Odette revient à la maison après son divorce. Son mari la battait, elle n’en pouvait plus. Elle revient s’installer dans son ancienne chambre, juste en face de la mienne. Tant mieux, je l’aime bien. J’aimais, quand avant sa rencontre avec son ex, elle me donnait du plaisir en me branlant. Au début, c’était un simple jeu de caresses sans importance, j’avais à peine 11 ans, je commençais tout juste à bander. Je prenais une douche: j’avais comme souvent oublié de fermer le rideau. Comme elle rentrait pendant que j’étais sous l’eau, elle me voyait tout nu, ruisselant, la bite qui commençait à monter. Elle avait déjà 16 ans, connaissait un copain qui l’avait dépucelée, qu’elle branlait pendant qu’il la branlait.
En voyant ma rikiki de bite, elle me demandat si je savais m’en servir. Je rougissais: je m’étais déjà masturbé deux ou trois fois, en douce. Elle venait, me prenait la queue dans sa main, me la serrait un peu: je bandais pour de bon. Alors elle a fait aller et venir sa main. Elle m’a fait jouir: je ne pensais pas qu’elle me fasse autant de bien. Presque tous les soirs, elle venait me rendre visite. Je l’attendais en bandant déjà, même quelques fois en me branlant, qu’elle vienne. Elle s’asseyait au bord du lit, levait le drap, regardait ma pine avant de la prendre toujours dans la même main. Elle l’astiquait de plus en plus vite. Souvent elle arrêtait pour faire durer le plaisir. Elle descendait sa main jusque sur mes couilles. J’aimais beaucoup quand elle me regardait jouir, qu’elle admirait mon jet de sperme. Elle partait se coucher.
Son retour, à la maison, maintenant que j’avais 17 ans, me permettait de penser qu’elle allait recommencer à ma branler. Le problème était qu’elle en avait 22. En soi, ce n’était pas un très grand problème, elle pouvait me branler. Je pensais également qu’elle aimerait que je la masturbe moi aussi, bien qu’en la matière j’étais plutôt en retard. Elle m’apprendrait bien à lui donner du plaisir.
Ce que j’ignorais c’était qu’elle aimait baiser comme toute fille de son âge.
Ce premier soir, j’attendais qu’elle revienne me branler comme avant: elle le faisait si bien, en tout cas beaucoup mieux que la fille qui me l’avait déjà fait. Comme elle ne venait pas je restais ma pine bien raide, je me caressais lentement en espérant sa venue. Je me faisais jouir tout seul comme un con.
Le lendemain, nous pouvions parler librement nos parents étant dehors. Je lui demandais pourquoi elle ne m’avait pas donné ma ration de plaisir. Elle m’expliquait que maintenant elle avait prit des habitudes de baise avec un homme, qu’elle se branlait seule, avec un godemiché.
Le soir, nous montons nous coucher ensemble, elle rentre chez elle. J’attends un bon quart d’heure. Je vais chez elle: elle est nue, les jambes ouvertes, elle tient dans sa main un objet: ce doit être le godemiché, se le rentre et le ressort de son con. Elle ferme les yeux, gémit et soudain ferme ses jambes, en gardant en elle l’engin. Elle passe une main sous ses fesses, elle se la met sur le cul, entre deux doigts qu’elle fait aller et venir. Elle pousse un grand soupir de soulagement, je suppose.
Elle ouvre les yeux, me voit et rougit comme si elle avait fait quelque chose d’interdit. Je suis en pyjama. Elle peut voir que je bande Je m’approche lui tend ma queue: branle moi.
Elle refuse de me masturber, par contre elle m’accorde une faveur: elle m’embrasse sur la bouche. Nos langues doivent se connaître depuis toujours. Elle rentre la sienne dans ma bouche. J’apprécie beaucoup ce premier baiser avec ma sur. Elle prend ma main, la pose sur un sein, me demande de le caresser lentement en ne lui faisant pas mal. Je la pelote: elle y prend du plaisir. Elle baisse ma main jusqu’à sa fente. Elle écarte bien les jambes. Je reconnais son con, là où elle avait logé son godemiché pardon, son gode. Je veux y rentrer, surtout pas: je dois mettre deux doigts sur son bouton que je repère plus haut. Elle me dit comment le caresser. J’obéis ne sachant pas faire une pareille chose. Elle me demande de l’embrasser de bien lui mettre la langue dans sa bouche. Au bout un court moment elle mordille ma langue.Je la sort de sa bouche: j’ai jouis me dit-elle. Enfin j’ai fait jouir ma sur.
En attendant je n’ai pas joui, moi. Je le lui fais remarquer, elle m’embrasse encore:
Pauvre chéri, je ne t’ai pas oublié. Viens entre mes jambes, je me couche sur elle, qui me prend la queue pour la diriger vers son con. Enfin elle me dit: baises moi. Elle pose ses mains sur mes fesses et les appuie dessus. J’entre en elle très vite. Elle me ralentit: sinon tu vas juter trop vite. Elle a raison je ralenti, c’est aussi bon. Ça dure plus longtemps. Malgré tout je jouis, coup de chance en même temps qu’elle.
Je sort de sa moule. Elle se penche vers moi, prend ma queue dans sa bouche pour la nettoyer de mon foutre et sa cyprine. Elle revient, m’embrasse sur le bouche. J’y trouve et son goût et le mien.
Elle en veut encore, cette fois elle me demande de l’enculer. Je l’avais vue se mettre des doigts dans le cul, je ne pensais pas qu’elle aime se faire mettre par là. Je croyais simplement que c’était pour elle un simple plaisir supplémentaire sans importance.
Je ne bande plus comme au début: elle me branle, c’était la seule chose que je voulais qu’elle me fasse à son retour, elle me caresse les couilles et me met un doigt dans le cul. Je ne m’attendais pas à une telle excitation d’avoir son doigt à cet endroit là. Je bande fortement. Elle se mouille le cul avec sa cyprine, se met en levrette, me demande de venir la queue en avant vers son cul. La dirige et d’un coup de rein, se la rentre totalement. Elle ne fait que dire des oui, des encore des plus profonds, pour finir par presque crier je jouiiiis. Moi aussi je jouis rien que de sentir son cul se fermer sur ma pine.
Nous nous embrassons. Demain soir nous recommencerons, elle m’a promis de m’apprendre à la mieux faire jouir.