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Randonnée avec ma grande cousine infirmière – Chapitre 6

Randonnée avec ma grande cousine infirmière - Chapitre 6



Chapitre 6

Je viens de jouir dans le magnifique cul de ma cousine. Elle a hurlé, tendue comme un arc, elle a tremblé c’était un vrai orgasme Nous sommes couchés tous les deux, collés l’un contre l’autre, en chiens de fusil, je la tiens dans mes bras, je couvre son dos de petits baisers Mon sperme s’écoule de son petit trou, elle l’essuie à l’aide de son short de nuit.

–    Oh mon Jeannot tu me rends folle comment tu peux me faire ça c’était tellement fort

–    Plus fort qu’avec les autres ?

–    Oui mais, en fait je ne l’avais jamais fait comme ça

–    Tu veux dire par derrière ?

–    Oui, dans les fesses tous les hommes veulent essayer, certains m’ont doigté à cet endroit-là, mais j’ai toujours refusé d’aller plus loin j’avais peur d’avoir mal

–    Mais moi aussi je t’ai fait mal, au début

–    Oui, un peu mais je ne sais pas avec toi j’avais moins peur. Je savais que tu serais attentif et doux et, je voulais te faire plaisir et, puisque tu fais tes découvertes, moi aussi je voulais essayer quelque chose de nouveau avec toi

–    Alors tu as vraiment eu un orgasme ? avec moi ?

–    Et comment ! J’ai pris un pied fou !!! Je ne pensais pas que je pourrais jouir autant comme ça. C’était dingue te sentir en moi des deux côtés et ta main sur ma chatte, mon petit bouton

–    Eh ben moi en tout cas quand je t’ai senti jouir, tes secousses contre moi j’ai joui encore plus fort que tout à l’heure je crois que je vais mettre des semaines à m’en remettre je dois être complètement à sec !

–    T’inquiète mon petit bonhomme les couilles des mecs se remplissent vite ! Tu as bien dû le constater déjà, non, tout seul je veux dire ????

–    .

Je rougis comme une tomate et Cécile éclate de rire. Nous nous embrassons.

Wow Si j’avais su que ça se passerait comme ça Il y a seulement 12 heures, j’étais puceau Et je viens de faire deux fois l’amour à ma cousine de 27 ans, une vraie bombe ! Je l’ai baisée par ses deux trous, elle m’a sucé, je l’ai léchée, j’ai pétri ses seins et son cul magnifiques, je l’ai doigtée, pénétrée C’est sûr, si elle n’avait pas son âge, cette expérience, si elle ne m’avait pas guidé, encouragé, accompagné, offert son corps aussi totalement, j’aurais mis des années à découvrir tout ça ! Elle est marrante, Cécile, je ne pourrai jamais me contenter de petites minettes de mon âge après ça ! Je l’aime ! Il nous reste encore deux jours de randonnée. Je pourrai peut-être lui faire changer d’avis ?

Tout à coup, Cécile se lève d’un bond.

–    Bon, mon petit Jean, avec toutes nos activités sportives, on s’est mis en retard ! Il est 8h30, il faut qu’on se grouille car il faudrait faire une plus grosse journée aujourd’hui pour récupérer un peu de notre retard. Sinon demain ça va être vraiment une grosse grosse journée pour retourner à Cauterets.

–    OK, ok, je me lève.

Cécile est debout toute nue devant moi. Je ne peux m’empêcher d’admirer son corps. Ses seins blancs et fermes, généreux sans être trop gros, ses belles hanches de femme, le triangle de sa toison, ses cuisses musclées ses petits pieds adorables. Elle me fait face, elle se laisse regarder puis, comme un peu gênée, croise ses bras sur sa poitrine et entrecroise légèrement les jambes, comme pour cacher un peu son entrejambe.

–    Tu vas m’inspecter comme ça encore longtemps, petit coquin ?

