A cette époque point dinternet, mais le minitel et celui que je consultais de temps en temps : le minitel rose.
Le fait que Louise s’était laissé regarder et caresser par papy me fit prendre conscience quen fait elle aimait cela et que cela mexcitait. Je décidais de mettre un peu de piment dans notre relation. Sans en parler à Louise.
Je me connectais sur le minitel et passait une annonce : couple qui baise en voiture cherche voyeur discret.
Les réponses fusaient de toute part et il me fallait faire le tri pour trouver le bon voyeur. Après un contact téléphonique nous convenions de lendroit. Jy mettais comme condition quil ne devait jamais dire comment il a su que nous étions à cet endroit, quil ne devait pas faire de photos (heureusement à cette époque il ny avait pas encore de téléphone portable prenant des photos) et respecter nos désirs.
Nous nous rendions alors dans un autre chemin, plus facilement accessible avec deux sorties au cas où Nous étions un peu à lécart du chemin principal, dans un petit creux perpendiculaire.
Nous nous mettions à laise et commencions à nous caresser quand soudain, comme par hasard, une voiture passait dans le chemin principal. Elle sarrêtait et un type en sortait, qui lair de rien, venait machinalement dans notre direction. Il sarrêtait près de notre véhicule et regardait. Nous fermions alors la voiture de lintérieur et lui demandions ce quil voulait. Comme nous en avions convenu au téléphone, il disait quil se promenait, quil avait vu la voiture et quil voulait profiter du spectacle, si on le voulait bien. Louise était un peu réticente au début mais fini par accepter quil regarde, à condition de rien de plus. Au début elle ne montrait que ses seins et ses cuisses les écartant à peine juste pour que je la caresse. Elle me suçait mais refusait de baiser devant linconnu. Et cela dura ainsi quelques temps. Nous arrivions et presque aussitôt une voiture passait. Elle comprit très vite que cétait moi qui invitais les voyeurs mais ne dit rien.
Un après-midi linconnu du jour fut était un homme dune soixantaine dannées. Il arriva dans une fourgonnette et nous purent voir quil transportait un gros chien. Pour se rassurer ?
Toujours est-il quil vint comme les autres se placer près de la voiture, cherchant à en voir le plus possible mais Louise serrait toujours les cuisses. Et puis dun coup le déclic : étais-ce lâge du voyeur qui lui rappela papy je ne le sus pas. Mais dun coup, son pied gauche monta sur laccoudoir de sa portière, ses cuisses sécartant et dévoilant de ce fait sa toison. Jen profitais et montrais le plus possible de son intimité. Lhomme profita du spectacle, se branla et partit. Nous baisâmes après son départ.
Les voyeurs que je contactais venais et ce par tous les temps.
Un jour alors quil tombait des cordes et que nous étions à larrière de la voiture, nous eûmes pitié de cet homme trentenaire et lui proposâmes de monter avec nous, à condition quil respecte ce que nous avions décidé.
Louise se mit entre nous deux et en deux temps trois mouvements elle se retrouva les seins à l air, la jupe relevée et la culotte enlevée. Je fouillais sa vulve pendant quil lui caressait les seins, les embrassant et les léchant. Je pris la main de Louise et la guidait vers le pantalon de notre invité, qui voyant cela, sortit sa queue. La main de Louise se referma sur cette bite moyenne mais bien dure, et elle prit la mienne dans son autre main. Elle nous branla tous les deux en même temps. Ensuite il partit.
Et puis un jour il y eu Fred.
A suivre