Une journée plus tard………..
Mercredi
Chantal qui allait travailler se leva la plus tôt et vint me rejoindre dans la cuisine. Durant son petit-déjeuner, elle me questionna sur Renée
— Pierre qu’est-ce qui est arrivé à Renée hier, elle est arrivée au salon toute bizarre
— C’est-à-dire ?
— Je ne sais pas, une intuition, elle semblait dopée, elle marchait sur l’eau, imagine-toi qu’elle a même oublié deux rendez-vous. Non, je dois me faire des idées et j’ai sûrement trop d’imagination.
— Qu’entends-tu par là ?
— Oh rien, mais elle ne semblait pas dans son état normal ; même ma mère l’a remarqué et me l’a dit. Elle se souvenait de l’avoir vu ainsi en Turquie après qu’elle eut passé une soirée en galante compagnie.
— Mais attends, elle avait la migraine hier matin, elle n’est même pas descendue
— Oui peut-être, mais l’après-midi ce n’était plus de la migraine, mais ça sentait la femme dont les sens et les envies avaient été apaisés. Dis-moi, au nom de ce que nous avons vécu, tu n’aurais pas une petite idée, non ?
— Je n’en sais rien, je suis resté à mon cabinet hier matin, mentis-je effrontément.
Il fallait que cette conversation cesse, car je risquais à tout moment de me couper et comme les femmes sont plus malines et intuitives que nous, les hommes, je me serais mis tôt ou tard en difficulté
— Bon, il est temps que je parte. Pierre à ce soir vers dix-neuf heures, c’est OK ?
On se fit la bise et Chantal partit
Renée descendit environ vingt minutes après le départ de Chantal et vint dans mes bras pour me souhaiter une bonne journée.
— Renée, crois-tu que nous pourrons avoir aujourd’hui un petit moment d’intimité ?
— Pour l’instant, je n’en sais rien. Aujourd’hui est la journée la plus importante pour moi, car c’est aujourd’hui que je vais figer mes rendez-vous de vendredi chez les créateurs.
Alors j’ai peur que ce soit très difficile, sinon, tu pourras toujours me masser les jambes ce soir, dit-elle avec ironie et un sourire qui en disait long.
— Bonjour, bonjour,
Odile arrivait déjà prête à partir, il ne lui restait que le petit-déjeuner à prendre.
Installées à table Renée et Odile mangeaient croissants et tartines et je m’assis pour leur tenir compagnie. Après avoir fini sa collation Renée remonta afin de finir de se préparer et Odile resta avec moi.
— Pierre, auras-tu un moment aujourd’hui pour me faire un autre massage du dos ? Le premier a été très bénéfique et je pense qu’un deuxième un peu plus long le serait plus encore, non ?
Oh là ! Ça sentait l’invitation à bien d’autre chose.
— Et puis pas la peine d’aller à ton cabinet pour ça, j’ai vu hier que dans la salle du sauna, il y avait aussi une table de massage, alors tu pourrais le faire ici et on mangerait chez toi, qu’en penses-tu ?
Et moi, pensais-je, ma coquine, j’ai idée que tu veux plutôt une petite piqûre d’amour qu’un massage
— Bien sûr qu’on peut le faire ici, j’ai tout le matériel qu’il faut. Alors à quelle heure ?
— Onze heures, comme cela, tu auras le temps de t’appesantir sur ton ouvrage, mon dos en l’occurrence.Et bien, me dis-je, t’es veinard aujourd’hui mon ami Pierre, Renée ne sera pas libre et voilà qu’Odile se proposait discrètement pour une partie de bête à deux dos. Ce n’est pas beau la vie ? Il faut vite que j’aille jouer au loto
Cette alternance d’attitude manifestée par Odile et Renée envers moi depuis lundi me sembla tout d’un coup pas du tout fortuite. Connaissant désormais la totale complicité régnant entre les deux femmes, pourquoi n’auraient-elles pas monté un beau coup pour assouvir entre nous nos désirs et jeux sexuels, risquant ainsi de devenir le boy de ces dames.
Je les imaginai déjà notant nos prouesses avec force commentaires et critiques à l’appui avant de me décerner, je l’espérai, le titre de Maître des plaisirs.Il ne me restait plus qu’à espérer ne recevoir que des compliments mais sans pour autant risquer de me faire couper , comme dans une corrida en signe de bravoure, une ou deux de mes oreilles ou……Ma queue , non……. Surtout pas ma queue !
Je sortis de mes divagations en entendant Odile me dire
— Pierre, tu entends ce que je dis ?
— Pardon Odile, j’étais ailleurs
— Oui, j’ai vu
Les minutes s’égrenèrent, Renée descendit et à huit heures trente, elles prirent leur taxi en rigolant mais en se gardant bien de me dire pourquoi et partirent. Il était temps aussi pour moi d’aller travailler.
