C’est pas dans mes habitudes, mais voilà du bon gros cul bien bourrin…
J’étais allée travailler avec Nico, ce jour-là; on préparait ensemble les exams de la fac. On s’entendait très, très bien, et c’était assez difficile de travailler vraiment. On en venait facilement à parler d’autre chose, à se mettre à délirer, et du coup, on ne bossait pas trop. Plusieurs fois déjà je m’étais demandée s’il n’y avait que de l’amitié entre nous ou plus, mais on n’en avait jamais vraiment parlé. Je savais qu’il avait une copine (je l’avais déjà rencontrée une fois ou deux à l’occasion de soirées) avec qui il était depuis pas mal de temps, et de ce qu’il m’en disait, ça marchait pas mal. Alors même s’il m’arrivait d’avoir envie qu’il y ait plus entre nous, je ne lui en disais rien.
Je ne savais pas trop non plus ce que lui pensait. Il se comportait parfois l’aurait fait un jeune homme voulant séduire une jeune fille. Et moi, je n’y restais pas insensible… mais je ne cédai pas non plus à ce que, moi, je prenais pour des avances, car ça n’en était peut-être pas.
Quoi qu’il en fut, tandis que l’on était en train d’essayer de travailler, je ne pouvais m’empêcher de penser à me jeter dans ses bras, et à le supplier de m’embrasser, de me cajoler, et plein d’autres choses encore. Mais je revoyais alors partout sur les murs et les étagères de son salon des photos de lui avec Julia, sa copine, et ma raison reprenait le dessus sur mes envies et mes fantasmes.
Cela faisait environ deux heures qu’on s’y était mis (ou qu’on l’avait tenté, en tout cas) quand justement Julia arriva. Machinalement j’observai Nico lorsqu’elle entra dans la pièce: on aurait dit qu’il voyait une apparition. Et c’est vrai qu’elle était belle: grande et très bien faite, de longs cheveux roux qui ondulaient jusqu’au milieu de son dos, entourant son visage d’ange dans lequel brillaient ses grands yeux mi-gris mi-verts pétillants de bonheur mais aussi de malice; elle portait une robe bleue fine et légère qui dévoilait juste ce qu’il fallait de son superbe corps, mais dans laquelle sa poitrine semblait à l’étroit. Je crois que n’importe quel mec aurait complètement craqué, tant elle était belle et attirante.
Elle vint jusqu’à nous en jetant vaguement un coup d’oeil à toutes nos affaires de cours posées sur la table devant nous. Puis elle embrassa son chéri, et me salua aussi.
_ Je pensais te trouver seul,’ dit-elle d’un air presque déçu à Nico, ’mais en fait je te trouve en charmante compagnie, en train de faire semblant de réviser…
_ Je t’assure qu’on bosse vraiment.’ répliqua-t-il.
_ En tout cas on essaie…’ ajoutai-je.
Elle me regarda assez longuement de ses yeux flamboyants. Son regard était pressant, presque accusateur. J’avais l’impression qu’elle me demandait tacitement si j’avais fait ’quelque chose de mal ’ avec son chéri. Mais elle finit par détacher ses yeux de moi et les darda sur Nico. Au bout de quelques secondes, sans dire un mot, elle s’approcha de lui, tout près, plaça une jambe entre les siennes, puis s’approcha encore et l’embrassa fougueusement, se laissant presque tomber sur lui. Il se vautra un peu plus encore dans le canapé, à côté de moi, et elle s’étala un peu plus sur lui, sans que leurs bouches ne se décollent.
Je les regardai faire, indiscrètement, mais me disant que ce n’était qu’un long baiser de retrouvailles qui n’allait pas durer éternellement. Mais ce fut nettement plus impressionnant: sans doute sous la pression de Julia, Nico s’allongea presque complètement sur le canapé, ne laissant de libre que le petit coin où j’étais assise, et ses jambes tombant à côté des miennes. Puis Julia se releva, et je la vis soulever légèrement sa robe, et redescendre ses mains le long de ses cuisses, entrainant une petite culotte blanche.
