Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe hétéro Histoires tabous

Retour à Palavas – Chapitre 7

Retour à Palavas - Chapitre 7



Chapitre 7

Il est près de neuf heures du matin, quand je me réveille, ce jeudi.

Je suis nue sur mon lit. Mon minou est encore tout sensible, et malgré mon jeune âge, je ressens  quelques courbatures dans tout mon corps, séquelles des ébats sexuels plus qu’intenses auxquels je me livre depuis le début de la semaine.

Tout est allé très vite. Lundi, mon inscription au club de voiles, et l’après-midi même, ma première leçon, qui s’est terminée par une chaude séance de baise dans le vestiaire, avec Alex, mon moniteur. Une deuxième leçon mardi après-midi, toute aussi brûlante, mais cette fois, nous avons fait l’amour sur la plage. Et le soir même, il m’invite au restaurant, et nous poursuivons la soirée dans le club tenu par son amie Sandra, avant de passer une nuit torride tous les deux. Hier, les "festivités" ont commencé à la mi-journée, juste Sandra et moi, mais quel tempérament, cette jolie métisse ! Puis nous sommes partis ensemble en voilier, pour un plan à trois mémorable.

Dire que je me demandais, en arrivant à Palavas, si j’arriverais à oublier ma déconvenue amoureuse avec Thomas !

Et aujourd’hui

J’ai prévu de passer prendre Alex, pour le conduire dans un lieu dont je n’ai rien voulu lui dire. Je me réjouis à l’avance, en imaginant sa tête, quand il réalisera où je l’ai emmené !

Je prends mon petit déjeuner, et je passe sous la douche, sans pouvoir cesser de penser à cette nouvelle journée que nous allons passer ensemble, en essayant d’en imaginer à l’avance les détails, et de ne rien laisser au hasard.

Avant de m’habiller je mets plein de bijoux. Puis j’enfile une petite robe de plage à fines bretelles, très courte, sans rien dessous, et des chaussures à hauts talons. Je me regarde dans la glace : je suis sure qu’Alex va commencer à bander, en me voyant ! Puis je prépare mon sac de plage, et je monte dans ma Twingo.

Les battements de mon cur s’accélèrent quand je me gare devant chez lui, et quand je sonne à la porte de l’immeuble. Cet endroit me rappelle cette première nuit de folie, que nous avons passée ensemble. C’était avant-hier, mais j’ai l’impression d’être à lui depuis bien plus longtemps !

Quelques secondes plus tard, je l’aperçois, finissant de dévaler l’escalier, et ouvrant la porte pour me rejoindre. Il m’enlace et il me serre fort contre toi, il m’embrasse à pleine bouche, sans se soucier des personnes qui peuvent nous voir.

Il porte un bermuda en toile, et un tee-shirt qui moule ses pectoraux. J’adore le voir dans ce genre de tenue, qui met en valeur sa silhouette et son bronzage. Et lui aussi, il me détaille, des pieds à la tête.

— Très jolie, ta robe, Ambre, elle te va à ravir. Je vais parier que tu ne portes rien dessous.

— Gagné ! Ça se voit à ce point là ?

— Non. Mais maintenant, je te connais. Au fait, où m’emmènes tu ?

— Surprise ! lui dis-je avec un air mystérieux. Tu ne le sauras que lorsque nous serons arrivés.

— Mmmmh En voyant la route que tu prends, j’aurai peut-être une idée.

— Ça m’étonnerait J’ai tout prévu.

Tout en parlant, nous sommes montés dans ma petite voiture, et Alex attache sa ceinture de sécurité. Mais avant de démarrer, je sors un petit morceau de tissu de mon sac de plage, et je lui bande les yeux.

— Qu’est ce que c’est ?

— Le petit slip que je portais le premier jour, quand tu m’as sautée dans le vestiaire. Je ne l’ai pas lavé depuis.

— Je vais devoir garder les yeux bandés pendant tout le trajet ??

— Oui. Mais si tu t’ennuies, je te permets de

Je prends sa main, et je la guide sous ma robe. Aussitôt ses doigts se font indiscrets, caressent ma petite chatte, et me voila déjà toute humide A moi aussi, la route va sembler longue !

