Le séjour commence bien, je suis bien arrivé pour ma mission en Afrique. On parle comme souvent de révolution imminente. Je ny crois pas beaucoup, normalement le pays est calme, les gens y vivent avec des revenus normaux, ils ne sont pas attirés par lEurope, particulièrement la France.
Je surveille mon chantier qui avance normalement, sauf les inévitables impondérables que je suis chargé de régler. La seule qui me manque est ma femme : je ne sais pas me passer de faire lamour souvent, même si ici, je veux me payer une noire (elles sont bien faites ici).
Limpensable arrive : boum un coup détat. Je nai pas à men faire, je suis bien connu dans le pays, loin de tout. Je ny prête pas une attention soutenue. Par contre je commence à minquiéter quand un jeune couple français arrive chez moi totalement affolé.
Cest surtout la femme qui a une peur bleue. Quelquun laurait menacée. Elle ne se souvient pas exactement ce qua dit le « révolutionnaire ».
Louvrier principal de ma boîte sinterroge lui aussi. Il ne croit pas un mot sur cette révolution.
Le couple insiste pour rester avec moi. Jai de la place, je les loge sans problème, surtout que la fille me semble sensuelle : je la verrais bien dans ma chambre.
Le cuistot prépare ce quil faut, nous dînons. Il est trop tôt pour nous coucher. Alors nous profitons de la fraicheur relative de la nuit tombée pour bavarder. Je leur donne des nouvelles du pays. Puis des habitants. La femme me demande si je « fréquente » une fille noire. Elle est étonnée quand je lui affirme que je ne mélange pas le travail et la gaudriole.
— Mais le sexe ne vous manque pas.
— Si, comme à tous ceux qui se trouvent séparés de leur épouse.
— Comment faites-vous.
— Je marrange seul.
— Vous vous branlez ?
Elle exagère en posant ce genre de question. Mais que répondre ?
Je deviens sourd en restant sur mon quant à moi.
Elle insiste.
— Oui je me branle.
— Mon mari aussi se branle devant moi. Et moi aussi je le fais devant lui ou même en son absence.
Lui devient rouge, prêt à la faire taire ; quand elle ajoute :
— Jen ai envie maintenant. Je vais le faire sur le lit, venez avec moi, regarder.
Elle ne sen fait pas, elle se lève pour aller se coucher, suivie de son mari. Je suis le mouvement : je ne risque quun coup dil en me branlant. Elle sait fort bien que je vais la voir : ça ne la dérange pas du tout semble-t-il puisquelle me voit quand elle commence à enlever sa robe légère : elle est nue dessous. Elle ouvre une valise pour sortir un gode, se couche sur le dos, passe les mains sur sa poitrine pour se caresser.
Son jeune époux fait comme elle : il est vite nu. Je vois quil bande davance. Il est pas mal monté, je comprends quelle doit avoir du plaisir quand il la lui met. Je remarque surtout les mouvements de bas en haut de sa bite sans quil la touche : il doit lui tarder de glisser dans sa fente.
La jeune femme a maintenant ses mains sur la chatte. Elle en garde une sur le pubis puis met lautre sur le début des lèvres pour les tirer vers elle et faire ressortir son joli grain de riz. Elle mouille les doigts de lautre main puis les mets sur le clitoris. Elle commence des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides.
Je bande sérieusement en la regardant. Jaimerai que le mari me laisse sa place pour entrer dans son ventre. Lui est comme moi, sa bite bande depuis le début, il ny tient plus : il commence à se branler devant moi qui ne le connait pas du tout. Elle nous regarde, particulièrement son mari et sa bite.
— Oui, branle toi mon chéri, regarde je vais me faire jouir, je suis une garce, tu aimerai me baiser. Tu le feras tout à lheure. Je ne vais pas tarder, je jouiiiiis.
Je remarque en effet quelle jouit aux mouvements incontrôlés de son abricot. Lui aussi se laisse aller : son sperme jaillit dun seul coup. Je regarde ce jet avec envie : je néjacule jamais si loin.
