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Révélations incestueuses – Chapitre 2

Révélations incestueuses - Chapitre 2



Tous les ans on passe tous les deux, mon cousin et moi, un mois de vacances au bord de la mer, chez nos grands parents communs. Ils se sont séparés il y a deux ans et c’est grand père qui a gardé l’appartement. Il n’y a que deux chambres, et j’ai toujours dormi avec mon cousin, sagement, sans que personne n’y trouve à redire. Mais cette année on s’imagine déjà des nuits torrides.

Enfin le mois de juillet, et nous voici chez papy. Il est encore jeune, 61 ans, sportif, et on passe une première journée agréable en sa compagnie. Le soir on attend que papy aille dormir pour faire pareil et ne pas éveiller ses soupçons en allant se coucher trop tôt. C’est notre première nuit depuis mon anniversaire, et on compte rattraper le temps perdu. On se suce plusieurs fois en prenant soin de tout avaler à chaque fois, pour ne laisser aucune trace.

Le troisième jour il pleut des cordes et grand-père part à sa chambre après le déjeuner, disant que c’est un temps à faire la sieste. Je saisis la balle au bond pour dire que c’est une bonne idée, et que je vais faire pareil. Mon cousin emboite le pas disant que puisqu’on le laisse seul, il n’a plus que ça à faire lui aussi.

On est couché dans le noir depuis un petit moment me semble t-il, lorsqu’on frappe à la porte. C’est papy, il ouvre sans attendre de réponse, allume la lumière, et reste planté, bouche bée. On est à moitié à poil, et on se suce. Il nous regarde quelques secondes puis se ressaisit:

— Il ne pleut plus, on peut aller s’aérer si vous voulez, quand vous aurez fini la sieste.

Il éteint la lumière et referme la porte. On rallume aussitôt, et on se rhabille, en cherchant quoi lui dire. Il n’y a rien a expliquer, pas d’excuses, c’est comme cela, point barre. On le rejoint, on lui dit que l’on espère qu’il n’est pas fâché, qu’il ne va rien dire aux parents. Il ne sait pas ce qu’il doit faire, veut prendre le temps de réfléchir, et ne veut pas que l’on en parle tant qu’il n’a rien décidé. On sort et on essaie de penser à autre chose; pas facile.

La soirée se passe tant bien que mal, et c’est l’heure de se coucher. Il ne sait toujours pas ce qu’il doit faire, mais en attendant il n’est pas question qu’il nous laisse ensemble. Il décide que mon cousin va dormir tout seul, et moi avec lui.

On se déshabille, je garde mon caleçon, lui son slip, et on se couche sans rien dessus tellement il fait chaud. La lumière est éteinte et il rompt le silence pesant:

— Ca fait longtemps toi et Mathieu?

— Non, c’est arrivé il y a trois mois, pour mes dix-huit ans. On avait un peu bu.

— Et apparemment vous y avez pris goût. Tu fréquentes d’autres hommes?

— Non, c’est le seul.

— Ca te plairait d’essayer avec un homme mûr et expérimenté?

Je m’étonne de sa question et il m’avoue qu’il aime les hommes lui aussi et qu’il nous a trouvé très beaux tous les deux. En même temps qu’il me dit ça il pose sa main sur ma poitrine, me caresse, descend jusqu’à mon bas ventre. Je suis apeuré, pétrifié, n’ose pas bouger et balbutie quelques mots:

— Qu’est-ce que tu fais papy?

— J’ai réfléchi pour vos parents, et on va s’arranger si vous êtes gentils avec moi. Laisse moi faire mon chéri.

— Mais tu es fou, ça ne se fait entre grand-père et petit fils!

— Parce qu’entre cousins c’est normal?

— Non, c’est vrai, tu as raison.

Il a sa main dans mon dessous et me caresse la queue:

— Tu bandes petit coquin, tu dis non mais tu penses oui. Tiens prend ma queue et vois comme je bande moi aussi.

Il me prend la main et la pose sur son sexe. Il a enlevé son slip sans que je ne m’en rende compte et j’ai directement accès à sa queue que je devine énorme. Il bouge ma main sur son manche pour m’inviter à le caresser, puis reviens dans mon caleçon tandis que je continue à le masturber doucement alors que rien ne m’y oblige. Il me susurre quelques mots à l’oreille:

— Elle est belle ta queue, et la mienne elle te plait?

— Oh oui papy, elle a l’air superbe.

— Tu veux que j’allume, c’est dommage de rester dans le noir!

Je lui donne mon accord et je peux admirer sa bite, plus belle que toutes celles que j’ai vu pour mon anniversaire. Je le félicite pour son anatomie intime et il me rend la politesse en me disant que j’ai une très très jolie bite moi aussi, même si elle est bien moins large que la sienne, quoique aussi longue. Il décalotte son gland, gros comme un uf, et me demande si je veux le sucer.

Mieux que toute réponse je me met en place et le pompe sans perdre une seconde. Il me laisse le sucer quelques instants, me félicite, m’encourage, puis souhaite me sucer lui aussi, me propose un 69. J’ai l’habitude avec mon cousin, c’est devenu notre jeu favori, et je m’exécute pour notre plus grand plaisir. On se turlutte tous les deux et on échange quelques mots. Il veut savoir si avec Mathieu on se suce à fonds, si on avale le sperme, si on s’encule.