Je démarre, et nous sortons de Palavas. Nous roulons vers l’ouest, en longeant la mer, nous traversons Sète Alex se demande de plus en plus où nous allons. Nous roulons en tout un peu plus d’une heure, durant laquelle sa main ne sort que rarement de sous ma minirobe. Et pour être honnête, je dois avouer que la mienne repose souvent sur la bosse qui gonfle son bermuda.

Enfin, je gare ma voiture. Je coupe le contact, et je dénoue son bandeau

Nous sommes face à une barrière, et à un bureau installé dans un bungalow, à côté desquels un grand panneau indique :

Cap d’Agde

Village naturiste

Alex considère le panneau, avec un il amusé, et je lui demande :

— Tu es déjà venu ici ?

— Non. Mais je connais l’endroit et sa réputation ! Et toi ? Tu es déjà venue ?

— Oui. Mais je ne t’en dirai pas plus pour l’instant. Au fait, es tu d’accord pour y passer la journée avec moi ?

— Cette question !

— Et tu sais qu’on doit se mettre à poil ?

— Je m’en doutais un peu, me répond-il dans un grand éclat de rire.

Nous entrons dans le bureau, enlacés comme deux amoureux. Une hôtesse est en train d’accueillir un couple d’allemands, et je ne peux m’empêcher de la regarder avec insistance. Elle doit avoir entre 30 et 40 ans, blonde décolorée, mince, hyper bronzée. A ce poste, elle ne peut être nue, mais son débardeur ultra moulant et son microshort laissent deviner qu’elle ne porte rien dessous. Notre tour arrive très vite, et le couple d’allemands nous sourit en sortant.

— Bonjour, nous dit-elle, avec un air enjoué. Vous venez au Cap pour combien de temps ?

— Juste pour la journée. Enfin, peut-être qu’on reviendra pendant la saison, si ça plaît à mon compagnon.

— Je crois que l’endroit devrait lui plaire, avec une compagne comme vous, me répond l’hôtesse avec un clin d’il complice.

Elle nous fait payer nos entrées, nous remet un plan du village et m’indique où stationner.

— Je vous rappelle que la nudité est obligatoire, dans le village et sur la plage, ajoute-t-elle. Mais vous devez le savoir déjà.

— Rassurez vous, répond Alex, le plus dur, avec mon amie Ambre, c’est de se rhabiller.

Nous rions tous les trois. Je rentre ma voiture dans l’enceinte du village, je la gare à l’emplacement indiqué par l’hôtesse, et je regarde Alex en souriant, tout en ouvrant la portière.

— Ma surprise te plaît ?

— Bien sur que oui, répond-il. J’ai très envie de te voir évoluer en tenue d’Eve.

— Et pour toi, en tenue d’Adam. Il n’y a pas de raison pour que les filles soient seules à se faire mater.

— Même si je suis à côté de toi, je crois que les regards s’attarderont plus sur toi que sur moi

J’ai ouvert le coffre, et je baisse la fermeture, dans le dos de ma robe, avant de la faire glisser le long de mes hanches et de mes jambes. Comme il me dévore des yeux, je lui demande :

— Je te plais ?

— Tu connais la réponse ! Et te voir nue, toute bronzée, avec juste tes hauts talons et tous ces bijoux Très excitant !

J’ai mis une petite chaîne en or autour de ma taille, une chaînette assortie à une de mes chevilles, un lourd collier fantaisie ras de cou, des bagues à presque tous mes doigts, plusieurs bracelets à mes deux poignets. C’est une copine qui m’avait donné ce conseil : une profusion de bijoux rend encore plus sexy une fille nue !

Tout en me parlant, Alex enlève son tee-shirt, puis il baisse d’un seul mouvement son bermuda et son boxer. Il est nu à ton tour, et c’est à moi de le mater. Pas mal, ce mec Dommage, son cul un peu trop blanc, il faudra que je l’invite plus souvent à venir sur ma terrasse

Je récupère mon sac de plage. Il me prend par l’épaule, et nous nous engageons, au hasard, sur les chemins qui parcourent le village, qui ressemble plus à une ville. Les grands immeubles construits en cercle, qui doivent dater des années 70 ne sont pas terribles. Il y a aussi des constructions plus petites, genre villas, plus agréables. Mais ce qui est le plus surprenant, ce sont les commerces, avec surtout la nudité des clients.

