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Rupture du tendon d'Achille ! – Chapitre 2

Rupture du tendon d'Achille ! - Chapitre 2



Comme je vous l’avais dit… la réalité dépasse parfois la fiction et rend les fantasmes bien pâles et sans saveurs !

Il est donc inutile que je continue à vous évoquer comment je m’imaginais mon séjour à lhôpital puisque je viens de sortir de lenceinte de ce dernier et que j’ai encore du mal à croire ce que j’ai vécu pendant six jours ! Autant vous conter ces six jours hors du temps et de la réalité, qui resteront néanmoins gravés à tout jamais…

Je vais donc également vous éviter une deuxième fois le récit des raisons pour lesquelles je me représente, ce 18 février 2015, à l’accueil des urgences de lhôpital, puisque vous le savez déjà : une rupture du tendon d’Achille…

C’est donc avec mon sac en bandoulière et des affaires pour quelques jours, que je passe en béquilles le sas d’entrée du centre hospitalier… pour normalement me faire opérer dans la journée.

Au moins, pas de surprises et de faux espoirs : je comprends tout de suite, dès l’accueil et le joli sourire de la ravissante Nathalie, que le "normalement me faire opérer dans la journée" est aussi hypothétique que d’avoir une érection devant une photo d’Yvette HORNER. Après, me diriez-vous, chacun ses fantasmes !

Je saisis aussi très rapidement que le fil conducteur et maitre mot de la journée sera "l’attente"…

Donc je commence par attendre dans une salle d’attente… puis dans une autre… puis dans un couloir… puis je suis déplacé de quelques mètres dans ce même couloir, au gré d’arrivées et de départs d’autres patients ! Ah oui, chose importante : entre deux phases d’attente, une petite douche à la Bétadine et changement de tenue pour une très jolie et saillante petite blouse dhôpital, avec face arrière à l’air…

Dans ce fameux couloir d’hôpital qui s’est vidé de la plupart des brancards et de leurs occupants, il n’y a, au bout d’un moment, plus que moi et, sur un brancard un peu plus loin dans la direction de mes jambes, une jeune femme brune qui me tourne le dos. Au début, je n’y porte pas plus d’attention que cela, plus occupé à compter les heures écoulées depuis mon dernier repas et à faire des calculs de probabilité quant à l’hypothétique heure du prochain…

Et puis, parce que même affublé d’une chemise de nuit de gonzesse, je reste malgré tout un homme avec tout ce que cela comporte, je commence à mater ce joli petit corps de femme juste couvert d’une même blouse d’hôpital et d’un drap, en essayant d’apercevoir les contours de ses seins, de ses hanches, de ses jambes… Elle a ramené ses deux genoux vers le haut et légèrement écarté les cuisses. Elle semble être attentive aux moindres bruits qui pourraient annoncer l’arrivée de quelqu’un… mais, pour autant, elle ne parait pas consciente de ma présence à quelques mètres derrière elle.

C’est alors que je la vois glisser une main sous le drap, entre ses cuisses… pianotant avec son autre main sur le clavier tactile de son I phone. Elle se caresse doucement, de façon très sensuelle… D’où je suis, je peux voir sa tunique remontée sur son bas-ventre et une jolie petite toison brune apparaitre au gré des mouvements de sa main. La scène est d’un érotisme torride et, forcément, je bande comme un taureau !

Elle cesse un instant… un infirmier traverse le couloir avec un patient… et après quelques minutes à écouter si quelqu’un d’autre arrive, elle reprend son plaisir solitaire. Elle a maintenant posé son I phone à côté d’elle et, avec sa deuxième main, elle effleure la pointe de ses seins par dessus le tissu de la blouse. Ses caresses se font plus insistantes et elle commence a ondulé de tout son corps, son bassin se soulevant doucement du brancard. Je la vois se pincer les lèvres et fermer les yeux, comme si elle est toute proche de l’extase, de l’orgasme ! Par moments, je peux deviner son sexe et le bas de ses cuisses… mon excitation et l’érection qu’elle provoque sont à leur comble !

Un agent d’entretien déboule au fond du couloir avec un chariot de linge et se dirige vers nous… elle stoppe de nouveau ! Une fois à notre niveau, forcément, l’homme nous adresse un "bonjour", auquel je me sens obligé de répondre de la même manière. Je la vois alors se retourner avec effroi et piquer un fard en mapercevant à quelques mètres d’elle. Elle venait sans doute de réaliser que j’avais été aux premières loges pendant toute la scène de masturbation !

Le couloir reprend rapidement son calme mais je sens maintenant la jeune femme décontenancée et particulièrement mal à l’aise. Elle n’ose d’ailleurs plus se retourner et pianote avec beaucoup de fébrilité sur son I phone. Quant à moi, je ne sais pas ce que je dois faire, partagé entre mon excitation qui me pousse à aller vers elle et à engager une conversation… et une timidité autrefois maladive mais qui reste encore maintenant un terrible frein quand il s’agit d’aborder une jeune inconnue !

