Après sa journée de labeur, Lise rentre chez elle.
Elle découvre sur la table du salon un paquet cadeau sur lequel il y a inscrit…à la plus belle des mamans !
Touchée par la délicate attention de son fils, ses yeux se remplissent de larmes.
Impatiente, elle déballe le paquet, ses doigts fins tremblent sur le papier d’emballage, soudain son regard s’éblouit, elle découvre une petite mallette, doucement, elle l’ouvre.
Ses yeux s’écarquillent, elle pousse un petit cri de surprise.
Mon Dieu, c’est quoi tout cela ?
Elle découvre une panoplie d’objets sexuels.
Certains sont impressionnants, les engins sont rangés par tailles.
Lise n’en croit pas ses yeux, son cur s’emballe, ses mains fébriles tremblent, elle manipule les engins à tour de rôle pour en connaître la texture.
Songeuse, elle referme la boîte, soupire plusieurs fois puis se dirige vers la salle de bain.
Pendant sa douche, elle ne cesse de penser aux objets, cela la perturbe et l’excite à la fois, sa main s’égare sur sa fente, elle dégage de son écrin sa perle, la presse et la caresse doucement, la pression monte vite dans son corps.
Elle intensifie la caresse, sa bouche s’entrouvre, elle ferme les yeux, des grognements sortent de sa gorge nouée, elle saisit entre son pouce et son index son clito devenu sensible, elle le branle frénétiquement, elle se raidit, se cabre en poussant un râle rauque de jouissance.
Enfin, elle termine sa douche en prenant soin de raser sa chatte.
Avant de rejoindre sa chambre, elle n’oublie pas d’emporter avec elle le cadeau de son fils chéri.
Elle étale sur le lit les engins et s’allonge au milieu d’eux, elle en choisit un de bon diamètre, écarte les jambes et pose l’engin sur sa fente, de sa main libre, elle écarte les grandes lèvres de sa vulve, et pose le mandrin de silicone sur son bouton, et actionne la vibration.
Elle sursaute, comme électrisée par l’engin.
Mon Dieu comme c’est bon !
Elle passe de nombreuses fois le vibro sur son bouton qui ne cesse de prendre du volume.
Elle le maintient appuyé sur la boule de chair sensible puis attrape un autre engin, et doucement l’enfonce dans sa gaine gorgée de cyprine lubrifiante. Elle fait faire à l’engin des va-et-vient incessants.
Son clito agacé par le vibro est devenu énorme, elle agite la bite factice dans sa chatte insatiable, ses râles sont bruyants, son bassin est agité par des spasmes violents, elle enfonce le gode au maximum dans son antre brûlant, l’engin bute contre le col de l’utérus, elle grince des dents, marmonne quelques mots inaudibles.
Sa main donne le rythme à l’engin qui la fore, elle se cabre et pousse un cri terrible.
Oui oui, oh c’est pour toi mon amour que maman jouit !
Sa cyprine gicle sur le lit, elle continue de se goder, ses coups de poignets sont brutaux, c’est comme si elle voulait se faire mal, à chaque enfoncement du gode, elle pousse un râle.
Elle a un nouvel orgasme, sa respiration est rapide, son souffle est court.
Soudain, une voix la sort de son délire.
Alors petite maman chérie, on joue toute seule ?
Lise sursaute.
Oh c’est toi mon chéri, je ne t’ai pas entendue arriver !
Non maman, tu étais trop occupée pour ça !
Je n’ai pu m’empêcher de tester ton merveilleux cadeau mon chéri, c’est fabuleux !
Continue maman, je prends une douche rapide et je te rejoins, hum te voir avec ça dans les orifices, j’ai la queue qui prend du volume, regarde mon amour !
Marc sort de son pantalon, sa queue, elle est déjà tendue.
Oh mon chéri, tu es en forme, donne-la à maman, je vais me gaver avec, tu prendras ta douche après mon chéri !
Il s’approche de sa maman et lui offre sa verge dressée, Lise saisit le mat veineux de son fils, et donne une multitude de baisers sur le gland violacé, sa langue fait de nombreuses fois le tour du cèpe, avant de titiller le frein.
Elle gobe le gland voracement, elle le tète avidement, sa bouche suce divinement la bite de sa progéniture qui ne cesse de geindre de bonheur.
La langue agile monte et descend sur le mat dressé, les veines apparentes gorgées de sang lui donnent un air monstrueux.
D’une main, elle triture les bourses velues, les presse de temps en temps.
Marc grogne comme un animal en rut, sa bougresse de maman sait le faire gémir, elle reprend en bouche l’énormité et la mordille.
Marc serre les dents, il s’accroche aux cheveux de sa maman et lui baise la bouche sauvagement, la pression est à son comble, il donne de violents coups de reins, à chaque enfoncement, ses couilles frappent le visage de sa maman.
Il se bloque et envoie une quantité impressionnante de sperme au fond de la gorge sa maman.
Oh maman, maman ! qu’il crie en giclant.
Elle le repousse violemment, car elle manque d’étouffer, elle déglutit difficilement et finit par avaler jusqu’à la dernière goutte le nectar.
Il se rajuste rapidement et fonce dans la salle de bain.
Il en revient quelque temps plus tard, sa queue est toujours raide.
Maman pendant ma douche, je l’ai maintenue en forme pour toi !
S’il te plaît mon amour de maman, remets-toi le gode vibrant dans la chatte, je vais m’occuper de ton petit trou !
Oh oui oui mon chéri, encule ta maman, je suis ta chose mon amour !
Déglingue-moi à fond, fais gueuler ta salope de maman !
Obéissante, elle s’enfonce le gode jusqu’à la garde, replie les jambes sur son ventre et offre son anus à la queue puissante de son enfant.
Il crache sur l’anneau brun et place son mandrin contre, il saisit sa maman par les hanches et donne un violent coup de reins.
Elle pousse un cri terrible, mais inexorablement, le pal s’enfonce jusqu’aux couilles.
Il la besogne sans relâche, elle jouit plusieurs fois, ses râles rauques résonnent dans la chambre, il se bloque et remplit de sa semence épaisse les entrailles maternelles.
Prise par les deux trous, Lise délire de bonheur.
