C?est une histoire qui s?est déroulée durant l?été 2004 que je vais conter, mais Nadette, ma femme, n?en est pas la co-héroïne. A dire vrai elle ne sait rien de cette aventure, qui est la première entorse à ma fidélité depuis que j?ai le bonheur que nous nous soyons rencontré en 1988 et que nous nous aimions.
Nous avions invité le frère aîné de Nadette et sa famille à passer quelques jours dans notre maison de campagne. J?ai proposé d?aller faire une randonnée dans une forêt voisine. Mais tout le monde s?est défilé, même Nadette qui pourtant est une accro de la randonnée. Seule S âgée de 25 ans, la nièce aînée de Nadette était partante.
Le lendemain matin nous nous mîmes en route de bon matin pour bénéficier d?un peu de fraîcheur. Après avoir marché une petite quinzaine de kilomètres, nous arrêtâmes dans une clairière pour déjeuner. En dessert S voulut aller cueillir des mûres. Elle perdit l?équilibre, tomba assise sur un tronc d?arbre, puis glissa à terre. Dieu merci rien de cassé, mais elle était court vêtue et rien n?avait protégé son postérieur. Et si ce dernier n?avait pas de blessure, par contre il avait récolté bon nombre d?épines et d?échardes lors de la chute. S ne pouvait les retirer elle même. Je la voyais mal faire les quinze kilomètres jusqu?à la maison avec les fesses transformées en pelote d?épingle, cela n?aide pas à marcher. Aussi lui ai-je proposé de les retirer. Elle accepta immédiatement (plus tard elle me dit quelle n?avait pas osé le demander elle-même).
Nous sommes retournés dans la clairière. Elle s?est mie à genou la tête dans les mains. J?ai sorti la pince à épiler de mon couteau suisse, relevé sa courte jupe, baissé le plus délicatement possible sa culotte et me suis mis au travail. Après chaque petite zone débarrassée de ses épines, je passais un petit coton imbibé de désinfectant, bien que cela n?eût pas saigné.
Pris par ce que je faisais, je ne me rendais pas compte du côté un peu surréaliste de la situation. Ce n?est qu?une trentaine d?échardes et 10 minutes plus tard que je réalisais. S était là, devant moi, à genou, les fesses à l?air tendues vers moi. Cela me déclencha une solide érection. Je me contrôlais et me forçais à dire :
— ? Je crois que j?ai retiré toutes les échardes . ?
Mais je ne pus m?empêcher d?ajouter après un temps :
— ? A moins qu?il n?y en ait qui se cache parmi tes poils. Bien qu?ayant vu qu?il n?y eût aucune écharde qui approcha de ce secteur. ?
— ? Autant vérifier maintenant, ? me répondit S.
Je me mis donc ? au travail ?, mes doigts parcouraient le secteur, écartant doucement les poils. S ne bronchait pas bien que ? l?examen ? se prolongea. Je finis d?un doigt par effleurer sa fente tout du long disant à regret mais d?une manière volontairement ambiguë :
— ? ?à devrait aller, mais je peux regarder plus à fond si tu veux. ?
— ? Qu?on en parle plus, ? commença S. Mon coeur serra. Mais après un temps :
— ? Finissons ce qui est commencé. Va-s?y à fond ?, dit-elle reprenant mon terme équivoque.
Je ne me le suis pas fait dire deux fois, bien qu?avec la crainte d?un redoutable malentendu. Je me lançais à l?assaut de sa féminité. D?une main j?écartais doucement ses lèvres et passais sur son sexe ainsi entrouvert en appuyant très légèrement le majeur de mon autre main. Je fus rassuré. Non seulement S ne protesta pas, mais mon doigt glissait avec facilité tant elle mouillait déjà. J?ai accentué ma caresse, faisant pénétrer mon doigt un peu plus profondément à chaque passage. Je l?ai redressée pour lui retirer ses vêtements tandis qu?elle faisait de même avec les miens. Je lui embrassais et caressais les seins et remontais vers sa bouche pour échanger un long baiser avant de l?inciter à se mettre à quatre pattes pour lui embrasser les fesses. J?attaquais ensuite à petits coups de langue sa chatte de plus en plus baveuse. Je m?interrompis pour pointer vers son intimité ma queue tendue à faire mal. Je la pénétrais sans difficultés. A chaque coup d?épieu que je lui portais elle émettait un petit grognement. Elle a joui assez rapidement et peu après sentant que j?allais exploser, je me suis retiré pour me répandre sur ses fesses.