Là, j’avais beaucoup de mal à y croire: elle se déloquait devant moi !!!
_ Je ne vous dérange pas, au moins ?’ demandai-je sans doute un peu bêtement.
Mais Julia était déjà en train d’escalader son copain. Elle me répondit: ’Non, non, ne t’inquiète pas…’ tout naturellement, tout en relevant de nouveau sa robe et en s’agenouillant, face à moi, les cuisses bien écartées, juste au-dessus du visage de Nico. Je crois que je devais vraiment faire une drôle de tête. J’étais complètement bloquée, paralysée par la surprise, et je restais bouche bée à regarder Julia qui se dandinait doucement et se raidissait de temps en temps, sans doute sous les assauts buccaux de son chéri.
Elle se contrôlait tout de même plutôt bien car elle ne criait pas, et ne gémissait que peu. Et tandis que je recouvrais mes esprits, et que j’allai enfin me lever et foutre le camp de cette pièce, elle se mit carrément à me parler:
_ Alors, Delphine, c’est ça ? J’espère que je ne t’ai pas trop coupée dans vos révisions ?
Je ne répondis pas, toujours en hallucination. Elle continua, un peu cynique:
_ Ni dans autre chose d’ailleurs.
Elle s’interrompait parfois entre deux mots et poussait un tout petit gémissement, qui trahissait ce qu’elle était vraiment en train de faire. Elle se mit aussi à caresser vivement ses deux gros seins, juste devant moi, les malaxant avec fermeté à travers sa robe. Je ne parvenais pas à la quitter du regard; j’avais pourtant une folle envie de me lever et de me tirer. Elle continuait cependant de me parler:
_ Ah, j’avais terriblement envie de sexe. Hmm, si tu savais comme c’est bon de sentir sa langue virevolter en moi.
Moi, j’avais envie de lui répondre que justement, j’aurais bien aimé savoir… Je luttais toujours entre mon désir de partir en claquant la porte, et cette irrésistible sensation d’attraction qui me poussait à rester. Nico ne bougeait pas du tout, on aurait pu croire qu’il était mort. Ses bras semblaient coincés sous les cuisses de sa copine, et son corps ne se levait qu’au rythme assez rapide mais régulier de sa respiration. Mais en y regardant mieux, il avait une sorte de bosse très impressionnante au niveau de l’entrejambe. Il s’était souvent vanté auprès de moi de la taille de son sexe, sur le ton de l’humour, mais ce que je voyais semblait confirmer ses dires.
Julia avait aussi vu ce que je regardais et elle avait vu que je le regardais. Réprimant encore quelques soupirs de plaisir, elle parvint à me murmurer:
_ Tu n’as pas envie de voir ce bel engin ?
Je ne bronchai toujours pas. Elle poursuivit:
_ Déboutonne son jean et tu auras une surprise… Une surprise de taille, en plus…
Je ne savais plus trop où j’étais. C’était vraiment le délire. Mes yeux allaient de cette bosse sur le pantalon à Julia qui était en train de se faire lécher juste devant moi. Sa robe était relevée jusqu’en haut des cuisses, mais cachait encore l’essentiel, ainsi que le cou et la tête de Nico.
_ Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour moi. Je n’ai pas envie de bouger, je suis bien là.
La bosse sur son jean me semblait avoir encore grossi. Je n’en pouvais plus de voir cette fille que je ne connaissais qu’à peine prendre son pied avec un mec dont moi j’avais envie, et dont la queue se dressait juste devant moi, sous un malheureux jean qui ne demandait qu’à s’ouvrir. Et Julia gémissait maintenant de plus en plus fort et de plus en plus souvent. Elle ne se retenait plus du tout d’exprimer pleinement son plaisir.
