Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a quelques années. Tout d’abord, une présentation rapide : Je mesure 1M85, plutôt sportif avec des muscles bien dessinés mais sans avoir une masse impressionnante, brun, je plais généralement aux filles (sans prétention aucune…).
Donc, début 2000 je décidais de passer mon permis moto, ayant déjà le permis B (voiture) depuis 7 ans, je devais repasser le code. J’ai décidé de m’inscrire en candidat libre à la préfecture (histoire d’économiser un peu dargent), et en attendant ma place d’examen, je révisais chez moi.
Trois mois plus tard, je reçus ma convocation. Quand vous êtes candidat libre au code, ils vous font entrer dans la salle d’examen en dernier (toutes les autoécoles ayant la priorité). Dans la file d’attente je remarquai une fille d’une 20aine d’année un peu à l’écart : Très mignonne, plutôt petite, brune, typée asiatique, fine avec une poitrine discrète mais surtout un cul bien rebondi. Toutes les auto-écoles avaient regroupé leurs candidats, elle devait donc elle aussi être en candidat libre. J’essaye d’entamer le dialogue en lui demandant si elle était bien en candidat libre, ce qu’elle me confirma mais sans donner l’impression de vouloir discuter plus longtemps.
Ne sachant pas quoi dire et n’étant pas un spécialiste de la drague, je lui propose simplement de passer devant moi ; galanterie oblige, mais j’avoue que l’idée de pouvoir lui mater son petit cul m’enchantait.
L’attente avant de pouvoir se présenter devant les nanas qui enregistrent les candidats se fait de plus en plus longue, et je décidais donc de retenter de discuter avec cette bien jolie candidate. Malheureusement, seuls des sujets bateau me viennent à l’esprit : Combien de temps avant de recevoir sa candidature, si elle passait son code pour la première fois,… Mais grâce à ces quelques banalités, j’en appris plus sur elle ; elle a donc 22 ans (j’en avais 27 à l’époque), est Parisienne d’origine mais avec de la famille dans la région (que je ne précise pas volontairement, mais dans l’ouest de la France). Les tarifs pratiqués à Paris l’ont poussé à tenter sa chance ici car elle veut également passer l’examen pratique de la conduite en candidat libre. Je la trouvais de plus en plus attirante et sexy, elle était vêtue d’une petite tenue d’été, jupe courte et T-shirt moulant ; une tenue qui la mettait vraiment en valeur…. Quel corps de rêve… J’avais de plus en plus chaud…
Bref nous sympathisons, se moquant de la lenteur de l’administration et de quelques candidats dont le stress était plus que visible (ça ce n’est pas gentil, mais c’est tout ce que j’avais trouvé pour essayer de la faire rire et ça a marché).
Enfin arrivé dans la salle, il ne restait que deux places côte à côte dans le fond, nous nous y installons. L’examen commence, pas de problème, la série semble facile et sans piège pour l’instant. Je jette quelques regards vers l’objet de mon désir et c’est avec plaisir que je me rends compte qu’elle me renvoie mes regards avec un petit sourire en coin. J’essaye de rester concentré sur les diapos qui défilent (même avec les DVD, les photos sont toujours aussi crades).
La série terminée, tous les candidats se lèvent et présentent leur boitier chacun leur tour. Nous restons tous les deux assis en attendant notre tour, nous discutons de nos impressions sur la série et sur nos chances d’obtenir ce code. Elle paraissait confiante mais ne voulait pas trop s’avancer de peur d’être ridicule au cas où elle ne l’ait pas. Notre tour arrive, je la laisse passer devant moi (mais quel cul, mais quel cul).
Résultat : Elle a son code et moi aussi, ouf, une bonne chose de faite.
Dans le couloir menant à la sortie du bâtiment, elle était beaucoup plus détendue et souriante, ce qui la rendait encore plus désirable et qui augmentait mon envie de la baiser. Je cherchais déjà des idées pour continuer à discuter avec elle et essayer de la séduire, quand j’entendis :
« J’te paye un café ? », voilà les mots qui m’ont donné l’impression que j’avais peut-être une carte à jouer. Nous venions de passer devant une machine à café, bien-sûr j’acceptais.
Elle regardait quel café elle allait choisir, je lui matais son cul plus que jamais et je devais me retenir pour ne pas lui coller mes deux mains sur ces belles petites fesses toutes rondes. Je regardais par-dessus son épaule pour voir les choix disponibles, volontairement je m’approchais d’elle excessivement jusqu’à ce que nos corps soient en contact. Elle ne broncha pas, je sentais même comme un mouvement de recul de sa part, comme pour accentuer le contact… Sans doute mon imagination.