Sitôt arrivé au cabinet, je téléphonai aux trois patients que je devais voir en début d’après-midi et reportai ces rendez-vous au surlendemain, car si, avec Odile, tout se passait comme je l’espérais, j’aurai du temps pour rester avec elle.
Les heures défilèrent et vers onze heures, je rentrai chez moi.
Diantre, je retrouvai Odile m’attendant déjà devant la porte
Une fois dans la maison, on se dirigea vers la salle du sauna et jacuzzi, lui montrai la table de massage.
— Allez, Odile. Aussitôt dit, elle enleva, manteau, chandail, caraco et soutien-gorge. Ses seins massifs étaient face à moi et tels des aimants attirèrent mes mains.
— Odile, je vais commencer par un petit massage mammaire histoire de te relaxer.
Je la fis s’asseoir sur la table et me mis à genoux derrière elle et lui massai les seins en m’attardant sur ses mamelons.
Je pétris ses globes, ils étaient élastiques et lourds. Il m’était impossible d’en insérer entièrement un dans une seule main. Ils roulèrent sous les rotations imprimées par mes mains et je m’excitai de plus en plus à peloter les seins d’Odile. Vraiment pour une femme de plus de cinquante ans, elle avait une poitrine que beaucoup d’autres, mêmes plus jeunes, auraient bien voulu avoir et moi, j’avais la chance de pouvoir la caresser.
Pour moi, ses seins étaient peut-être plus jolis que ceux de Renée, car ils étaient plus volumineux ; par contre, ils avaient plus tendance à fléchir sous l’effet de leurs poids et le test du crayon chez Odile aurait été négatif contrairement à Renée
Mais je n’en étais plus à ces considérations esthétiques. Mes mains dansèrent, mes doigts pincèrent légèrement ses mamelons et Odile se mordit les lèvres.
Le massage était désormais oublié, ma main droite délaissa son sein pour se mettre entre ses cuisses au niveau de son sexe. Mes doigts caressèrent cet endroit au travers de son pantalon, j’appuyai sur sa vulve un peu plus fort et elle se mordit les lèvres et tordit son bassin devant moi.
Mon sexe avait grossi au maximum et me faisait mal, enfermé qu’il était dans mon slip et pantalon.
Je descendis de la table, je me déshabillai et me mis face à elle ; je posais mes mains sur ses épaules plantai mes yeux dans les siens et plaquai ma bouche sur la sienne.
Elle ouvrit ses lèvres, dit
— Non !
Ses bras se serrèrent autour de mon cou et un baiser passionné nous unit un long moment.
Je la pris dans mes bras et la portai sur le divan de la salle. Je déboutonnai la ceinture de son pantalon, en baissai la fermeture éclair et le fis coulisser sur ses cuisses ; elle se leva pour l’enlever et se retrouva debout, vêtue de son seul slip couleur chair légèrement transparent qui me laissa deviner sa toison sombre.
Elle était aussi brune que Renée était blonde et cela m’allait très bien aussi.
Je me mis à genoux devant elle, ma bouche à la hauteur de son slip, je l’embrassai et décidai de le baisser avec mes seules dents.
Au début, je réussis, mais ce fut trop long pour moi, et mes mains vinrent à l’aide de ma mâchoire et le slip vola dans la pièce.
. Mon visage s’enfonça dans sa toison et les odeurs de son sexe parvinrent à mes narines. Je mis mes bras derrière ses fesses et les serrai vigoureusement contre mon visage
— Ah attention ! Cria-t-elle.
Elle faillit tomber et se rattrapa en plantant ses ongles dans mes épaules.
Je la basculai sur le sofa et m’allongeai à moitié sur elle. Ma bouche s’activait sur ses seins et ma main gauche entreprit d’explorer son corps entre les hanches et les cuisses.
Par petites touches successives, et sans que mes lèvres ne quittent ses merveilleux seins, mes doigts arrivèrent sur sa grotte et firent un simple passage devant son entrée. Elle était humide et Odile avait une respiration de plus en plus sourde. J’osai faire pénétrer un doigt dans son vagin et il s’enfonça en glissant comme une savonnette mouillée dans un bac à douche. Le mouvement rotatif que j’imprimai produisit des bruits de clapotis dans son vagin et n’en pouvant plus, je descendis ma bouche vers son pubis et la plaquai sur son sexe. Une liqueur pénétra ma bouche et je bus allégrement à ce calice.
Je posai ma langue sur son clitoris puis la tournai tout autour.
