Il y a une dizaine d’années, ma femme (Laurence) et moi habitions en appartement en ville, à l’époque nous avions 35 ans. Ma femme est blonde, 1,70m, très sexy, les yeux verts, un petit cul bien rebondi et de jolis seins bien ronds qui se tiennent bien, moi 1,80m, 85 kg et sportif.
Nous nous sommes connus j’avais 19 ans et ma femme 17, elle n’a connu que moi mais nous avons toujours eu une vie sexuelle très active et heureuse, Laurence a toujours adoré le sexe et je dois dire que moi aussi, j’adore la baiser et la faire jouir, nous jamais eu de tabou, elle a toujours tout accepté : fellation, sodomie (occasionnellement), branlette espagnole, éjaculation faciale, sex-toys…
Un samedi matin alors que nous étions de corvée de courses, nous croisons mon cousin Franck, nous discutons et il nous apprend que sa femme est en week-end à Paris avec des copines. Fanck est un bel homme, toujours très classe, sportif, 1,85m, il a toujours eu beaucoup de succès auprès de femmes. Nous lui proposons de passer à la maison pour le dîner, on parlera de nos conneries d’enfance (nous nous sommes un peu perdus de vue depuis quelques années).
Le soir venue, Franck arrive une bouteille de vin à la main, nous dînons tranquillement en nous remémorant nos histoires d’enfance, puis nous passons au salon afin de terminer la soirée. Nous allumons la télé et nous tombons sur Shining, c’est un film que nous avions vu alors que nous avions une douzaine d’années et nous avions été terrorisé. Nous sommes assis sur le canapé et Laurence est assise sur le fauteuil face à Franck. Nous passons une soirée très agréable, Laurence nous taquine un peu sur nos goûts cinématographiques et les trucages grossiers du film. Franck lui raconte que nous n’avions pas que les films d’horreur comme référence, qu’a 17-18 ans nous regardions des films pornos en nous branlant.
— Ah bon ! et bien j’en apprends de belles ce soir !
— Et encore tu ne sais pas tout rétorque le cousin
— Ah bon, raconte !
— Sais-tu qu’un jour nous nous sommes tapé la même fille ?
— Cela n’a rien de surprenant
— Non, mais en même temps, on l’a sauté ensemble en même temps ! Je sortais avec elle et ton mari nous a surpris au lit et il s’est joint à nous !!
— Tu m’avais caché cela chéri
— c’était avant de te connaitre et il y a prescription !
— Et c’était comment ?
Franck me pris de vitesse et répondit :
— Et bien nous avons mis en pratique ce que nous regardions dans les films, on s’est vraiment éclaté et ma copine m’a remercié pour lui avoir fait découvrir le sexe à trois.
A la première occasion j’ai changé de conversation pour parler de la pluie et du beau temps, du boulot…
Laurence était très en beauté ce soir elle portait une petite robe noire qui remontait au-dessus des genoux et un décolleté assez large qui laissait entrevoir la naissance de ses seins lorsqu’elle se penchait. Je remarquais à plusieurs reprises les yeux de Franck s’attardant sur son décolleté ou ses cuisses lorsque sa robe remontait à mi cuisses quand elle s’asseyait. Laurence nous à proposer un café et s’est levée pour le préparer dans la cuisine, je l’ai suivi pour l’aider. Elle était debout face à l’évier en train de servir le café, je me suis collé contre elle et j’ai glissé ma main entre ses cuisses, je suis remonté jusqu’à son petit minou et j’ai commencé à la caresser. Mais là surprise, elle ne porte pas de culotte et elle a la chatte trempée, je glisse mes doigts dans sa chatte et commence à la masturber, elle se tortille dans tous les sens.
— Mais, tu ne portes pas de culotte ? c’est nouveau ça ?
— Je n’ai pas eu le temps de l’enfiler. Me répond-t-elle
— Je pense plutôt que tu voulais montrer ta chatte à mon cousin
Je continu de la masturber et de l’autre main je me glisse dans son décolleté :
— Mais tu n’as pas de soutien-gorge non plus ! tu es à poil sous ta robe !
— En fait vos histoires m’ont un peu émoustillées tout à l’heure et je me suis mise un peu plus à l’aise
— Qu’est ce qui t’a excité, qu’on se branlait ensemble ou qu’on se soit fait un plan à trois ?
— Les deux. Me répondit elle
J’introduisais deux doigts dans sa chatte et lui glissait à l’oreille:
— Ça te plairait de voir la queue de mon cousin, elle est énorme! Elle a la taille de ton gode
— Ah oui? lequel?
-Le plus gros, ton préféré
— Waouh !!!
— Et tu as remarqué comme il te mate les seins et les cuisses, ça te plait n’est-ce pas ?! Je suis sur qu’il bande là !
— Pfff ! N’importe quoi !
Mes paroles lui faisaient de l’effet, sa chatte était trempée, je continuais de plus belle :
— Il a peut-être sortie sa queue de son pantalon et se branle en pensant à toi.
