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Relation canine – Chapitre 2

Relation canine - Chapitre 2



Avant de poursuivre ma narration, je me dois dêtre honnête avec vous. La suite de mon histoire est toujours bien réelle mais na pas eu lieu ce jour-là ni dans ce patelin. De plus jétais seul. Mais imaginons que ce soit la suite logique.

Selon les renseignements du garçon de café, nous trouvons facilement lentrée du parc et prenons lallée centrale. Puis apparaît le gros chêne. Nous effectuons encore quelques mètres et nous apercevons le fameux petit sentier.

Là, mon épouse se refuse daller plus loin. Selon elle, il faut être dérangé pour aller voir de telles cochonneries. Elle estime que cest contre nature. Par contre Sonia tient absolument à assister à ce type de relation. Il faut dire quelle est extrêmement émoustillée. Surtout après avoir assisté aux lichettes du chien, et à la jouissance du vieux qui les matait en se masturbant. Pour être honnête, avec Paul, nous étions dans un état similaire. Dailleurs, je nai pas encore complètement débandé depuis. Donc Rosy reste à lentrée du sentier et nous, nous avançons dans le sentier. Nous faisons que cinq ou six mètres et lon débouche sur une très petite clairière entièrement entourée de buissons et dépineux.

— Je crois que le type du café nous a piégés.

— Nous allons avoir lair con quand nous allons passer devant lui pour rejoindre la voiture!

Mais Sonia ne veut pas en rester là. Elle part sur la droite et nous, les hommes, on attend quelle revienne. (Courageux les mecs!). Même pas trente secondes ne se sont écoulées quand elle réapparaît lair dépitée et nous dit quil y a bien une entrée sur une vieille ruine qui pourrait être une ancienne serre mais tout est vide.

— Il y a peut-être dautre pièce?

— Dans le fond, il ma semblé y voire une ouverture de porte. Mais avec le fatras quil y a, je nai pas osé maventurer.

À ce moment là, nous entendons un rire de femme qui provient de derrière le mur. Alors, comme un seul homme tout le monde prend le chemin de Sonia. Cest aussi le moment qua choisi Rosy pour nous rejoindre. Une fois à lintérieur nous napercevons quune ruine encombrée de gravas, de vitres cassées et détalages fracassés. Sonia se dirige direct vers ce qui lui avait semblé une seconde ouverture et nous la suivons tous. Passé cette ancienne porte, nous pilons net. À droite, aligné le long du mur, se trouve trois vieux matelas, sur la gauche deux bains qui sont alignés face à une grande baie, autrefois vitrée. Vu ce qui se trouve autour il ny a pas besoin de dessin. Dailleurs Rosy a parfaitement résumé la situation en sexclamant « Mais cest un baisodrome ici!…

— Oh! Rosy!…

— Et bien quoi?… Ces matelas, ils ne sont pas là pour décorer la pièce, que je sache. Et en plus cela doit se passer sous les yeux « dinvités ».

Le sol est jonché de canettes et pas mal de mouchoirs froissés. Paul et Sonia sassoient et cherchent à savoir pourquoi la présence de ces bains. Brusquement Sonia se met à sauter comme une puce sur son bain et nous montre du doigt lextérieur. Aussitôt je les rejoins mais Rosy sobstine à ne pas assister à ce qui rend Sonia aussi hystérique. De lautre côté, une seconde clairière. Au fond un hêtre, qui doit être centenaire. À ses pieds, une pierre plate surélevée denviron cinquante centimètres.

La jeune femme du café est là, toute nue, assise sur le bord de la pierre. Les fesses presquen dehors et les jambes ouvertes autant quelle le peut. Le chien la lèche depuis lanus jusquau-delà de la vulve. De notre place nous distinguons parfaitement tous les détails. Debout derrière elle le type le sexe raide en train de se caresser. Il est au bord de lexplosion. Cest la première vision que nous avons. La femme ouvre la bouche et le type se met à jouir. Les jets tombent sur le nez, le cou et, enfin dans la bouche ouverte. Elle déglutit tout. Même ce quil y a sur le nez puis sur le cou. Nous pouvons parfaitement voir le sexe du chien. Il est bien sorti de son fourreau et des gouttes sen écoulent. À ce moment là nous entendons : « Hou, hou!… Où êtes-vous? ».

