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Repas de famille chez ma tante – Chapitre 1

Repas de famille chez ma tante - Chapitre 1



Mercredi 1er mai, c’était repas de famille chez ma tante en petit comité. Ma femme me demande traditionnellement quelle tenue porter, je lui propose sa petite robe noire flottante que j’adore et bizarrement, elle me demande de mettre une tenue… Pourquoi pas ? Ca sera chemise, pantalon… Rien de bien spécial, mais je joue le jeu.

Nous voilà partis pour 1h de route, nous discutons de choses et d’autres et plus le trajet avançait, plus la robe de ma femme remontait. Je lui glisse :

Tu vas finir par me déconcentrer à remonter ta jupe de cette manière.

Oui, garde les yeux sur la route, mais rien ne t’empêche d’utiliser ta main droite.

Effectivement, merci la boîte automatique.

Je tente de poser ma main sur sa cuisse, mais ce nest tout de même pas pratique et je fais quelques écarts.

Je vais le faire pour toi, regarde la route.

Cette fois, sa robe ne couvre plus ses cuisses et elle commence à se caresser, n’arrivant plus à conduire, je sors sur un air d’autoroute, par chance, il n’y avait pas grand monde.

Je vais pouvoir m’amuser un peu.

Oh non, mon homme, c’est moi qui vais m’amuser et toi, tu va me regarder me faire jouir.

OK, je profite du spectacle.

Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle arrive à ses fins, elle était tellement excitée et puis surtout, je compris pourquoi elle était dans cet état. Avant de partir, sans m’en parler, elle avait pris de quoi s’occuper pendant le trajet : des boules de geisha bien installées en elle.

Je comprends mieux ton état, chérie.

T’imagine pas, c’est la fête depuis qu’on roule, j’ai beaucoup aimé les petites routes. Sur l’autoroute, c’était moins drôle, ça bouge moins.

On reprend la route ou bien il y a une autre surprise ?

Pas tout de suite, avant, je vais m’occuper de toi.

C’était la première fois qu’on s’amusait hors de notre chez-nous et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé. Elle passa de mon côté, dézippa mon pantalon, sortit mon sexe de mon boxer pour le mettre dans sa bouche. Ses lèvres étaient chaudes, douces. Une vague de bonheur m’envahit lorsqu’elle commença les va-et-vient. Je sentais ma jouissance venir.

Je vais jouir chérie, c’est trop bon comme tu me suces.

Attends, pas tout de suite, je ralentis.

Comme tu veux, mais j’aime trop sentir tes lèvres.

Elle redéposa ses lèvres sur mon gland, le mouilla bien avec sa salive et le prit de nouveau en bouche. Je ne tenais plus, mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Cette fois, plus de va-et-vient, mais mon sexe s’enfonce dans sa bouche.

Oh putain, oui, prends ma bite dans ta bouche.

Elle continua jusqu’à l’avoir entière dans la bouche. Totalement inhabituel et tellement bon, je ne pus me retenir et je jouis dans sa bouche et elle n’en perdit pas une goutte.

Tu m’as bien baisé la bouche, chéri, peut-être, plus tard, tu me baiseras autrement.

Je compris qu’aujourd’hui, c’est elle qui mène le jeu. Pourquoi pas… ?

Nous reprenons la route en appelant ma tante pour l’avertir que nous aurons un peu de retard, prétextant un besoin de vérifier un truc sur la voiture lorsque nous étions sur l’autoroute. Ma femme continua à discuter comme si rien de ne s’était passé, mais je sus que ce n’était pas fini, car elle a gardé en elle son jouet passe-temps. Arrivé à destination, nous nous excusâmes du retard et filons rejoindre le reste de la famille. Un repas de famille reste un repas de famille, on parle de choses et d’autres, on prend des nouvelles. L’apéro se termine et ma tante nous invite à aller nous installer sous la véranda. Nous étions en bout-de-table, du coup, nous pouvions discuter avec tout le monde. Je sentais ma femme ne pas tenir en place, elle était un coup sur la fesse droite, un coup sur la gauche. Ma tante le remarqua :

Tout va bien, Angelle ?

Oui, t’inquiète pas, j’ai juste du mal à trouver une place pour m’installer, sûrement à cause de la route.

Tu veux t’étendre un moment ?

Non, ça va aller.

Je m’imagine la réponse dans sa tête : oui, bien sûr, je vais aller me coucher dans ton lit et ton neveu va venir me rejoindre pour me baiser comme jamais. Cette scène me fit sourire. Ma femme s’approcha de mon oreille :

Sors de ma tête, vilain fripon, et non, je n’ai pas envie de dormir !

Loin de moi cette idée…

Et je repris ma discussion avec ma cousine. Le repas avance et il est temps du dessert. Tout le monde se lève pour aider à débarrasser et se dégourdir les jambes. J’attrape ma femme par les hanches pour l’approcher de moi et lui glisse à l’oreille :

Alors, tu tiens le coup ?

Pfff arrête, j’en peux plus. Je suis toute mouillée et j’ai très envie de me faire baiser.

Parfait, alors, file à la salle de bain…

Tu vas me rejoindre ?

Non, tu vas juste retirer ta culotte et revenir pour le dessert.

Mais les boules ne vont pas tenir.

Ça, c’est toi qui vois.

Je la regarde partir en balançant ses hanches… J’ai bien failli craquer pour aller l’aider. Dix minutes plus tard, elle nous retrouve, nous sommes réinstallés à table.

Bah alors, j’ai cru que tu t’étais perdue dans la maison, lui lança ma tante.

Non, quand même, je me suis refait une petite beauté.

Nos regards se sont croisés et je n’en croyais pas un mot. Les discussions reprenaient comme si de rien n’était. Je sentis Angelle attraper ma main pour la poser sur sa cuisse. Mais pour la taquiner, je ne bougeai pas. Elle ne tenait toujours pas en place et reprit ma main pour la placer entre ses cuisses. Encore heureux que la nappe de la table était grande. Elle ne portait plus de culotte et sa petite chatte était toute mouillée, mes doigts en profitaient pleinement, mais surprise, je m’attendais à trouver les boules, mais non, elles n’y étaient plus. Discrètement, à son oreille :

Tu n’as pas trouvé de solution pour les garder ?

Si si, cherche un peu mieux.

Je continuai les recherches tant bien que mal. La position n’était pas des plus simples et puis, il fallait quand même rester discrets.

Non, toujours rien, je vois vraiment pas où tu les as cachés ?

Elles sont dans mon cul !

Ah, je comprends mieux pourquoi je les trouve pas. Parfait, comme ça, ta chatte est toute pour moi.

L’après-midi fut à la fois longue car j’avais qu’une envie, m’occuper d’Angelle et en même courte, car bien occupé à jouer avec Angelle. Étonnamment, le retour lui a été plus long, l’avantage des petites routes de campagnes un jour férié… Il n’y a personne et on peut s’y amuser tranquillement.

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