Malheureusement après nos retrouvailles aux vestiaires de la salle de sport, mon stage prit fin, et je me retrouvais alors dans une autre ville à deux heures de route de chez moi pour 6 mois et ne put pas retourner à la musculation avant un bon moment.
Je profitais d’un week-end prolongé pour rentrer dans ma ville d’origine et revoir quelques amis. Et par la même occasion, je décidais de me remettre au sport et d’aller à la piscine pour reprendre en douceur. J’étais alors sans nouvelle de Théo, et j’avais appris entre temps par des amis en commun qu’il s’était mis en couple… avec une fille ! Le croyant hétéro à la base, je n’étais donc pas plus étonné que ça qu’il puisse être bi. Et n’ayant pas pris le temps d’échanger nos numéros de téléphone, je n’avais jamais pu le recontacter après nos retrouvailles.
J’attendais donc habillé dans les vestiaires de la piscine qu’une cabine se libère pour me changer. Quelle ne fut pas ma surprise de voir Théo sortir de la cabine située en face de moi, moulé dans un petit slip de bain noir qui mettait son anatomie en valeur…
Tiens, Jules ! Décidément, ça va finir par devenir une habitude de se retrouver dans les vestiaires,
me dit-il en me souriant.
Salut Théo ! Ça fait un bon moment qu’on s’était pas croisé effectivement,
dis-je en bafouillant un peu, mon corps parcouru d’un frisson rien qu’à la pensée de notre dernière rencontre…
Allez, je te laisse la place, je vais nager. Peut-être à plus tard.
Merci, bon entraînement mec !
Et je vis Théo s’éloigner après m’avoir adressé un clin d’il, ses épaules toujours aussi larges, son dos toujours aussi musclé et ses petites fesses parfaitement moulées dans son slip dont dépassaient ses deux jambes aux cuisses solides et poilues. Je sentais ma bite durcir à cette vision. Et j’étais troublé par son clin d’il, le sachant en couple avec une fille, mais ne pouvant pas m’empêcher de me remémorer le pied que l’on avait pris la dernière fois que l’on s’était vu…
Je me changeais donc en vitesse, et une fois ma demi-molle passée, je me dirigeais moi aussi vers le bassin. L’eau fraîche calmant mes ardeurs, j’enchaînais les longueurs, apercevant Théo par intermittence dans la ligne d’eau à côté de la mienne. Quand je le vis sortir de l’eau après 1h de nage, je décidais de continuer à nager encore quelques longueurs, pensant ainsi éviter la tentation de me retrouver avec lui dans les vestiaires.
Mais une fois arrivé sous les douches, je ne pus que constater l’échec de ma tentative d’évitement. Théo était encore là, sous un jet d’eau chaude dans un recoin. Je sentis immédiatement mon cur s’accélérer et mon slip de bain se tendre. Je me réfugiais sous la première douche venue en lui tournant le dos. Je n’avais pas croisé son regard et me dis alors qu’il ne m’avait peut-être pas vu. Mais m’avait-il attendu tout ce temps ?
Les autres hommes du vestiaire allaient et venaient pendant que je restais immobile sous ma douche, essayant de me concentrer pour ne pas bander. N’en pouvant plus de savoir ce mâle parfaitement foutu juste derrière moi sous une douche, je tentais un coup d’il une fois que les autres mecs à côté de moi furent partis. Et je vis Théo, toujours là sous une douche en face de la mienne.
Pas de doute possible cette fois, il me fixait de son beau regard vert en me souriant. Sa large main pleine de savon parcourait son corps, pressant ses pectoraux et recouvrant les poils de son torse de mousse, descendant le long de ses abdos, remontant jusqu’à ses aisselles, caressant son cou… mais mon regard était attiré par la seule partie de son corps que je ne pouvais pas voir. Son slip noir déjà bien alléchant au repos était maintenant largement déformé par une érection digne de ce nom. Sa queue basculée sur la partie gauche de son maillot tendait tellement le tissu qu’elle semblait prête à en sortir. Et le tissu mouillé laissait deviner son gland, les larges veines qui parcouraient sa tige et ses deux grosses couilles.
