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Réunis après 10 mois d'abstinence – Chapitre 1

Réunis après 10 mois d'abstinence - Chapitre 1



Comment j’aime être tienne à nouveau après plusieurs mois de séparation physique.

Je suis allée te chercher à l’aéroport. Tu prends une douche à l’appartement pour te reposer et te rafraîchir. Je suis allongée sur le lit, je ne pense qu’à faire l’amour avec toi. J’en mouille déjà avec délectation. Je t’imagine sous la douche en train de décalotter ton sexe et de le laver. Je pense à tes épaules larges, ton dos en V, tes pectoraux….Je rêve à ce que je vais pouvoir te donner comme plaisir et ce que tu vas me donner aussi. Je me demande en quelle position tu vas me prendre pour commencer, si tu seras d’attaque. Je me félicite de savoir que tu aimes les douches chaudes car ainsi cela te mettra dans de bonnes dispositions pour avoir une belle érection. Je me sens aussi coupable de vouloir que tu me baises alors que tu es si fatigué, mais je me dis que ce n’est pas vraiment une torture non plus après tout.

Cette scène, je l’ai rêvée pendant des mois tous les jours plusieurs fois par jour et là on y est, pour de vrai. Tout comme quand nous avons perdu notre virginité ensemble. La réalité ne se passe jamais comme dans nos fantasmes et je ne serai pas déçue quoiqu’il se passe, je te demande juste des baisers et que tu me dises que tu m’aimes au pire.

Tu sors de la douche, j’entends que tu remets un jean propre, la boucle de la ceinture tinte. Un frisson lubrique me parcourt l’échine, qui me rappelle ce même tintement lorsque j’enlève parfois ta ceinture pour te sucer et te faire jouir dans ma bouche ou sur mes seins.

Tu sors de la salle de bains et tu t’avances vers moi, je me relève et me tient debout devant toi, je porte ma jupe courte blanche avec un liseré de dentelle bleue, un haut fin et un string noir en dentelle. Je te demande si ça va, tu me dis que oui. Je n’y vais pas par quatre chemins, je te dis que je veux baiser là tout de suite, maintenant! Je m’approche de toi rapidement et mets mes mains sur ton torse. Je sens tes poils à travers le T-shirt, ça m’excite. Je te fixe avec un regard qui sent le sexe et je me frotte contre toi.

Tu m’étreins avec douceur, un peu hésitant après tant de mois d’abstinence, tes bras se referment autour de moi et tes lèvres se posent sur les miennes, nous sommes debout dans la chambre et le temps est suspendu pour les amants terribles que nous sommes. Nous aurons tout vu, tout fait dans tant de pays, mais notre chez-nous, c’est quand nous sommes réunis.

J’ai envie de toi et cela fait si longtemps que nous ne nous sommes pas vus. Il n’est pour l’instant même pas encore tout à fait question que tu me prennes avec ton pénis dur comme je le disais, simplement, j’ai besoin de te sentir à nouveau contre moi.

Tes lèvres sont charnues et contrastent avec mes lèvres fines, tes baisers sont chauds et doux. Je ferme les yeux et je frotte ma joue droite contre ta joue rugueuse. Tu ne t’es pas rasé après ta douche pour te remettre des 24 heures de vol. Je te préfère ainsi, c’est viril. Je me prends à penser que je suis en période d’ovulation à mon avis pour autant aimer tes attributs masculins.

Tes lèvres me manquent alors à nouveau trop vite, je t’aime. Laisse-moi caresser ton cou, ton visage alors que nos baisers se font plus langoureux, plus passionnés.

J’anticipe déjà que tu veuilles me prendre, je n’ai rien contre, j’ai toujours envie de toi et nous sommes maintenant enfin ensemble pour quelques jours. Je sais cependant que malgré tout l’amour que j’ai pour toi, au fond de moi persiste cette crainte de ne pas être prête pour t’accueillir en moi et comme tu le mérites ce soir. Je sais aussi que tu es trop excité les premières fois et après tant de mois d’abstinence.

J’ai envie que ça soit grandiose et que ça dure longtemps mais je sais aussi que tu devras me pénétrer et venir en moi ce soir, aussi bref que cela puisse être et pour que nous puissions commencer à reconnecter nos esprits et nos corps au plus vite. Je préfère que tu jouisses en moi rapidement que de te forcer à t’épuiser et moins jouir pour que ça dure longtemps.