Odile commença à pousser de petits cris et des gémissements ; ses mains ses contractèrent sur ma nuque comme si elle voulait la déchirer, son bassin se souleva brusquement sans que ma bouche ne se décolle, ma langue était toujours là, active, avide à faire venir ce plaisir qu’elle attendait.
— Pierre, encore, vas-y Pierre, continue, bouffe-moi la chatte, suce-moi encore !!! , ça vient ; ouiiiiiiiii.
Je ne pus pas me soustraire à une telle demande et tout en continuant, je mis, sur l’entrée se sa rosette, un doigt qui avait été lubrifie dans son vagin puis un second.
Elle gémit puis cria sous l’effet conjugué de ma bouche et de mes doigts.
— Oh oui, je jouis. Encore.
Sa tête roula de droite à gauche régulièrement et un grand mouvement, comme si elle était accrochée à un fil invisible, la souleva depuis les fesses jusqu’aux épaules.
Elle était, sur le sofa, en appui sur la plante de ses pieds et ses épaules et le reste de son corps faisait un pont avec ma bouche toujours collée à son sexe.
Je relevai la tête, la laissai reprendre ses esprits, mais, je restai attentif, prêt à repartir à l’assaut de ma belle.
— On ne m’avait jamais fait ça
— Quoi ?
— Tout ensemble, la bouche, la langue, les doigts, c’est fou …….. Et toi ?
— Ne t’inquiète pas, le train va repasser et je monterai dans la locomotive.
Mon sexe ayant trop attendu que je prenne mon plaisir, il avait mal réagi et perdu de sa vigueur. Odile le vit et se mit à me branler, en quelques mouvements, ma guimauve avait repris la dureté d’un bâton de réglisse.
Odile, face à moi, les pieds bien à plat sur le sofa, s’accroupit sur mon sexe et dit
— Je fais la cavalière et tu vas jouir mon bonhomme
Elle mima les mouvements d’une cavalière sur une selle et je sentis une marée monter en moi. J’essayai de penser à autre chose pour ne pas me focaliser sur cette jouissance qui venait à la vitesse du cheval au galop, mais rien n’y fit, Odile menait au-dessus de moi un train d’enfer et le point de non-retour fut atteint trop vite
Mon sperme se répandit dans son vagin et plusieurs secousses témoignèrent de mon plaisir. Odile se releva légèrement sans faire sortir ma verge de son vagin et un léger filet blanc coula le long de son périnée.
Je quittai vite son vagin et l’allongeai à mon côté. Je sentis bien que ma verge devenait flasque et que tout le sperme allait couler hors de son sexe.
Alors, nous filâmes vers le jacuzzi.
Dans les bras l’un de l’autre, on se relaxa, envahis par les délicieuses sensations procurées par les petits jets d’eau pulsés
L’horloge indiquait midi et demi, on avait tout notre temps et j’embrassai goulûment Odile lui promettant d’ici quelques dizaines de minutes un autre feu d’artifice. Elle ne demandait en fait que ça.
On sortit du jacuzzi, une douce torpeur commençant à nous envahir, en restant plus longtemps, on aurait pu s’endormir
Je demandai à Odile de se mettre sur la table de massage à plat ventre, après tout, elle était venue pour se faire masser.
J’enduisis mes mains avec de l’huile parfumée au jasmin et caressai le dos d’Odile.
Mes mains ne restèrent pas longtemps à cet endroit et s’égayèrent un peu partout sur sa peau, elles insistèrent sur ses hanches , l’intérieur de ses cuisses , la fente de ses fesses, tout ce qui était en rapport avec son massage du dos , quoi !!!!
Mes mains effleurèrent sa peau comme le feraient des ailes de papillons, c’était pour elle une extrême douceur. Je versai un peu d’huile sur ses fesses et j’utilisai maintenant mon index et mon pouce gauche comme une pince à sucre pour parcourir sa raie sur la longueur et chaque fois que mon pouce arrivait à la hauteur de son anus, j’appuyai un peu pour le faire pénétrer dans sa rosette. . L’huile faisant son effet, le passage se dilata peu à peu, je pris mon temps et ne voulus pas brusquer Odile de peur qu’elle ne refusât cette caresse.
Je lui demandai , si tout se passait bien…… Elle ne dit rien, mais hocha la tête pour acquiescer.
Ma pression sur son anus s’accentua, mon pouce disparut un peu plus. Les deux phalanges étaient maintenant à chaque passage à l’intérieur de son canal, je complétai mon geste par une petite rotation pour mieux dilater son muscle anal.
Au bout de longues minutes de ce régime, son anus était près à accueillir une bite, mais je voulus la caresser sur l’autre face.
Odile tourne-toi, je m’occupe maintenant de ton coté face
Je commençai sur ses seins les mêmes caresses de papillon avec ma main droite et refis avec l’autre main la pince à sucre, mais maintenant, c’est mon index qui était dans son anus et mon pouce dans sa fente.
