Le lendemain matin, je me réveillais avec un profond malaise, et pourtant une bite bien dressée. Julie dormait toujours à mes côtés. Je lui caressais les cheveux doucement en lui faisant quelques petits bisous dans le cou comme elle aimait. Je commençais à devenir un peu plus entreprenant car on avait toujours pas couché ensemble pendant ses vacances alors que c’était aussi pour ça qu’on était là. Cela maurait aussi permis de ré affirmer mon autorité vis-à-vis de mon concurrent à la peau noire qui envoutait ma copine. Seulement, Julie refusa, prétextant un mal de crâne.
On descendit finalement pour déjeuner vers 14H. La plupart des gens avaient déjà fini et nous nous retrouvions à être peu autour du buffet à volonté de lhôtel. Je quitta à peine quelques secondes Julie des yeux que quand je la revu, il y avait évidemment Driss debout à ses côtés, en train de poliment la servir de crudités. Ils rigolaient déjà ensemble de bon cur. Jalla directement à notre table pour deux, pour bien obliger Driss à aller sassoir autre part. Mais Julie et Driss vinrent à la table pour deux. Julie sassit en face de moi, et Driss tira une chaise dà côté et se plaça juste à côté d’elle.
— On va se serrer, dit-elle
— Ca ne me pose pas de problèmes, dit Driss
Jétais encore battu. Alors que je faisais tout pour déjouer sa drague, je les avais amené à être tout côte à côte lun de lautre. A tel point quil pouvait susurrer dans son oreille, ce qui la fit rire sans que je ne sache ce quil lui avait dit. Jessayais de changer de sujet :
— Et donc Driss tu fais quoi dans la vie ?
— Je suis coach sportif en région parisienne. Mais j’exporte mes dons à l’étranger au Maroc pendant l’été.
Il avait dit ça tout en passant son bras sur la chaise de Julie, comme un couple le ferait.
— Il va me donner des cours particuliers ! se réjouit Julie
— Ah ?
Ma copine venait me dire que le Black qui lavait peloté dans tous les sens la veille allait lui donner des cours particuliers et je navais que ça à dire ?
— Mais bon je ne vois pas ce quil y a modifier dans ce corps déjà parfait, rigola Driss en caressant maintenant doucement ses cheveux.
Cela qui ne semblait pas du tout déranger ma copine, assise pourtant juste en face de moi. Elle continuait à manger comme si de rien nétait. Javais perdu lappétit pour ma part.
— Ca vous tente de faire du quad cet aprem ?
Je tourna immédiatement mon regard vers Julie pour savoir ce qu’elle allait dire. Elle me regarda dans les yeux et haussa les épaules :
— Oui pourquoi pas ça peut être sympa. Mais je n’en ai jamais fait par contre..
— T’inquiètes pas je vais t’apprendre, dit Driss avec un grand sourire, tout en caressant tendrement ses cheveux.
Nous nous trouvions maintenant en bordure du désert, dans une agence de locations de quad. Julie s’était habillée avec un legging noir très moulant qui faisait bien ressortir son fessier parfait, et portait un petit haut blanc sexy. Driss et deux de ses amis nous accompagnaient. Je n’avais jamais vraiment fait de quad mais cela devait plus ou moins ressembler à du karting donc ça devrait aller. Driss tournait toujours autour de Julie malgré le fait que j’essayais de rester au plus près d’elle. 3 quads étaient prêt. Les deux amis de Driss montèrent dessus et me désignèrent le troisième. J’allais protester en disant que j’attendrais que les autres soient prêt mais Driss me poussa vers celui-ci en me disant :
— Pars devant avec mes potes, on vous rejoint. Comme elle ne sait pas en faire je vais aller doucement avec elle. Amuse toi bien.
Je ne trouvais rien à répondre et montait dessus. Je m’éloigna en voyant Driss qui aidait Julie à mettre son casque. Leurs têtes étaient si proche l’une de l’autre…
Je tentais de penser à autre chose et fonçais à travers les dunes avec mon quad, m’amusant comme un fou. Je m’arrêtais pour boire un coup d’eau. Je vis un quad qui se rapprochait de moi. Je finis par me rendre compte que 2 personnes étaient assises dessus, Julie à l’avant et Driss à l’arrière, collé à elle. Il la tenait par les hanches et avait son bassin juste contre le sien. J’étais abasourdi de voir ça.
