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Retour de vacances – Chapitre 2

Retour de vacances - Chapitre 2



Chapitre II

Il fait chaud, plus de 30 degrés, l’air déplacé au fil de la route est brûlant, mon fils et moi sommes en short, torse nu, Aline est vêtue d’une petite jupe plissée ultra mini, d’un string en dentelle et d’un bustier qui peine à garder cachée sa jolie poitrine. Jenny est carrément en bikini, le dessus cache juste ses tétons, le dessous n’est pas plus grand qu’un timbre poste, elle suscite les coups de klaxon des routiers que nous croisons où que nous doublons.

Loin d’être offusquée, elle leur répond d’un petit geste amical de la main ce qui énerve sa mère.

Nous nous rendons dans un petit patelin des environs de Lyon répondant ainsi à l’invitation d’Henry B..et de Claire son épouse, le couple que nous avions dépanné sur l’autoroute au retour des vacances.

Dans le coffre, Aline a déposé soigneusement les vêtements que nous comptons passés une fois arrivé à destination. Nous ne sommes d’ailleurs plus très loin, mon GPS indique 12 kilomètres, j’en informe mes passagers et profite d’une petite plage de stationnement à l’orée d’un bois pour arrêter le véhicule derrière un massif d’aubépine. Nous profitons de cet arrêt mon fils et moi pour enfiler une chemise, les filles se sont accroupies derrière un arbre pour satisfaire un besoin urgent. Si mon épouse m’est totalement cachée, il n’en est pas de même de Jenny, ma fille me fait face, pour plus de facilité elle a enlevé la culotte de son bikini, elle s’est accroupie et les jambes écartées, offre à ma vue une chatte superbe d’où s’échappe une liqueur d’or. Je ne peux détacher mon regard, quand enfin je réussis à lever les yeux, je croise ceux de ma fille, un petit sourire éclaire son visage et ses yeux pétillent de malice. Je me sens gêné, non seulement de l’avoir regardée, mais de l’effet qu’elle a produit en moi, malgré mes efforts, je ne peux m’empêcher de bander, une énorme bosse déforme le devant de mon short et la chemise n’arrive pas à dissimuler mon érection.

Ma fille s’est essuyée avec un mouchoir en papier, a remis sa culotte et revient vers la voiture. Se penchant à mon oreille, elle m’embrasse et murmure :

« Le spectacle t’as plu mon p’tit papa ? »

Je ne sais que répondre, elle pose la main sur ma poitrine, regarde autour d’elle pour constater que sa mère et son frère sont occupés dans le coffre et descend sur le devant de mon short. Elle passe la main plusieurs fois sur ma virilité tendue à tout rompre, j’ouvre la bouche, mais aucun son ne sort, je suis muet par tant de hardiesse, ces lèvres sont toujours contre mon oreille ;

« Oh oui ! Il t’as plus »

Sur ces mots, elle éclate de rire et rejoint sa mère qui lui tend une petite robe de plage dont elle s’est elle-même revêtue ayant enlevé sa minijupe et son bustier.

Les enfants sont installés à l’arrière, Aline revient s’asseoir sur le siège passager me regarde et constate mon trouble :

« Qu’est-ce que tu as ? On dirait un gosse qui vient de faire une grosse bêtise »

« Il a vu ma chatte pendant que j’urinais, il en est tout retourné, je parie qu’il bande encore »

« Jenny, çà suffit, c’est de ton père que tu parles, je ne te savais pas aussi dévergondée, tu devrais avoir honte ».

« Parce que toi tu ne l’étais pas la nuit dernière quand tu suppliais papa de te prendre ? »

« Ah, t’écoute aux portes en plus ? »

« Pas besoin, même Benoît qui dort au bout du couloir t’a entendue, je parie qu’il se branlait, en tout cas moi je me suis masturbée et quand je t’ai entendue hurler de plaisir, j’ai eu en même temps un orgasme terrible ».

