Nous étions en route pour la boite de nuit, main dans la main.
Julie était particulièrement sexy ce soir-là avec une robe moulante rose décolletée qui mettait en valeur ses seins et surtout ses fesses rebondies. Rien que sur le court chemin pour aller vers la boite, j’ai pu constater combien elle faisait tourner les têtes sur son chemin. Nous étions arrivé devant la boite vers minuit et il y avait un petit début de queue. Julie voyait que je n’étais pas dans mon assiette
— Qu’est ce qui va pas mon chéri?
— Je sais pas, j’ai pas trop la tête à m’amuser..
— Tu peux rentrer te coucher si tu veux.
Elle ne se proposait pas de rentrer avec moi…
— Nan ça ira mieux quand j’aurais un peu bu.
— Ah ah t’as raison. Amusons nous ça fait longtemps qu’on a pas pris de vacances. Il faut qu’on s’éclate.
— Mouais, bredouilais-je
On arrivait devant le videur.
— On vient de la part de Driss, lança fièrement ma copine, comme si il était son héros.
Le videur rigola doucement en caressant les cheveux de Julie :
— Ha ha je vois qu’il y en a qui vont bien s’amuser hein?
Julie rigola un peu.
— Allez-y les jeunes.
Il accompagna Julie de la main en la posant sur sa hanche, à la limite de ses fesses. Je ne releva pas. De toutes façons qu’est ce que j’aurais pu faire…
La boite était assez rempli, avec une humeur festive, propre aux Africains, mais mélangées avec quelques blancs venus en touriste. Driss nous repéra immédiatement et vint vers nous. Il claqua la bise à Julie mais me regarda à peine.
— Je suis content que vous soyez venus! Vous allez voir il ya une super ambiance ici.
— Ca a l’air, répondit Julie
— Venez vous assoir avec nous.
On s’installa sur un canapé circulaire assez confortable autour d’une table basse rempli de bouteilles et de verre. Immédiatement, Driss fit boire Julie et commença son show oral. Les blagues, anecdotes, petites histoires fusaient dans tous les sens, comme les shots de vodka, et Julie appréciait tout, l’alcool aidant.
Je commençais à être moi-même éméché mais heureusement j’étais juste à côté de Julie alors que Driss était en face, ce qui me permettait de garder un contrôle sur la situation. Jusqu’à que Driss balance la phrase fatidique :
— Bon on va danser?
Julie saisit sa main qu’il avait tendu vers elle et le suivit sur la piste de danse. Je les avais immédiatement suivi également pour ne pas laisser Julie aux mains de ce black musclé qui avait surement une bite énorme et qui n’avait qu’une seule envie : défoncer ma chérie par tous les trous…
On commençait à danser au milieu de la foule. Dans un premier temps, Julie dansait à côté de moi. Je la tenais contre mon corps, l’embrassait un peu pour bien montrer à mon concurrent qu’elle était à moi. Mais Driss était évidemment un super danseur, contrairement à moi. Il réussit à se glisser derrière elle et profitant de la foule pressante, se colla à ma Julie qui se laissa faire. Driss plaça sa main black sur le ventre de ma copine et la plaqua encore plus contre lui. Ils dansaient maintenant fesses contre pénis. Julie était endiablée et tortillait du cul comme jamais, en passant la main dans ses cheveux. Driss semblait apprécier le traitement.
Soudain, Julie fut toute étonnée et retourna sa tête vers Driss pour le regarder dans les yeux. Elle venait de sentir l’énorme bite black qui était collé contre ses fesses et qui ne cessait de grandir sous l’effet de l’excitation. A peine en demi molle, elle était bien plus longue et épaisse que la mienne à pleine érection. Driss lui lançait un sourire qui montrait sa fierté d’être aussi bien équipé. Julie sourit franchement aussi mais se décolla de lui pour maintenant danser face à lui. Je restais là, à un mètre d’eux, à danser tout seul, alors que ma copine dansait collé-serré avec un inconnu rencontré il y avait à peine 12h…
Driss avait maintenant posé sans aucune gêne une de ses mains sur le derrière de Julie, que la robe mettait parfaitement en valeur. Il pelotait largement ses fesses, l’une après l’autre, avec sa grosse main black. J’étais juste derrière et je voyais ce spectacle sans rien pouvoir faire. Je n’allais pas péter un scandale pour une main au cul dans une boite de nuit, au risque de me faire péter la gueule par Driss et ses potes.
