Je m’appelle Jean, je suis veuf, j’ai 65 ans 1,75m 75 kilos, cheveux grisonnants presque blanc assez sportif.
Je déjeune souvent dans un petit restaurant d’une rue près de chez moi à Bordeaux. Le Vizir.
Depuis quelque temps, une dame d’à peu près le même âge que moi déjeune avec une copine, peut être sa sur ? Et me dit systématiquement bonjour. Elle ressemble à une ancienne collègue de travail dans un autre service que le mien. Ne retrouvant pas son nom de mémoire ni son ancienne localisation, je m’approche pour satisfaire ma curiosité.
— Nous avons dû nous connaître par le passé mais je n’arrive pas à me souvenir qui vous êtes
— Non, nous ne nous connaissons pas, j’ai peut-être un sosie mais je vous dis bonjour car je vois que comme nous, vous êtes un habitué de l’établissement et nous nous voyons souvent.
— Ah bon, excusez-moi mais c’est gentil et très correct. De nos jours, on a tellement perdu l’habitude de dire bonjour ou au revoir même aux gens qu’on ne connaît pas.
Cela dit, chacun continue son repas.
Quelques jours plus tard, un après-midi, en flânant dans les rues, je rencontre la dame du restaurant.
— Tiens mais c’est la dame du Vizir, comment allez-vous ?
— Bonjour Monsieur, je vais bien, et vous ? Il fait beau, c’est agréable de se promener un peu
— Vous êtes seule aujourd’hui ?
— Oui ma copine est en voyage
— Puis-je vous offrir un café ?
— Non, un thé, mais c’est avec plaisir
Après quelques pas qui me donnent l’occasion de constater la fière allure de ma rencontre dans une tenue très classe, nous nous installons à la terrasse du café le plus proche.
Mes regards se portent instinctivement sur les jambes de l’inconnue que la jupe relevée à mi-cuisses par la position assise dévoile jusqu’à montrer un début de dentelle du haut de ses bas.
— Donc nous ne nous connaissons pas, j’ai l’impression de vous draguer. Ce n’est pourtant plus de notre âge.
— Je pense qu’il n’y a pas d’âge pour cela et ce n’est pas désagréable
— Ah bon, eh bien je vous drague
Nous partons d’un éclat de rire. Nous discutons de choses et d’autres, du beau temps, de l’actualité etc… J’apprends que Madame est également veuve.
Au moment de se quitter, je m’aventure :
— Et si je vous demandais votre téléphone, je pourrais savoir quand vous venez au Vizir ?
— Si cela peut vous faire plaisir, voilà ma carte de visite
— Donc votre prénom est Marie. Moi c’est Jean. Je n’ai pas de carte sur moi mais si je vous appelle, vous aurez mon numéro.
Nous nous quittons d’une poignée de mains. Marie m’ayant chaleureusement remercié pour ce petit moment.
Dans la nuit, je fantasme sur le corps de cette femme et m’imagine en train de la déshabiller. La vue du haut de ses bas, le corsage blanc presque transparent laissant deviner un soutien-gorge noir sur une imposante poitrine m’avait émoustillé.
Le lendemain, j’appelle Marie.
— Bonjour, c’est Jean, déjeunez-vous au Vizir aujourd’hui ?
— Bonjour, non j’ai prévu de rester à la maison faire du rangement mais je peux vous offrir le café si vous le souhaitez
— Je le souhaite
— Je vous attends donc vers 14h à l’adresse figurant sur ma carte. Vous sonnez au n° 8 à l’interphone, je vous ouvre et je suis au 28 du 2ème étage.
— J’y serai. A tout à l’heure Marie
14h00 je sonne à l’interphone.
— C’est Jean
— Je vous ouvre
Arrivé devant le 28, je frappe et une blouse blanche m’ouvre.
— Excusez-moi, je n’ai pas eu le temps de me changer, j’ai gardé ma blouse d’infirmière, c’était mon métier, je m’en sers pour faire mes rangements.
— Vous pouvez rester comme cela, ça ne me dérange pas, vous êtes chez vous. Je peux vous faire la bise ?
Nos bouches se frôlent mais les bises sont bien sur les joues.