La réponse est oui aux deux premières questions, mais non à la troisième:

— Tu es puceau?

— Si tu veux dire que je me suis jamais fait sodomisé, alors oui.

— Et tu as déjà enculé quelqu’un?

— Non, ni même baisé, je ne suis que fait sucer.

— Tu veux essayer?

— Tu déconnes ou tu es sérieux? Tu oserais enculer ton petit fils!

— Oh oui, avec grand plaisir. Mais j’aimerais aussi que tu m’encules.

Je suis hésitant et il me sent tout prêt d’accepter. Je ne sais pas comment m’y prendre, il m’explique les préliminaires, me jure d’être très doux et de stopper au premier signe de refus, et me propose d’abord un passage à la salle de bain pour se faire un lavement réciproque et me débarrasser de mes appréhensions sur cette pratique que je pensais salace.

On est à nouveau à la chambre et il se met à quatre pattes pour m’offrir son cul. Il m’a expliqué qu’à mon âge il pouvait jouir dix fois par jour, c’est aussi mon cas, et il m’a proposé de l’enculer, puis c’est lui qui va s’occuper de mon petit trou, et je vais le prendre une deuxième fois.

Je tâte sa rondelle mais hésite à enfoncer mon doigt, ce n’est pas possible que je puisse le fouiller, encore moins le sodomiser, et il me rappelle à l’ordre:

— Vas-y mon chéri, oublies qui je suis, penses que je suis une des salopes que tu aimerais fourrer, une des putes que tu voudrais te farcir. Encule moi chaton, sers toi de mon trou à bites, casse moi le cul, s’il te plait, j’ai trop envie de ta belle queue……….

Il m’excite, j’oublie effectivement nos liens parentaux, et je glisse mon manche entre ses miches, ma première pénétration, mon dépucelage actif en attendant mon dépucelage passif. Je m’active entre ses reins et sentant mon plaisir monter lui demande ce que je dois faire; j’ignore s’il veut que je me répande entre ses reins. Il me demande de me retirer et de venir dans sa bouche; il me pompe goulûment, à fonds la caisse, avec des bruits de bouche que mon cousin doit entendre, me fait jouir dans sa bouche et engloutit tout. Il me remercie pour cette bonne baise et me roule une pelle à laquelle je m’abandonne volontiers.

C’est maintenant à mon tour de m’offrir et je suis terrorisé à l’idée de sa grosse queue dans mon petit trou encore vierge. Il a des mots gentil, me rassure, ne vas pas me forcer si je ne veux pas. Il me doigte délicatement, mais surtout il me lèche, me bouffe, me broute, me pénètre avec sa chaude langue musclée. J’éprouve beaucoup de plaisir et me détend. Il me dit que suis prêt, me passe du gel lubrifiant dans l’anus, s’en met sur la queue, et me demande quelques minutes de patience avant de lui demander de stopper ses pénétrations; il m’avertit que je risque souffrir un peu au début mais que c’est le prix à payer pour connaître l’extase; cinq minutes d’enfer ce n’est rien contre une heure de paradis. J’ai l’impression que mon cul se déchire quand il me la met, je mords les draps pour ne pas crier, j’attends que ça passe. Effectivement la douleur s’atténue, disparaît, pour laisser place à un bonheur immense. C’est à mon tour de l’encourager, de le remercier:

— Oh papy, c’est bon ce que tu me fais. Si un jour on m’avait dit que je prendrais du plaisir par le cul je ne l’aurais jamais cru; et en plus par mon papy cochon, deux fois plus de jouissance. Vas-y papy, encule moi bien, je suis ta petite salope chérie qui aime ta grosse queue……………………

Il est endurant, me défonce longuement puis finit dans ma bouche. Je lui vidange ses grosses couilles bien pleines et dévore tout.

Vu mon jeune âge je suis à nouveau opérationnel et il s’offre encore à moi pour que je le démolisse. Je le matraque de toute mon ardeur et je décharge entre ses reins. Il me nettoie la queue et se fouille le cul pour récupérer ma semence et la bouffer.

On s’allonge, il éteint la lumière et on s’endort, moi dans ses bras accueillants.

Je me réveille au matin, il fait clair dans la chambre et je vois papy réveillé qui me regarde. Il me sourit et me donne un baiser:

— Ca va mon chéri?

— Oui papy, super.

— Ca t’a plut nous deux, tu voudras recommencer?

— Oui, mais pour les parents tu ne diras rien?

— Ca dépends de Mathieu, il me plait lui aussi.

— Papy, il est mineur Mathieu, ça pourrait te coûter cher!

— Pas plus qu’à toi. Ce n’est pas parce que j’ai 61 ans et toi 18 que ça change quelque chose. Tu es majeur et tu baises avec un mineur, alors si je plonge tu plonges avec moi. Dis lui bien à ce petit salaud, et dis lui que je le veux ce soir dans mon lit.

A suivre………………….

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