Nous croisons régulièrement des résidents, dans le plus simple appareil, qui nous confirment que les belles femmes et les beaux hommes ne sont pas si répandus Beaucoup de poitrines tombantes, de cellulite, de brioches proéminentes, de sexes qui pendouillent.  Mais pas seulement, heureusement ! il ne faut pas généraliser. Ni juger.

Nos estomacs nous rappellent qu’il est plus de midi. Avant d’aller profiter de la plage, nous nous installons à la terrasse d’un restaurant, et le regard d’Alex s’allume, en voyant approcher la serveuse qui vient prendre notre commande.

Elle est jeune, à peu près le même âge que moi. Sans doute une étudiante, qui travaille pendant les vacances pour se faire un peu d’argent. Grande, très brune, mince, avec une jolie poitrine. La nudité n’est pas autorisée pour le personnel du restaurant, mais dans la lumière du soleil, sa mini robe en lin, fin et tissé très lâche, laisse voir qu’elle ne porte rien dessous.

Alex ne la quitte pas des yeux, pendant que je lui pose des questions sur les plats de la carte. Elle me répond avec beaucoup de gentillesse, et je fais durer le plaisir. D’autant plus que, pour le taquiner, j’ai posé une main sur la cuisse d’Alex, et que, du bout de mes doigts, j’effleure son sexe, que je sens gonfler et se dresser un peu.

Au bout d’une minute, je suis prise à mon propre piège, et mes tétons se mettent à pointer, pendant que ma chatte s’humidifie.

— Tu oses vraiment tout, me dit-il après qu’elle se soit éloignée.

— Attends d’être sur la plage, tu vas voir.

La serveuse nous amène des apéritifs, et nous commençons à discuter, comme un couple bien sage. Très vite, Alex veux en savoir plus sur mon expérience ici.

— Tu m’as dit que tu étais déjà venue au Cap. C’était seule, ou avec un homme ?

— C’était l’an dernier, avec une fille ! Sandy, une copine que j’avais perdue de vue. Nous nous sommes retrouvées sur les réseaux sociaux. Elle venait en vacances dans la région, et je suis allée passer trois ou quatre jours avec elle. Elle était déjà venue ici, et comme nous sommes toutes les deux assez cochonnes ne rigole pas elle m’a proposé de me faire découvrir l’endroit.

— C’est vrai ce qu’on dit ?

— Qu’est ce qu’on dit ?

— Que c’est un village fréquenté par les libertins, plus que par les "vrais" naturistes.

— Disons que ce n’est pas faux Tu te feras ton opinion, dis-je à Alex avec un sourire plein de sous-entendus.

Entre-temps, la serveuse nous a apporté nos plats, et il l’a encore dévorée du regard. J’avoue que moi aussi Nous mangeons tranquillement, et nous profitons de ce moment de calme pour échanger sur nos vies et nos projets.

Puis, notre repas terminé, nous décidons d’aller découvrir la plage. Je le guide, et nous passons par le camping du village. Arrivés sur la plage, nous partons sur notre gauche, en longeant la mer.

— C’est bien une plage réservée aux naturistes, me dit-il après deux minutes de marche sur le sable, mais je ne vois pas ce qu’il y a de libertin ici.

— Ne sois pas si impatient. Il faut marcher encore un peu, ça se mérite !

Et au bout de quelques instants, nous commençons à voir des personnes, surtout des hommes, qui marchent sur la plage, au milieu des estivants, épiant leurs faits et gestes. Je propose à Alex de chercher un emplacement, pour installer nos serviettes, et tout en marchant, je remarque trois hommes qui viennent de s’arrêter auprès d’un couple.

Nous approchons, et là Un homme à demi étendu, en appui sur un coude, est en train de caresser sa compagne. Celle-ci l’embrasse sensuellement, tout en exhibant sa chatte ouverte et humide, cuisses écartées.

