Ça faisait bien 15 jours que Fernand senvoyait sa voisine à labri des regards. Il séclatait comme un petit fou. Elle, un peu moins. Cependant, plus ça allait, plus elle le supportait voir même commençait à apprécier son coté brutal. Faut dire quentre un mari qui la touche à peine et un ex amant qui finalement nétant pas très performant, elle découvrait physiquement de nouvelles sensations. Toutefois, elle qui était très bling bling, se voyait obliger de subir ce type à lallure trop prolétaire à son gout. Et à lodeur aussi.
Alors quil venait de la tringler sur la peau de bête devant sa cheminée, et quil était en train de se rhabiller, il posa une question à sa partenaire resté prostrée, allongée sur le ventre, à cause de la douloureuse sodomie quelle venait de subir.
— Dis-moi, ton mari il est banquier ?
— Oui pourquoi ?
— Ça te dirait pas de me le présenter ?
— Pourquoi donc ?
— Jaurais ptet un truc à lui proposer.
— Tu vas lenculer lui aussi ?
— Non mais ça va pas la tête ? Non jai une proposition quil devrait apprécier. On pourrait faire ça au cours dun dîner ?
— Ok. Je ne sais pas ce que tu mijotes mais si tu lui montres la vidéo
— Ten fais pas. Si je lui montre la vidéo je sais que tu ne viendras plus me voir. Et ça jle veux pas. Jai encore envie de mamuser. Non tinquiètes pas ça na rien à voir.
— Ok on peut faire ça samedi soir mais je te préviens mon mec naime pas ça.
— Ten fait pas. Cette fois ci, il va apprécier.
Le Samedi arriva, pour faire classe, Fernand avait sorti son beau costume Armani, Une chemise rose pâle, dont il avait laissé les 2 1er boutons du col ouverts, une belle tocante en or, à son autre main une grosse gourmette en Or massif ainsi quune chevalière sur laquelle il avait fait gravé ses initiales. Une fois lavé, parfumé, coiffé, et rasé de près, on ne le reconnaissait plus. Cétait un autre homme. Ça change de son style habituel : salopette tachée, mal rasé, à peine coiffé et sentant la sueur du gars qui travail de ses mains. Il avait prévu de venir avec un gros bouquet de rose pour madame et une bonne bouteille de Dom Pérignon pour monsieur.
Il sonna à la porte et cest la bonne qui lui a ouvert. Elle lavait reconnu et la de suite remercié. Elle ne savait pas pourquoi ni ce quil avait bien pu faire mais madame avait plus de sympathie pour elle depuis 15 jours, plus de considération ; Contrairement à son homme. Cette femme est une femme bien. Elle mérite le respect et du coup il lui avait proposé, quand son contrat sera fini, si elle voulait venir à son service. Elle a dit quelle y réfléchirait. Pendant ce temps, Léa arriva dans sa belle robe du soir.
— Ça va aller Mathilda, merci. Retournez en cuisine. Bonjour monsieur. Est-ce que je peux vous .. Fernand, cest toi ?
— Bah qui veux tu que ce soit dautre.
— Tas perdu un pari ? il test arrivé quelque chose ?
— Quoi ? il a un problème mon costard ? Il a une tache ?
— Non rien de tout ça mais je te reconnais à peine.
— Bah jallais pas venir en salopette et pas rasé non plus.
— Non bien sur. En tout cas, japprouve le changement.
Fernand eu droit à des présentations officielles mais le maître des lieux était aussi accueillant quune porte de prison.
— Bonjour monsieur ! on ne se connait pas je suis votre voisin den face.
— Bjour.
— Je ne suis pas venu les mains vides. Tout dabord des fleures pour madame. Et pour vous, une de mes meilleures bouteilles.
— Merci mais je bois rarement. MATHILDA !!! menez notre invité au salon je dois parler à madame.
Visiblement il était passablement énervé par la présence de son voisin. Dans la cuisine le ton montait.
— Mais quest-ce qui tas pris de ramener ce type ici. Regarde-le. On nest pas du même monde.