Mes mouvements s’accélérèrent et la pression de mes doigts sur ses parties intimes augmenta
Je me penchai sur son visage empourpré et l’embrassai. Tout son corps était soumis à mes caresses.Je sentis sa main chercher mon sexe et elle me branla.
— Pierre, mets-moi de ton huile dans la main
Je lui en versai un peu et sa paume se fit douceur extrême ; aie si elle continue, je vais jouir, non, je ne veux pas !
Je fis mettre Odile à quatre pattes avec la tête enfouie dans une serviette et les fesses bien proéminentes.
Je passai derrière elle et je léchai longuement sa chatte parfumée. Ses fesses ondulèrent sous l’effet de ma langue qui entrait dans son vagin puis allait vers son clitoris.
Je me reculai et j’avais une vue à couper le souffle.
La chatte et le cul ouverts prêts pour recevoir une bite, des cuisses bien galbées qui partaient de ses fesses, ça valait une photo ! Elle était trop belle.
Ma langue revint sur sa rosette puis son clitoris et y resta jusqu’à ce qu’un orgasme l’envahisse.
Je le sentis venir et quand il fut là, je plantais deux doigts puis trois dans son anus.
Pas de problème, la voie était ouverte, je pouvais y entrer.
J’attendis quelques minutes pour qu’elle prenne et savoure son plaisir, je montai sur la table et commençais ma sodomie très lentement. Mon gland buta sur son muscle. Je mis un peu plus d’huile et une fois le muscle passé lentement mon gland puis toute ma verge s’enfonça avec douceur et sans forcer
Odile ne dit rien, elle n’avait pas ressenti de douleur. Mon sexe pistonna son anus et je lui demandai de se caresser la chatte par-dessous, ce qu’elle fit.
Mon dieu, on ne resta pas longtemps ainsi, car on fut cueilli quasiment en même temps par une violente jouissance qui nous terrassa.
Je sortis de son orifice, elle s’allongea sur le dos et je m’approchai de sa tête
— Odile, Odile ……..J’ai adoré te faire l’amour, tu as un corps magnifique, j’espère de tout cur que tu as aussi aimé ?
Je la questionnai voulant l’entendre de sa voix, comme si je n’avais pas vu qu’elle avait joui plusieurs fois, tout cela sûrement pour flatter mon ego !!
— Odile, il est presque deux heures, tu ne dois pas rejoindre Renée.
— Tu sais Pierre après la séance de massage que tu viens de m’octroyer, je préférerais plutôt rester ici pour me reposer et me remettre de ces émotions sexuelles.
— Oui, mais Renée ?
— Ne t’inquiète pas pour elle, je lui parlerai
— Quoi ?
— Mais non, idiot que tu es. Ce qui s’est passé reste entre nous ; je ne suis parfois pas contre les partenaires multiples, mais quand on tombe sur un bon, on se le garde pour soi ou au moins on essaye
— Je suppose donc que pour Renée, il en est de même, non ?
Elle me regarda indécise, l’instant d’une fraction de seconde, je m’étais dévoilé et j’eus en même temps l’impression que mon idée de complicité entre Renée et elle, me concernant, n’était pas qu’une simple hypothèse
— Tu n’aurais pas franchi le pont avec Renée, toi ?
— Non pas du tout
Je me sentis mal; coincé, n’aurais-je pas du lui dire la vérité au sujet de Renée ? Et si en voulant garder deux fers au feu, je les perdais maintenant toutes les deux ?
Viens on va prendre une douche et après tu verras ce que tu fais. Mon premier patient vient à trois heures et j’ai encore une heure devant moi. Au fait n’oublies pas que demain je passe la journée avec vous deux, c’est aussi l’ouverture du salon de la lingerie et je veux apprendre tout un tas de choses avec mes deux professeurs ……
— Nous serons toutes les deux de parfaits chaperons pour toi.
Odile partit rejoindre Renée et je restai à la maison pensant à tout ce qui m’était arrivé depuis dimanche.
La soirée fut consacrée aux chansonniers sur les Grand boulevards et après deux bonnes heures de rigolade un taxi nous ramena tous les quatre chez moi.
Il était un peu plus d’une heure du matin et nous allâmes au lit.
Nous allâmes sagement tous au lit en fixant les heures de petit-déjeuner
— Chantal , je serai en bas à sept heures et demi pour boire mon café avec toi , et quant à vous, mesdames rendez-vous , je vous verrai demain à huit heures trente pour votre petit-déjeuner. Pas d’objection ?
— c’est d’accord répondirent-elles.
Le jeudi est à lire dans le prochain chapitre……..