Je t’aime si fort, les baisers se suivent, nous modulons à l’infini, le temps semble suspendu et le désir monte. Tes mains descendent de mon cou jusqu’au bas de mon dos, je n’ose poser une main sur ton entrejambe tant l’excitation mêlée de peur est à son comble. Je te donne un dernier et long baiser, je t’aime si fort. Tu me regardes avec amour et je sens aussi ta crainte, tu n’oses pas jouer les prédateurs, tu as peur de ne pas être à la hauteur et d’éjaculer trop vite ce soir. Le truc, c’est que tu éjacules de temps en temps un peu vite, mais que tu me laboures quand même toujours un bon moment avant à chaque fois. Je vais devoir à nouveau te le répéter après cette session de "love making" comme tu dis.

"J’ai envie de toi, Thomas. Je veux qu’on fasse l’amour maintenant." Je me fais insistante. Cela faisait si longtemps que je n’avais prononcé ces mots que je pensais tous les jours depuis des mois, et dans ta langue que j’aime tant.

Tu me réponds que tu m’aimes et je prends les devants, je ne cesse de me frotter à toi pour sentir ton odeur enivrante sur ma peau et délicatement mais fermement je pose une main sur ton entrejambe. Je sens ton sexe déjà dur à travers les plis du pantalon. J’aime savoir que je te fais toujours tant d’effet et si rapidement sans même que nous ayons échangé plus de quelques baisers passionnés.

On ne prévoit jamais à l’avance qu’on fera l’amour dès qu’on sera enfin seuls, on le fait toujours, c’est tout. Un besoin, un plaisir, une nécessité biologique et psychologique, marquer son territoire, que sais-je encore et tout cela à la fois.

Mon coeur bat entre mes jambes, je sais que ma vulve se prépare à te recevoir, les lèvres, le clitoris et les muqueuses gonflent afin de nous offrir bientôt les meilleures sensations et ton pénis sombre est déjà bien dur. Je te pousse avec amour dos contre le mur.

Je m’agenouille devant toi, j’ai envie de te prendre en bouche, tu ne t’y opposes pas, tu aimes toujours cela de toute façon et ça t’aide à retarder ton éjac. J’ai mis du temps à apprécier cet acte, je me suis un peu forcée pour toi au départ mais j’y trouve désormais tellement de plaisir de te faire planer ainsi. J’aime ton beau pénis brun, le lécher, le sucer, l’embrasser, lui faire l’amour autant qu’il te sert ensuite à me faire l’amour.

J’ouvre ta braguette, tu décides d’ôter ton jean. Je relève ton T-shirt précipitamment et j’embrasse ton bas ventre doucement une main sur tes hanches puis je descends vers ton sexe toujours en t’embrassant, j’aime ta peau douce couleur ambrée. Tu sens si bon, mon amour.

Tes fluides sexuels ont déjà commencé à mouiller ton caleçon. Je le baisse avec avidité et ton long sexe dur et épais jaillit et vient cogner ton bas ventre pour redescendre et s’offrir à moi. Je retrouve avec plaisir la vue de cette partie de toi qui nous a déjà permis tant de fois de n’être qu’un dans le plaisir. Le gland rosé et gonflé est déjà luisant, je le savais au vu de l’état de ton caleçon. Je saisis ta verge, le contraste entre ton membre couleur ébène et la pâleur de ma peau, ainsi que la vision de ma bague de fiançailles décuplent mon excitation sexuelle. Je te veux et je serai tienne ce soir.

Il y a aussi quelque chose de profondément excitant intellectuellement parlant à penser que lui, la victime du colonisateur et moi la descendante de colon allons nous unir d’égal à égal. Ces rapports interdits pendant la ségrégation et l’Apartheid ou encore la colonisation, en tout cas entre une femme blanche et un homme "non-blanc." J’aime braver les interdits, ça m’excite qu’il me domine et peut-être aussi qu’inconsciemment, j’essaie de réconcilier deux mondes avec mon vagin. Je suppose qu’inconsciemment, ça doit l’exciter aussi de pouvoir dominer et jouir dans le vagin de sa petite blanche quand il veut et au risque même de l’engrosser. Je sais qu’il ne le pense pas consciemment. C’est jouissif dans mes fantasmes à moi en tout cas.

Je donne une série de baisers à ta verge du milieu jusqu’à la base et fais un massage à la main de tes testicules. Le désir monte en moi un peu plus, je me soumets à toi. Puis ma bouche remonte jusqu’à l’extrémité humide de ton sexe que je commence à lécher avec passion. Tu serres alors la main que j’ai placée sur ta hanche droite. De l’autre main je continue à toucher tes testicules imberbes pour gérer ton éjaculation et donc ton plaisir. Ta main se crispe, ta respiration se fait plus haletante.