— Asseyez-vous comme vous voulez, canapé ou fauteuil, j’ai préparé un petit dessert comme un café gourmand
— C’est très gentil
Je choisis un fauteuil.
La tenue de mon hôte me met en émoi d’autant que les boutons-pression du haut et du bas de la blouse sont dégrafés. Sous le haut, on devine la naissance de ses seins apparemment sans soutien-gorge.
Lorsque Marie revient avec le plateau de service, son évolution vers la table de salon dévoile le haut de ses bas en entrouvrant sa blouse. Je sens une légère érection me gagner.
Elle s’assoit en face de moi et là c’est terrible, j’aperçois sa culotte et les attaches de son porte-jarretelles.
— Ces petites mignardises sont délicieuses, c’est votre fabrication ?
— Non mais j’ai un excellent pâtissier pas loin de l’immeuble.
— Me permettez-vous de m’aventurer dans un autre compliment ?
— Bien sûr, par définition, un compliment est toujours agréable à recueillir
— Votre tenue semble dévoiler certains charmes particulièrement votre poitrine que je trouve fort séduisante.
— J’ai l’habitude de voir les hommes souvent accrocher leur regard sur elle. Elle vous plaît ?
— Oui mais j’aimerais en voir plus car j’ai l’impression que vous ne portez pas de soutien-gorge
— C’est vrai, rarement à la maison et quelques fois dehors quand il fait très chaud. Vous tenez vraiment à la découvrir ? Alors venez près de moi
En essayant de ne pas trop montrer l’érection qui gonfle mon pantalon, je m’approche et sans m’asseoir, je fais légèrement glisser le haut de la blouse pour découvrir une poitrine de rêve. Je caresse les tétons dressés qui trahissent une excitation certaine et me lance dans un baiser voire une succion des plus appuyée. Je me rends compte que Marie a fermé les yeux et a porté une main dans son entrejambe. J’accélère mes caresses en pétrissant littéralement ses seins, puis la prenant pas les hanches, la soulève pour la mettre debout. Je plaque ma bouche contre la sienne et s’ensuit un baiser endiablé où les langues fouillent les bouches. Cette fois, c’est ma main qui est entre ses cuisses et mes doigts qui passent sous sa culotte.
— Oui caresse-moi, donne-moi ta queue, j’ai envie que tu me prennes
C’est elle qui dégrafe mon pantalon, le laisse tomber à terre et commence à me masturber. Elle se baisse pour enfouir ma bite dans sa bouche. Une pipe d’enfer !
Nous nous couchons sur le canapé et comme elle l’a demandé, je la baise avec ardeur.
— Continue, baise mon con, c’est bon, je sens que l’orgasme monte, je vais jouir dès que c’est bon pour toi, vas-y lâche tout dans ma chatte.
Soudain, Marie se raidit, nos orgasmes sont pratiquement simultanés ce qui décuple le plaisir.
— Reste un peu, je veux me reposer avec ta queue en moi
Après un repos bien mérité, nous nous séparons. Marie a gardé sa culotte et s’attache à la remettre bien en face de sa fente pour recueillir le sperme qui s’en échappe.
— Je garderai tout ça en souvenir, je ne laverai pas ma culotte.
Je remets mon pantalon en place. Nous restons assis l’un à côté de l’autre pour finir les quelques mignardises qui restent.
— Tu veux un autre café ?
— Oui je veux bien. Donc maintenant nous pouvons nous tutoyer ?
— Bien sûr, mais dans l’intimité, attention à l’extérieur et particulièrement au restaurant
— Bien Madame
— Avant de nous quitter, il faut que je te livre un petit secret. Ma copine Jeanne est lesbienne et il nous arrive souvent de jouer ensemble donc ne sois pas surpris si un jour tu reviens et qu’elle soit là.
— Tu sais, je suis très ouvert d’esprit, aucune pratique ne me choque même si je ne suis pas bi. Donc à une prochaine fois si tu es d’accord
— Je suis d’accord
Sur ces bonnes paroles, je laisse Marie à son travail de rangement et l’embrasse pour un au revoir non sans lui caresser furtivement son entrejambe.