Nous sommes en décembre, il fait très froid, je suis partie pour quelques jours sur la région lilloise pour des réunions de mon nouveau travail, entre deux rendez-vous, je décide d’aller faire un peu de shopping et justement juste à côté de mon hôtel se trouve un immense centre commercial. Je m’y rends donc en fin de matinée, j’ai quelques heures de libres avant mon prochain rendez-vous. Ma tenue n’est pas des plus adéquates pour le shopping, mais travail oblige, je ne peux pas me changer, je porte des escarpins sur des bas autofixants qui tiennent seuls, par dessus je porte une petite robe noire fermée au niveau de la poitrine par des petits boutons et enfin un imper beige.
Je commence mes emplettes, un puis deux magasins et puis au sortir du troisième, j’aperçois une silhouette qui ne m’est pas inconnue. Je te vois entouré de 3 autres hommes, vous discutez en pointant le dôme qui surplombe le hall du centre. Un réaménagement du centre est envisagé et tu travailles sur le projet. Ton regard alterne entre le dôme et des documents que vous avez en main jusqu’à ce qu’il s’interrompe pour croiser le mien de loin. Je te lance un sourire, mais n’approche pas, ne voulant pas te déranger en plein travail, tu me fais un léger signe de la tête et reprends ta conversation. Je reprends mon shopping de mon côté. Ta réunion se poursuit et au moment de quitter tes collègues, tu me vois entrer dans une nouvelle boutique, le temps de dire au revoir et de te diriger vers celle-ci, tu me vois entrer dans les cabines d’essayage. Le magasin est bondé, tu te diriges vers les cabines bondées elles aussi. Personne ne contrôle les entrées au vu de l’affluence.
Il y a beaucoup de cabines, mais par chance, tu aperçois mon trench suspendu qui dépasse sur le côté du rideau. Tu te positionnes sur le côté de la cabine et tires légèrement le rideau pour me voir.
J’ai déjà enlevé ma robe et mon soutien-gorge afin d’en essayer un autre.
Tu choisis ce moment pour entrer dans la cabine derrière moi et tu me saisis la poitrine en murmurant dans mon oreille « bonjour petite salope », tes mains s’attardent sur mes tétons que tu commences à pincer. Je tressaille sous la douleur et me mords les lèvres, tu prends ça comme un encouragement et tu les tords désormais brutalement. Mes jambes cèdent et je me retrouve à genoux devant toi. Je vois ton membre gonflé qui déforme ton pantalon. Instinctivement, je défais ta ceinture et ta braguette pour sortir ta queue de ton caleçon avant de venir lécher ton gland du bout de la langue. Je le suçote ensuite du bout des lèvres avant de venir gober tes boules une par une. Je titille ta queue et tes couilles par alternance sans jamais engloutir ta bite entièrement afin de faire monter la tension. Tu commences à t’agacer de ce petit jeu et tu saisis ma tête afin de t’y enfoncer jusqu’à la garde. Tu commences ensuite de puissants et rapides va-et-vient dans ma gorge.
Les cabines étant remplies, le brouhaha ambiant couvre le bruit que fait ta queue en cognant dans ma bouche. Tu retires ta queue uniquement pour me laisser respirer et cracher de longs filets de bave épaisse, tu en profites pour me donner quelques gifles. Puis tu sens que la jouissance est proche, tu t’interromps pour me demander d’ouvrir la bouche comme une chienne, je m’exécute et tu y craches un gros crachat en m’interdisant de recracher ou d’avaler. Tu replaces ensuite ta queue dure dans ma bouche et reprends tes va-et-vient jusqu’à me tapisser la bouche d’une énorme quantité de sperme. Tu me fais avaler le mélange de ton sperme et de ton crachat.
Tu m’attrapes ensuite par les cheveux et tires dessus pour me forcer à me relever, tu passes ensuite ta main entre mes cuisses et tu constates que mon string est littéralement trempé de mouille, je gémis. Tu me le retires et l’enfonces dans ma bouche en me disant de la fermer.
Tu replaces ensuite ta main entre mes cuisses, et sans attendre, tu enfonces deux doigts dans ma chatte trempée et brûlante. Tu commences à faire des va-et-vient et rapidement tu ajoutes un troisième doigt. Je bascule sur le banc de la cabine d’essayage et me retrouve sur le dos la tête dans le vide et les jambes en l’air écartées. L’angle te permet désormais de me doigter encore plus profondément, ton pouce lui caresse mon clitoris au rythme des pénétrations. De ton autre main, tu reprends tes mauvais traitements sur ma poitrine. Je suis tellement excitée que l’orgasme ne se fait pas attendre, mon corps se tend et je pousse un cri étouffé par mon string. Tu le retires alors de ma bouche pour y fourrer ta main en m’obligeant à lécher toute la mouille qui s’y trouve.