— Oh ça va. Ce nest jamais que notre voisin. Tu le juges alors que tu ne le connais pas. En plus il ma dit avoir quelque chose à te proposer.
— Tu parles. Je ne vois pas ce quun type dans son genre peut me proposer.
Au salon, Fernand avait tout entendu. Il faut dire que le mari avait la voix qui porte. Mais il allait bientôt changer davis. Mathilda, qui déposait les éléments de lapéritif sur la table basse, lui précisa que les disputes étaient de plus en plus fréquentes. A leur arrivé, Léa offrit à Mathilda sa soirée et le trio se retrouva à prendre lapéro.
— Alors Fernand, que faites vous dans la vie à part « bricoler » ? dit-il dun ton moqueur et méprisant.
— Pas grand-chose en fait. Je gère mon patrimoine depuis que jai gagné à lEuro million. Avant jétais dans le bâtiment : Jétais plombier chauffagiste.
Fernand a bien remarqué que le mari le regardait autrement depuis lannonce de sa fortune. Il avait bien compris que son invité pouvait lui rapporter gros sil le convainquait de placer ses fonds dans sa banque. La manuvre de Fernand était claire : le mettre dans sa poche en prévision de la suite. Ainsi il ne soupçonnerait jamais que son nouveau meilleur client se tape sa femme alors quil est au boulot. De son coté, Léa avait bien entendu les mots « patrimoine » et « euro million ». Toujours aussi vénale, elle y voyait une possibilité de taper dans 2 assiettes à la fois. Mais il y avait son histoire de chantage qui faussait tout et surtout le physique de Fernand qui la révulsait. Quoi que depuis quelle lavait vu beau comme un camion, un petit quart dheure « Pretty Woman » pourrait peut être arrangé les choses.
La conversation entre les 2 hommes a très vite dérivé sur la nouvelle fortune de Fernand.
— Vous dites que vous êtes millionnaire ? Mais vous êtes bien conseillé pour gérer tout ça ?
— En fait je métais dit que vous pourriez maider pour ça.
— Cest possible mais on parle de combien ?
— Je me suis gardé 3 millions pour moi il men reste 50 à placer.
— Ah mon cher Fernand, je viens de décider que vous étiez mon nouveau meilleur ami. Trinquons ! A notre future collaboration.
Et Hop ! Emballé cest pesé ! Il sétait mis le mec dans la poche. De son coté Léa avait limpression de ressembler à un de ces personnage de Tex Avery avec des « $ » dans les yeux. Il venait de faire dune pierre 2 coups. Il avait ferré le mari avec lappât du gain représenté par la juteuse commission quil représentait à ces yeux et la femme aussi qui, du coup, voyait en lui un excellent parti. Toutefois ayant compris quil pouvait devenir la cible de cette mante religieuse, Fernand la regarda en lui faisant un petit « non » discret de la tête. Se qui la coupa nette dans son élan.
Une fois à table, les 2 se mirent à discuter comme des larrons en foire. Le mari somma Fernand de lappeler par son prénom : Fred. Et se mirent à boire comme des trous se vidant à eux 2 la bouteille que Fernand avait apportée. Ils buvaient, enfin Fred buvait beaucoup, Fernand lui moins. Ce qui fait quil a fini rond comme un boudin à la fin du repas ; à rire sur tout et nimporte quoi. Au moment du digestif, Léa, qui se sentait délaissé par ces messieurs est allé chercher une autre bouteille. Quand elle est revenue avec, Fred ronflait ; plus rien à en tirer.
— Ah bah bravo, le voila qui dors maintenant.
— Attend je vais le mettre au lit. Dis Fernand en le mettant sur son dos.
Il monta les escaliers avec ce type qui lui ronflait dans les oreilles et le jeta sur le lit de la chambre.
— Il avait raison quand il disait quil ne buvait pas. Il tient vraiment pas lalcool.
— Oui à chaque fois quil boit cest pareil.
— Dit donc, comme on est dans ta chambre, on pourrait profiter du lit conjugal?
— Ça ne va pas non ? il dort à coté.