Driss me regarda droit dans les yeux. Julie était dans ses bras, dos à moi. Il plaça ses deux mains sur ses fesses et les pelota sans aucune pudeur. Julie continuait de danser comme si de rien n’était. Elle m’avait totalement oublié… Driss me fixait et me fit comprendre que maintenant ses fesses lui appartenaient. Ils les avaient prises et c’était maintenant son territoire. De toutes façons Julie m’avait juré que jamais elle ne se ferait sodomiser, que ça l’attirait absolument pas, alors j’étais tranquille de ce côté. Il pouvait bien les palper, ça n’irait pas plus loin.
Une dizaine de minutes plus tard qui m’avaient paru une éternité, ils décidèrent d’aller se rassoir pour boire un autre verre. Driss emmenait Julie par la main jusqu’à la table de ses amis. Je suivais comme un mouton derrière eux. Il n’y avait presque plus de place assises. Driss s’assit et invita Julie à s’assoir sur ses genoux, vu que les chaises étaient rare à ce stade de la soirée. Sans trop hésiter elle s’exécuta en se jetant à moitié sur lui. Ses fesses allèrent se poser sur l’entrejambe de Driss qui ne devait pas rester insensible.
De mon côté, je me retrouvais debout comme un con, ce qui eut pour résultat que tous les amis de Driss me passèrent commande pour que j’aille chercher des boissons au bar. A contre coeur je m’executais alors que Julie, dos à moi, rigolait avec Driss, assise sur sa grosse bite qui grossissait sous son jean. Elle avait passé un bras derrière sa tête tandis que lui avait une main dans le dos de Julie et une autre posée sur sa cuisse, pas très loin de sa chatte humide. Je dus partir en les laissant dans cette position là, ce qui ne me rassurait pas vraiment.
Au bar de loin, j’essayais de suivre ce qui se passait mais tellement de gens me bloquaient la vue. Ma bien aimée semblait bien se marrer en tout cas, elle riait aux éclats. Un moment je crus les voir s’embrasser mais je ne pus en être certain. Je me dépéchais de revenir avec les boissons. Ils avaient toujours la même position, si ce n’est que la main de Driss s’était dangereusement rapproché du sexe de ma copine. Si ça se trouve, il l’avait touché en mon absence. Je tendis son verre à Driss pour qu’il lache la cuisse de ma copine : j’étais devenu en plus son serveur. Mais à ma grande surprise, c’est Julie qui s’empara du verre pour y gouter. Juste devant Driss, elle mit la paille dans sa bouche et commença langoureusement à boire quelques gorgées en le regardant. Je vis la main de Driss disparaître sous la jupe de ma copine. Juste sous mes yeux! Je n’en pouvais plus. Je pris le bras de Julie, ce qui la fit se retourner vers moi. J’allais lui faire une scène mais tout ce qui sortit de ma bouche fut une vieille excuse pour qu’on rentre tous les deux, prétextant un mal de tête et une excursion qui avait lieu demain matin. Je crois que Julie reprit un peu ses esprits à ce moment là et accepta. Elle se leva péniblement, aidé par Driss qui la soutenait en tenant ses fesses.
— Je m’en occupe, lui dis-je
— Si t’as besoin d’un coup de main vieux pas de soucis, me dit-il avec un clin d’oeil.
Je ne rétorquas rien et je partis de la boite en tenant Julie par la taille, sous le regard de Driss.