_ Hmmm… Allez, aaahhh… Sors-nous sa queue, oooohh… ouuuiiiii… qu’on en profite… aaahh… ne me dis pas que tu n’en as pas envie…
C’en était largement trop pour moi. Je ne savais plus du tout ni où j’étais, ni ce que j’étais en train de faire. Je n’eus plus qu’une seule idée en tête: extraire de son antre cette chose qui gonflait le fute de Nico. Je me jetai presque sur lui, je lançai mes deux mains à la tâche: déboutonner le jean. Mais dans la précipitation je n’y parvenais pas. Je m’affolais, je m’énervais, je m’excitais… J’arrachai presque la ceinture, puis tirai de toutes mes forces sur chaque côté du pantalon, afin que les boutons sautent les uns après les autres.
_ Doucement, gourmande…
Non, maintenant que j’étais lancée, je ne m’arrêterais plus. Le fute s’entrouvrit, et la bosse vint maintenant déformer un caleçon blanc, plus grosse que jamais. Ce n’était pas ça qui allait me ralentir longtemps… Le calebutte possédait un bouton qui permettait une ouverture. Je l’arrachai littéralement. Et ça y est, la chose me fut enfin dévoilée: épaisse et longue, presque toute raide. Plus épaisse et plus longue que tout ce que j’avais jamais vu. Plus épaisse et plus longue même que tout ce que j’avais jamais imaginé. Et presque complètement tendue, elle durcissait encore dans mes mains, je la sentais qui gonflait encore.
Julia me parlait encore, mais je ne l’écoutais plus du tout. Je branlais attentivement cette queue magnifique, et imaginais déjà pouvoir en profiter pleinement. En profiter en profondeur. Mais Julia n’allait sans doute pas vouloir, là… Julia… Quelle chance elle avait d’avoir ça pour elle toute seule… D’ailleurs c’était trop pour elle toute seule… Il ne fallait pas qu’elle garde ça pour elle toute seule…
Je ne parvenais plus du tout à maîtriser le cours de mes pensées. Julia… Je me repris un instant, et levai craintivement les yeux vers elle. Elle paraissait être au comble de la jouissance. Elle posa sur moi des yeux qui me semblaient plutôt bienveillants. Je continuai de masturber son copain en la regardant fixement.
_ Alors, elle te plait sa queue ? ’ me fit-elle.
Hochant doucement la tête, j’acquiesçai vaguement, comme soumise.
_ Eh bien vas-y, branle-la et suce la ! Je veux qu’elle soit complètement raide, toute dure et toute tendue.
J’obtempérai, sans réfléchir. Je m’agenouillai à côté du corps étendu de Nico, me mis à pomper du mieux que je pus l’énorme chose. J’en avais très envie, j’étais au summum de l’excitation. J’ouvris la bouche comme jamais pour laisser le gros gland s’engouffrer jusqu’au fond de ma gorge, et entamai une longue série de va-et-vients. J’entendis alors d’autres gémissements, plus rauques, plus mâles, se mêler à ceux toujours haletants de Julia.
La chose fut rapidement monstrueusement dure et gonflée dans ma bouche. Ma langue et mes lèvres glissaient lentement, caressant le gland et le tronc. Et d’une main je branlais la partie que je ne pouvais pas sucer. Moi, je me sentais m’humidifier au fur et à mesure que je le pompais plus vite et plus profondément. Je sentais le désir couler de mon sexe et venir tremper ma culotte. Je ne m’arrêtais plus de pomper et de branler, et les gémissements montaient en puissance, m’encourageant à en faire toujours plus.
Quand je relevais la tête, Julia était complètement nue, et avait abandonné son perchoir. Ses seins que j’avais déjà devinés gros à travers les parois de sa robe étaient comme deux énormes et lourdes pommes gonflées à bloc, et une légère toison rousse venait orner le bas de son ventre. Elle était debout, à côté du canapé, et me regardait en souriant. Je reculai, lui abandonnant le sexe de son chéri. Elle s’approcha de moi et me roula une longue pelle. Je me laissai faire.
