Ma femme et moi, étions invités ce soir à un repas de famille.
Nous ne savions pas vraiment comment nous allions nous habiller.
Moi jai mis un petit costume simple avec un string que ma femme mavait préparé, elle adore quand je mets des strings.
Elle se trouva un petit soutien gorge rose avec un petit nud devant qui lui faisait un jolie décolleté, un porte jarretelles assorti et une paire de bas nylon blancs, par-dessus, un petit chemisier rose pale, légèrement transparent et une petite jupe mi cuisses.
Je la trouvais très jolie et sexy avec cette tenue et elle savait combien cela mexcitais lorsquelle shabillait ainsi.
Après environ une heure de route, nous arrivâmes dans une petite fermette, cette fin de journée était ensoleillée et chaude.
Il y avait déjà beaucoup de monde présent et on nous installa à coté dun couple, moi, jétais assis à coté de lhomme qui savéra être un cousin éloigné de ma femme.
Pendant le repas, nous avons bien sympathisé tous les quatre et lalcool aidant, notre conversation dévia sur la sexualité.
Le cousin me prit à part et me demanda si je concevais la bisexualité.
Je lui répondis que ceux qui la pratiquaient ne me dérangeaient pas et que je comprenais que cela puisse participer à un épanouissement sexuel complet, bien que personnellement je ne pratique pas la bisexualité et que je navais pas du tout envie de my mettre.
Il me sourit et surenchérit que cétait bien dommage car lui nen était pas à sa première expérience et que javais tout à fait raison pour lépanouissement complet.
Les femmes ne nous écoutaient pas, elles étaient entièrement prises dans leur discussion de petites tenues sexy.
Ce débat avec le cousin me mettait mal à laise et lui me souriait toujours, cétait dailleurs un couple charmant, lui bel homme et sa femme avait une sensualité débordante, tout comme la mienne.
Je souriais intérieurement, ma femme ne se doutait pas de quoi nous parlions avec son cousin et elle navait pas non plus remarqué ma gène, elles rayonnaient toutes les deux, mon regard plongea dans le décolleté de la cousine.
Soudain, je sentis une main collée à mon entrejambes, jen ai même failli avaler de travers. Cétait la main de mon cousin qui me souriait toujours et qui mangeait de son autre main comme si de rien nétait.
Là ça devenait intolérable, je le regardais dans les yeux pour lui dire dôter sa main de mon entrejambes quand il commença à me malaxer les bourses, fermement mais aussi en douceur. Tous les muscles de mon bas ventre se contractèrent et une vague de chaleur arriva jusquà mon sexe qui commençait à durcir légèrement, il sen rendit compte et continua de plus belle le massage de mes bourses.
Ca devenait vraiment bon et je commençais à apprécier cette caresse.
Je regardais ma femme désemparé, elle riait aux éclats avec la cousine.
Le cousin, quand à lui, sattaqua à ma braguette et tout en continuant de manger, il louvrit et y engouffra sa main.
Il eut vite raison du string et sempara de mon sexe déjà tout raide.
Il me glissa à loreille que javais une belle queue bien dure et douce au toucher.
Ces doigts couraient le long de ma tige qui commençait à mouiller abondamment, javais beaucoup de mal à cacher le plaisir que cela me procurait.
Il commença ensuite à me masturber doucement, ses va et vient devenaient de plus en plus amples, sa main remontait recouvrant mon gland de mon prépuce et elle redescendait pour entièrement me décalotter, je nen pouvais plus, jétais au bord de la jouissance, un mec était en train de me masturber et il le faisait superbement bien.
Je lui dis à loreille quil fallait quil arrête, que je ne pouvais plus me retenir.
Il me regarda tout en me souriant et il me dit quil fallait que je laisse libre mon corps et accepter cette jouissance quil me donnait.
Je sentais mon sexe palpiter de plus en plus, javais des difficultés à reprendre mon souffle, je fermais les yeux et me laissais aller.
Jeu une explosion orgasmique, je sentais ma semence me couler sur le pubis, il devait en avoir plein les doigts.
Lorsque jeu fini déjaculer complètement, il retira sa main, je voyais bien des filets de sperme sur ses doigts, il les porta à sa bouche pour se lécher les doigts avec gourmandise.
Il me dévisagea puis me dit que je navais pas mauvais goût.
Moi, je ne me rappelle pas avoir eu une telle jouissance de toute ma vie, pourtant ma femme savait y faire.
Il prit soin de remonter ma braguette. Je sentais tout mon sperme mengluer la queue et mon pubis, il me coulait même sur les bourses.
Le repas était loin dêtre fini et je me demandais bien ce qui allait pouvoir encore marriver avec le cousin.