–    Ca te gêne ? Tu es pourtant magnifique

–    Hum ! Je ne sais pas si tu as une très bonne vue tu ne vois pas la cellulite sur les fesses et l’arrière des cuisses ? mon petit ventre et mes poignées d’amour ? et, vu le peu de sport que j’ai fait cette année, ma culotte de cheval qui contre-attaque ?

–    Mais c’est rien ça ! De la cellulite, toutes les filles en ont ! Même ma sur ! Ca la rend dingue d’en avoir déjà d’ailleurs ! Moi ce que j’adore c’est tes seins, tes fesses, et ton beau visage, tes cheveux, ton sourire mutin !

–    J’adore ton ordre de priorité !

–    Mais non, j’aime tout, tout ton corps est très harmonieux, musclé, mais avec de vraies formes de femme ! Et ton petit ventre, vraiment tout petit, j’adore le caresser, comme tes fesses, tes cuisses

–    Eh ben pour un gamin de 18 ans, tu sais parler aux femmes

–    Tu sais ce qu’il te dit le gamin ?

–    Non je ne sais pas, mais je sais ce qu’il pense ! Ta bite est repartie comme en 40 ! J’avais oublié qu’à 18 ans on était aussi chaud bouillant ! En tout cas, j’ai la preuve que tes compliments sont sincères c’est mieux qu’un détecteur de mensonge !

Oups ! Je cache mon sexe à l’aide de mon t-shirt.

–    Ben te rhabille pas mon vieux ! Parce que maintenant c’est toilette pour tout le monde. Et on n’a pas le temps de refaire du feu pour chauffer de l’eau cette fois-ci. Donc tout le monde dehors à la source ! Ca devrait calmer un peu ta trique ! Tu risques de te faire mal sinon avec un ton engin ! Allez allez, tout le monde debout ! Vu nos activités nocturnes pas question de repartir sans une vraie toilette intime, mon gars.

–    Oh la la, pitié, quel adjudant ! Je savais pas que tu bossais dans un hôpital militaire

Je me lève donc et nous voilà tous deux dehors, entièrement nus et grelottants, nous dirigeant au pas de course vers la source. Heureusement le ciel est totalement dégagé et le soleil a déjà dépassé les sommets et nous bombarde de ses rayons, il fait moins froid que je ne pensais. Mais l’eau est glacée. Cécile commence à se laver. Après l’avoir mouillé et savonné, elle laisse un peu son gant entre ses cuisses pour le réchauffer un peu, puis commence à se laver le buste, le dos. Je lui propose de lui passer le gant dans le dos, elle accepte. Je descends sur tout son dos, puis je m’aventure sur ses fesses et dans sa raie Elle me laisse faire. Elle se penche en avant et me dit :

–     Ben vas-y maintenant, continue, tu es mieux placé que moi. Il faut bien nettoyer tes dégâts de tout à l’heure mon petit cochon !

J’introduis donc le gant dans son petit trou, je nettoie soigneusement. Elle me reprend le gant et le rince. Je recommence et nettoie sa fente, en m’attardant plus qu’il ne faudrait Mais Cécile finit par se relever, elle me reprend le gant et finit de se laver le bas du corps et de se rincer. Pendant ce temps j’entreprends moi aussi ma toilette. Mon sexe est toujours à demi bandé. Alors que j’approche de la fin, Cécile qui a terminé et s’est rhabillée se tourne vers moi et me dit : « attends, je vais t’aider moi aussi ». Elle me prend le gant et se dirige immédiatement vers ma queue. Elle décalotte mon gland, le nettoie soigneusement, puis astique ma verge, descend sur mes bourses, remonte entre mes fesses

–    Mais je vois que ton brave petit soldat est toujours au garde à vous ! Il va falloir qu’il se calme, quand même ! Attends, j’ai une solution.