Je ne contrôlais plus rien. J’étais rendue folle d’excitation et de désir. Puis elle se mit à déboutonner mon chemisier, lentement mais sûrement, toujours en me regardant. Je continuai de me laisser faire. Je devinai Nico, à côté de nous qui se redressait vaguement pour tenter, lui aussi, de se déshabiller. Quand elle m’eut retiré mon haut, elle s’attaqua à mon jean, et je me retrouvai bien vite en culotte et soutien-gorge. J’avais très chaud, je pense que je devais être toute rouge. Elle se pencha ensuite au-dessus de moi pour atteindre les accroches de mon soutif. J’avais ses seins juste devant le nez et ils vinrent même presser mon visage lorsqu’elle dégrafa la dentelle. Je me sentais réellement bizarre, j’avais honte, c’est sûr, mais en même temps je m’abandonnai complètement à elle, et j’en étais presque heureuse. Une fois mes seins libérés, elle entreprit de me défaire de mon dernier atour de tissu, et je fus bientôt dans la même tenue qu’elle. Elle m’embrassa de nouveau et caressa un instant mes seins. Pour ma part j’avais toujours trouvé que j’avais de gros seins, mais à côtés des siens ce n’était rien. Ils étaient beaux, gros, mais pas tombants. Elle m’embrassa encore une fois, puis me dit d’aller donner à boire de mon plaisir à son chéri. Celui-ci avait repris sa place initiale, allongé sur le canapé. Je m’approchai de son visage. Je le regardai un instant découvrir mon corps: ses yeux parcouraient mes seins, mon ventre, mes hanches, mes cuisses, puis mes jambes, et remontaient vers mes seins. Julia s’agenouilla sur le canapé, à la place que j’occupais quelques minutes auparavant et s’empara du gros sexe de son copain. Elle se mit à le pomper en me jetant régulièrement quelques regards malicieux et provocateurs.
Nico me fit alors signe de venir à la place qu’elle occupait juste avant. Il me proposait de venir lui donner mon sexe. Moi aussi, j’avais envie qu’enfin on s’occupe de moi. D’enfin sentir du plaisir en moi, et non plus seulement du désir. Je m’assis sur son visage, un genou de chaque côté de sa tête, face à Julia qui le suçait toujours. Je sentis presque aussitôt sa langue parcourir doucement l’entrée de mon sexe, avant de s’immiscer plus franchement en moi. Je laissai tout mon bonheur s’exprimer.
Je gémissais, tout en me frottant les seins, et tout en contemplant Julia qui prodiguait ses faveurs à l’énorme chose. Elle s’y prenait apparemment merveilleusement bien, car je sentais Nico couiner entre mes cuisses, et son corps se soulevait de temps en temps tout soudainement, comme sujet à des spasmes.
Mais elle s’arrêta bientôt (je n’avais plus vraiment de notion du temps, mais je crois que peu de temps s’était écoulé), se redressa et vint s’empaler juste en face de moi sur la queue toujours aussi monstrueusement gonflée. Elle devait être vraiment trempée car elle s’y enfonça d’un seul coup, sans doute jusqu’au plus profond d’elle, lui arrachant un hurlement de bonheur. Puis elle imprima à son bassin un lent et régulier mouvement de va-et-vient, de haut en bas, et elle soupirait d’extase, tout comme Nico gémissait sous moi, à chaque fois que le corps de sa belle redescendait autour du sien.
Imperturbable, il continuait cependant de me lécher la chatte. Et je continuais de jouir sous les effets de ses caresses buccales. Julia s’approcha de moi et m’embrassa. On se roula de longues et grosses pelles au-dessus de notre amant qui nous faisait jouir toutes les deux. Et tandis qu’elle m’embrassait, elle caressait mes seins. Je fis de même, et posai mes mains sur son énorme poitrine, que je malaxai un instant, puis caressai plus doucement.
