Adèle sintéressait surtout à la contestation qui gagnait peu à peu le clan des Libyennes. De mon côté, je modulais mes contractions abdominales pour bénéficier au maximum du savoureux massage de mes tresses vaginales.
— Mesdemoiselles ! Je vous sens mal à l’aise. Il me parait opportun de vous poser une question cruciale. Une réponse positive de votre part impliquera de votre part un engagement sans faille, sachant que vous serez à vie tenue au secret à vie sur la suite de la captivité réservée à Manon. Voilà! Si l’une d’entre vous estime que ce que nous comptons faire subir à Manon la heurte, qu’elle se manifeste! A mains levées, SVP! Comment cela, vous me désapprouvez toutes ?
— Pour nous permettre de nous installer et surtout de nous familiariser avec vos appareils de tortures, les cours mériteraient dêtre reportés à une date ultérieure. Pour être franche, nous avons toutes une furieuse envie dabuser delle et de l’épuiser avant que les supplices naccomplissent leur uvre destructrice. Sans compter que le calvaire que nous lui préparons sera nettement plus insupportable si notre proie est sexuellement rassasiée. La condamnée est non seulement ravissante mais ses réactions à la douleur, notamment à la torture électrique, sont étonnantes. Après concertation, nous estimons que deux ou trois jours seraient nécessaires pour organiser un festin diabolique à la mesure de la beauté de notre blonde.
— Nos deux chemins ne sont pas incompatibles. Je dirais même qu’ils se rejoignent complètement. Des années durant, j’ai imaginé comment je me conduirais le supplice d’une fille qui souhaiterait tenter l’expérience de la captivité que je lui proposerais. Le concept d’orgasme forcé rythmé de souffrances vives jusqu’à ce que mort s’ensuive a toujours été celui qui m’émoustillait le plus. Je vais vous conter une anecdote. Dans certaines civilisations, le roi condamnait ses prétendantes indociles à subir des orgasmes forcés jusque mort s’ensuive. Contrairement à Manon, les pauvres n’étaient évidemment jamais consentantes et ne résistaient guère plus dune dizaine dheures. Rarement aussi étaient-elles aussi jeunes mais aucune, sans doute, navait son endurance sur le quinze cents mètres. Je vous propose que vous la violentiez toute une semaine, pas moins. J’insiste fortement pour que vous la sollicitiez très régulièrement jusqu’à transformer son sexe en lance dincendie tant vous la forcerez à éjaculer. Je fais confiance à votre imagination et à votre malice pour abuser de cette fille jusquà son épuisement total avant de martyriser méthodiquement les parties les plus noble et les plus délicates de son anatomie.
— Promis, mademoiselle Adèle! Elle ne saura très rapidement plus où donner de la tête. Nous considérerons d’ailleurs comme un affront impardonnable, imputable à « Bijou », le refus d’honorer chacun de nos efforts masturbatoires par un orgasme éblouissant.
— Excuse-moi, petite, mais je tiens à être aussi franche avec toi dans la description de mes pulsions que tu ne l’as été avec moi en détaillant les tiennes! J’ai vu le regard incrédule de certaines filles de l’assemblée quand tu décrivais tes orgasmes en rafale. Sachez, mesdemoiselles, que, physiologiquement, la femme est capable d’orgasmer de nombreuses fois de suite sans pause réfractaire si elle est bien stimulée! Combien dorgasmes estimez-vous devoir exiger de votre esclave ?
— Mes amies et moi en avons discuté ensemble durant l’interruption. Nous sommes tombés d’accord sur un minimum de soixante orgasmes journaliers…trois fois avec chaque fille. C’est cela. Continue à mouiller sur tes belles cuisses, ma jolie!
— Jamais je n’ai joui plus de trente fois par jour…vous allez m’assassiner ?
— Je ne t’ai demandé de commentaires, il me semble. Estimez-vous, mesdemoiselles, que cette nouvelle désobéissance mérite que je conforte son châtiment? Vous êtes toutes daccord pour une fois. J’en suis ravie. C’est un bonheur sans pareil de se sentir épaulée.
Emportée par l’euphorie collective, la directrice commençait tout doucement à perdre les pédales.
— Connais-tu le syndrome de la chèvre? Non, je suppose. Quelquun peut-il lui expliquer?
—
La plus âgée des élèves se manifesta.
