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Roxane, mon fantasme – Chapitre 1

Roxane, mon fantasme - Chapitre 1



Depuis quelque temps, je fabule et je fantasme sur le corps de notre fille, Roxane. C’est une belle jeune fille d’un certain âge avec deux enfants à charge. Elle a un visage d’ange, un corps de déesse, une poitrine à faire rêver tous les hommes, certains se retournent même lorsqu’ils la croisent. Elle a un postérieur bien proportionné à croquer. Nous sommes une famille qui dialoguons de tout avec nos enfants, rien n’est tabou, et nous sommes ouverts à toutes les discussions. Mais en ce qui concerne le sexe, chacun à ses convictions et ses secrets, et il y a une limite que je n’ose pas aborder avec elle, de peur de la choquer, de commettre l’irréparable et de casser l’image qu’elle a de son père. Alors plutôt que de risquer de casser quelque chose, c’est-à-dire le cocon familial, et l’image qu’elle a de moi, je préfère fantasmer et continuer comme avant, à moins qu’un jour elle ne tombe sur mon fantasme et décide de faire le plus beau cadeau qu’elle puisse me faire, c’est-à-dire m’offrir son corps, à moi, son père, et qu’on fasse l’amour ensemble, c’est hélas mon plus grand souhait.

Lorsque nous sommes ensemble, ce qui arrive régulièrement, je fais bien quelques allusions au niveau du sexe, de son corps, il m’arrive même de frôler sa poitrine ou ses fesses, sans jamais dépasser une certaine barrière, qui pourrait la vexer ou la choquer. Alors le soir venu, dans ma chambre, je me mets à fantasmer sur Roxane et sur son corps, si parfait à mes yeux, et je vous assure qu’elle a ce qu’il faut, là où il faut. Mon fantasme est donc le suivant. Profitant d’une journée où nous sommes seuls tous les deux à la maison, je me glisse derrière elle et je commence à lui caresser les seins, n’ayant aucune réticence ou contre-indication de sa part, je descends plus bas sur son ventre, et ensuite je pose mes mains sur son entrejambe, Roxane se retourne alors, puis sans rien dire, elle met ses bras autour de mon cou, elle approche ses lèvres de ma bouche et commence à me rouler une pelle magistrale. Ayant maintenant mes mains sur ses fesses, je les tripote et les malaxe, puis je les pousse vers moi, afin de lui faire sentir ma belle érection dans mon pantalon. Puis je lui demande si elle avait autant envie de moi que moi d’elle. Roxane me fixe droit dans les yeux en me disant :

— Oui papa, tu as mis le feu à la poudre, j’ai envie de toi et fais de moi ce que tu veux.

Je lui demande alors si elle était prête à passer à l’acte et d’aller plus loin que le simple baisé qu’elle m’avait fait.

— Maintenant je suis prête à exploser, je suis à toi et fais-moi jouir.

Je lui demande si elle veut bien se plier à mes exigences du moment, Roxane me répond alors :

— A partir du moment où tu ne me fais pas mal, que je n’ai pas de marques sur mon corps, et que ça ne soit pas dégradant pour moi, je veux bien.

Je lui demande ensuite de me présenter ses mains, elle me montre ses poignets devant elle, tandis que moi, j’en profite pour lui mettre des menottes. D’un air étonné, elle me demande ce que je fais, et pourquoi je la menotte. Je lui dis que c’est pour un jeu, et je l’emmène.

Une fois ceci fait, je m’approche d’elle et je lui explique que ça fait déjà quelque temps que je fantasme sur elle et sur son corps, que je trouve d’ailleurs très appétissant et désirable, et vu que je suis en manque de sexe du fait que sa mère ne veut plus faire l’amour, que j’en ai plus qu’assez de me branler seul, que je suis trop timide pour demander à une autre femme, de peur d’un refus, je profite de l’occasion qu’elle soit là avec moi, et du fait que nous soyons seuls à la maison, rien qu’elle et moi pour satisfaire mon envie de relations sexuelles.

Je lui demande si elle est toujours d’accord pour continuer. Je lui explique aussi que ça fait trop longtemps que je n’ai pas fait l’amour à une femme. Roxane a les yeux grands ouverts, elle me dit alors :

— Mais pourquoi tu ne m’a jamais rien dit papa, depuis le temps que je fantasme moi aussi sur toi, c’est surtout depuis que je t’ai surpris sous la douche et que j’ai vu la taille de ton sexe, que je rêve de l’avoir en moi.

Je viens près d’elle et je commence à sentir son corps, essayant de reconnaître son odeur de femme unique, en même temps que je la sens en la palpant avec mes mains, je touche ses cheveux, son cou, sa poitrine où je m’attarde quelques instants, je les presse, les pince, les malaxe, puis je descends plus bas sur son ventre, puis sur ses cuisses bien musclées et fines, remontant un peu et venant toucher ses fesses bien fermes, puis redescendant à nouveau sur l’arrière de ses jambes, allant jusqu’aux mollets, puis sur ses pieds.

