Je travaillais directement de mon bureau chez moi. Je n’avais pas d’horaire précis du moment que mon travail était fait en temps et en heure. J’étais chez moi lorsque j’entendis sonner. J’allais voir, c’était ma maitresse. À peine ai-je ouvert la porte, qu’elle m’ordonna, sur le perrons à baisser mon pantalon pour vérifier mon plug anal.
Je m’exécutais aussitôt et elle pus voir que je le portais bien. À chaque mouvement que je faisait, je le sentais rouler en moi. Cela me procurais un plaisir inimaginable.
Ma maitresse voulait juste vérifier que je portais bien son petit cadeau et s’en alla.
Deux jours plus tard je me rendis chez elle pour la phase suivante dans ma découverte de cette sexualité.
Alors que je passais la porte d’entrée, je me déshabillais et allait chercher mon sous-vêtement du jour. Aujourd’hui j’avais droit à un slip doté d’un gode à l’intérieur et troué sur le devant, faisant ressortir mon sexe. Je m’insérais alors le gode dans l’anus. Il y rentrait facilement grâce au port du plug.
Elle m’emmena dans sa pièce sombre et m’attacha sur le dos, presque debout. Ma tête était immobilisé m’obligeant à regarder devant moi. C’est alors que dans l’ombre je la vis arriver. Aujourd’hui elle portait une mini jupe noire assorti avec le haut. Elle avait des talons haut d’environ 13cm. Elle se mis devant moi et commença un strip-tease.
Je sentais mon sexe se raidir et elle le voyait. Plus je bandais plus je sentais le gode rentrer dans ma rondelle. Il était assez volumineux et très large.
Elle enleva d’abord le haut révélant sa belle poitrine à l’air libre. Elle fit un tour sur elle même pour que je puisse apprécier la vue. Elle retira alors sa jupe cacha son string de sa main. Son string était pourvu d’un petit trou au niveau de sa rondelle.
Elle me détacha les mains et m’ordonna d’en plonger une dans son petit trou. Mes quatre doigts pénétrèrent facilement et je sentis un truc dur. Elle me dis de l’attraper et de le sortir. J’attrapais cet objet après avoir enfoncé ma main jusqu’au poignet et en sorti une petite télécommande. Sa rondelle était magnifique, épilé, propre et tellement sensuelle.
Elle m’arracha la télécommande des mains et me les rattacha. Mon érection était maintenant très forte et mon sexe me faisait presque mal. Elle me regarda dans les yeux et appuya sur le bouton de la télécommande. Je senti vibrer au fond de mes fesses. J’avais un gode vibrant télécommandé dans mon cul. Elle s’amusait à appuyer dessus et me regarder me tortiller. Elle se mis derrière moi et m’enfonça encore plus profond le gode. Il vibrait maintenant sans cesse. Je sentais que j’allais venir mais je n’avais pas le droit.
C’est alors qu’elle continuas son strip-tease. Elle gardait une main devant son intimité et effectuas un tour complet. Lorsqu’elle retira sa main je pus voir l’impensable. Elle était doté d’un sexe masculin d’une taille plutôt généreuse. À la vue de son engin, moi qui n’avais pourtant jamais eu de tendance homosexuelles, j’éjaculais devant ses pieds sans lui demander sa permission.
Je me reçu alors un, puis deux, puis trois coup de cravache. Alors que je pensais que ma punition était fini elle accéléra le gode avant de me détacher de ma croix.
En face de moi il y avait une table incliné de façon à être allongé sur la table mais en étant toujours debout. La table était pourvu d’un trou en plein milieu et en hauteur pour y mettre la tête. Elle me fis plongé la bite dans le trou du bas après avoir retiré le slip. Elle apposa une pompe au bout de mon gland.
Cette pompe va récupérer tout le jus que tu vas cracher cet après midi.
Elle m’attachas encore les mains derrière mon dos et je sentis son sexe effleurer mes fesses. Elle m’ordonna d’écarter mes fesses avec mes mains, ce que je fit naturellement.
C’est qu’il aime sa en plus le salop !
Je sentais son sexe posé sur ma rondelle. Son sexe en érection était encore plus grand que je l’imaginais. Il devait faire au moins 25cm. Alors que son sexe était posé sur ma rondelle je reculais les fesses d’un coup sec.
Cela l’a surpris et elle commençait alors les vas et viens. Malgré la douleur je ressentais au fond de moi un plaisir immense. Elle agitait sa queue dans mes entrailles en accélérant le rythme. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir et elle le compris bien. Elle se retira et continua avec ses doigts. Avec deux de ses doigts elle stimula ma prostate ce qui me fut éjaculer un torrent dans la machine qui en plus pompait mon jus avant même qu’il ne sorte.
Elle me fis lécher ses doigts qui venait tout droit de mon cul. Je m’y appliquais, j’étais son chien. Elle abaissa la table et me présenta son sexe encore en érection. Je déposais mes lèvres dessus et suçait à grand coup. Mais cela ne lui suffisait pas, elle appuya alors sur ma tête et enfonça son immense sexe dans ma bouche.
Je léchais son gland quand elle me prévins :
je vais jouir, je te préviens tu avale tout.
Oui maitresse.
Et aussitôt ces paroles prononcés je senti un flot de sperme couler dans le fond de ma gorge. C’était chaud et agréable. Je finissait de lui reluire le manche et elle s’en alla. Me reposa un plug anal un peu plus gros et me laissant ainsi pendant plus d’une demi-heure.
Quand elle revint, elle retira de suite le plug et posa son sexe sur ma rondelle. Elle enfonça tout son sexe en moi, c’était tellement bon que je joui une première fois tout de suite. Elle se retira et vint m’embrasser de suite, ce qui fut repartir mon érection. C’est alors qu’elle mis ses doigts en moi et recommença à me stimuler la prostate. J’éjaculais pour la quatrième fois de l’après midi dans cette trayeuse. Cette pompe décuplait en même temps mon plaisir c’était incroyable. Je prenais du plaisir de partout.
Ma maitresse se dépêcha de remettre mon plug avant de retirer la machine. Elle me détacha et m’ordonna de me mettre à genoux. Elle arrivait avec un verre remplis de ma semence. Elle me dis de tenir se verre juste devant ma bouche. Elle sorti son sexe et se masturba devant mon visage. Elle savait comment faire pour jouir rapidement et elle éjacula un flot impressionnant de sperme sur mon visage, dans ma bouche et dans le verre. Le verre était presque rempli.
Elle me demanda de boire le contenu en entier. Ce que je fis avec plaisir. Elle voyait bien que j’y prenais beaucoup de plaisir. Elle voyait aussi que peut-importe ce qu’elle me demandait de faire, j’acceptais toujours et j’aimais toujours cela. Elle était vraiment décidé à me faire subir quelque chose contre ma volonté.
J’en subirais les frais lors de notre prochaine rencontre.