Ton gland est toujours un peu gros pour ma bouche et je fais au mieux pour te donner satisfaction, tu ne t’es jamais plaint jusqu’ici. Tu continues à mouiller un peu plus signal qu’il est plus que temps que j’enfourne ton membre viril plus avant. Je me penche alors et donne un mouvement vif de va et vient, ton pénis entre de plus en plus profondément en moi jusqu’à ma gorge même si à ma grand déception, je sais que je ne pourrai pas prendre tes 20 cms en érection, en tout cas il me faudra encore pratiquer. Tu serres ma main alors que je module le rythme, je vais vite puis je ralentis, puis j’accélère en donnant quelques coups de langue. Tu laisses échapper quelques ahanements de plaisir, toi qui est d’ordinaire plutôt silencieux. J’aime t’entendre, je te l’ai dit.

Soudain, tu m’arrêtes, tu me dis que c’est assez. Je sais que je t’ai trop excité. Je comptais pourtant sur le fait que tu me sondes en levrette, notre position préférée car la plus jouissive.

Je me relève et te fais face, tes yeux noirs me désirent, ta bouche sensuelle me réclame, je t’embrasse et tu frottes ton sexe contre ma jupe blanche. Tu mets une main sur mes fesses sous ma jupe et tu me caresses les fesses puis la croupe, je caresse l’intérieur de mes cuisses, le plaisir et le désir montent à nouveau d’un cran. J’ai envie que tu me prennes mais je ne sais pas dans quelle position, à vrai dire le désir est si enivrant que je ne parviens plus à penser clairement. Mon coeur bat si fort, ma vulve brûle de désir, mes seins sont durs et mes mamelons pointent sous mon haut. Tu me caresses les fesses puis ta main glisse le long de mon entrejambe, tu écartes mon string et tu me lubrifies les grandes lèvres avec ton pénis. Ce faisant tu introduis deux doigts en moi avec un savant mélange de dextérité et de force, de toute façon, tu te sais déjà en terrain conquis. Je suis prête à défaillir après des mois de frustration intense.

Comme je le sens, tu veux me prendre au plus vite, car tu as peur d’éjaculer à tout moment. Tes bourses sont pleines de semence après tant de mois sans les vider en moi régulièrement.

J’aime et je dirais même que je veux sentir ton sperme en moi, dans mon vagin ou mon rectum, peu importe mais il faut que tu viennes en moi ce soir.

Tu me doigtes longtemps et me fait remarquer que je suis bien lubrifiée et que ma fente est étroite. Je masturbe alors mon clitoris, ma vulve est gonflée par le plaisir. Je ne peux retenir mes cris lorsque tes doigts me font jouir, tu m’embrasses et me pousses alors contre la table.

Si tu viens vite, je veux voir ton visage lorsque tu jouiras, c’est mieux, que tu me prennes de face. Si tu te sens capable de résister un peu alors je t’offrirai ma croupe. Ton sexe est vraiment pleinement en érection, je sens que tu brûles désormais de me prendre, je m’allonge sur le dos et laisse mes fesses dépasser de la table, tu me suis et tu colles ton pénis contre ma fente. Tu rapproches ton visage du mien et je te donne un baiser tout en caressant tes joues. Je t’aime si fort, mon Thomas, prends-moi maintenant. Tu me demandes si je suis prête et j’ouvre encore plus mes jambes, je touche ton pénis du bout des doigts, prends-moi. Tu le saisis d’une main et tu pousses vigoureusement le gland entre mes grandes lèvres, il pénètre ensuite par les petites lèvres jusque dans mon vagin.

Ton sexe est parfait pour moi. Le gland m’ouvre fortement et tu procèdes alors avec une grande douceur à l’insertion de tes 20 cms, pouce par pouce, ton épée se fraye un passage dans mon fourreau chaud et soyeux. Tes mains sont sur mes hanches augmentant cette sensation de douce chaleur qui irradie mon bas ventre. Je grimace parfois car tu vas encore trop vite, tu retires alors quelques centimètres puis revient plus conquérant. J’aime ta douceur et ton respect initial, assurément, tu m’aimes.

Je te demande d’enfoncer toute ta queue en moi, je contracte mon périnée sur ce petit monstre, ça y est, nous pouvons commencer pleinement à jouir ensemble. Tu me regardes comme toujours pour que je te donne le top départ et je te souris, vas-y.