Aline reste bouche bée, elle regarde Benoît qui est prêt à éclater tellement il est rouge, elle me regarde, se cache la tête dans les mains, elle retrouve sa voix :

« Qu’est ce que j’ai fait pour avoir une famille pareille, mais dis quelque chose toi ! »

J’ai repris le dessus, je lui prends le bras, l’attire de force entre le volant et moi, et l’embrasse avec passion tout en glissant ma main sous sa robe, caressant l’arrière de ses cuisses et la naissance de ses fesses, je la sens fondre comme neige au soleil, elle répond avec fougue à mon baiser. Les yeux fermés elle pousse un gémissement et jette la tête en arrière, c’est alors que je vois la main de Jenny passée entre les deux sièges s’activer entre les cuisses de sa mère. Aline écarte légèrement les jambes, les doigts de Jenny ouvrent ses lèvres et pénètrent doucement son intimité pour commencer un va et vient avec quatre doigts plus son pouce qui écrase en tournant son petit bouton d’amour. C’est alors qu’elle se rend compte que j’ai une main dans sa nuque et que l’autre continue à caresser son postérieur, elle ouvre les yeux et crie sa désapprobation :

« Oh noonnnn Jenny, nooooonnnnnnn »

Son cri manque terriblement de conviction, c’est plutôt un assentiment, Jenny continue son mouvement, Aline s’offre de plus en plus, je redresse son buste, l’invite à me prendre dans sa bouche, elle se relève ce qui fait sortir la main de Jenny, elle se met a genou sur le siège passager, baisse mon short, glisse une main sous mes bourses et enfourne mon pieu au fond de sa gorge. Le cul en l’air, sa robe relevée sur ses reins, ses lèvres ouvertes laissent apparaître le corail de sa vulve, Jenny a entrouvert la portière, elle passe son bras sur le côté du siège et reprend ses va et vient dans le vagin de sa mère à la différence que maintenant son pouce est enfoncé profondément dans son anus. Benoît a enlevé son short, il se glisse la queue dressée sous les fesses soulevées de sa sour, il soulève sa robe, écarte son string et la fait asseoir, son pieu tendu perforant les chairs de son vagin.

Jenny pousse un long gémissement de plaisir qui se répercute dans l’intimité d’Aline. Son pouce a rejoint ses autres doigts, sa main enfoncée jusqu’au poignet, le poing fermé, elle pistonne les parois vaginales de sa mère.

Secouée par des tremblements de plus en plus violent, Aline a cessé sa fellation, pendant plus de cinq minutes, j’assiste à une scène des plus hard. Benoît rouge d’excitation enfonce son sexe au plus profond de sa sour qui tout en tortillant furieusement de la croupe et en criant des mots obscènes, fiste sa mère au plus profond de ses entrailles. C’est d’abord Jenny qui atteint l’orgasme, suivie immédiatement par Benoît, Aline à des petits orgasmes successifs qui la fond hurler sans toutefois la satisfaire pleinement, Jenny accélère son mouvement et tout à coup, la foudre tombe, les cuisses d’Aline se resserre brusquement, ses yeux se révulsent, je lui enserre la gorge, ses bras battent l’air, ses jambes se dérobent sous elle, elle s’effondre parcourue par des spasmes profonds, la main de Jenny sort de son vagin en émettant un bruit de ventouse suivi d’un gargouillis de sécrétions vaginales. Jenny fait le tour de la voiture, ouvre ma portière, présente ses doigts recouverts de la liqueur de ma femme devant ma bouche, je lui prends le poignet, suce ses doigts un à un pendant qu’elle se penche pour me prendre dans sa bouche. Le spectacle auquel je viens d’assister et la fraîcheur des lèvres de Jenny sur mon gland turgescent sont plus que je ne peux supporter, une violente explosion traverse ma hampe des testicules jusqu’au méat, ma verge tressaute, la bouche de Jenny se referme hermétiquement sur ma hampe, plusieurs giclées de sperme chaud se déversent au fond de sa gorge, Elle avale tout avec délectation et me suce pour extraire les dernières gouttes.

Nous remettons tous un peu d’ordre dans notre tenue, sans dire un mot, gêné par ce qu’il vient de se passer, c’est Jenny qui rompt le silence :

« Qu’est ce que c’était bon, le jus de mon frère dans mon ventre et celui de mon père dans ma gorge, pourquoi ais-je attendu si longtemps pour connaître un tel plaisir ? »

Sur ses mots, elle se tourne vers son frère et l’embrasse à pleine bouche, fait la même chose avec moi puis se tourne vers sa mère, pendant plus de vingt secondes elles se regardent au fond des yeux, Aline entrouvre les lèvres et les tends vers sa fille qui s’en empare et glisse sa langue pour un baiser passionné.

« Maman, Papa, on recommencera dites ».

Aline sourit, caresse la joue de sa fille, ses yeux brillent, je sais que l’on recommencera.

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