Je continuais de la masturber, elle frottait son cul contre mon sexe, qui je dois l’avouer était sur le point d’exploser ma braguette, la situation m’excitait. J’ai alors déboutonné mon pantalon et glissé mon sexe par le coté de mon slip puis suis venue le frotter sur sa chatte. Elle se tortillait et tendait sa croupe vers moi :
— Vas-y, baise moi vite ! me dit elle
— Et mon cousin alors ? On ne va pas le laisser seul dans le salon, lui dis je en la pénétrant lentement. Elle s’est cabrée de plaisir tout en laissant échapper un long gémissement, j’ai commencé mes vas et vient et dit à Franck:
— Franck, j’ai besoin d’ un coup de main à la cuisine
— OK, j’arrive !
Lorsqu’il arriva dans la cuisine, il marqua un temps d’arrêt, Laurence était penchée, les deux mains sur l’évier, la robe remontée sur la croupe en train de se faire limer. D’un signe de tête je l’invitais à se joindre à nous, il s’approcha et posa timidement une main sur le cul de ma femme puis commença à la caresser. Rapidement il prit de l’assurance et ses mains se firent plus baladeuses elles remontèrent jusqu’à ses seins, glissant dans son décolleté il la pelotait vigoureusement.
Elle m’imposait un rythme soutenu avec ses hanches, je la besognais de plus belle, elle gémissait, Franck baissât son pantalon et son caleçon, il arborait une belle queue en érection qu’il caressait sur toute la longueur et qu’il tendait en direction de ma femme. Laurence comprit le message et se saisit aussitôt de son engin, elle commença à le masturber, elle faisait glisser ses doigts tout le long de sa hampe, caressant son gland et le reprenait à pleine main pour mieux l’astiquer.
— Alors, il te plait lui ? demandais-je
— Oh oui, superbe !
— Maintenant suce le !
Elle se pencha vers le sexe du cousin de son visage et sorti sa langue la passa sur le bout de son gland, puis le lécha comme si elle léchait une glace, sa langue faisait le tour de son gland et descendait jusqu’à ses couilles, elle remontait en faisant glisser sa queue entre ses lèvres. Elle ouvrit la bouche et Franck en profita pour s’y engouffrer d’un rapide coup de reins, il enfonça quasiment les trois quarts de sa queue, les lèvres de Laurence se refermèrent autour de son sexe, ses joues se creusaient, elle l’aspirait, le suçait avidement.
Je ne reconnaissais pas ma femme, elle était plus salope que jamais et ça me plaisait, la vision de ma femme en train de sucer un autre homme m’excitait énormément, j’étais sur la point d’exploser. Nous avions déjà parlé d’un plan à trois dans nos fantasmes mais elle m’a toujours dit qu’elle n’oserait pas.
N’ y tenant plus, je me suis retiré, ma femme a lâché la queue de mon cousin et me dit :
— Oh non !!! encore chéri !!! encore !!!
Franck lui répondit :
— Attend ce n’est pas terminé, je suis là moi
Il se plaça derrière Laurence la queue bien raide et tendue vers sa chatte.
Il lui caressait les fesses, et je lui dis :
— Il te plait son cul ?
— Oh oui, je dois t’avouer qu’elle m’a toujours fait bander et que je me suis souvent branlé en pensant à elle !
Laurence reprit :
— Ah oui ? raconte !
— Et bien, le jour où Max m’avait accompagné pour acheter une voiture, nous sommes rentrés tard, tu étais en train de regarder la télé en nuisette sur le canapé, j’ai remarqué que tu étais nue sous ta nuisette, tes tétons pointaient, je n’ai pas pu attendre d’être chez moi, je me suis branlé dans ma voiture !
— Humm, oui ! ce soir-là j’avais joué toute la soirée avec mon gode en imaginant que vous alliez rentrer et me baiser tous les deux ! J’étais tellement excitée que Max m’a baisé dans le couloir alors que tu étais encore sur le palier à attendre l’ascenseur, il me limait derrière la porte !
Il plaçât son gland à l’entrée de son vagin et s’enfonça comme dans du beurre, Laurence se cabra, sa queue glissa jusqu’au fond de sa chatte et ressortit aussitôt, il commençât une longue série de vas et vient rapides, il la baisait à fond.
— Oh oui ! qu’elle est bonne! Tu crois que je n’ai pas remarqué ton petit manège: tu étais assise en face de moi les cuisses écartées sans culotte! Tu voulais m’exciter hein,! et bien tu vas recevoir maintenant! Je vais te défoncer la chatte!
— Oh oui ! Vas-y baise moi bien, profite bien de mon cul, baise moi fort !!! c’est plus le moment de te branler là !
— Que tu es bonne exactement comme je l’avais imaginé. Et ma queue elle te plait?
— Oh oui, j’adore, fourre moi la bien profond ! Vas y défonce moi plus fort !
Elle ne mit pas longtemps pour jouir. De mon côté je regardais la queue de Franck aller et venir en elle tout en me branlant, je me suis placé devant ma belle qui m’a littéralement avalé la queue, jamais elle ne m’avait fait une telle pipe ! Sa bouche était brûlante.
N’y tenant plus Franck s’est retiré pour jouir sur son cul, il déversa une quantité impressionnante de sperme qu’il étalât avec son gland sur la croupe de Laurence. Cette vision m’a tellement excitée que j’ai fait de même, j’ai arrosé le visage de ma femme, ma semence dégoulinait de ses joues sur ses lèvres, elle m’a sucé jusqu’à la dernière goutte.
Laurence est partie se débarbouiller pendant que nous prenions (enfin) le café au salon, mais la soirée ne faisait que commencer !