Cécile s’agenouille devant moi et approche son visage de mon entrejambe. Elle saisit mon sexe d’une main et commence à le lécher tout du long elle descend sur mes bourses, qu’elle finit par gober dans sa bouche tandis que sa main astique mon manche. Puis elle remonte et avale ma bite toute entière sa langue tourne autour de mon gland puis elle commence un va-et-vient de plus en plus rapide sur ma queue. Avec un tel savoir-faire, je ne mets pas longtemps à sentir monter l’orgasme. Je jouis très vite, Cécile me garde dans sa bouche tout au long de mes deux ou trois secousses, mais il n’y a pratiquement pas de sperme j’ai déjà tout donné cette nuit ! Puis elle nettoie soigneusement mon gland de sa langue.

–    Eh ben voilà ! Il est tout propre ! Je pense qu’il va se calmer un peu maintenant ton engin. Mais tu avais raison, tu es presque à sec ! Au boulot les grelots !

dit-elle en secouant gentiment mes couilles d’une main.

–    Allez, rhabille-toi, il ne faut pas que tu prennes froid, j’ai encore besoin de tout ça ! Pour le petit dej ça te va si on contente du reste de café des thermos et de barres de céréales ? Pas le temps de faire du feu pour re-remplir des thermos, tant pis, on boira froid jusqu’à ce soir.

–    Oui oui, il faut qu’on trace.

20 minutes plus tard nous voilà repartis. Il faudrait faire près de 20 kms pour ne pas trop en laisser pour demain. Il y a encore un col à passer, 600 m de dénivelé ce matin, puis on descend sur 900 et on devrait bivouaquer près d’un lac. Ensuite, demain ce sera surtout de la descente jusqu’à Cauterets.

On monte. Le sentier est très caillouteux, étroit, c’est du sérieux. Personne ne dit rien, on s’est renfermés dans nos bulles de marcheurs, on profite de l’effort, de l’air vif, des points de vue sublimes sur les sommets enneigés et les lacs de la vallée. Nos ébats de cette nuit et de ce matin ont laissé quelques traces j’ai l’impression qu’on est tous les deux moins alertes. Mais on avance bien quand même. Heureusement en cette saison on n’est pas trop pénalisés par un départ tardif, il n’y aura pas encore de grosse chaleur. A midi et demie, mission accomplie, on a atteint le col. On a vraiment bien assuré, et normalement ça devrait le faire pour cet après-midi. On pose nos sacs, on va manger là. Cécile a l’air soulagée.

–    Bravo mon Jeannot. T’as bien assuré. Mais j’espère que tu ne t’es pas trop fatigué, la descente c’est pire.

–    Non non, t’inquiète, un gamin de 18 ans c’est plein d’énergie et ça a encore de bons genoux

Je dis cela en m’approchant d’elle par derrière. Je l’enlace autour de la taille et dépose un tendre baiser dans son cou. Elle se raidit un peu.

–    Jeannot.

–    Tu es belle ma Cécile

–    Tu es fou

–    Toi aussi

–    Oui, on est des grands malades.

Je recommence à l’embrasser dans le cou. Elle finit par se laisser aller et se love dans mes bras, sa joue contre la mienne. Nous restons ainsi un long moment à regarder la vue magnifique sur la chaîne des Pyrénées. Puis Cécile se retourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues fusionnent. Je la serre de plus en plus fort dans mes bras puis mes mains glissent vers ses fesses. Je pétris à nouveau ses miches Cécile soupire. Ses mains me griffent le dos à travers le t-shirt.

–    Tu me rends dingue mon Jeannot Mais on ne peut pas continuer comme ça ici. Il y a quand même un peu de passage, même hors vacances

Effectivement, on aperçoit plus bas sur le sentier un groupe de 4 randonneurs qui montent vers nous. Ils seront là d’ici moins d’une demie-heure. Et peut-être y en a-t-il d’autres derrière nous. Nous nous séparons à regret pour préparer le pique-nique. Saucisson, soupe froide, pain noir, fromage. Pas top. On fera mieux ce soir. Le groupe de randonneurs nous rejoint et s’arrête lui aussi au col pour manger, à quelques mètres. Après ¾ d’heure de pause, nous reprenons notre marche.

La descente est éreintante. Vers 16 heures, nous passons près d’un premier lac. Je m’affale dans l’herbe, un peu à l’écart du chemin. Cécile reste debout près de moi.