– Un vieux dicton de chez nous dit: " Plus souvent la chèvre est traite, plus elle donnera du lait".
— Bravo pour cette réponse pertinente ! Je vous suggère de contraindre votre chèvre à orgasmer cinq fois de plus chaque jour qui passera au risque de surmener sa chatte. A la fin de la semaine, la traite devra obligatoirement produire cent jouissances.
Jasmine sétonna de mon absence de réaction. Elle ne manqua pas de remarquer la mare qui sétalait entre mes cuisses.
— Depuis un moment je me doutais que tu commençais à prendre ton pied, vicieuse. Retirez vite les tresses ou elle va finir par jouir !
— Vous êtes horribles. Je me sentais si bien.
— Dire que j’avais quelques remords davoir insisté pour que ton adorable petite chatte soit quelque peu surmenée. Et toi, tu ne penses quà tenvoyer en lair.
— Maman ! Le moment me semble propice pour transformer "Bijou" en une émeraude rutilante.
— Tu as raison. Jasmine! Apporte la solution à 2% et un pinceau! Toi, prépare une pince cochère et quelques tampons! Et toi, pose-lui le mors aux dents! Jai horreur de subir les hurlements de mes soumises quand je les martyrise. Souviens-toi des affres suivant lapplication de sable sur ton sexe! Cette petite fiole te rappellera cette expérience délicieuse à la puissance 1.000. Tu verras, ma pauvre chérie, que moi non plus je ne manque pas de fantaisie pour martyriser les sexes qui m’inspirent.
— Si vous croyez me faire peur, vous vous trompez lourdement. Plus vous irriterez mes muqueuses, plus fort je jouirai, même si le plaisir se fera attendre plus longtemps.
— Vous me la museler ou quoi? C’est nettement mieux quand elle est privée de la parole.
Elle trempa son pinceau dans une petite fiole et s’amusa à chatouiller consciencieusement Bijou. Une chaleur intense envahit mon organe. D’agréable au début, la sensation vira après trente secondes au douloureux, limite supportable. Dès qu’elle introduit son tampon imbibé dans mon vagin, de vraies larmes commencèrent à sinuer sur mes joues. Elle s’acharna sur mon point G comme si elle voulait le poncer. Elle en remit une couche sur Bijou et prit un peu de recul pour contempler son uvre. Mon sexe se comportait comme une huître qui reçoit une rasade de citron. Un million de fourmis affamées semblaient avoir investi ma grotte de plaisir. Bijou était le siège de douleurs lancinantes.
— Encore un peu de patience, ma beauté, dans une ou deux minutes, le décapant aura rempli son rôle et les douleurs cuisantes atteindront son paroxysme. C’est le côté négatif de l’expérience. Côté positif, tu posséderas une vulve de compétition qui ne te laissera plus en paix avant plusieurs jours. Il te sera impossible de te comporter normalement en société. Tes mains seraient occupées à temps plein…si je t’en laissais l’usage. Jasmine, le vernis! Une fine pellicule se déposera sur les muqueuses qui sont à vif pour le moment. Ne te réjouis pas trop vite! Ce film n’apaisera en rien, au contraire, ton hypersensibilité. Il servira surtout à empêcher ta chatte qui sera énormément courtisée, de saigner trop vite sous la sollicitation des brutes qui te regardent pleurer. Ne me remercie surtout pas, ingrate! Pour une fois que je laisse parler mon cur. Jen ai fini avec elle. Détachez-la et ramenez-la dans sa chambre. Son lit est fait de métal et vous permettra de l’écarteler. Pas question qu’elle se touche. Demain, à la première heure, Manuelle viendra dans mon bureau. Je lui fournirai divers lubrifiants de ma composition pour garder Manon sur des charbons ardents ainsi les clés des diverses salles du château qui vous permettront de varier les tourments de la blonde au gros clitoris quand sa libido sera éteinte.
Bien que meurtrie et rivée à la structure de ma couche, la gentillesses que les Libyennes me témoignèrent rendit de retrouver ma qualité de personne humaine. Rien à voir avec le scénario qu’elles avaient élaboré à mon intention qui était si horrible que difficilement envisageable. Certes, je me doutais qu’elles allaient m’en faire baver mais de là à me détruire. Dès que je suis parvenue à me convaincre de cela, je me suis endormie comme une souche.
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