Ils prennent tout leur temps, et s’offrent en spectacle, attirant d’autres voyeurs. Bientôt, je ne suis plus la seule fille, car deux couples nous ont rejoints.

Sous nos yeux, la femme suce son homme, qui la doigte. Elle gémit sans retenue, et prend des poses qui nous permettent de ne pas perdre une miette de leur exhibition. Nous voyons les doigts de son partenaire découvrir son clito, aller et venir dans sa fente, la mouille qui coule sur leur tapis de plage, pendant que ses lèvres montent et descendent sur la verge dressée à la verticale.

Autour de nous, tous les mâles sont au garde-à-vous, et Alex ne fait pas exception. Comme les autres couples, il me caresse. Mes seins pointent, mes petites lèvres sont toutes trempées

Puis la femme vient chevaucher son homme. Elle prend son pieu dans sa main, et guide le gland entre ses cuisses, vers son minou, qu’elle ouvre avec ses doigts. Lentement, elle s’empale, en poussant de petits cris de plaisir, et à quelques mots qu’ils échangent, je comprends qu’ils sont allemands.

Autour du couple, plusieurs hommes se sont rapprochés, et se branlent. Tout en montant et descendant sur la bite de son compagnon, la belle allemande commence à caresser aux hasard les sexes qui passent à portée de sa main.

Ce spectacle nous excite tous les deux. Surtout moi, qui repense aux moments passés sur cette plage, avec Sandy. La main d’Alex est entre mes cuisses, que j’écarte pour qu’il puisse me caresser à sa guise, et moi aussi, ma main va et vient le long de son phallus dressé.

— J’ai envie de toi, me glisse-t-il à l’oreille.

— Moi aussi Tu as envie de me faire jouir, devant tout le monde ?

— Oui.

— Attends un peu. Je voudrais les regarder encore

Sous nos yeux, la femme est maintenant déchaînée. Son compagnon cramponne sa taille, et la fait coulisser sur son dard à un rythme fou. Un voyeur est en train de malaxer ses seins, pendant qu’elle gémit, en prononçant des mots, sans doute crus, en allemand. L’un des deux hommes qu’elle branle éjacule sur elle, et elle prend le gland dans sa bouche, pour boire les dernières gouttes de sperme, avant d’empoigner un autre sexe.

Cette scène nous fascine tous les deux, et depuis ma première visite ici, j’ai compris l’excitation que ressentent les voyeurs, autant que celles et ceux qui s’exhibent.

Au bout de plusieurs minutes, la femme jouit, sans rien cacher de son plaisir. Son orgasme dure longtemps, et tout son corps se retrouve maculé du foutre de plusieurs spectateurs. Quant à son compagnon, même s’il apprécie tout particulièrement la performance de sa femme, il s’est contrôlé jusqu’à présent. Mais là, il laisse libre cours à son excitation. Il s’est remis debout, et elle s’agenouille devant lui.

Je la trouve terriblement sexy, nue, toute bronzée, avec cette semence d’hommes qui brille au soleil, dans ses cheveux, sur son visage, son buste, ses bras. Elle suce son mari, avec gourmandise. Ses mains enserrent son sexe, sa bouche et sa langue s’activent sur son gland. Il se retient, au prix d’efforts surhumains. Puis, brutalement, il jouit à son tour, en rugissant. Elle ne le quitte pas des yeux, et elle s’est un peu écartée, en ouvrant la bouche, pour recevoir son foutre épais. Elle avale tout ce qu’elle peut, laissant le reste couler sur ses joues et son menton.

Puis le couple se lève, et se dirige vers la mer pour se baigner, pendant que les voyeurs se dispersent.

Certains m’ont regardée avec insistance, et je devine leurs pensées : "ce n’est pas une habituée, cette fille. Est ce qu’elle s’exhibe ?" C’est vrai que je dois être une des filles les plus jeunes de la plage

Nous repartons à la recherche de l’emplacement où nous allons nous installer. En marchant, nous apercevons une fille, au milieu d’un groupe, en train de se masturber. Et à quelques mètres, nous trouvons un coin de sable libre, non loin de l’eau.