Tu commences alors à me labourer le vagin tantôt avec entrain, tantôt avec douceur, tu modules, tu expérimentes et tu reviens vite à la charge, trop vite, comme un gamin. J’aime ce que je ressens, c’est bon, c’est trop bon. A un moment, je sens ta verge tressauter en moi, signe caractéristique que ton précieux sperme commence à se répandre déjà dans mon temple du plaisir. Je te regarde et je souris, comme je te le dis toujours, je préfère court et bon que long et laborieux et tu le sais. Je sais aussi que tu n’oses jamais te retirer avant d’éjaculer de peur de me frustrer. Je cesse de te donner des coups de rein et je t’enjoins à te retirer avec douceur avant que tu n’aies complètement déversé ta semence profondément en moi. Tu t’exécutes. Je me relève et je t’embrasse, je te fais sentir que je t’aime et que je me moque que le coït n’ait pas duré plus de 5 minutes. Je mets mes bras autour de ton cou et tu m’embrasses en retour. J’aime toujours autant ton odeur, elle est rassurante et excitante, je me sens comme ta chienne quand je te respire.

Me vient alors l’idée que je vais t’offrir ma croupe désormais et certainement pour conclure. Tu es en train de débander, visiblement tu es heureux et en même temps chagriné. Arrête donc te penser que tu n’es pas à la hauteur, si tu savais combien tu me fais jouir et combien je t’aime et t’attends vertueusement depuis déjà tant d’années.

Je m’allonge sur le lit, nue, et t’invite à me rejoindre. Tu es désormais nu toi aussi. J’aime ton corps, tu es très mince et plus petit que moi, ta peau est ambrée et ton torse et tes bras couverts de poils bruns, tes yeux sont noirs de jais, tes lèvres charnues et ton nez légèrement épaté, tu es beau, mon amour. J’aime quand nos corps sont enlacés, ma peau laiteuse et mes cheveux blonds sont magnifiques contre ta peau. Mes seins de taille moyenne sont lourds et gonflés avec le plaisir que tu me donnes. J’aime tes grandes mains qui me caressent désormais partout, tu embrasses ma poitrine avec passion, tu fais l’amour à tout mon corps désormais et je fais de même pour toi. Je masturbe ta bite à moitié dure avec mes mains, plus pour jouer que vraiment te faire bander complètement. Les préliminaires durent ainsi encore un bon moment, je perds le compte des minutes, je me noie dans un océan de plaisir coupable et heureux, dans un océan d’amour véritable et de béatitude.

Tu es allongé sur moi et nous nous embrassons et nous aimons depuis quelques minutes maintenant quand je sens ton sexe gonfler à nouveau rapidement entre mes cuisses, il n’est pas encore complètement dur que tu me pénètres alors rapidement et vigoureusement de nouveau en missionnaire sans que j’ai pu rien dire. L’attaque me surprend, les premiers centimètres sont peu agréables sans être douloureux puis je me détends et t’accueille, le plaisir m’inonde et j’oublie que je voulais t’offrir ma croupe. Ton pénis me pénètre profondément et ouvre largement ma fente qui est désormais bien lubrifiée par la cyprine et des fluides. Je lâche prise, j’oublie le stress, je mets une main sur mon bas ventre pour essayer de sentir ton sexe pousser à travers la peau. Je sens bien quelque chose, mais les organes internes qu’il déplace.

Mon coeur bat la chamade, mes joues sont en feu, je ne peux plus contenir mes cris à nouveau, je jouis trop. J’ai peur que ça te déstabilise mais je n’ai pas le choix, à ce moment là, j’oublie, je sais que je plane pendant un certain temps. Je ne sens à nouveau que cette sensation chaude dans le bas ventre, je sais que tu es là et je t’aime, puis quand je redescends un peu et parviens à me ressaisir, je te demande avec amour de ralentir et de retirer ta verge en érection. Je m’agenouille et me penche alors dans le lit, tremblante et faible, le lit est trempé par nos fluides sexuels, je t’offre ainsi ma croupe et je te demande de me prendre si tu en as l’envie. Tu embrasses mon épaule droite, te couches sur moi et guides ton gland vers ma fente. Je t’attends agenouillée, encore cette stupide légère appréhension me saisit. J’essaie d’être rationnelle, je ne fais alors que te ressentir et t’écouter, ne pas te voir m’excite tout autant que de voir la jouissance dans des yeux comme lorsque tu m’as prise en missionnaire plus tôt.