Tu te redresses et te rhabilles rapidement. Tu t’apprêtes à sortir de la cabine, mais tu te retournes juste avant pour me dire : « je n’en ai pas fini avec toi, rendez-vous ce soir à 21h devant la porte 8 du centre, et donne-moi ça, tu n’en as pas besoin ». Tu prends mon string et le mets dans ta poche avant de sortir.
Je reprends mon souffle et mes esprits et me rhabille rapidement. Je sors du magasin discrètement. Il est bientôt l’heure de ma réunion, je croise mon reflet dans un miroir du hall du centre, je suis décoiffée, mon maquillage a un peu coulé et personne ne le voit, mais je suis nue sous ma robe avec les cuisses poisseuses de la mouille qui dégouline le long de mes jambes.
L’après-midi se passe sans problème si ce n’est que je ne suis pas très concentrée, mais je fais illusion auprès des supérieurs.
Le soir arrive, je repasse par mon hôtel pour prendre une douche et me changer, je passe une petite jupe en cuir noir avec une chemise blanche et toujours mes escarpins et mon imper, j’attache mes cheveux en queue-de-cheval et me maquille légèrement et me voilà devant la porte 8.
Tu me rejoins deux minutes après et me demandes de te suivre, nous nous dirigeons vers une porte interdite au public, mais comme tu as accès au bâtiment pour ton boulot, tu as une carte magnétique qui te permet d’ouvrir la porte. Celle-ci s’ouvre sur un escalier en béton qui descend, nous l’empruntons et nous retrouvons dans les locaux techniques du centre, on y trouve les arrivées d’eau, les générateurs électriques, etc. le local est en travaux et des outils de chantier traînent un peu partout.
A peine arrivé, tu m’enlèves mon manteau, tu m’embrasses à pleine bouche avant de cracher dedans et de me traiter de petite pute. Tu ouvres ma chemise et mon soutien-gorge qui s’ouvre sur le devant puis tu me plaques contre l’une des parois recouvertes de tuyaux. Les tuyaux sont glacés en raison de la saison et mes tétons durcissent immédiatement à leur contact, tu me susurres alors à l’oreille que je suis ta petite chienne et que je vais prendre chère ce soir.
Tu me fais mettre à quatre pattes sur le béton froid. Tu prends un tournevis qui traîne et tu me fourres le manche dans la bouche en m’interdisant de la laisser tomber.
Tu te places ensuite derrière mois et relève ma jupe, tu as vu directement sur mes fesses et ma chatte nue, tu me récompenses de mon obéissance en me caressant doucement la chatte puis sans que je m’y attende, tu viens claquer mes fesses violemment, une fois, deux fois et encore. En tout, une dizaine de claques, je serre la mâchoire pour ne pas faire tomber le tournevis, mais j’ai les fesses rouge coquelicot. Tu te recules alors et m’ordonnes de m’enfoncer le tournevis dans l’anus. Je le retire alors de ma bouche et me penche en avant afin de poser l’avant de mes épaules au sol, ma poitrine frotte sur le béton rêche. D’une main, je positionne le tournevis sur ma rondelle et l’enfonce doucement avant de le faire coulisser doucement. Tu me dis que je suis une bonne chienne, tu te déshabilles et viens te placer proche de mon visage pour me tendre ta queue. Je saisis le message et la prends en bouche immédiatement en me redressant légèrement.
Tu bandes très rapidement, tu saisis alors le tournevis et accélères les va-et-vient avant de le retirer et de le remettre dans ma bouche.
Tu te places derrière moi et tu enfonces ta grosse queue dans mon fondement d’une seule traite, je pousse un cri de surprise et lâche le tournevis. Le temps que je le remette dans ma bouche, tu saisis déjà ma poitrine pour la tordre et la pincer.
Je place donc une main sur mon clitoris et me caresse frénétiquement pendant que tu me défonces littéralement le cul, tes couilles claquent sur mes fesses à chaque coup de bite. J’adore me faire enculer et je jouis très rapidement tant le plaisir est grand. Tu ne tardes pas à sentir la jouissance aussi, tu te retires et envoies de gros jets de sperme sur ton pied. Tu me saisis ensuite par les cheveux et m’ordonnes de te lécher le pied afin de tout avaler. Je m’exécute en léchant goulûment jusqu’à la dernière goutte.
Tu te relèves et te rhabilles, j’en fais autant et nous décidons d’aller prendre un verre pour nous remettre de ces émotions.