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réveillon incestueux avec ma mère – Chapitre 1

réveillon incestueux avec ma mère - Chapitre 1



Bonjour

Voilà mon soucis : depuis longtemps je sais que ma mère adore les très jeunes hommes. C’est un problème pour moi car elle va jusqu’à draguer ouvertement mes copains, ce qui me met mal à l’aise.

Souvent, lorsque j’amenais un copain à la maison, elle avait pris l’habitude de se mettre des pantalons trop moulants, des décolletés bien plongeants, des trucs à moitié transparents. A 45 ans, c’est encore une belle femme, et elle le sait…

Un jour, elle nous a proposé avec Marco, un bon copain à moi, de prendre un jus d’orange. Assise en face de nous, dans le canapé du salon, elle s’est mise à discuter avec Marco pour lui demander comment ça se passait à l’école etc… Mais Marco avait du mal à se concentrer sur la discussion : ma mère portait une petite jupe très courte, et on voyait facilement le haut de ses cuisses dès qu’elle bougeait. Ca ne me plaisait pas. Je n’aimais pas que ma mère s’exhibe ainsi.

Mais sans s’occuper de ma gêne, ma mère laissait encore sa jupe remonter jusqu’à dévoiler son entre jambe. Marco s’aperçu qu’elle n’avait pas de culotte…

Oui ! c’était bien sa chatte, fraîchement épilée, qu’on apercevait entre ses jambes ! J’étais vert !

Tout en continuant de discuter, l’air de rien, tout sourire et exaspérante de sans gêne, ma mère gardait les jambes ouvertes, histoire qu’on ne perde pas une miette du spectacle de son intimité qu’elle nous offrait.

Mon copain tout transpirant n’arrivait pas à détacher son regard son entre jambe. J’étais furieux.

Un autre jour, ma mère est allée plus loin encore. En rentrant à la maison, je l’ai trouvée agenouillée au sol, devant Kevin, un copain de ma classe. Je savais que ma mère l’aimait beaucoup. Visiblement elle aimait aussi beaucoup sa queue : elle l’avait en pleine bouche et elle la suçait goulûment.

Furieux, je me suis précipité sur Kevin et je l’ai flanqué dehors.

— Tu es jaloux ? me lança ma mère ..C’est quoi qui te gêne ? Que je lui fasse plaisir ? Tu veux que je te suce aussi !

J’en avais marre. Voila une provocation de plus… Alors sans réfléchir, j’ai répondu :

— Ben vas y ! Fais comme chez toi !

Et voilà ma mère qui s’avance vers moi, ouvre mon pantalon, en extrait ma queue et sans attendre ma réaction la met dans sa bouche. Et la voilà qui se met à me sucer avec vigueur.

J’en revenais pas, je savais pas comment réagir. Tout en gardant ma queue en bouche, ma mère avait agrippé à pleine main chacune de mes fesses, me forçant à bouger avec elle, en cadence lorsque qu’elle me suçait.

C’était insupportable. Comment pouvait elle faire ça ? Ma propre mère ! C’était dégoûtant. Contre ma volonté, ma queue avait cependant commencé à bien grossir et durcir. Ca m’a affolé. Ma mère, elle, par contre, n’avait pas d’état d’âme et visiblement se régalait. Il fallait me ressaisir !

– Arrête, maman, arrête !

J’ai du la repousser un peu brusquement pour la faire reculer. Elle trébucha en arrière.

— Mais, tu es fou ! Tu aurais pu me faire mal ! se plaignit elle.

— C’est toi qui est folle, maman ! Je suis ton fils et tu me fais une fellation ! Tu te rends compte ???

— Arrête tes histoires ! Tu es vraiment trop coincé ! En plus t’as aimé ça ! Regarde, tu me critiques, mais tu bandes encore !

Elle n’avait pas tort. Mon sexe était encore dur…

Les jours suivants furent très difficiles pour moi. Ma mère avait bien l’air de s’en foutre, mais moi j’étais assailli de remords et de honte, autant d’avoir une mère comme ça, que d’avoir moi même pris du plaisir à sa fellation improvisée.

