Je nétais pas spécialement perverse, pourtant, un jour, alors que je se masturbais sur mon lit — cétait une habitude chez moi depuis des années, quand je m ennuyais, et que je le pouvais. Quand Est-ce que j’avais mal fermé la porte de la chambre ?
Mon labrador vint me déranger, tandis que, les yeux fermés, je menvoyais en lair. Je sursautais et cherchais, abasourdie, quel objet avais bien pu me toucher, ouvrant les yeux je comprenais quil sagissait tout simplement de la truffe humide de mon chien me touchant la jambe .Je le je renvoyais aussitôt se coucher dans son coin.
Ricky avais gémit avant de rejoindre son coin réservé dans l entrée du plein pied.
Je fermais la porte de la chambre et je tentais de finir ce quje avais commencé .Mais, ce contact étrange, que javais ressenti, me revenait sans cesse a lesprit. Impossible de jouir dans ces conditions.
Je décidais, alors, de dormir. Mais mon esprit continuait à gamberger. Il ne tardait pas à mindiquer la marche à suivre.
Dun bond, je me levais, bien décidée à vérifier la sensation que j’avais ressenti tout à lheure. Je jetais un coup dil dans le salon, sans me montrer, jhésitais un instant à appeler Ricky Si je le faisais, je risquais de passer pour une détraquée faisant des avances à son chien. Je résolu le problème en retournant sans bruit dans sa chambre, mais en prenant soin, volontairement cette fois, de laisser la porte entrouverte. Laissant le hasard » les choses
Je mallongeais tranquillement, au bord du lit, laissant mes jambes en dehors, les pieds à plat sur la moquette, jambes largement écartées, interdisant à ma main droite de glisser entre mes jambes.
Jen voulais à mon chien, maintenant, de ne pas venir ; mais je lattendais. Honteuse aussi de sentir mon sexe shumidifier de cyprine.
Ricky pointa enfin le bout de son nez.
Timide, la queue aussi basse que le regard, il se demandait comment il allait être accueilli cette fois. Courageux, il sapprochait du lit.
Il se tenait en face de moi, je pouvais le voir, le cou tendu, le museau en avant reniflant les odeurs de ma chatte qui devaient lui parvenir, dans lattente dun signe. Mais je nosais pas affronter son regard.
Je pensais un instant que je perdais la tête, car tout mon corps désirait sentir à nouveau le contact froid et humide de lanimal. Je relevais la tête, lui faisant signe de sapprocher. Il sapprochait, il me sentait, profitait des effluves de mon sexe ruisselant.
Je laissais tomber sa tête en arrière. Immobile, déçue de voir que Ricky ne se décidait pas. Nen pouvant plus, je se mis à se caresser, tout espérant secrètement quil se passe quelque chose, pour être enfin libérée de ces idées zoophiles qui hantaient lesprit.
Je jouis presque immédiatement lorsque Ricky, cherchant à atteindre la partie la plus humide de mon sexe, m écrasa brutalement le clitoris avec sa truffe glacée. Je continuais de jouir profondément tandis quil me lapait, je regardais avec intérêt, son sexe qui était sorti de son fourreau, intriguée par la grosseur de la base, et surprise de voir du liquide séminale couler de façon aussi abondante…
Le chien gémit une dernière fois. (Je men voulais de me découvrir perverse, zoophile de surcroît !).Je me redressais, passais la main sur le dos de mon chien pour une caresse bien méritée, ma main lui caressait le flanc, il se dressait alors sur ses pattes arrières, la gueule posée sur mon épaule, dune main, alors, attrapais sa bite et la masturbais frénétiquement, jusquà sentir ses éjaculations qui arrosaient mon ventre et mon sexe… . Je filais sous la douche en songeant à remplacer la sieste prévue par une promenade dans le parc (cétais le printemps et il faisait beau).
Je me demandais ensuite sil fallait raconter mon aventure a ma meilleure amie et confidente .Après réflexion, je décidais que oui. Après tout, elle mavait bien entrainée dans aventures de domination avec plusieurs maitres et de gouinages .Qu il faudra bien un jour que je vous les raconte.
Peut être qua mon tour, je l entrainerais dans une aventure assez troublante.