Il est près de moi, ma main caresse la sienne, je n’hésite pas à m’approcher pour me coller à lui durant qu’on marche, mon but est de trouver un lieu où personne ne nous dérangera, ça ne semble pas le gêner d’être conduit loin de tout, l’avantage d’être une femme : il est facile d’emmener un homme même si la mort est sa destination.
J’aime l’ambiance qui règne, je suis sûre qu’il sait qu’il va se passer quelque chose, il a autant l’intention de profiter que moi de ce petit moment ensemble.
On parle de banalités, j’aime quand il me raconte ses histoires, j’aime aussi beaucoup lui raconter les miennes, même si malgré l’envie de l’autre une certaine timidité règne dans l’air sûrement dut au fait qu’on ne s’était jamais vu avant mon inscription sur ce site de rencontre.
Il me plaît énormément et je veux quand même en profiter, du coup je nous stoppe et me place devant lui et je le regarde droit dans les yeux, il baise légèrement son visage ce qui met celui-ci à ma portée, je souris, il sourit à son tour, dès qu’il cesse je pose mes lèvres sur les siennes, il ne bouge pas, je commence à l’embrasser, il me répond et suit mon rythme. Il pose mes mains sur ma taille et commence à me câliner, ce qui me pousse à lui offrir totalement ma bouche, il en profite et me pénètre avec sa langue, elle est vite arrêté par la mienne et celles-ci commencent à se caresser, je n’ai qu’à répondre à ses caresses. Les hormones faisant le reste je suis sur un petit nuage contre cet homme.
Il commence à se faire urgent de s’éloigner au maximum, il va falloir patienter, surtout qu’il ne sait pas ce que j’ai prévu, ni le contenu de mon sac (de quoi parer à certaines de mes envies). Il est extrêmement difficile de rester sage avec quelqu’un pour lequel on ressent une attirance si forte et qui consent et répond à mes caresses.
J’ai envie de changer mon plan, voir jusqu’où peut aller cette tendresse naturelle, mais il ne le faut pas, je veux aussi satisfaire mes envies déviantes.
Nous réussissons enfin à trouver un endroit qui nous convient tous les deux.
Je pose mes deux mains à plat sur son torse, écoute son cur qui bat pendant quelques instants, puis lui retire son manteau. Il me pousse par terre et me retire le mien. Il se met entre mes jambes, je sens ses mains se glissant sous mon haut et le soulever pour atteindre ce qui l’intéresse, mes énormes seins. Je sens une bosse se former dans son pantalon, je passe ma main dessus, ça me plaît. Il commence à m’embrasse tout en continuant à me malaxer. Il veut plus et me déshabille totalement en haut, me bloque les mains pour éviter que je cache ce qui l’intéresse et observe la vue qui s’offre à lui.
Je ferme les yeux et me laisse faire, il a relâché son étreinte et s’affaire avec ses mains, sa bouche et sa langue sur mes mamelles avec une certaine avidité. Petit à petit les mains s’intéressent à nouveau à ce qu’il y-a autour et se font de plus en plus baladeuse.
Sa bouche rejoint la mienne, je sens toujours sa bosse et il se frotte contre moi, je ne peux m’empêcher de répondre à cette douce pression contre mon intimité par des gémissements qui lui donnent envie d’aller plus loin.
Je lui dis stop et communique mes intentions, pour cela j’ouvre mon sac et cherche la corde que j’ai réservée à cet usage. Je veux qu’il m’attache les mains, je veux être debout et je veux être sous sa domination, heureusement qu’on en a déjà parlé lors de nos échanges écrit. Je finis de me déshabiller, il me regarde, me prend la corde. C’est lui qui décide là où il va m’attacher. Il force sur la hauteur, au point que je suis obligée de me tenir sur demi-pointe, ce qui a effet de mettre ma croupe en évidence. Il me tâte, me caresse, s’attarder sur mes fesses, je crois qu’il sait ce qu’il veut me faire, car il s’avère qu’il explore déjà mon intimité avec ses mains, ce qui me pousse à commencer à haleter. Avec toute cette agitation je suis plus que lubrifiée et il souhaite directement en profiter, car je sens déjà sa virilité cherchant son chemin entre mes cuisses, je commence à respirer de plus en plus fort.
Il enfile un préservatif et commence à me pénétrer, je sens son gland commencer à écarter mes grandes lèvres, je profite pleinement de ses va et vient contre mes petites lèvres et mon clitoris. Mon compagnon du jour se met à poser ses mains sur mes hanches et se permet de les bouger à sa guise afin de réussir à me pénétrer, il y arrive d’un coup, lui qui m’avait promis d’être doux. Il me pilonne déjà sauvage une main toujours sur mes hanches et l’autre qui s’est permis de monter pour tenir fermement mon visage, son puissant bras entre mes seins bloquant mon corps. Sans que je comprennes pourquoi il sort de moi et commence à me pénétrer par derrière, me laissant échapper un couinement, l’homme veut m’offrir cette chose que j’aime tant, me faire sodomiser. Il est terriblement patient et je mempale lentement sur sa bite, malgré tous mes efforts pour accélérer le phénomène. Sa main qui me bloquait le visage se met sur ma bouche. Puis il entame des va et vient furieux, je n’ai plus qu’à subir ses assauts, le contrôle de mon corps rompt, je jouis, je sens la corde qui retient tout mon poids, ce qui lui permet de prolonger ma jouissance sans que je m’effondre. Il s’arrête, me détache, je tombe à terre à genou, épuisé, je mets quelques minutes à m’en remettre, il est à côté de moi et se met à me faire un câlin. Dans le but de le contenter il n’y-a plus que deux choses à faire : le sucer et avaler.
Je retire la membrane qui nous a précédemment protégé, puis commence à le branler, je pose ma bouche sur son gland et lui fait un léger succion, une légère contraction de sa bite me fait comprendre que l’effet recherché est atteint, puis je lèche du commencement de son frein à son urètre en m’appliquant pour qu’il sente comme il faut la pression que peut exercer mon piercing, une nouvelle contraction à la sensation de mon souffle chaud sur sa verge. Je continus à m’affairer avec ma langue, mes mains continuant de le branler légèrement. Je fais pénétrer son gland dans ma bouche, je l’entends haleter, je laisse ma bouche continuer son chemin le long de sa verge, tout en aspirant légèrement. Il me caresse les cheveux et a tendance à me les attraper, puis laisse sa main suivre mon rythme tout en agrippant mes cheveux.
Au fur et à mesure de mes allés et venues, je cherche à rentrer sa bite le plus profondément possible, jusqu’à que ma bouche rencontre ma main qui continuait à le branler, ce qui l’excite profondément et lui donne envie de prendre les choses en main pour obtenir le rythme qui lui convient le mieux, je le laisse me pénétrer tout en continuant mon boulot du mieux que je peux. Il me bloque rapidement et gicle, j’avale au fur et à mesure de ses saccades, exerçant une divine pression qui accompagne son orgasme.
Je me réveille, je suis dans mon lit, c’était simplement un rêve.