Je reste le seul sans mêtre branlé. Tant pis je vais faire comme eux. Je prends ma bite dans la main, je commence à descendre le prépuce quand elle parle à nouveau.
— Ne te branles pas, vient me la mettre.
Ainsi elle est échangiste ainsi quexhibitionniste. Je ne vais pas refuser à une dame que jhéberge de la baiser. Je vais me conduire en gentleman. Je commence par lembrasser. Ses lèvres sont douces, veloutées, pleine de sensations. Sa langue est aussi désirable que le reste. Dailleurs nos deux langues sentendent bien.
Je la pelote un brin pour me mettre dans les mains sa peau douce. Ma main descend vers lantre du plaisir. Au passage je caresse lendroit quelle a déjà caressé. Elle y est sensible puisque je la fais jouir presque par accident. Jen profite pour la doigter. Mes trois doigts réunis suffisent pour remplir son abricot.
Je ne sais trop pourquoi, je ne la baise pas directement. Mes doigts la fouillent partout, jusquà son anus. Surpris mes doigts trouvent un cul parfaitement mouillé. Je ne voulais que le caresser en surface, jentre presque sans le faire exprès. Son bassin suit les mouvements de mon doigt.
Je sens que je suis tombé sur un cas particulier. Je lencule rien quavec un doigt. Quest-ce que ce doit être avec une bite. Encore une fois je la sens jouir. Cette fois je sens son anus avoir des spasmes.
Je la veux autrement, je vais entre ses jambes écartées, presque trop écartées. Je vais sur elle pendant que ses jambes viennent me faire prisonnier. Elle prend ma queue, me dirige vers son con. Jentre en elle facilement tellement elle est mouillée. Je la sens gémir de plus en plus fort.
Son époux aussi nous regarde. Il bande à nouveau, sans doute plus que la première fois. Quant à elle tout en continuant à se faire baiser, elle se tourne pour que je sois sur le dos.
— Vient menculer maintenant, pendant quil me baise.
Je sens un corps venir sur elle, qui sinstalle entre mes jambes. Cest quand il entre dans le cul que je le sens. Cest une drôle dimpression que de sentir une autre bite contre la sienne ou presque.
Elle ne gémit plus, elle crie son plaisir dêtre aux prises de deux pines. Cen est excitant de penser quon lui fait tant plaisir, quelle a ces orgasme continus grâce à nos deux morceaux enfoncés dans son ventre. Cest elle seule qui bouge qui va et vient entre nos queues.
Arrive le moment où je ne peux me retenir : je jouis largement dans son ventre qui se remplit de lautre côté par le sperme de son mari.
Je me trouve en pleine transpiration, comme elle. Le seul à être présentable reste son époux. Il bande encore.
Elle le sait, la coquine, puisquelle ne lui propose quun simple 69 quils exécutent immédiatement. Ils se soucient de moi comme dune guigne. Je les regarde avec ma pine qui gonfle encore. Elle est bien placée, je ne vais pas me gêner, après tout je suis chez moi. Je vise son cul. Mouillée comme elle est je dois y accéder facilement. Tant pis si son mari se trouve avec mes couilles sur son visage. Jentre à fond dans son arrière train. Je profite des plaisirs de la sodomie, elle aussi. A voir les mouvements de la tête de la fille, lui en a aussi sa part.
Je me retire quand jai joui une dernière fois : je vais dormir. Avant de sombrer dans un sommeil de plomb, je les entends encore se faire lamour.
Ils restent chez moi plusieurs jours. Elle ne vit que nue à cause dit-elle de la chaleur, à cause pour moi de son tempérament de feu. Je la regarde dans sa chambre un jour où elle se baise avec son gode. Son mari à ses côtés se branle comme un fou. Je sais quils baiseront tout à lheure. Jévite de trop me mêler à leurs jeux.
Mon adjoint un jour me dit quil ny a pas eu de rébellion. Je rassure la fille : enfin après une dernière baise qui mest consacrée, ils sen retourne doù ils venaient.