On sort avec nos deux cafés, je lui propose une cigarette qu’elle accepte et nous continuons à discuter.
Dans la conversation, elle sort un dépliant avec les horaires des bus (je ne pouvais pas passer à côté d’une telle occasion).
« Tu habites où ? Je te ramène si tu veux ? ». Elle me regarde, encore avec ce petit sourire (Ho putain, j’y crois de plus en plus) et me dit « Dans le centre-ville, si c’est sur ta route jaccepte avec plaisir ». (Bien sûr que c’est sur ma route).
On monte dans ma voiture, je suis le trajet qu’elle m’indique au fur et à mesure. Assise à mes côtés, je ne peux m’empêcher de regarder de temps à autres ses jambes, je crois même déceler un mouvement de sa jupe vers sa taille me dévoilant de plus en plus ses cuisses. Distrait par ce petit manège, je manque de justesse de griller un feu rouge et je pille :
« Regarde la route, c’est moi qui te perturbe ?? », me dit-elle d’un ton moqueur.
Merde, elle m’a grillé. Je suis gêné mais le ton qu’elle vient d’utiliser me fait penser qu’elle n’est pas offusquée par le reluquage en règle que je pratique depuis plusieurs minutes. Feu vert, je repars en essayant de reprendre mes esprits : (laisse tomber, ça n’arrive que dans les films de cul de serrer une fille si rapidement). On est presque arrivé à destination quand elle me dit :
« Qu’est ce qu’il fait chaud dans ta voiture », je la regarde pour lui répondre mais à ce moment, je m’aperçois qu’en me disant ça, elle avait généreusement écarté les jambes, me dévoilant toujours plus de chair… Je suis rouge écarlate et commence à sentir ma bite se durcir. Je ne peux dévier mon regard de ses jambes et lui réponds bêtement :
« – C’est clair ».
Elle éclate de rire et me dit :
— Gare toi dès que tu peux, j’habite juste dans cette rue.
Je trouve une place et pendant que je me gare elle ajoute :
— Tu veux monter ? Je te paye un truc frais. (Bien sûr que je veux monter)
Je lui réponds :
— Je te suis.
On entre dans un hall d’immeuble moderne et propre, et on monte dans l’ascenseur.
— On est chez ma tante, mais normalement elle ne rentre pas avant ce soir.
Pourquoi précise-t-elle qu’on est seul ? Cette situation m’excite de plus en plus et mon érection n’est plus du tout dissimulable dans mon jean. 5eme étage, la porte de l’ascenseur s’ouvre, elle sort la première et me gratifie d’un déhanché digne d’une allumeuse en chaleur. J’en peux plus, maintenant c’est sûr il faut que je la baise.
On entre dans l’appartement de sa tante, je suis incapable de le décrire, je ne regarde que son cul se dandiner devant mes yeux assoiffés de sexe. Elle se dirige directement vers le frigo, l’ouvre et se penche (ou plutôt se plie en deux) pour atteindre le bac à légume dans lequel se trouvaient quelques bières. A la vue de son cul, et malgré tous mes efforts je ne peux m’empêcher de poser une main sur ces hanches et de l’autre je lui caresse délicatement sa fesse droite. Elle se relève doucement, toujours dos à moi, mes mains quittent leur place, et viennent lui peloter allègrement ses seins. Ma bite tendue dans mon jean est collée à sa jupe.
— Ha ben quand même, me murmure-t-elle, depuis le temps que je t’envoie des signaux, j’ai cru que j’allais devoir tout faire. A ces mots, elle se retourne et m’embrasse fougueusement. Sans me lâcher la bouche, elle me dirige vers une chaise juste derrière moi, je m’assoie sur la chaise, elle s’assoie sur moi. Ma tête est à hauteur de sa poitrine, j’en profite pour lui enlever son T-shirt et lui dégrafer son soutif : Ses seins ne sont pas bien gros mais sont bien fermes et pointent fièrement. Je lui lèche les tétons l’un après l’autre, elle gémit et se frotte contre ma bite qui me fait de plus en plus mal. Ce petit échauffement dure quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle se lève lentement, me tourne le dos et entame une danse du ventre (ou plutôt du cul) lente, langoureuse et ultra sexy. Elle bouge son petit cul à quelques centimètres de mon visage et commence lentement à baisser sa jupe.
J’en peux plus, je suis obligé d’enlever les deux premiers boutons de mon jean pour donner un peu de place à mon membre. Ça y est, sa jupe est à terre, et elle est là, toujours à m’exhiber son cul vêtu d’un simple string blanc.