J’en avais la bave au coin de la bouche, et heureusement que nous étions seuls à ce moment précis sous la douche, car mon slip était dans le même état que le sien. Théo continuait à me fixer du regard pendant que sa main branlait maintenant sa queue à travers son slip. Il lâcha soudainement sa bosse pour attraper sa serviette au moment où une autre nageuse entrait pour se doucher, et cachant son érection, il se dirigea vers les vestiaires. Je me retournais vers le mur pour dissimuler à mon tour mon maillot de bain déformé et attendis près d’une minute avant de me diriger vers les vestiaires pour ne pas donner l’impression de le suivre.
J’étais troublé et terriblement excité par ce qui venait de se passer. Mais arrivé dans les vestiaires, plus de traces de Théo, et toutes les cabines étaient occupées avec la porte fermée. C’est seulement au bout d’une autre longue minute qu’une porte s’entrouvrit lentement, et que je vis la tête de Théo en sortir, me cherchant du regard et m’adressant un clin d’il appuyé cette fois.
Je fis un pas timide vers lui, mais Théo ne me laissa pas le temps d’avancer plus avant de tendre son bras hors de la cabine pour m’attraper par le maillot et m’attirer vers lui. Une fois la porte de la cabine refermée, nos deux corps congestionnés par l’effort n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre et je pouvais sentir la chaleur humide qui se dégageait de ce mâle sur ma peau. J’étais troublé et terriblement excité par cette proximité, et ne put résister quand Théo approcha ses lèvres des miennes pour m’embrasser. La douceur de sa bouche, les poils de son torse contre le mien et nos deux slips de bain collés l’un à l’autre redonnèrent instantanément de la vigueur à mon érection. Je profitais de ce baiser pour caresser son corps, ses bras musclés, ses pectoraux puissants, et ses petites fesses pressant son bassin contre le mien, nos deux sexes bandés uniquement séparés par le fin tissu de nos slips de bain prêts à exploser.
N’en pouvant plus, je m’agenouillais devant lui pour déballer ce paquet, faisant durer le plaisir en promenant ma langue le long de son ventre et de ses cuisses. Une fois libérée, sa queue se dressait fièrement devant moi, droite, épaisse et veineuse comme je les aime. Je salivais d’avance de pouvoir y goûter et entrepris de commencer par lécher ses couilles, remontant lentement le long de sa hampe avant de prendre son gland en bouche et de l’engloutir entièrement. J’enchaînais alors les va-et-vient le long de cette colonie de chaires, alternant les rythmes rapides et plus sensuels, les fonds de gorge et les coups de langue, prenant le temps de parcourir chaque centimètre carré de peau avec celle-ci. La sensation de cette queue chaude glissant entre mes lèvres jusqu’à taper au fond de ma gorge était divine.
Je pouvais voir Théo se mordre la lèvre pour ne pas laisser échapper de gémissement, et n’en pouvant plus, il finit par me faire asseoir sur le banc de la cabine avant de s’agenouiller à son tour entre mes jambes pour me rendre la pareille.
Mon slip de bain se retrouva rapidement à terre et la vision de ce mec à mes pieds, les mains puissantes appuyées sur mes cuisses, et la bouche barbue collée à mon entrejambe me faisaient perdre la raison. Sa langue partit à l’exploration de mon corps, léchant successivement l’intérieur de mes cuisses, le bas de mon ventre et enfin ma queue. Les frottements de sa barbe sur ma peau associée à la douceur de sa langue qui me recouvrait de salive étaient particulièrement agréables. Je pouvais même sentir un filet de bave couler jusqu’à mon anus, bientôt rattrapé par la langue de Théo qui s’immisça le long de la racine de mes jambes et descendant de plus en plus bas pendant qu’il me fixait du regard. Je relevais les jambes et les posais sur ses larges épaules maintenant légèrement recouvertes de sueur pour lui faciliter l’accès à mon cul. Lorsque sa langue finit par effleurer ma rondelle, je ne pus m’empêcher de laisser échapper un soupir de contentement.
Encouragé, Théo s’appliqua à me dévorer les fesses, léchant chacun de mes globes, puis ma raie de tout son long du plat de la langue. Attrapant ses cheveux d’une main pour plaquer sa tête un peu plus entre mes cuisses, je sentis la pointe de sa langue s’enfoncer en moi me faisant basculer la tête en arrière de plaisir.