Mais elle se releva soudain et abandonna sa position (pourtant à mon avis si agréable). La grosse queue retomba brutalement sur le ventre de son propriétaire. Je me laissai encore lécher quelques instants, contemplant Julia qui s’était remise à pomper l’engin. Elle l’abandonna cependant bientôt, et s’approcha de moi. Elle m’embrassa encore; son baiser avait son gout.
Puis, sous sa conduite, je me redressai et m’agenouillai à nouveau, mais cette fois-ci tournée vers le dos du canapé, accoudée sur son dossier. Nico s’était relevé et je lui présentais maintenant mon arrière-train, les cuisses toujours bien écartées. Je sentis alors deux doigts entrer profondément en moi. Je gémis quelque peu quand ils virevoltèrent dans mon sexe. J’allai me retourner pour voir à qui ils appartenaient, mais ils se retirèrent aussitôt de mon corps et je sentis quelque chose de nettement plus gros venir se frotter contre ma raie. Au même moment, Julia fit le tour du canapé et vint se placer juste devant moi. La queue de Nico pressait maintenant plus fort contre ma fente. Elle commençait de s’engouffrer en moi, tout doucement. Mes lèvres s’écartèrent comme jamais, pour laisser un passage à l’énorme gland. Puis tout le reste de son sexe envahit mon vagin, lentement, jusqu’à le combler entièrement.
J’avais hurlé pendant qu’il m’avait pénétré, les yeux fixés sur ceux de Julia, debout devant moi. J’avais ses seins juste sous le nez. Elle aussi me regardait; je lisais dans ses yeux qu’elle prenait plaisir à me voir prendre autant de plaisir. Puis Nico se mit à me défoncer littéralement la chatte, à toute vitesse. Sa queue était toujours aussi dure et tendue, et venait buter trois fois par seconde tout au fond de mon sexe. Je n’avais pas cessé de gueuler depuis qu’il m’avait pénétré. C’était merveilleusement bon. Je m’abandonnais complètement à lui et à sa queue.
Cela dura ainsi cinq bonnes minutes, pendant lesquelles il me défonça à toute vitesse. Et Julia pressait ses seins sur mon visage et m’exhortait à les lécher, les têter, les embrasser. Et quand je ne lui dévorais pas les seins, elle me donnait à sucer ses doigts, comme s’ils avaient été une bite qu’elle se serait enfoncée dans la chatte avant de me les présenter.
En tout cas j’étais au comble du bonheur. Sa queue me faisait un bien fou. Jamais on ne m’avait procuré autant de bien d’un seul coup. Mais quand il se retira soudain de mon corps, j’étais exténuée. Il me libéra, et je m’écroulai sur le dos, de tout mon long, sur le canapé, comme morte. J’étais comme dans un rêve, les yeux fixés sur le plafond, que je regardais sans voir.
Le visage de Julia vint soudain se découper à l’envers devant mes yeux. Elle s’était penchée sur moi et vint encore m’embrasser, et là encore, au goût de son baiser, je sus qu’elle venait probablement de sucer une fois de plus son copain. Puis son visage descendit devant mes yeux, et ses cheveux vinrent caresser mon front, puis mes joues, et je sentis ensuite ses seins lourds venir tapoter le haut de mon crâne.
L’un d’entre eux glissa sur mon visage, puis vint s’arrêter et s’écraser juste contre ma bouche. Je me mis à le dévorer, juste au moment où Julia se jeta sur les miens, les dévorant également.