Je lui saisis les fesses et les embrasse doucement. Je la fais s’assoir sur moi, toujours de dos, ses jambes écartées. Doucement ma main droite se dirige vers sa chatte, je la lui masse lentement, sentant son sexe déjà très humide et son clito bien dur.
— Tu me fais bander petite salope. Ces mots sortent de ma bouche et m’étonnent moi-même, je n’ai pas l’habitude d’insulter mes partenaires.
— Et toi tu me fais mouiller, j’ai envie que tu me prennes tout de suite.
Je l’empêche de se lever, car j’ai encore envie de lui toucher sa chatte. Je lui écarte son string et enfonce délicatement un puis deux doigts. Elle gémit de plus en plus.
Elle passe une main dans son dos et me malaxe la bite à travers mon jean, puis m’enlève un autre bouton et réussit à faufiler sa main dans mon caleçon, elle me branle lentement, j’adore ça. Mes doigts ne la laissent pas indifférente non plus car elle me supplie une deuxième fois de la prendre. Cette fois-ci je me lève, garde son cul plaqué contre moi et je la penche vers levier de la cuisine.
Elle fait glisser son string au sol, elle attend ma bite, mais moi, je veux faire durer le plaisir encore un peu ; je me baisse et lui lèche la chatte. Dans cette position, j’ai quasiment le nez dans son cul que je ne peux m’empêcher de lécher. Je guette une réaction… Pas de réaction… J’y vais donc à cur joie, je lui lèche à tour de rôle la chatte et son petit trou du cul.
— Putain tu m’excite avec ta langue, vas y lèche moi bien !!!
A peine deux minutes plus tard, je sens ses jambes commencer à trembler, elle est au bord de l’orgasme. Je me relève et sans ménagement je lui enfile ma bite bien raide dans la chatte. Elle laisse échapper un nouveau cri :
— Putain c’est bon, putain vas-y, mets la moi ta grosse bite.
J’aime quand les filles utilisent des mots un peu vulgaires et je lui réponds :
— C’est ça que tu voulais depuis le début, avoue le, c’est ça ??
— Oui, c’est ça, oui, oui, oui, je vais venir !!!
Et là, elle se laisse aller et crie de plus en plus fort au rythme de mes coups de boutoir. Une fois les cris terminés, je sors de sa chatte et me penche pour l’embrasser. Ma bite est contre la raie de son cul, elle me branle dans son dos et continuant de gémir après l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
— Putain, ton cul me rend fou, si tu continues je vais de jouir dessus.
— Non, tu vas jouir dans ma bouche, me répond-elle, et à ces mots, elle s’agenouille devant moi et me lèche la bite de tout son long en me regardant droit dans les yeux.
Elle joue avec mes couilles et continue à me lécher. Elle me regarde, me sourit, elle sait que j’attends qu’elle me prenne entièrement en bouche. J’en peux plus, je prends ma bite de la main droite, sa tête de la main gauche et lui enfonce ma queue le plus possible. Elle essaye de résister mais je lui impose mon rythme, je lui baise littéralement la bouche. Tant bien que mal elle essaye de suivre, m’aspire le gland et me masse les couilles. Quelques aller-retour plus tard je jouis comme jamais dans sa bouche. J’ai l’impression de lui déverser des litres de spermes…
Je m’écroule sur la chaise… Elle se relève et va chercher deux bières… Si elle continue je vais tomber amoureux.
Les bières terminées, elle me propose de la suivre dans la douche, ce que je fais bien évidemment.
La cabine de douche est petite, très petite. Nous sommes collés l’un à l’autre et le contact de sa chair redonne une forme plus convenable à ma bite. Nous nous lavons, mais une fois rincé, je ne peux m’empêcher de m’agenouiller pour lui lécher sa chatte. Elle est dos à moi, et comme elle n’a pas de place pour se pencher, je n’ai accès qu’à son cul (quel dommage) que je lèche doucement. Elle ne me demande pas d’arrêter, je lui écarte largement ses fesses enfonçant ma langue au plus profond de son petit trou. Au bout de quelques minutes, ayant pris un peu d’assurance, je pose mon index droit sur sa rondelle bien lubrifiée et l’enfonce doucement, d’abord la première phalange. Je fais de lent va-et-vient et lui enfonce régulièrement un peu plus mon doigt. Elle commence à gémir, je me rends compte qu’elle se masturbe la chatte frénétiquement. Mon doigt est de moins en moins comprimé, elle est presque prête, j’en reviens pas, j’ai jamais enculée une nana (un mec non plus d’ailleurs). Ça y est, ma bite est bien raide et je m’apprête à me lever pour la présenter devant son cul, mais à ce moment, elle sort de la douche. Elle s’allonge sur le tapis de la salle de bain, écarte bien les jambes et me dit :
— Viens, baise moi encore !