Nous n’avions pas encore échangé un seul mot depuis les douches, et après plusieurs minutes de bouffage de cul en bonne et due forme, je relevais Théo pour l’embrasser à pleine bouche, mélangeant nos salives et l’odeur de nos queues et cul respectifs avant de lui dire :
J’ai envie de te toi, en moi cette fois…
Tout ce que tu voudras, me répondit-il avec un grand sourire.
Et joignant le geste à la parole, il crachait dans sa main, étala la salive sur sa queue et la colla contre ma raie encore bien baveuse. Allongé sur le dos, j’attrapais mes cuisses par les mains pour m’offrir à lui, et sentant son gland appuyer de plus en plus intensément contre mon trou, je dus me mordre pour ne pas crier de plaisir. La voie était tout ouverte, et me fixant toujours de son beau regard vert, sa queue s’enfonça en moi avec une incroyable facilité et douceur. Je pouvais sentir la chaleur qui se dégageait de sa bite à l’intérieur de mon cul et son extrémité effleurer ma prostate. Théo commença les va-et-vient, me laissant apprécier ses abdos qui se contractaient à chaque coup de reins, sa queue qui glissait en moi de tout son long et ses couilles qui tapaient contre ma raie à chaque fois qu’il s’enfonçait un peu plus loin en moi.
Ressortant sa queue, Théo s’agenouilla à nouveau devant moi pour sucer ma bite prête à exploser. Pour faire durer le plaisir, il alterna ce traitement pendant de longues minutes, enfonçant à tour de rôle sa queue dans mon cul et la mienne dans sa bouche. Son torse était maintenant entièrement recouvert de sueur, facilitant le parcours de ma main entre les poils humides qui recouvraient ses pectoraux eux aussi durcis par l’effort. N’en pouvant, plus il me murmura à l’oreille :
Je vais jouir Jules, décidément ton cul est vraiment aussi bon que ta queue…
Te retiens pas mec, t’as pas idée d’à quel point tu me fais du bien avec ta queue là. Je veux ton jus en moi cette fois !
Théo se pencha sur moi et accéléra le mouvement en me roulant une pelle magistrale. Sa queue enfoncée dans mon cul et sa langue dans ma bouche, je finis par jouir sans même me toucher. Je pouvais sentir mon jus brûlant se répandre par jets entre nos deux torses pendant que la queue de Théo se raidissait par à coup, envoyant des jets de sperme chaud en moi, nos cris de plaisir étouffés par nos baisers. Théo finit par lâcher ma bouche pour venir lécher le jus qui recouvrait mes abdos, et enfonça à nouveau sa langue recouverte de semence entre mes lèvres.
Je mis quelques instants à reprendre mes esprits et à réaliser ce qui venait de se passer. Ce mec avec qui j’avais pris un pied de dingue en le baisant lors de nos premières retrouvailles dans un vestiaire, et qui était maintenant en couple avec une fille, venait de m’offrir un des meilleurs orgasmes de ma vie. J’étais très perturbé par cette situation.
Pour un mec qui baise des meufs, tu te débrouilles plutôt bien,
lui dis-je en rigolant
…
Désolé c’était une blague, j’ai entendu dire que tu avais une copine en ce moment, je suis juste un peu surpris, mais plutôt agréablement.
C’est vrai, enfin c’était vrai… on vient de se séparer, et pour être honnête, j’avais pas recoucher avec un mec depuis la dernière fois dans les vestiaires avec toi et j’avais presque oublié à quel point c’était bon. Mais quand je t’ai vu en maillot sous les douches, j’ai pas pu résister !
J’ai bien essayé aussi, mais ça a été un échec haha.
Ça te dirait de venir boire un verre chez moi en sortant ? Mon coloc est pas là ce soir, et j’ai pas envie de rester tout seul, me dit-il avec un grand sourire et son regard auquel je ne savais pas dire non.
Acceptant son invitation, et après nous être essuyé tendrement mutuellement avec nos serviettes et échanger encore quelques bisous, nous sommes sortis de la piscine direction son appartement pour une soirée qui s’annonçait chaude et pleine de rebondissements.
A SUIVRE