Et puis il y a eu le réveillon du nouvel an, ce 31 décembre 2015.

Ce soir là, les choses ont carrément dérapé…

J’avais pas prévu de sortir et je m’apprêtais à passer le réveillon devant la télé.

— Tu peux inviter tes copains pour la soirée, ça sera plus sympa ! m’a proposé ma mère. Je vais préparer un bon repas !

Je ne m’attendais vraiment pas à cette proposition. Ca me plaisais d’inviter les copains, mais j’avais peur des réactions de ma mère. J’ai quand même fini par accepter.

— Tu te tiens tranquille, maman, hein ? C’est juste pour le réveillonner, pas question de provoquer ni draguer qui que ce soit aujourd’hui…

— Promis ! répondit elle.

Mais je savais que c’était peine perdue :

Lorsque mes copains sont arrivés, ma mère est apparue avec une petite robe noire à paillettes ras du cul, un décolleté qui lui arrivait bien en dessous des seins et deux bottes en cuir bien hautes, très sexy. Je suis devenu rouge de honte. Mais mes copains, eux, semblaient ravis.

— Allez, les garçons, on va pas attendre minuit, je vous sers du champagne ? a lancé ma mère.

Et tout le monde a tendu son verre.

Toute la soirée, ma mère n’a pas arrêté de tortiller du cul et exhiber ses seins. C’était d’une indécence qui me mettait terriblement mal à l’aise.

Au bout de plusieurs coupes de champagne, on commençait tous à être bien éméché. C’est là que j’ai remarqué que ma mère n’était plus dans la pièce. Deux copains aussi n’étaient plus là. Je suis allé les chercher partout, dans la cuisine, dehors. Mais rien, ils n’étaient nulle part.

C’est là que j’ai entendu des cris et gémissements venant…de la chambre de ma mère. Craignant le pire, je m’y suis précipité.

Ce que j’ai alors découvert dépasse l’entendement. Ma mère était à genoux sur son lit, entièrement nue, le cul levé bien en arrière, et mes deux copains à poil derrière elle, étaient vigoureusement en train de la prendre en levrette. Il la bourraient de grands coups de reins bien sentis avec leurs sexes énormes de jeunes hommes en forme.

Je suis resté pétrifié, sous le choc. Je n’avais pas imaginé un réveillon de nouvel an comme ça, mais visiblement, la fête battait son plein.

C’était terrible : Les deux copains alternaient pour la baiser sans même calculer ma présence. Ma mère, elle, m’avait vu. Mais à part un petit sourire satisfait et moqueur, elle ne bougea pas, toute occupée à se faire défoncer la chatte par derrière.

Le temps que je réagisse, un autre copain, lui aussi intrigué par les bruits, était arrivé dans la chambre. Bien échauffé par l’alcool, excité, il ne se posa pas de questions. Baissant son pantalon, il s’avança vers ma mère, la queue à l’air. Celle ci s’empressa de prendre cette nouvelle queue providentielle dans sa bouche.

Pendant qu’elle se faisait baiser par derrière, ma mère suçait toutes les queues qui se présentaient à elle. Un copain, complètement ivre, me fit signe :

— Allez, à toi ! Viens te faire sucer ! C’est vraiment trop bon  ! C’est une vraie salope, ta mère !

J’étais pétrifié de stupéfaction et de honte. Je me mis à détester ma mère de se conduire de la sorte. Je voulais la punir de me faire ça. Puisqu’elle se conduisait en effet comme une chienne, j’allais la traiter comme telle…Et puis j’avais tellement picolé que ça ne serait pas difficile de me lâcher. Alors j’ai fait comme mes copains : j’ai baissé mon pantalon et je lui ai présenté ma queue.

Elle ne s’est pas embarrassée de remords. Comme pour toutes les autres queues qui lui avaient été présentées jusqu’à là, elle a pris la mienne dans la bouche… Elle l’a sucée, avec fougue, comme elle le faisait avec les autres.