–    C’est pas encore là qu’on doit s’arrêter mon Jeannot.

–    Je sais. Mais on peut quand même se reposer un peu et profiter de la vue, non ?

–    Oui oui, et on peut manger un truc avant de repartir. Mais je te préviens juste qu’il ne faudrait pas trop te relâcher ni trop tarder15 minutes ?

–    OK. Pas de problème. Mais viens près de moi.

Cécile s’allonge près de moi. Nous retirons tous les deux nos chaussures. Nous sommes tournés l’un vers l’autre. Je la regarde intensément. Elle me sourit. Elle est tellement belle Nos bouches ne tardent pas à se rencontrer à nouveau Mes mains courent bientôt sur son buste je passe sous son t-shirt, remonte sur ses deux magnifiques pommes, que je dégage de leur prison de tissu armé Je joue avec ses tétons, pétris ses mamelons, tandis que Cécile me caresse tout le torse, le dos, les fesses. Nos jambes s’emmêlent. Ma cuisse rencontre son entrejambe. Nos baisers sont de plus en plus furieux Je sens bientôt Cécile qui ondule son bassin et se frotte doucement contre ma cuisse Mon sexe est bandé à mort dans mon pantalon Cécile le sent et elle y frotte le creux de sa hanche Les soupirs deviennent presque des gémissements Elle se serre et se frotte contre moi de plus en plus fort, puis sa main glisse dans mon pantalon, saisit mon sexe et mes testicules Je n’en peux plus, je lui enlève violemment son t-shirt, son soutien-gorge. Elle se jette sur moi, se met à califourchon sur mon ventre et entreprend de m’enlever mon pantalon et mon caleçon. Elle se déshabille entièrement et revient sur mon ventre. Ma queue est entre ses jambes, le long de sa fente que je sens déjà bien humide. Elle reprend ses mouvements de bassin sur ma bite Je pétris ses seins Elle se penche vers moi, nous nous embrassons furieusement tandis qu’elle continue de me branler avec sa chatte. Ses grandes lèvres se sont ouvertes et ma verge s’enfonce de tout son long dans cette faille. Mon gland rencontre son clitoris elle gémit de plus en plus fort à chaque passage sur son bouton, elle recommence sans fin Enfin, elle guide mon sexe vers l’entrée de son vagin. Toujours à califourchon sur mon ventre, c’est elle qui dirige les opérations Elle commence à aller et venir, recherche en inclinant son bassin le point qui la fait frémir Je l’embrasse, pelote ses seins, son dos, ses fesses quand elles sont accessibles Elle gémit, elle crie, je sens moi aussi le plaisir monter non, non, pas déjà, non Mais j’ai l’impression qu’elle aussi l’a senti. Elle arrête soudain ses mouvements et se couche sur moi, mon sexe toujours en elle. Elle me susurre dans l’oreille des mots que je comprends à peine Elle m’embrasse dans le cou, me caresse la joue, les cheveux. Enfin, elle se redresse et recommence à s’empaler sur mon sexe, qui s’est un peu détendu. Cette fois, l’orgasme est plus lent à venir pour moi. Elle recherche pleinement son plaisir, enfonce ma bite tout au fond de son vagin, labourant sans fin la paroi arrière, ses fesses s’écrasent sur mes couilles, j’ai à nouveau mes mains sur ses seins généreux, ses hanches, le haut de ses fesses Elle crie, crie, se tend se tend s’immobilise, en extase mais je n’ai toujours pas éjaculé Après quelques secondes, elle reprend son manège puis s’arrête.

–    Prends-moi dans le cul mon Jeannot ! Je veux encore ta bite dans mon cul ! Encore ! Viens. Enfonce-moi ta queue dans mon trou !