Et puis merde ! Je n’ai qu’une vie et, surtout, si je ne tente jamais rien, mes fantasmes resteront à l’état de fantasmes ! Je récupère donc ma paire de béquilles posées à l’arrière du brancard, me lève et m’avance vers la jeune femme toujours allongée. Que vais-je bien pouvoir lui dire ? Je suis comme un adolescent lors de son premier flirt, alors que je vais avoir 43 ans !

"Bonjour ! Vous êtes très belle ! Vous vous faites opérer de quoi ?

Elle se retourne de mon côté et me regarde avec de magnifiques yeux marrons. Elle est jeune ; elle ne doit pas avoir plus de vingt ans… peut-être même est-elle encore mineure !? Pour autant, sans me dire un mot, elle tend une main vers moi, soulève le devant de ma blouse et attrape délicatement mon sexe encore bien gonflé… Avec tout autant de délicatesse, elle me tire vers elle et prend le bout de ma verge entre ses lèvres, tout en continuant à me fixer du regard.

Une sensation de douceur et de chaleur m’envahit alors que sa fine bouche s’active et enfourne toujours plus mon sexe maintenant au maximum de sa taille. Tout ce qu’elle fait l’est avec lenteur et douceur, comme pour me faire profiter plus encore de l’instant ! Je regarde le couloir et tend l’oreille, pour tenter de déceler l’éventuelle arrivée d’une tierce personne… le risque de nous faire surprendre décuplant mon excitation.

Quelle sensation de bonheur ! Je suis en train de me laisser emporter par cette bouche experte, toujours debout sur une jambe et ma béquille gauche. Ma main droite, la jeune inconnue la saisit avec sa main libre et l’amène jusqu’à son entrecuisse chaud et humide de plaisir, tout en enlevant le drap qui en barrait l’entrée.

Mes doigts jouent un moment avec ses fins poils pubiens circonscrits en une petite touffe très mignonne… puis ils s’aventurent plus loin vers ce jeune et doux puits d’amour peut-être encore inviolé.

Tout n’est que finesse, fraicheur, douceur… sur ce joli corps à peine sorti de l’adolescence. Je l’entends pousser de petits cris de jouissance, étouffés puisque ayant toujours ma queue dans sa bouche… comme un signal que moi aussi, je peux me laisser aller à mon plaisir ! Je me raidit presque immédiatement de tout mon corps et sens de puissants jets de sperme s’échapper de mon sexe qu’elle garde pourtant entre ses lèvres. Elle semble tout avaler sans aucun écurement apparent et me fait même la grâce d’un ultime nettoyage avec la langue de mon appendice ! Je suis aux anges !

Pour autant, je ne peux pas partir sans au moins un dernier plaisir, celui de m’enivrer de son parfum intime. Me retenant une main sur le brancard, je plonge donc ma tête entre ses cuisses et, ouvrant le plus grand possible ma bouche, j’aspire sa petite chatte toute liquoreuse des caresses de tout-à-l’heure. Ma langue se met immédiatement en action à la recherche des zones érogènes de ma jeune partenaire… mais, malheureusement, l’exploration de ce fabuleux petit sexe féminin est vite écourtée, des bruits de pas et des éclats de voix nous rappelant à la réalité !

Juste le temps de me remettre debout et de faire glisser sur mon sexe le vêtement de l’hôpital, pour elle de tirer le drap au-dessus de ses jambes… qu’une infirmière déboule dans le couloir !

— Monsieur A… ?!

— Oui, c’est moi…

— Mais vous faites quoi debout loin de votre lit ?

— Euh… Je… J’étais venu lui ramasser quelque-chose qu’elle avait fait tomber… comme elle ne peut pas se lever !

— Parce que vous, Monsieur A…, vous le pouvez ?! Qui plus est, les fesses à l’air devant une jeune fille ! Allez, zou ! Sur votre lit et on va en chambre faire un gros dodo !

Je me sens d’un seul coup très "con", au milieu du couloir en petite tenue, houspillé comme si j’étais un gamin de dix ans ! J’ai malgré tout un dernier regard vers ma jeune partenaire d’un instant, qui me rend un joli sourire complice, du sperme gouttant à la commissure de ses fines lèvres. Un dernier regard d’une femme dont je ne sais toujours strictement rien, ni son prénom, ni son âge, ni de quoi elle se faisait opérer…

Une femme que je ne reverrai peut-être jamais… mais avec qui je venais sans doute de vivre le plus beau et excitant moment de ma vie !

— Monsieur A…, chambre 457 !

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