Puis mes copains m’ont poussé sur le lit.

— Allez, à ton tour ! Nous on l’a tous baisée déjà, vas y !

Je ne savais plus trop ce que je faisais.

Alors machinalement, comme une sorte de robot, je me suis laissé tirer sur le lit. Ma mère, le cul en l’air attendait que je vienne la prendre.

Mes copains m’encourageaient : ça les excitaient, que je baise ma propre mère…

J’ai regardé sa vulve déjà bien ouverte. Elle était splendide. Une belle vulve de femme mûre. J’ai eu vraiment envie d’y mettre ma queue. Alors j’y suis allé…Je me suis avancé, positionné ma bite à l’entrée du sexe qui m’était présenté, puis je me suis enfoncé tout au fond.

— Allez Mathieu, vas y ! Baise là cette salope !

Je me suis mis à faire des allez retour de plus en plus nerveux dans son vagin, avec des mouvements rapides et puissants. Je ne savais pas si c’était un cauchemar ou un rêve tellement c’était bon. J’étais dans un état second…Ma mère gémissait de plaisir de plus belle…

— Ha oui, putain ! baise moi ! Je suis une pute ! ta mère est une pute !

Elle aurait continué longtemps à déblatérer ainsi ses obscénités si à nouveau un copain ne lui avait pas mis la queue dans la bouche, ce qui la fit taire immédiatement. Je me demandais comment elle faisait pour prendre sa queue aussi profond dans sa gorge. Elle le suça avec jubilation, pendant que je continuais à la baiser.

Je regardais ma queue aller et venir dans la chatte de ma mère, trempée, dégoulinante de plaisir pervers.

J’avais la tête qui tournait, un peu à cause de l’alcool, mais aussi à cause de tout ce plaisir. J’étais très excité en fait…

J’étais tout absorbé à baiser de plus belle ma mère, lorsque le copain qui se faisait sucer ne put se retenir et gicla sur son visage. Il l’arrosa d’un sperme blanchâtre abondant. Puis un deuxième copain, la queue au dessus de ses seins, fit de même. La vision de ces éjaculations m’excita tellement que moi aussi, je sentis que je n’allais pas pouvoir m’empêcher de jouir. Je me lâchais dans la chatte de ma mère, l’inondant de ma semence. La jouissance fut incroyable, longue et intense…

A peine je me suis retiré, que mon dernier copain vint par derrière elle et la pénétra sans se soucier qu’elle était déjà pleine de mon foutre. A son tour, il se lâcha dans sa chatte.

Ma mère était ravie. Dégoulinante de sperme, sur son visage, ses seins et dans sa chatte, elle se l’étala encore sur tout le corps. Puis, tour à tour elle vint prendre une dernière fois notre queue dans la bouche pour ne perdre aucune goutte du précieux nectar tiède qu’elle récolta sur sa langue.

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Le lendemain, j’ouvrais les yeux avec un mal de tête incroyable. J’étais dans mon lit mais je n’arrivais pas à me souvenir comment j’étais arrivé là.

Un moment j’ai espéré que j’avais rêvé tout ça, mais j’étais à poil, la queue encore endolorie de la pénétration sauvage avec ma mère.

Je me suis levé tant bien que mal. Mes copains étaient tous partis. Ma mère allongée sur le canapé dans le salon dormait encore.

Elle était nue, jambes écartées, comme si elle venait de se faire prendre.

Il flottait dans la pièce une odeur de stupre.

En m’entendant, elle ouvrit péniblement les yeux. Visiblement le réveil était difficile pour elle aussi.

Sans même prendre le soin de cacher sa nudité, elle s’adressa à moi :

— Ha c’est toi, me dit elle… On a passé une bonne soirée ! Un réveillon comme ça, tu en as jamais passé, n’est ce pas ?

Triomphante, elle écarta encore une fois les jambes vers moi, et me montra sa chatte encore humide, à moitié ouverte.

— Mais c’est elle qui en a le plus profité, tu crois pas ?

Et elle rigola à gorge déployée.

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