Cest le jeune homme qui répond « A la clairière de la serre ».

Puis nous voyons déboucher de derrière le chêne une femme qui a sonné ses quarante ans depuis quelques années.

— Oh, mes petits cochons! Vous avez déjà commencé sans moi. Jean, ce nest pas sérieux, vous maviez promis de me montrer.

— Mais rien nest perdu… Rex est comme les scouts Toujours prêt. Nest-ce pas Rex?

Rex sapproche, tout frétillant, de Jean (puisque tèl est son nom) il lui caresse la tête et lui dit:

— Va dire bonjour à Marie-Louise. Va! Vous avez fait ce que Laura vous a demandé?

— Oui Bien sûr que oui!

— Nous allons voir.

Le chien tourne autour de son maitre en faisant le fou-fou.

— Allez!… Va voir Marie-louise. Va lui montrer tes hommages.

Le chien semble avoir compris. Il frétille du derrière en se dirigeant vers la femme. Renifle ses pieds puis, au travers le tissu, le haut de ses jambes. Aussitôt, il se glisse par dessous la jupe et remonte jusquen haut. Le geste est si rapide que la femme ne peut masquer sa surprise. Mais elle ne fait rien pour chercher à lui échapper, bien au contraire.

— Marie-Louise Retirez votre jupe, sinon elle va être salie.

La femme dégrafe sa jupe et la laisse tomber à terre. Le chien se trouve enveloppé par le tissu mais se dégage aussitôt. Ainsi vêtu, malgré lâge elle est encore très belle.

— Allez-vous asseoir à coté de Laura Oui, mais approchez vous sur le bord de la pierre et pliez vos jambes pour placer vos pieds de chaque côté sur le rebord.

— Comme cela?

— Oui, écartez vos cuisses. Ainsi Rex aura accès à toute votre intimité. Cest bien ce que vous souhaitiez ?… La chatte et lanus?

— Oui Je veux jouir aussi fort que jai vu Laura le faire.

Entre temps le chien a fait le tour de la pierre. Se met face aux deux femmes et regarde le type, comme sil attendait que son maître lance un bâton pour courir après.

— Rex!… À toi!

Rex va vers Marie-Louise qui expose une chatte bien épilée. Mais entachée dune couleur marron.

À chaque coup de langue, la femme sursaute et a tendance à prendre la tête du chien.

— Non Marie-Louise. Si vous lui prenez la tête, il va prendre ça pour une invitation. Alors pour linstant laissez le vous procurer du plaisir.

— Ouuuiiiii oh la, laaaa Oh cest trop bon. Oooh il entre sa langue très loiiiiin. Oh mon dieu.

— Ne vous inquiétez pas Cest normal. Il adore le chocolat et vous pénétrera tant quil sentira cette odeur. Je suis sure quaucun homme ne vous a fait autant plaisir?

Ooohhhh que nooooon. Aahhh. Je vais jouiiiiirr.

En effet, sa tête qui partait à droite et à gauche brusquement se fige. Son visage prend une expression rayonnante, mais contracté. Son ventre fait des soubresauts. Une jambe séchappe de la pierre. Sa respiration est prise de saccades et nous lentendons gémir dans une longue plainte qui démarre sur une note graves puis finir dans les très élevées. Ces mains tapent le sol. Puis ce calme. Elle regarde Laura, lui sourit et lui prend la main.

— Merci, mais est-ce normal? Je sens que je vais à nouveau jouir.

En effet le chien sacharne toujours sur lintimité de la femme. Maintenant, depuis que la femme a joui nous apercevons une pointe rose foncé pointer au bout du fourreau du chien.

Deux ou trois minutes plus tard la femme entre dans une transe encore plus violente quà sa première jouissance et cest trois séries de spasmes qui se produisent. Comme un orgasme à répétition. Quand elle en sort, nous voyons quelle na plus aucune force. Jean vient de lui commander de se mettre à genoux devant la pierre et de sy allonger avant que le chien ne revienne. Le sexe du chien a pris une toute autre dimension. Elle est assez épaisse et un liquide très clair sen écoule.