— Ten fais pas va. Avec ce quil a bu et ce que jai mis dans son verre durant le repas il va ronfler jusquà midi. Aller laisse toi faire. Lui dit-il en la plaquant contre lui une main aux fesses juste avant de lui rouler une bonne galoche.
— MMMmmmhh ! Pouah tu sens le pinard toi aussi.
— Oh eh dis donc tu va pas faire la difficile.
— Ce nest pas ça mais je préfère quand tu sens bon avec lhaleine fraiche.
— Ah bah si cest que ça
Là il sorti un paquet de pastille de menthe forte et alors quil en mâchait une, il guida la bouche de Léa au niveau de sa braguette. Elle lui a baissé son froc et se mit à le sucer violement.
— Ah bah cest bien tu sais ce que jaime. Tas retenu la leçon. Aller cest bon allonge toi sur le lit
— Mais il y a Fred et il prend de la place.
— Ten fait pas on va le pousser.
Après lavoir poussé sur le coté et sêtre déshabillé, les 2 amants ce sont allongés : Fernand en dessous et Léa au dessus. Fernand fut surpris par cette initiative.
— Et ben dit donc Cest la 1ère fois que tu montres autant dentrain à me chevaucher. Dhabitude chui presque obliger de ty forcer. Tu fais ça pour pas que je te balance ?
— Je ne sais pas je dois my habituer.
— Bah écoute ne change rien surtout.
Léa gratifia Fernand de son plus beau déhanché. Lui était également ravi du joli spectacle des seins de Léa qui se balançaient devant ses yeux. Du coup il na pas pu sempêcher de les prendre à pleine main. Quelques minutes plus tard, il na pu résister à la tentation du contact de ces jolies fesses. Il la alors retourné, allongé sur le ventre et écarté les 2 globes fessiers avant de lenculer comme il en avait lhabitude.
— Eh Fred, tas vu comment faut faire avec ta femme ? Regarde-moi bien et prends-en de la graine. Dit-il à son voisin qui ronflait comme le gros général allemand dans la grande vadrouille, dans le lit avec Louis de Funès (un classique à voir absolument).
— Cest vrai que tu ty prends mieux que lui. Même si tu me fais encore mal.
— Un cul cest comme une paire de chaussure. Faut le mettre pour qu’il se fasse.
Fernand a fini par jouir entre les fesses de Léa et est parti ensuite se doucher, puis shabiller. Quand il est revenu Léa sessuyait lanus pour y retirer les traces de sperme qui coulaient sur ses cuisses.
— Bon tu diras à Fred de passer chez moi pour quon finisse notre conversation.
— OK, je lui dirais. Euh je peux te poser une question ?
— Va z y
— Pourquoi à chaque fois que je viens te voir tes aussi négligé alors que ce soir tétais impeccable ?
— Bah parce que jvais pas jardiner ou bricoler en costard.
— Y a pas que ça. Tes obligé de sentir la sueur ?
— Si tu me disais où tu veux en venir ?
— Si je te dis que je viens à telle heure. Tu ne peux pas prendre 5 minutes avant pour prendre ne serait-ce quune douche ?
— Cest marrant tu me dis ça comme si ça commençait à te plaire.
— Disons plus tôt que maintenant que je sais que tu peux être potable, si ça peut devenir moins désagréable je ne serais pas contre.
— Si ça peut te faire plaisir
Le lendemain Fred arriva, avec une bonne gueule de bois, chez Fernand.
— Bonjour, cher voisin !
— Salut, alors pas trop dur le réveil ?
— Jai limpression davoir un concert des Gipsy King dans le crâne mais sinon ça va.
— On a pas fini notre conversation hier soir.
— Non cest vrai. Je préférai quon fasse ça lors dun rendez vous à mon bureau.
— Ok pour moi. Ou et quand ?
— Mercredi, à 10h ça vous va ?
— Non, plutôt laprès midi ; disons 15h ?
— OK à mercredi 15h.
Fernand ne pouvait évidement pas accepter le rendez vous à 10h car cest à cette heure là quil avait prévu denculer sa voisine. Il nallait pas se priver de ce petit plaisir non ?