Ton sexe est dur et collant, tu me taquines, tu le frottes contre l’intérieur de mes cuisses, puis contre mon clitoris, me masturbe, puis tu le places tout contre mes grandes lèvres et alors que je m’arc-boute pensant que tu vas me pénétrer de tout tes centimètres, tu remontes vers mon anus. Tu me glisses d’un ton lubrique que nous allons devoir essayer à nouveau par là bientôt, je te réponds que oui bien entendu et que je veux que tu délivres pleinement ta semence en moi maintenant. Tu te détends visiblement. J’ajoute que c’est ton moment, que tu dois te faire plaisir. J’espère ainsi te redonner confiance et cela marche. Tu pousses alors ton gros sexe lubrifié en moi, toujours avec la même douceur car tu sais qu’avec cette position tu as plus de risque de me faire mal en cognant ton gland contre le col de mon utérus. Je te sens si fort, je jouis encore un peu plus, tu viens pourtant seulement d’introduire ta verge en érection en moi, tu n’as même pas commencé à me pilonner la forteresse. Tu y vas alors franco, c’est le grand final, tu veux jouir et moi aussi à nouveau. Je te laisse faire, tu me baises comme cela pendant un bon petit moment, tu expérimentes aussi, je sais que quand tu sens que tu vas éjaculer, tu ralentis alors fortement voir t’immobilises, ta queue est prise de soubresauts, tu contrôles, et tu reprends encore plus vigoureusement.

Tu as chaud, tu es visiblement trempé de sueur, je pense que tu prends ton pied. Ton entrejambe colle sur mes fesses et cela fait du bruit à chaque contact, tes mains sont moites, c’est tellement bon que je voudrais que tu n’arrêtes jamais. Soudain je me dis que j’aimerais que tu me prennes par derrière. Je souhaite tout un tas de choses irréalistes intérieurement, je me perds dans les fantasmes et la jouissance immédiate. J’ai de nouveau les joues en feu et mal au bras à force de maintenir la position mais c’est secondaire. Ta respiration se fait de plus en plus forte et saccadée, soudain tu enfonces toute ta queue bien profondément et tu t’immobilises, je sens alors une vague de chaleur m’inonder, ta queue reste ainsi profondément enfoncée pendant un bon moment, tu es immobile, tu délivres toute ta semence et je me prends à fantasmer que tu m’as baisée tellement fort que tu m’as sûrement engrossée. J’ai eu tellement de plaisir si tu savais. Je me prends alors à vouloir remettre ça dans quelques dizaines de minutes quand tu auras logiquement refait un stock de petits soldats dans tes bourses. Je sais que tu vas vouloir dormir maintenant, ça me fait sourire. Nous avons encore des décennies pour apprendre à enchaîner les éjaculations et connaître des orgasmes encore plus forts.

Tu retires ta queue un peu rapidement et après avoir complété ta mission, le retrait est un peu désagréable, pas douloureux cependant. Je m’étonne toujours de cette sensation car ta queue est pourtant toute petite et toute molle après le coït, rien à voir avec ce que tu m’as mis à trois reprises plus tôt. Je me retourne et essaie de contenir au maximum ton sperme en moi, mon fantasme de fécondation qui continue. Je bloque l’expulsion avec une serviette et tu viens naturellement t’allonger sur moi. Je t’embrasse sur le front, sur les joues, je te demande si tu es content, tu me réponds que oui, toujours. Tu bailles doucement et fermes les yeux. Je commence aussi à somnoler tout en rêvant d’une autre baise. J’ouvrirais volontiers mes jambes à tes ardeurs de nouveau là maintenant sachant que je m’endormirais peut-être aussi en chemin, ne le prends pas mal, c’était épuisant. Je suis heureuse, je t’aime. Tu fermes les yeux la tête sur mes seins encore gonflés par l’excitation. Je touche mon bas ventre, il est chaud et tu es en moi pour encore quelques 72 heures au moins. J’ai l’impression que ton sperme est trop acide ou trop alcalin sur et à l’intérieur de ma vulve, c’est un peu désagréable et aussi très excitant, ça veut dire que tu m’as baisée, que tu as marqué ton territoire, je me sens amoureusement salie et humiliée, je ris intérieurement de l’oxymore et de l’animalité de cette activité de couple.

Sur cette dernière réflexion que j’estime triviale et excitante, je m’endors avec toi, les joues rosies et le sourire au coin des lèvres.

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