— Marie-Louise Êtes-vous daccord pour poursuivre lexpérience?

— Oh oui Quil me défonce la chatte Je suis sa chienne.

— Alors regardez le dans les yeux et présentez lui vos fesses en lappelant. Ainsi vous deviendrez, à ses yeux, sa femelle et votre regard va être pris pour une invitation.

Et la femme tourne sa tête pour regarder le chien. Elle laguiche de son fessier et lappel. Le chien renifle le sol en tournant en rond. La femme recommence à laguicher. Le chien sapproche delle. Lui renifle et lèche la chatte et son petit trou. Puis il met les pattes avant de chaque côté de la femme et tente de la pénétrer. Le sexe ne tape pas au bon endroit. Il redescend et recommence son manège de tourner en rond ce qui semble agacer la femme qui nattend que dêtre saillie par la bête. Cette fois cest Laura qui présente la pine du chien face au sexe de la femme. Dès quil a commencé de la pénétrer ses mouvements sont très violents et très rapide. La surprise de la violence et de la rapidité du chien lui fait pousser un cri. Elle ferme les yeux et son visage montre que ce nest pas le plaisir quelle en attendait. Puis une minute après son visage change dexpression. Elle semble y prendre beaucoup de plaisir. Malheureusement pour elle, le chien se retire et va vers Jean. Il le regarde alors que sa queue est complètement sortie de son fourreau.

— Marie-Louise Vous êtes mal placée Reculez un peu et baisser un peu votre derrière Rappelez Rex comme tout à lheure.

Elle exécute les recommandations de Jean et appelle le chien. Sa queue cest beaucoup rétrécie Mais quand il la monte, il na aucune difficulté à pointer le bon endroit. De ses pattes il tient bien la femme aux hanches et durant cinq longues minutes, il la bourre. Sonia est très déçue par ce quelle ne voit rien, hormis le chien qui narrête de se secouer du bassin. Puis les mouvements se ralentissent un peu. Maintenant, quen-t-il senfonce, il le fait lentement mais avec force.

— Ohhh! Mon dieu Il devient groooos Oh mais Cest géniaaal. Il grossit encoooreeee ! Mais il va mexploser la chaaatte. Nooon Oh ouiiii. Oh lalaaa.

Elle est en sueur. Ses cheveux se collent à son visage. Elle lance ses fesses à la rencontre du chien. Sa tête est, tantôt entre ses bras, tantôt elle la bascule en arrière en lançant des gémissements de plus en plus aigus.

Le chien cest arrêté de pomper. Alors Laura sapproche delle. Elle caresse la tête du chien pour le calmer et parle à Marie-Louise. Mais elle ne parle pas assez fort pour que nous puissions lentendre. Par contre nous entendons les réponses de Marie-Louise.

— Oh Laura Il est tellement gros que je ne peux me dégager.

— Mais je suis pleine et il continu de cracher Oh noooon ça fait la quatrième foaaaa Je jouiiiis.

— Oh oui Jai comme un cur dans la chatte Il va rester longtemps ainsi?

— Je ne tiendrai pas encore dix minutes!

— Au moins!… Mais Laura ça revient!… Oh mon dieeeuu.

Jen ai marre de regarder cette femme se faite remplir par le chien Hormis les orgasmes à répétition de la femme il ny a pas grand-chose à voir. Alors je tourne la tête pour regarder les autres. Les salops, ils nont pas chômés, Paul a le pantalon baissé et ma femme est en train de lui pomper le dard avec une ardeur qui ne lui est pas coutumière. Donc elle a dû regarder le spectacle en douce. Quand à Sonia elle masturbe Rosy. Toute sa main a disparue dans le con. Quant à moi! Jai une trique raide à men faire mal. Je regarde le cul de Sonia qui a dû être dégagé par lun des protagonistes et je me dis que je devrais men occuper. Quand je la pointe, elle me dit « alors tu te décides enfin de revenir parmi nous? ». Mais ça cest une autre histoire.

Nempêche que durant les trente ans suivant cette scène, je nai pas cessé de fantasmer sur la vision de cette pine canine en me limaginant dans mon propre derrière, jusquau jour où jai pu enfin sauter le pas..(A suivre)

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