Nous étalons les serviettes de plage que j’ai emportées, et nous nous allongeons. Je me penche vers Alex, et je lui tends mes lèvres.

— Alors, l’endroit te plaît ? Lui dis-je tout en l’embrassant.

— J’adore ! Surtout avec toi. Mais j’ai une question à te poser

— Laquelle ?

— Quand tu es venue avec Sandy, vous êtes vous exhibées ?

— Oh Juste un peu.

Je lui ai répondu, avec mon air de mijaurée, mais il n’est pas dupe.

— Moi aussi, j’aimerais que tu t’exhibes, me dit-il à l’oreille.

— Avec toi ?

— Oui, mais avant je voudrais que tu nous offres un petit spectacle, en solo.

— Ooooooh ! Une jeune fille comme moi !

Nous éclatons de rire, mais je dois avouer que je ne m’attendais pas à sa demande, et qu’elle m’excite énormément.

— Et après Tu me feras jouir ?

— Autant que tu veux, me réponds tu.

— Alors, je veux bien.

Appuyé sur son coude, il me contemple, en attendant la suite.

Je prends une pose très provocante, appuyée moi aussi sur mes coudes, en faisant saillir autant que je le peux mes petits seins, et j’écarte mes jambes repliées. Je commence à jouer avec mes tétons, qui se dressent, et je sens les premiers regards qui se posent sur moi, ceux de nos voisins de plage.

Tout en continuant de caresser mes aréoles du bout des doigts, je laisse descendre mon autre main le long de mon ventre, entre mes cuisses, et j’écarte délicatement mes grandes lèvres.

Je sens l’excitation qui monte déjà, ma chatte qui s’humidifie Je ne me rappelais pas avoir éprouvé ça aussi rapidement, quand je suis venue avec Sandy.

Ma respiration se fait plus rapide, et j’ouvre mes petites lèvres avec mes doigts. Mon clito bande aussitôt, et sort de son étui, attendant que je le touche. Je commence à le branler, et je ne peux pas réprimer un gémissement sonore. Alex me regarde, mais il n’est pas le seul. Deux hommes et une femme sont maintenant debout devant moi, et je reconnais la fille qui se masturbait. La trentaine, des cheveux auburn, un joli corps couleur pain d’épice, avec de petits seins en poire.

Je suis de plus en plus excitée, et tout va très vite. Mes doigts s’enfoncent dans ma fente, et en ressortent à demi, luisants de cyprine. Je commence à me doigter, en titillant mon petit bouton avec mon pouce, et en fixant les hommes qui se branlent ouvertement en me matant.

Je regarde aussi Alex, et je vois qu’il bande comme un taureau. Cette vision décuple mon désir. Je fouille mon minou, je le pilonne avec trois doigts. Je sens le plaisir monter, et je me laisse tomber sur le dos. Je me masturbe de mes deux mains, en soulevant mes reins pour mieux m’offrir aux regards. J’entends Alex me demander, comme à travers un brouillard :

— Ça te plaît de t’exhiber ma petite salope ?

— Oh oui Oh c’est bon Tu me baiseras après ?

— Je veux d’abord que tu jouisses, devant eux.

Mes doigts s’activent de plus en plus dans ma grotte, et soudain, je reçois un premier jet de sperme, qui vient de gicler de la queue d’un voyeur. D’autres voyeurs nous ont rejoints. La jolie rousse se fait caresser sans pudeur par les deux hommes qui l’accompagnent, et j’essaie de retarder l’orgasme qui monte de mon bas ventre.

Ma mouille coule, jusqu’entre mes fesses, et je ne peux pas m’empêcher d’en recueillir un peu sur un doigt, pour le passer sur ma rosette. Un spasme me secoue aussitôt. Je viens

— Alex ! Oh Alex !!!! Je vais jouir Putain, je jouis ! Ooooooooh

Je suis tétanisée par le plaisir, pendant que d’autres hommes déchargent sur moi, sous les yeux exorbités d’Alex.