Après avoir un peu soufflé en se faisant quelques câlins elle entreprit de me redonner de la raideur par une pipe pleine de conviction. Quand j?eus retrouvé toute ma consistance, je la fis s?empaler sur mon pieu dos à moi. Passant les mains sous ses bras, je lui caressais les seins et faisais doucement rouler ses pointes entre mes doigts. Puis abandonnant sa poitrine, j?allais m?occuper de ses fesses en la faisant se pencher en avant. Je caressais ses globes, mais sans insister, car après les échardes cela pouvait ne pas être agréable, l?intérieur de ses cuisses, ses lèvres qui enserraient ma queue. Puis je me risquais à titiller sa pastille avec mon pouce en prenant de la mouille à la source. Cela ne déclencha pas de protestation. J?accentuais donc ma caresse, faisant pénétrer la première phalange dans son petit trou, en imprimant un mouvement circulaire de plus en plus ample. Mon regard passa alors par hasard sur les reliefs de notre repas et j?aperçus une banane ? gouverneur ? (un peu plus petite que les bananes normales) que nous n?avions pas mangée. Je tendais la main et réussis à l?attraper et à faire couler dessus le reste de l?huile d?olive que nous avions emmenée pour assaisonner les crudités. Je retirais mon pouce, le remplaçais par la banane et la poussais délicatement. S fut surprise.
— ? Non pas ça ?, dit-elle en tournant la tête pour me regarder. J?arrêtais, mais sans retirer ce qui était déjà engager.
— Moi : ? Cela te fais mal ?.
— S : ? Non, mais je n?aime pas ?.
— Moi : ? Pourquoi ?.
— S : ? Parce que ça fait mal ?.
— Moi : ? Mais tu viens de me dire que cela ne te faisais pas mal ?.
— S : ? Oui mais quand mon copain a voulu essayer, j?ai eu l?impression que l?on brûlait au fer rouge ?.
J?avais déjà rencontré le copain qui m?avais paru plutôt lourdaud. Cela m?avais même étonné que S puisse s?entendre avec lui, mais bon chacun voit midi à sa porte. Je pensais donc que le copain n?avait dû donner dans la délicatesse.
— Moi : ? Ca ne te brûle pas maintenant ?.
— S : ? Non ?.
— Moi : ? Ecoute, si ça ne brûle pas, pourquoi n?essayes-tu pas de continuer encore un peu ? Si tu de décontractes et oublies ce qui a pu se passer avant, ça devrait aller ?.
— S : ? Ca fait vraiment mal tu sais ?. Je lui fis mon plus beau sourire. Heu… Mais si tu croies… ?.
Sans rien ajouter je la fis se pencher en avant et le plus doucement possible commençais à faire aller, venir et tourner la banane, tout en pistonnant sa chatte. Après un petit moment je retirais la banane et la fis se redresser, ma queue quitta sa chatte. S poussa un petit soupir.
— Moi en me redressant : ? On va changer de position, j?en ai un peu assez d?être allongé sur le dos… Et ton petit cul il ne te brûle pas ? ?
— S : ? Non, il ne me brûle pas et pourtant il est en feu ?.
— Moi : ? Il faut éteindre ce feu, je crois que j?ai une lance à incendie qui devrait être efficace… Aller, met-toi à quatre pattes, bien cambrer ?.
Ce qu?elle fit sans se faire prier. Je m?agenouillais derrière elle. Je passais ma verge le long de sa chatte, y faisant une petite visite, quelques aller et retour. En même temps, je versait l?huile d?olive qui restait sur la raie de ses fesses et massais avec sa pastille. Quand celle-ci commença d?être dilatée, j?y ajustais mon gland et commençais de pousser. S se raidit un peu.
— S : ? Hou ! C?est plus gros que la banane ?.
— Moi : ? Décontracte-toi au maximum, il faut laisser le pompier rentrer ?.
Elle s?appliqua à se détendre et je sentis ses muscles se relâcher. Je repris précautionneusement ma progression. S haletait légèrement. J?entrais millimètre par millimètre et finis par être fiché en elle jusqu?à la garde, mon ventre touchait ses fesses. Je reculais ensuite tout aussi lentement. Lorsque mon gland fut presque sorti je rentrais de nouveau à peine plus rapidement que la première fois, pour ressortir après que mon ventre eut touché de nouveau ses fesses. Je continuais ce va et viens, un peu plus rapidement à chaque fois. Au début S était restée passive, mais après quelques temps elle vint au devant de mes pénétrations. Je sentis que j?aillais exploser si je continuais à ce rythme, maintenant assez soutenu. Aussi demandais-je à S de changer de position. Nous nous laissâmes tomber sur le côté. Nos corps formaient presque un X. S passa une jambe au dessus de moi. Cette position me permettait de lui caresser le sexe et le clito tout en continuant à l?enculer. Après moins de cinq minutes de ce traitement S émis un son qui tenait à la fois du feulement du tigre et du rugissement du lion. Son corps fut secoué de frissons et se détendit. Je continuais mon va et viens pour jouir moi aussi et me répandais bientôt dans sa porte étroite. Ma queue sortit doucement de ses fesses.
Nous procédâmes à une petite toilette avec le reste d?eau des gourdes qui put être heureusement complétée par quelques ablutions coquines lorsque notre chemin de retour croisa un petit ruisseau. Nous avions les jambes un peu molles pour revenir jusqu?à la maison.
Bernard