Le jour du rendez vous arriva. Comme à son habitude, le matin, Léa était venu mais Fernand avait oublié de prendre sa douche. Du coup, il linvita à venir se savonner avec lui. Bien sur, il en profita pour lui faire ramasser la savonnette.
A 15h, il se présenta à la banque où Fred lattendait dans le hall pour le mener à son bureau. Cétait son client et il nallait pas laisser qui que se soit lui piquer sa commission. Il avait prévu de tout faire pour le pousser à investir chez eux.
— Asseyez-vous mon cher Fernand. Je vous offre quelque chose à boire ?
— Non merci je ne veux pas finir comme vous samedi dernier.
— Oui veuillez mexcusez pour ça..
Il appuya sur son interphone pour appeler 2 de ses collaboratrices.
— Sarah, Jennifer, vous pouvez venir dans mon bureau sil vous plait ?
La porte souvrit, laissant entrer 2 superbes bombes sexuelles dans le bureau.
— Choisissez mon cher.
— Choisir quoi ?
— Celle qui soccupera de vous durant notre rendez vous.
Cétait surréaliste. Il lui proposait de choisir une de ses collaboratrices pour se faire sucer. Etant un sacré chaud lapin, il ne sest pas fait prier.
— Je choisis, la jolie Jennifer. Celle qui a les plus gros
— Je crois que jai saisis. Jennifer faites votre office.
La jolie Jennifer retira son haut et se plaça, à genou entre les cuisses de Fernand. Elle déboutonna son pantalon et fit sortir la queue toute frétillante de Fernand pour la sucer doucement et lentement.
Alors que Fred lui faisait létalage des placements de son établissement, Fernand, lui, était plus préoccupé par ce quil se passait au dessous de sa ceinture. « Y a pas à dire elle est douée la gamine » pensait-il. Après avoir juté dans la bouche de lassistante, il se reculotta et sa partenaire avait presque fini de se rhabiller quand le grand patron de la banque débarqua à limproviste.
— Bonjour monsieur, Michel Verdier, directeur de lagence .. Mademoiselle veuillez mieux vous couvrir sil vous plait. Ce nest pas une tenue pour travailler sauf pour faire le trottoir.
— Bonjour Fernand Perrault, Je suis là pour
— Je sais qui vous êtes. Fred ma parlé de vous comme notre « nouveau mécène ».
— On peut dire ça comme ça ..
Les 3 hommes sont restés là entre eux à discuter. Lassistante qui avait à peine eu le temps de finir de se rhabiller est sortie pour les laisser seuls. Après cette entrevue, Fernand sorti du bureau avec des dossiers sous le bras accompagné du directeur.
— Bien ! Cher monsieur, jespère que vous serez satisfait de nos placements. Bien sur nous attendons les dossiers signés avant de valider tout ça.
— Oui je ferais en sorte de les compléter le plus vite possible.. Dites-moi, tant que nous sommes seul Cétait quoi cette remarque sur la ravissante assistante de Fred ?
— Notre banque nest pas un lupanar. Jai eu peur quelle utilise ses charmes pour vous influencer. Je ne veux aucun scandale de ce genre dans mon établissement.
— Je vous rassure elle na pris aucune initiative dans ce sens (cest sur car cest Fred qui le lui a demandé). Ceci dit, de vous à moi, elle restait jolie à regarder.
— Là-dessus je ne vous contredirais pas ; mais ça nest ni le lieu ni le moment pour penser à ça. Je laurai surpris en pleine action je laurai viré. Même si je doute quelle en prenne linitiative delle-même.
— . Ok . je vois ce que vous voulez dire. Bon en tout cas merci.
— Tenez prenez ma carte au cas où et nhésitez pas.
Fernand sen alla de la banque. Visiblement, le petit traitement spécial dont il avait bénéficié nétait pas autorisé. Une info à garder sous le coude, dautant que les allusions du patron laissaient penser quil soupçonnait Fred de sadonner à des agissements disons peu recommandables.