Je continue de me doigter, pendant que je retrouve doucement mon calme. Et je vois qu’Alex parle avec la fille aux cheveux auburn. Je ne comprends pas tout ce qu’ils se disent, mais je saisis des bribes. Elle aurait aimé qu’il s’exhibe avec moi, en me baisant, mais il lui répond qu’il n’est pas encore prêt. Qu’il ne veut pas que quelqu’un me pénètre quelle drôle d’idée, il me surprend. La jolie rousse lui désigne un des hommes qui viennent de me couvrir de foutre, et je devine que c’est son mari

— Si vous voulez nous rejoindre plus tard, n’hésitez pas, dit-elle à Alex avant de s’éloigner, en me jetant un regard coquin.

— Pourquoi pas, nous verrons, lui répond-il.

Tout espoir n’est pas perdu Le groupe de mes admirateurs se disperse, pendant que je reste étendue, le souffle court, et mes yeux doivent dire à Alex ce que j’attends. Que lui aussi, il me baise sur cette plage, qu’il me fasse jouir devant tout le monde. Mais je sens bien qu’il lui faut un peu de temps, pour s’adapter à cette ambiance libertine, sans tabous.

Il me tend la main, pour m’aider à me relever, et il me propose que nous nous baignions. Je devine qu’il est réticent à l’idée de me prendre, alors que je suis maculée du sperme d’autres hommes, et je le suis. Tout en entrant dans l’eau, main dans la main, je lui demande :

— Ça t’a plu ?

— Oui, tu étais parfaite ma belle, j’ai beaucoup aimé que tu sois salope comme ça. J’ai très envie de te baiser devant tout le monde, mais je préfère que nous nous rincions avant, ça ne te gêne pas ?

— Pas du tout Mais après

— Je ne demande que ça, tu me rends fou de désir.

Nous nageons quelques minutes, avant qu’il me porte pour sortir de l’eau. Il m’a soulevée, comme le font les jeunes mariés pour emmener leur épouse dans leur chambre. Je passe mes bras autour de son cou, et je lui offre mes lèvres, amoureuse. Mais au moment où nous atteignons la plage, des gémissements évocateurs nous attirent.

Un nouvel attroupement s’est formé, autour d’une femme aux cheveux courts, et aux seins lourds. Elle est à genoux sur le sable, à l’endroit où viennent mourir les vagues, et elle se masturbe sans la moindre gêne, une main entre ses cuisses, pendant que cinq ou six hommes se branlent en la regardant. C’est une vraie salope en manque, et elle invite les hommes qui l’entourent à jouir et à décharger sur elle.

Alex ne la quitte pas des yeux, et je sens son trouble.

— Elle t’excite ?

— Oui, répond-il, j’avoue. J’aimerais essayer aussi.

— Vas- y ! J’aimerais te voir à l’uvre! Tu m’as laissée me donner ce plaisir tout à l’heure. Mais j’espère qu’après il t’en restera pour moi.

— Ne t’inquiète pas, après je compte bien te baiser plusieurs fois.

— Alors, ne te gêne pas pour moi. Je vais jouer la voyeuse à mon tour. Ça m’excite de te voir te branler pour cette nana et décharger sur elle.

Nous nous approchons du groupe. Alex n’ose pas encore se mettre au premier rang, et se comporter comme les autres voyeurs, mais je me colle contre son dos, mes seins appuient fort contre ses omoplates, pendant que je lui murmure à l’oreille :

— Lâche-toi, branle-toi. Ça me fait mouiller.

Il commence à se caresser, et je ne perds rien du spectacle de sa queue qui grossit et se dresse. Un homme gémit, puis s’écarte. Alex avance au milieu du groupe, et il se trouve tout près de cette femme. Elle tient ses seins pour les serrer l’un contre l’autre, prête à recueillir la semence des hommes qu’elle provoque.

Son cou et ses seins sont maculés de foutre, qu’elle laisse couler. Certaines giclées ont été plus puissantes que les autres, et ont atteint son visage et son menton. Elle semble déchaînée, excitant chaque homme, les encourageant

Maintenant face à elle, Alex se branle rapidement, sur toute la longueur de son sexe qu’il tient à pleine main, faisant ballotter ses couilles.

— Oui c’est ça ! Allez, donne moi tout, lui lance t-elle. Gicle moi dessus!