Je sentis aussi qu’on m’écartait doucement les cuisses. Je me laissais toujours faire. Des mains glissèrent alors entre mes jambes. Quelques doigts s’aventuraient parfois en moi, puis ressortaient étaler tout mon bonheur le long de ma raie. Je sentis ensuite quelque chose d’infiniment plus doux venir courir près de mon sexe. Reserrant les cuisses, je devinai Nico en train de me prodiguer tout son savoir faire buccal.
Au bout d’un assez court instant, Julia se releva quelque peu. Ses seins m’échappèrent et je pus les voir continuer de descendre devant mon visage. Ses cheveux vinrent bientôt courir sur mon ventre, de plus en plus bas, et ses seins heurtèrent les miens. J’eus alors son ventre devant les yeux. Et je sentis ensuite un genou prendre doucement place à côté de ma tête, puis un autre. Ses cheveux atteignirent mon bas-ventre tandis que la toison de son sexe couvrait mon regard. Elle continuait de s’avancer doucement, inexorablement. Je voulus bouger, mais n’en eus pas la force. Elle avança encore de quelques centimètres, et j’eus sa raie devant les yeux. Je sentis qu’elle plongeait sa tête entre mes cuisses. Encore quelques centimètres. Et ses lèvres se collèrent à celles de mon sexe. Sa langue commença de s’enfoncer dans mon ventre, tournoyant et lappant rapidement.
J’eus immédiatement une immense sensation de plaisir intense. Je fermais les yeux pour mieux savourer ce nouveau plaisir. L’odeur de son sexe se répandait près de moi. Une odeur puissante, forte. Je geignais doucement sous les caresses qu’elle m’offrait. Je reserrai mes cuisses autour de sa tête, c’était ma manière de lui dire que j’en voulais encore.
Elle aussi voulait sans doute que je la lèche, mais je n’en avais pas du tout envie. j’en avais peur en fait. Mais quand je rouvris les yeux, au bout de quelques secondes, je vis l’énorme queue de Nico se balancer entre le sexe de Julia et ma bouche. Son gland se rapprocha de moi et vint rebondir deux ou trois fois contre mes joues ou mon menton. Renversant la tête en arrière, j’ouvris bien grand la bouche et l’accueillis au fond de ma gorge où il effectua quelques allées et venues, arrachant à son propriétaire de longs gémissements.
Il s’en retira cependant assez vite pour aller plonger dans la chatte trempée de Julia, qui léchait toujours la mienne. On s’est tous mis à gémir et à gueuler de plus en plus fort. Le sexe de Nico plongeait et replongeait toujours plus vite dans celui de sa copine. J’avais désormais ses couilles, elles aussi démesurées et toutes gonflées, qui passaient et repassaient devant mon nez et mes yeux. Et régulièrement il s’extirpait du corps de sa chérie pour venir m’offrir de sucer son gland toujours incroyablement gonflé, et trempé du plaisir et du bonheur qu’elle laissait couler d’elle.
Bientôt, entraînée encore par Julia, je me laissais rouler sur le côté, et Nico abandonna ma bouche et la chatte de sa chérie. On se retrouva dans la position contraire: elle était allongée sur le dos, et moi, j’étais couchée sur elle. Elle me léchait encore, et je me remis à pomper encore quelques secondes l’engin de Nico. Mais il finit par s’éloigner, entreprenant apparemment de faire le tour de nos deux corps entremêlés.
J’étais désormais seule face à la raie de Julia, laquelle me léchait toujours. Je me mis à la caresser d’une main, glissant mes doigts de son clitoris jusqu’à l’entrée de son cul, et j’enfonçai deux ou trois doigts dans sa fente, puis recommençai à frotter son clito. Je sentis effectivement bientôt que l’on m’attrapait les hanches; Julia s’arrêta de me lécher, et l’énorme queue me pénétra encore, plus doucement que précédemment, mais aussi intensément. Julia se remit à léchouiller ce qu’elle pouvait, le haut de ma raie et mon clitoris.