— Je n’y arrivais pas toute seule ; du coup Driss m’a proposé de monter avec lui.
— Ah.. C’est sympa, répondis-je sans conviction.
— Mais arrête de faire la modeste, tu te débrouille super bien maintenant, dis Driss en lui faisant des yeux de braise.
Ils se regardèrent amoureusement. Je n’osais même pas les déranger alors que je me trouvais à quelques mètres d’eux. Finalement ils furent interrompu par les quads des amis de Driss qui arrivèrent également.
— Il va être l’heure de rentrer on n’a plus beaucoup d’essence, lança un de ses amis
— On rentre à l’agence ou direct à l’hôtel ? Lui demanda Driss
Pendant qu’il discutait avec ses amis, Driss se mit à poser ses mains sur les cuisses de Julie qui les écoutait vaguement. Il caressait doucement ses deux cuisses tout en parlant. Les deux actions étaient totalement dissociées. Toute mon attention était bien sur accaparée par les mains de mon rival qui trainait dangereusement autour du sexe de ma copine. Il finit par carrément poser sa main sur sa chatte. Je m’attendais à ce que Julie réagisse mais pas du tout. Elle ne sembla même pas y prêter attention, ce qui me fit penser que ce n’était pas la première fois du voyage qu’il posait ces mains là. Driss continuait de discuter sur le meilleur lieu où se rendre en fonction de l’heure et de l’essence, tout en faisant de légers mouvements contre la chatte de Julie qui semblait apprécier le traitement, alors que je la regardais, à quelques mètres de là. Elle se mordait la lèvre inférieure de plaisir tout en fermant les yeux. Je n’osais toujours rien dire alors qu’elle se donnait en spectacle devant moi et les amis de Driss.
Il fut finalement décidé d’aller directement à notre hôtel, où l’on pouvait entreposer les quads pour la nuit, car il était plus proche de nous actuellement et que l’on avait plus beaucoup d’essence. Driss demanda si exceptionnellement il pouvait venir dormir dans notre chambre d’hôtel cette nuit. Julie lui répondit que oui, qu’on avait un grand lit de toutes façons. Elle ne me concertait même plus et acceptait de recevoir Driss à dormir chez nous.
— Merci ma chérie, lui dis Driss
— De rien mon amour, dit Julie en rigolant.
— Suivez nous les amoureux, lança en rigolant un des amis de Driss
Les deux partirent devant. J’allais les suivre quand je jeta un regard du côté de Julie et Driss qui se regardaient amoureusement.
— On part, lançais-je en démarrant.
— On arrive, me répondit Julie sans me regarder.
Alors que je démarrais et commençais à m’éloigner, je vis Driss se pencher vers mon amour en ouvrant la bouche. Julie ouvrit la sienne à son tour. Leurs bouches s’unirent dans un baiser langoureux. Julie porta ses mains autour de la tête de Driss, qui lui, collait à fond une de ses mains sur chatte, et l’autre au niveau de son sein gauche. Elle lui appartenait totalement. Sa grosse bite bien dure cognait violemment contre les fesses rebondies de ma chérie. Leurs langues s’entremêlaient, leurs salives se mélangeaient. Je regardais ma copine se faire rouler une bonne grosse pelle par un inconnu il y a encore 3 jours. Cela faisait une bonne dizaine de secondes qu’ils s’embrassaient. Situé à une vingtaine de mètres d’eux, j’allais tout doucement sur mon quad pour attendre qu’ils aient fini pour intervenir. Leur dire d’arrêter les conneries. Que c’était ma copine, et que je refusais d’être cocu. Mais quand leurs lèvres se séparèrent enfin, ils se regardèrent tendrement quelques secondes avant de repartir pour un nouveau baiser encore plus enflammé. C’était indécent. Même moi elle ne m’avait jamais embrassé comme ça. Il la baisait par la bouche sur place quasiment.
Ils ne s’étaient pas aperçu que je les avais vu. Mais je ne pouvais pas dire ou faire grand chose et je décida finalement de partir, de leur laisser ce petit instant d’égarement, mais que je les reprendrais dès qu’on serait arrivé à l’hôtel.