Elle s’est retournée, penchée en avant, elle m’offre ses fesses écartées, son petit trou prêt à m’accueillir Je saisis son postérieur. Pendant que d’un doigt je commence à élargir l’anneau de son trou, de ma main libre je lui donne une petite claque sur ses fesses sublimes. C’était trop tentant A mon grand étonnement, elle gémit, puis elle chuchotte « oui, fesse-moi encore. ». Je recommence, à chaque fois elle crie son plaisir de plus en plus fort Enfin, je commence à enfoncer mon gland dans son trou étroit. L’entrée est plus facile que ce matin. Je suis bientôt entièrement à l’intérieur, je commence à la limer, de plus en plus violemment Mes hanches lui défoncent les fesses, elle crie, elle crie cette fois je sens le plaisir monter violemment. Je me penche sur elle pour l’attraper par les cheveux, elle se relève, je lui saisis les seins à deux mains, je la serre contre moi, et j’éjacule dans son cul sublime elle se tend et hurle en même temps que moi

Nous nous affalons à nouveau dans l’herbe, où nous restons silencieux l’un près de l’autre.

Après quelques minutes, Cécile se lève. Elle va chercher sa trousse de toilette dans son sac, et s’approche du lac. Accroupie sur une pierre, elle lave son intimité. Puis elle se relève et se tourne vers moi. Elle est nue, en pleine nature, dans la lumière de l’après-midi elle me sourit. Elle se retourne vers le lac, lève la tête vers le ciel, profite des rayons du soleil sur sa peau de lait Absolument sublime ! Je suis totalement dingue de cette fille je me fous bien qu’elle soit ma cousine ! Mais j’entends des voix derrière moi Merde ! Il y a des gens sur le chemin. Là où je suis ils ne peuvent pas me voir s’ils ne s’avancent pas vers le lac, mais elle, c’est sûr qu’ils la voient ! Je me dépêche de passer mon caleçon. Cécile tourne la tête, elle a dû entendre les voix elle aussi. Elle regarde le chemin, sourit, et regarde à nouveau vers le lac. Elle ne bouge pas. Elle se fout que les randonneurs la voient nue elle reste là, parfaitement détendue, Vénus au bord de l’eau, jouissant des regards sur son corps de déesse… Les voix s’éloignent.

La voilà qui revient vers moi, et se rhabille.

–    Allez mon Jeannot. Il faut qu’on y aille. On a perdu assez de temps

Voyant mon air incrédule, elle se penche vers moi et me dit :

–    Oui ils m’ont vue mais c’était trop tard si j’étais revenue vers toi ils auraient eu une vue encore plus saisissante ! C’était un groupe de 5 randonneurs assez âgés, dont deux couples je pense. Ils étaient plus gênés que moi et ne se sont pas attardés ! Mais de toute façon je m’en fous. J’étais tellement bien, nue dans le soleil. Grâce à toi, je me sentais belle je sentais ton regard sur moi Et ne t’inquiète pas pour ce qui s’est passé je veux dire, juste avant je ne regrette rien. C’était magique ! Tu m’as fait jouir deux fois… très très très fort. J’adore ta queue fougueuse ! – Surtout quand tu la glisses entre mes fesses, ajoute-t-elle en chuchotant.

Et tes deux jolies petites couilles ont bien travaillé depuis ce matin ! Tu n’étais déjà plus à sec, elles sont en pleine forme ! Quel bel âge 18 ans ! Mais là tu devrais quand même aller laver un peu tes beaux outils avant de te rhabiller ! Ah ces ados, faut toujours leur rappeler l’hygiène

–    Oui maman

–    Oh ben j’espère que tu ne fais pas la même chose avec ta mère !

–    

Elle a toujours le dernier mot cette coquine ! Il faut que je m’entraîne pour lui clouer le bec ! En attendant, je m’exécute. Dix minutes plus tard, une barre de céréale en bouche, nous voilà repartis. Il va falloir encore cravacher

Un peu plus loin, nous croisons le groupe de cinq randonneurs assis au bord du lac. Nous échangeons des saluts comme si de rien n’était, mais l’un des hommes ne peut s’empêcher de regarder longuement ma Cécile et se fait aussitôt foudroyer du regard par sa femme ! Il rougit et baisse la tête, penaud. A peine éloignés, nous éclatons de rire !

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