Je jouissais encore plus que quelques minutes auparavant. Et je gueulais au moins autant. Je continuais aussi de frotter une main entre les jambes de ma partenaire. J’étais encore une fois au comble du plaisir, de l’excitation et du bonheur. Et parfois je léchais ces doigts que je lui mettais.
D’un seul coup, sans comprendre ce que je faisais, je plongeai la tête complètement entre ses cuisses. Je voulais goûter à ce qui laissait échapper cette enivrante odeur. Et quand ma langue s’enfonça entre les lèvres de Julia, je l’entendis gémir à son tour. Je lappai une fois son sexe, puis une autre fois. Mon bonheur grandissait encore tandis que les coups de bite de Nico devenaient de plus en plus violents, rapides et profonds. Je glissai encore ma langue dans ce sexe chaud qui béait devant moi.
Julia avait resserré ses cuisses autour de ma tête, m’intimant ainsi de continuer de la lécher. Ce que je fis. Et j’appréciais. Cela apportait comme une dose d’excitation supplémentaire, et rendait ainsi meilleur encore mon plaisir.
Mais cela cessa soudain. Nico se retira complètement de moi. J’attendis un peu, pensant que Julia devait le sucer encore, et continuai de lécher. Et j’entendis gémir Nico; cela semblait confirmer que Julia s’occupait de lui. Je sentis encore des doigts entrer dans mon vagin. Ils y dansèrent un moment puis ressortirent et étalèrent ma mouille tout le long de ma raie. Puis ces doigts revinrent à la charge dans mon sexe, et ressortirent encore pour aller cette fois-ci forcer directement l’entrée de mon anus. Mais tant ils étaient trempés qu’ils y entrèrent sans problème. Je me cambrai quelque peu quand ils entrèrent par là en moi, ne m’y attendant pas.
Ils ressortirent bientôt et je sentis l’immense bite qui venait glisser elle aussi le long de ma raie. Il voulait sans doute me sodomiser, mais là je ne voulais vraiment pas. La chose était trop grosse et allait me faire trop mal. Julia me tenait fermement les fesses, et je sentais d’autres doigts qui me masturbaient encore la chatte et le cul. Cela dura encore un long moment, durant lequel je goûtais toujours le sexe de ma partenaire. Julia se remit à me lécher, mais je ne savais plus du tout où était passé Nico. J’eus bientôt la réponse, car tout occupée que j’étais à lapper le sexe chaud de ma copine, j’ai vu s’avancer vers moi sa queue plus gonflée que jamais.
J’abandonnai aussitôt ce que j’étais en train de faire pour me précipiter à sucer encore une fois cette chose. J’en voulais toujours plus. J’en voulais encore. Je l’ai pompée encore. Et Nico se masturbait en même temps. La queue entrait et sortait à toute vitesse de ma bouche, frottait contre mes dents et venait buter au fond de ma gorge, puis ressortait presque entièrement, et replongeait plus vite encore, plus profond encore. Et Julia continuait de me donner du plaisir de l’autre côté.
Tout a été très vite. J’ai senti Nico se contracter, et sa queue se raidir. Et dans un hurlement plus fort que jamais, j’ai senti qu’il se libérait. Une explosion libératrice. Quelques jets chauds et puissants, tout au fond de ma bouche. Et puis d’autres jets un peu moins denses qui s’échouèrent sur mon visage et sur les cuisses et les fesses de Julia. Celle-ci avait senti que c’était l’apothéose; elle m’enfonçait plus de doigts que jamais, autant dans le cul que dans la chatte. Et je couinais sous cette attaque qui venait de tous côtés.
J’avalai ce qui s’était échoué dans ma bouche, puis me redressai et allai à mon tour embrasser Julia. Je voulais qu’elle sache que j’avais tout pris, et je voulais qu’elle lèche ce qui restait sur mon visage. Et on s’embrassa, se lécha, se caressa ainsi encore un long moment, avant que je ne tombe dans un profond sommeil sans rêve.
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