Alex s’approche d’elle le plus possible, alors qu’elle tourne la tête en direction d’une autre bite à sa portée. Il pousse un grognement, en vociférant.

— Ça y est, je viens!… Hummmmm oui putain!

— Oui, vas-y ! Décharge sur moi ! Lui crie-t-elle en le regardant.

— Oui ! Je jouis…Hummmmmmm Oh , putain, c’est bon ! Tiens!!!!  »

Une grosse giclée de sperme, épais,   atterrit sur son nez. Je l’envie !!

— Oh oui! Continue! Encore! Oooooh, lui dit elle en gémissant.

Alex continue de se branler en pliant les genoux, et son gland n’arrête pas de lâcher des jets de foutre, qui éclatent sur le menton puis les seins de la femme.

— Oh, c’était bon, avoue-t-il, en se relevant.

Je vois Alex me chercher, avant qu’il s’aperçoive que je suis tout près de lui, et que je n’ai rien perdu de ce qu’il vient de faire avec cette femme. J’étais si captivée que je ne me suis même pas aperçue qu’un autre mec me touchait les fesses.

Il n’a pas complètement débandé, il me prend par la main, pour m’entraîner vers nos serviettes, et il me lance :

— Suis moi, Ambre. Ne me laisse pas redescendre.

En quelques enjambées, nous avons rejoint notre emplacement, suivis à distance par quelques voyeurs, auxquels notre manège n’a pas échappé.

Alex me prend par les épaules, pour me faire mettre à genoux, et déjà, il me présente sa queue, devant mon visage. Sa main coulisse sur toute la longueur de son pieu, qui retrouve vite sa rigidité, et se déploie. J’ai autant envie que lui d’une folle partie de baise en public

— Suce moi, Ambre. Comme tu sais si bien le faire. Fais moi bander comme un taureau. Je veux te faire hurler de plaisir, tout de suite.

Je ne me fais pas prier. Mes mains enserrent sa tige, et j’ai l’impression qu’elle est de plus en plus épaisse. Qu’est ce que je vais prendre ! Tant mieux ! Il enfonce son gland dans ma bouche, et il me saisit par les cheveux. Je suis aussi impatiente que lui. Mes lèvres serrent sa bite, vont et viennent sur toute sa longueur. Je retrouve le goût du sel, mêlé à celui de son sperme. Il aime, et il le dit. Haut et fort, attirant quelques voyeurs supplémentaires.

– Oui vas y c’est bon! Pompe moi! Hummm… c’est bon! Tu suces tellement bien!

Je redouble d’ardeur, et je le sens prêt à exploser. Il repousse gentiment mon visage, il s’allonge sur le dos, et il me prend par la main pour que je le rejoigne. Je viens pour le chevaucher, mais il m’arrête :

— Non, tourne toi Ambre, je veux te goûter.

Je lui obéis avec plaisir. Il va faire durer le plaisir, et je sais qu’ensuite, je jouirai comme une salope, comme une chienne. Je pose ma chatte trempée sur son visage, je coule sur sa bouche. Sa langue lèche mon clito, entre dans ma grotte. Oh putain ! C’est bon ! Je saisis sa bite, je la branle furieusement  Je me penche, je le prends de nouveau dans ma bouche Ses mains écartent mes fesses Il doit mater ma chatte béante et mon cul, et ça m’excite, ma mouille coule de plus belle

Je sens que je viens. Je ne peux rien faire pour stopper cet orgasme qui m’emporte, et je crie.

— Oui, oh c’est bon putain ! Putain ! Ouiiiiii !

Je suis tétanisée, mais si Alex a pu se retenir, maintenant, il est fou de désir. Et c’est à son tour de me vouloir.

— Baise moi Ambre ! Maintenant, vite ! J’en ai trop envie…

Toujours en lui tournant le dos, je m’accroupis et je prends son sexe dans ma main pour le tenir bien en face de ma fente, puis je descends, je m’empale jusqu’au bout. Alex me laisse faire, en m’encourageant.

— Oui comme ça, vas y! C’est bon! 

Puis il me prend par les hanches, il me soulève, il me laisse retomber. Bientôt, il accélère le rythme, et je viens me planter littéralement sur son dard, à chaque fois.

