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Relations inavouables – Chapitre 1

Relations inavouables - Chapitre 1



Depuis que son mari a quitté le domicile conjugal, Lise élève seule son fils Marc, il a 18 ans et prépare un BTS en électronique, elle, elle fait des ménages donc, elle ne roule pas sur l’or.

Marc rentre de ses cours tout joyeux et dit:

Maman mets ta plus belle, robe je t’emmène au resto !

Tu as gagné au loto mon chéri ? Tu sais que nous n’avons pas les moyens.

Non, je casse ma tirelire, les petits services que je rends de temps en temps m’ont permis d’avoir une petite cagnotte.

Ce soir, tu es mon invitée maman chérie, nous allons dîner aux chandelles comme deux amoureux, dépêche-toi, moi, je monte me préparer.

Il redescend quelques instants plus tard, en fredonnant un air connu, il entre dans la salle de bain comme un ouragan, pour se coiffer. Il tombe face à sa maman nue qui faisait sa toilette ?

Il reste figé un court instant sur les formes sublimes de sa maman, qui tente tant bien que mal de cacher sa nudité. Elle place maladroitement une main sur sa toison soyeuse et l’autre sur sa poitrine généreuse.

Oh pardon, maman, je croyais que la salle de bain était inoccupée.

Le visage de Lise rosit sous l’émotion, gênée, elle répond :

C’est de ma faute mon chéri, j’aurais dû fermer la porte au verrou, sors maintenant s’il-te-plait.

Marc est tétanisé, contemple le corps de sa maman avec des yeux hagards. Sa maman reprend :

Marc mon chéri, sors s’il-te-plait !

Marc se reprend, tourne les talons et sort de la salle de bain. Sa maman termine ses ablutions et sort à son tour de la salle d’eau. Elle est vêtue d’une robe avec une grande rangée de boutons sur le devant.

Comment tu me trouves mon chéri ?

Ouah, tu es magnifique maman, mais tu devrais ouvrir un peu le bas de ta robe !

Lise s’exécute, elle déboutonne trois boutons sur le bas de la robe.

On voit pas trop mes cuisses comme ça ? demande Lise en faisant une moue.

Oh non, tu es sublime comme ça ! lui répond Marc.

Ils arrivent au restaurant, déjà quelques clients dînent à la lueur de chandelles, le maître d’hôtel les place à une table et allume les deux chandelles.

Oh, c’est vraiment un dîner d’amoureux, dit Lise en souriant à son fils.

Pendant tout le repas, Marc n’a que d’yeux pour sa maman, il se rend compte seulement maintenant que sa maman est très belle. Souvent, il la complimente et lui embrasse les mains de nombreuses fois.

Arrête mon chéri, les clients vont penser que je suis une cougar !

Marc lui répond par un large sourire, en lui pressant les mains. Le dîner s’achève, il est l’heure de rentrer.

Ils rentrent, et prennent place dans le canapé, comme chaque soir, il se blottit contre sa maman pour regarder la télé. Elle place son bras autour des épaules de son fils comme à l’accoutumée, et pose sa joue contre la sienne, le film commence.

Marc recule légèrement sa tête, et dévisage sa maman, elle sent son souffle chaud sur sa joue.

Elle l’interroge :

Qu’est-ce que tu as mon chéri ?

Tu es belle maman, et je me pose la question pourquoi depuis que papa est parti, tu restes seule ?

Mais je ne suis pas seule mon chéri, il y a toi.

Non, sois sérieuse maman !

Eh bien, je préfère attendre que tu obtiennes ton diplôme, et que tu trouves du travail, après, je penserai à moi.

Marc lui donne un baiser bruyant sur la joue, comme pour la remercier des sacrifices qu’elle fait pour lui. Il a sa cuisse contre la sienne, il sent la chaleur du corps de sa maman à travers le tissu des vêtements.

Il pose sa main sur l’ouverture du bas de la robe et lui caresse doucement la cuisse, il tente de faire sauter un bouton supplémentaire à la robe. Lise à son tour pose sa main sur celle de son fils, et la presse de nombreuses fois.

Elle se trouble et dit :

Il est tard mon chéri, il faut aller dormir.

Marc est un garçon obéissant, il lui souhaite bonne nuit en donnant un baiser humide à la commissure des lèvres de sa maman, puis monte se coucher. Il ne parvient pas à trouver le sommeil, dans sa tête, il revoit sans cesse le corps nu de sa maman, des idées malsaines traversent son esprit. Son membre entre en érection, il l’enserre dans sa main et le branle doucement. Rapidement, il commence à geindre, il accélère le mouvement de masturbation, ouvre la bouche et pousse un cri de jouissance, son corps est secoué de tremblements, il continue d’agiter son membre raide, il étale le précieux liquide visqueux en faisant des cercles avec sa main livre, il fait descendre sa main engluée et pénètre avec deux doigts son anus.

Il le ramone de plus en plus vite, sa bite à des soubresauts violents, il la branle énergiquement. Le coquin se fouille comme un sauvage le rectum, ses doigts gluants coulissent dans la gaine étroite, il pousse des couinements comme un animal. Il se raidit et gicle à nouveau, son ventre et trempé, le sperme abondant coule sur ses doigts. Il ne cesse de dire dans son délire :

Maman, maman !

Le matin, il se lève un peu ronchon, ses yeux sont cernés.

Ouh la, mon chéri, qu’est-ce que tu as, tu as fait des cauchemars ?

J’ai très mal dormi, c’est un peu à cause de toi maman.

A cause de moi, raconte mon chéri.

Eh bien voilà, je me suis masturbé en pensant à toi, tu sais lorsque je suis entré dans la salle de bain et que je t’ai vu nue, depuis, tu hantes mon esprit.

Lise enlace son fils et lui embrasse la joue plusieurs fois, et dit :

Ce n’est qu’un pur délire, cela va passer mon chéri.

Le corps fiévreux de Marc est contre celui de sa maman, son bas-ventre est contre le sien, il a sa tête contre son épaule, il murmure :

Maman maman, je deviens fou !

Elle le presse fortement contre elle pour l’apaiser, et le couvre de baisers. Marc cherche les lèvres de sa maman, elle se dérobe, il fait une nouvelle tentative.

Non Marc, mon chéri, reprends-toi, tu ne peux pas faire, ça c’est mal, je suis ta maman !

Je suis fou de toi maman, je suis un homme maintenant !

Viens prendre ton petit-déjeuner au lieu de te ruiner la santé avec tes idées d’inceste !

C’est des larmes plein les yeux que Marc prend son petit-déjeuner. Son regard ne quitta pas celui de sa maman.

Bon mon chéri, il est temps que tu partes à tes cours, moi, je dois aller travailler !

Pendant toute la journée, Lise ne pense qu’au mal-être et aux déclarations inattendues de son enfant, elle en est tellement troublée qu’elle demande à son patron la permission de rentrer chez elle.

Elle s’étend sur le canapé, et imagine pleine de choses, elle a l’impression de devenir folle, non pas avec mon fils tout de même, c’est malsain, c’est pas possible que la chair de ma chair puisse m’aimer d’amour, qu’elle se dit.

Elle tente d’oublier tout cela, mais à chaque fois, c’est le même scénario qui revient dans sa tête, son cur bat de plus en plus fort dans sa poitrine.

Bon, il faut que j’oublie tout cela, il l’oubliera aussi mon petit bébé !

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