OK !
Je m’installe devant elle et lui pénètre la chatte. Elle l’avait bien lubrifiée, ma bite n’a aucune difficulté pour entrer bien à fond. Elle se tord dans tous les sens, se touche les seins, se masturbe le clito… Tout pour m’exciter. Le fait d’avoir déjà joui quelques minutes auparavant me rend confiant sur ma capacité à la « labourer » avant d’arriver au point de non-retour, j’y vais donc gaiement, lui arrachant déjà quelques cris.
A un moment, elle se recule un peu, se retourne et se met à quatre pattes :
— Vas-y prends moi comme ça !
Sans attendre je lui enfonce ma bite de nouveau dans sa chatte, mais j’en profite pour lui plaquer mon pouce sur son anus. Je le lui masse doucement d’abord, puis lui enfonce mon doigt bien à fond :
— Aie, doucement, je sais que tu veux me prendre le cul, mais sois patient !
— Tu m’excite trop, je veux t’enculer maintenant !
A ces mots, je me retire de sa chatte et lui presse mon gland sur son petit trou du cul. Elle écarte une de ses fesses de la main droite et me demande d’y aller doucement. Pas de problème, je n’ai jamais fait ça et je ne veux pas lui faire mal de peur qu’elle revienne sur sa décision de me laisser son cul….
Je vois disparaître ma bite dans ce putain de cul. Ça me fait presque mal mais je continue de tout petit aller-retour le temps qu’elle s’habitue.
— Ho putain, vas-y doucement, ho putain, tu me déchire le cul.
Sur le coup j’ai l’impression de lui faire mal, mais elle ajoute :
— Vas-y, c’est bon, baise mon cul, c’est ça que tu voulais toi.
Je lui réponds :
— Depuis la première seconde où je t’ai vu, j’ai eu envie d’y mettre ma queue.
Les va-et-vient se font de plus en plus francs et de plus en plus rapides. Elle m’aspire la bite par le cul cette salope.
Je retire ma bite de son trou, et la lui enfonce dans la chatte. Puis je la lui remets dans son cul, puis encore la chatte et ce pendant de longues minutes : Qu’est-ce que ça m’excite de voir son cul bien dilaté se refermer doucement avant que j’y enfonce à nouveau mon membre.
— Baise ma chatte, je vais jouir…
A ces mots, je lui empoigne les hanches et lui inflige des coups de boutoirs dignes d’un film de cul. Je lui enfonce également deux doigts dans le cul, ses cris se font de plus en plus forts, puis d’un coup elle se laisse tomber, comme épuisée par ce deuxième orgasme.
Je me relève, me nettoie la bite dans l’évier, j’ai bien envie qu’elle me finisse à la bouche encore.
Elle comprend le message et se rapproche de moi toujours à 4 pattes :
— Vas-y, branle toi sur moi, donne moi ton foutre !
Je m’astique donc le manche devant sa gueule rouge écarlate de plaisir, elle ouvre la douche et me donne des petits coups de langue sur mon gland.
Tour à tour, je lui enfonce ma bite au fond de sa gorge puis reprends ma branlette. Je sens que ça monte :
— Vas-y, finis-moi toute seule.
En fait je ne savais pas si elle voulait que je jouisse sur son visage ou dans sa bouche, je lui laissais donc le choix. Elle me branla énergiquement, mes gémissements annonçaient mon orgasme mais elle continuait à me masturber toujours la bouche ouverte…
Je ne me retenais donc pas, et lui déchargea une petite quantité de foutre sur ses yeux et son nez. Elle me nettoya la bite avec sa langue, faisant même semblant d’y prendre du plaisir pour continuer à m’exciter sans doute…
— Putain, tu mas vidé, je suis mort.
— C’était bon, hummmm.
On s’est relevé et rhabillé. Je vous passe les discussions qui suivirent cette partie de jambes en l’air, mais elle m’avoua avoir un mec et ne pas vouloir le tromper une autre fois.
— Tant pis, on aura quand même passé une bonne journée, mais si tu changes d’avis… Et je lui laissai mon numéro.
Le fait d’écrire et de relire cette histoire inoubliable me fait déjà rebander, même si à ce jour elle ne m’a toujours pas rappelé, je suis très content d’avoir vécu ce type d’aventure au moins une fois dans ma vie.