— Oui baise moi Ambre! Tu la sens bien ?… Oh c’est bon oui!

Soudain, sa main s’abat sur ma fesse droite, et je pousse un cri. La douleur, l’humiliation d’être fessée en public, tout ça m’excite.

— Oui, vas-y Frappe moi plus fort !

— Ah tu aimes ça! Tu es vraiment coquine!

Il continue jusqu’à ce que mes fesses soient rougies et marquées par ses doigts, puis il me soulève pour se dégager de moi, il me retourne et il m’allonge sur le dos.

Il se places entre mes cuisses, et c’est à ce moment que j’aperçois deux couples qui se sont installés près de nous, et qui nous regardent en se caressant. Je reconnais la femme aux cheveux auburn de tout à l’heure, avec son mari. Elle nous fixe alors que les doigts de son homme la fouillent.

Alex me pénètre, en soulevant mon bassin pour que mes fesses ne touchent plus le sol. Dans cette position, je deviens son jouet, et sa queue me remplit, son gland frotte et appuie contre mes parois intimes et contre mon point G.

Il me maintient dans cette position, en perforant ma chatte de toutes ses forces. Jamais je n’avais senti autant aussi fort sa bite en moi. Je rugis, je feule. La sueur ruisselle sur ma peau et colle mes cheveux. A chaque coup de reins, il ressort presque son membre, et chaque pénétration est plus intense.

Il est fier de me demander :

— Tu aimes ça hein!?

—  Oui vas y ! Je vais ….oh oui putain je jouis !

Je me cabre en hurlant. Mon corps se crispe, Je plante mes ongles dans ses bras, et ma chatte se contracte spasmodiquement autour de sa bite.

Dans un moment de lucidité, je regarde autour de nous. A quelques mètres, La femme aux cheveux auburn est en train elle aussi de jouir, la tête de son mari enfouie entre ses cuisses. L’autre couple, plus âgé, continue une levrette à un rythme tranquille, sans nous quitter des yeux. Et bien sur, plusieurs hommes nous matent en se branlant.

Mais Alex n’en a pas fini avec moi ! Il laisse mon bassin reposer sur la serviette, et en appui sur ses bras tendus, il me pilonne de plus belle. Je suis ballottée au gré de ses coups de reins, et  je sens mon désir renaître. Encore plus violent.

Je ne suis plus qu’une chatte qu’il défonce, un objet sexuel, et j’aime ça. Il ne me laisse aucun répit, jusqu’à ce qu’il obtienne ce qu’il veut.

— Je vais jouir Ambre! Hummm c’est bon ça vient!! Oui! Oh la vache oui!

— Moi aussi Ooooh putain ! Putain ! Ca y est. Oooooh !!

— Je veux décharger sur ton corps Ambre. Je vais Je

— Oui, couvre moi de foutre !

Il se retire très vite, et il se penche sur moi.

— Branle moi Ambre, vas y, hummm oui comme ça! Ça vient ! Vas y, je vais cracher!  »

Ma main, qui semble toute petite par rapport à son sexe, s’active rapidement. Il rugit.

— Oui voila !!! Oui! Oh tients ! Voilà! Oh putain oui! »

Alex éjacule sur mes seins et sur mon ventre. Je le branle très lentement, pour recueillir les dernières gouttes, et je lève les yeux vers lui.

Il me regarde aussi, et je le laisse contempler mon corps nu et souillé. Nos admirateurs se dispersent, et nous nous embrassons longuement, langoureusement.

Il est 18 heures, et il fait encore chaud. Nous décidons d’aller nous baigner.

L’eau nous rafraîchit, et nous calme un peu. Nous nageons, mais de temps en temps, je sens les mains d’Alex parcourir mon corps, mes seins, mes cuisses, mes fesses…

Nous sortons de l’eau, main dans la main, et il me propose d’aller boire un verre dans un des bars de plage.

— D’accord, lui dis-je. Je n’ai pas encore envie de me rhabiller et de rentrer.

— Moi non plus, Ambre. Je voudrais que tu sois toujours nue, près de moi.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire