci pour tout ! »
Il partit, nous le suivîmes de loin et nous reprîmes la voiture pour rentrer.
Nous étions crevés mais apaisés de jouissance. Nous décidâmes de reparler de cette nouvelle expérience qui ouvrait de nombreuses portes, portes que nous navions jamais franchies.
A SUIVRE