À partir de là, je débute l’effeuillage de Roxane, je commence par lui enlever ses chaussures. Ensuite, je lui masse doucement les pieds. Ma fille, se sentant incapable de faire quelque chose qui puisse me montrer son affection, ne put que gémir et me dire oh combien elle aimait mes caresses. Remontant ensuite sur ses cuisses que je caresse tendrement, j’arrive vers le haut de ses jambes et à son entrejambe, Roxane est terriblement excitée par la situation et se laisse faire en me disant que ça lui donnait des chocs électriques et qu’elle avait des frissons dans tout le corps. Arrivé à hauteur de sa petite culotte, je hume à travers le tissu son odeur de femelle, que je trouvais très agréable. Je retire son dernier rempart avant d’atteindre son nid d’amours.

Je pose une main sur sa vulve, la caressant en même temps que j’irrite légèrement son clitoris, et de temps à autre je glisse mon majeur entre ses grandes lèvres. J’entends la respiration de Roxane qui devenait plus ample et plus rapide, laissant échapper quelques gémissements. Et du coup mon doigt commence à sentir venir à lui la liqueur d’amour de ma fille, je ne savais pas qu’elle était aussi sensible à ce niveau-là, peu de temps après je remonte avec mes mains sur ses hanches et en remontant je prends sa robe avec, et je la passe au-dessus de sa tête, puis je la remonte jusqu’à pouvoir la passer au-dessus de sa tête, puis au-dessus de la porte. Je reviens avec mon visage au niveau de son entrejambe, et je viens boire son jus qui suinte bien maintenant de ses lèvres vaginales. Roxane se tortille dans tous les sens, me laissant comprendre qu’elle aime être bue. En même temps que je bois sa liqueur, je lui plante mon majeur dans sa chatte faisant des va-et-vient, ce qui a pour effet de la faire gémir plus intensément.

Après quelques minutes de ce breuvage si spécial et sublime, je remonte vers sa poitrine, et je lui défais son soutien-gorge, laissant ainsi apparaître sa belle poitrine, assez volumineuse et relativement bien ferme. J’embrasse avidement ses tétons, je les suce, puis je les fais tourner entre mes doigts, Roxane se laisse aller et apprécie ce moment, en fermant ses beaux yeux marron. Je profite maintenant totalement de ce corps chaud et avide de sensations et avec ma langue si désireuse de venir lécher ce corps si bien proportionné et que j’aime tant, ainsi que mes mains qui ne cessent de caresser sa peau si douce au toucher et si enivrante. Cela fait si longtemps que je n’ai pas touché un corps de femme que j’ai du mal à me remémorer combien c’était bon, doux, chaud et tellement agréable au toucher. Sentant maintenant Roxane prête et désireuse d’aller plus loin, ayant réveillé ses sens ainsi qu’ayant activé ses désirs sexuels, je lui propose d’enlever les menottes, et d’aller poursuivre notre relation sur le lit, elle me demande alors si elle pouvait encore garder les menottes, car ça l’excite beaucoup d’être enchaînée, alors qu’on lui fait l’amour, que c’était la première fois qu’ont l’enchaînai avec des menottes et que ça lui plaisait bien…

Une fois que je l’avais couché sur le lit, Roxane me mit les bras autour du cou et me dit :

— Papa je t’ai observé à plusieurs reprises, quand tu prenais ta douche, et j’ai pu voir quelques fois, lorsque tu bandais, la taille de ta verge, et dans ces moments-là, j’enviais maman de recevoir celle-ci, en elle. Et petit à petit je me suis dit, pourquoi elle, et pas moi. Après t’avoir vu ainsi, moi aussi je me suis mise à fantasmer sur ce que nous pourrions faire ensemble, et voilà que ce jour arrive enfin, moi aussi j’avais peur de te choquer, il faut croire que tu as entendu ma prière, d’être enfin seule un jour et de pouvoir toucher et goûter à ton sexe. Je suis donc totalement à toi et je me laisserai faire, fait de moi ce que tu veux, je suis à ta disposition.

Je défis ensuite les menottes et elle enleva sa robe complètement, et elle me tendit ses poignets pour que je lui remette les menottes, puis elle se recoucha sur le lit, les jambes bien écartées, attendant que je vienne la prendre.

Ce récit n’est que pure invention de ma part, il a été écrit parce qu’actuellement je suis en manque de sexe, pour que mes soirées en solitaire soient moins monotones, et que je fantasme sur ma fille Roxane. À ce jour il ne s’est rien passé de tel entre nous, Roxane n’est même pas informée de mon fantasme, ni que je l’ai mis par écrit sur la toile, je n’ai trop de respect pour elle, et je ne voudrais pas casser la bonne ambiance qu’il y a entre nous, et entre moi et le restant de la famille, je n’ai jamais forcé une personne, même ma femme, à faire quelque chose, si elle n’était pas d’accord, et si elle n’était pas consentante. Il en va de même pour ma fille, je ne forcerais jamais quelqu’un à faire ce qu’il ne veut pas, ne serait-ce que par respect pour cette personne, elle-même. Je vais donc devoir continuer à me satisfaire manuellement avec Madame le poignet, à moins que Roxane ne découvre ce récit un jour, et décide d’accéder à mon fantasme secret… En tout cas moi, j’ai trop peur et je suis trop timide, pour lui en parler ou pour lui en faire part. Je laisse faire le temps et qui sait, peut-être qu’un jour… En tout cas l’avenir nous le dira, et je ne manquerai pas alors de vous le faire savoir.

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