Dimanche 7 avril, 15 h 30
Je suis invité par un contact Xstory, courant semaine dernière, avec mon matériel photo, je téléphone au numéro reçu, une voix féminine assez jeune.
— Bonjour, vous êtes ozephirin, j’avais déjà enregistré votre numéro. Pourriez-vous passer me voir ce dimanche ? Mon mari étant absent, je désirerais lui faire une surprise. Prenez votre temps pour me répondre, mais amenez de quoi faire de belles photos.
— Oui Madame, je veux bien passer vous voir pour faire plus ample connaissance. Que désirez-vous faire ? Ceci pour venir avec le nécessaire.
— Prenez le maximum de matériel, je vous dirai ce dont j’ai envie à ce moment-là.
— Bien Madame, à dimanche. Vers quelle heure dois-je venir ?
— Venez vers 15 h, il devrait être parti.
— OK Madame, comme vous le souhaitez.
J’arrive donc ce dimanche à proximité de chez eux. Petit immeuble plein centre de B, pierres de taille, bien situé, apparemment cinq étages avec deux appartements par palier.
Je lui envoie un SMS, pour lui indiquer ma présence. Cinq minutes après, je reçois la réponse.
[SMS]
< Désolée, mon mari n’est pas encore parti, ses amis ont du retard, ils vont "jouer" aux boules".
J’apprendrai plus tard que c’était un concours.
Donc, je réponds,
[SMS]
> Bien Madame j’attendrai, faites-moi juste un coucou lorsque je pourrais venir.
Je patiente donc un peu, puis vers 15 h 30, un nouveau SMS.
[SMS]
< Vous pouvez venir, mon mari vient de partir, interphone Mme X.
Je sonne.
— Oui.
— Quel étage ?
— Troisième droite.
Ascenseur, me dis-je, pas besoin de monter un escalier. C’est déjà ça de gagné.
J’arrive au troisième, j’ouvre la porte de l’ascenseur, effectivement, j’avais bien vu, deux appartements par palier. Je sonne.
La porte s’ouvre sur une femme de 35 ans, je le saurai ensuite, très élégante, mince, grande, brune, yeux bleus.
— Bonjour Mme X, je suis ozephirin.
— Mon cher ozephirin, permettez-moi de vous offrir un verre pour commencer. Nous allons nous asseoir pour faire connaissance, mais permettez-moi de vous demander de nous tutoyer. Vu ce que j’ai à vous demander ce sera plus facile, je m’appelle Patricia.
— Bonjour Patricia je suis Anatole.
— OK alors va pour Anatole, je voudrais faire une surprise à mon mari, j’ai bien ici un appareil, mais je ne sais pas m’en servir, j’ai vu votre profil sur Xstory, qui m’a mis "la puce à l’oreille", je voudrais faire des photos sexys. Croyez-vous cela possible ?
— OK Patricia, vu ta morphologie je pense que c’est réalisable.
— J’ai 35 ans, je fais 1m65 pour 55 kilos, 90C 65 85, ça te va comme réponse ?
— Oh que oui tu as des formes sublimes. Tu veux commencer par quoi ?
— Eh bien déjà avec la tenue que j’ai sur moi, ensuite je verrai.
Nous étions toujours assis, nous avons pris un petit digestif tout en continuant de discuter, nous étions détendus. Il s’était créé une ambiance sereine.
— Bien si nous commencions ?
— OK, prends des poses naturelles, bouge un peu ton corps, je vais le mettre en automatique et en rafale pour une vingtaine de photos.
Nous les regardons, mis à part la lumière, c’est OK.
— Tu veux les garder ?
— Pas toutes, je ferai un choix une fois terminé.
— Ah bon tu en veux d’autres ?
— Oui c’est bien pour ça que tu es là.
— Maintenant je vais chercher ma lingerie fine.
— Merde, tu vas pas quand même…
— Tu croyais quoi, que je t’ai fait venir pour me prendre juste en tenue de ville ? Tu vas voir la salope que je suis.
— Bon OK, mais je vais tâcher alors de rester stoïque.
Je pensais en moi-même, "Anatole déconne pas, tu la connais pas". Je me disais "elle va aller se changer dans sa chambre". Eh bien non, devant moi.
Elle s’est mise toute nue, je ne vous dis pas l’enfer, moi derrière l’appareil, enfin nous avons continué.
— Je vais mettre cet ensemble coquin pour commencer. Un soutif demi-seins et ce string fendu.
— Vas-y.
— Merde mes tétons ne pointent pas, viens ici me les pincer.
— Tu sais que ça prend une drôle de tournure notre séance ?
— Et alors pourquoi pas ? J’ai bien envie de m’amuser, il est parti pour plus de deux heures, il a un concours de boules, j’ai envie d’en profiter.
Je m’approche d’elle, lui pince les tétons.
— Plus fort, plus fort, faut qu’ils pointent.
Ça y est, je me remets derrière l’appareil, et vas-y que je mitraille.
— Enlève-le de son trépied, et approche.
Oui, j’avais oublié ce détail, désolé.
— Je prends en très gros plan tes tétons, ils sont magnifiques, il doit pas s’emmerder avec toi.
— Fous-moi la paix avec lui, laisse-le où il est, continue et descends sur ma chatte. Excite mon clito.
— Attends, tu veux que je fasse comment ? J’ai déjà une main prise.
Je repasse en mode automatique puis je m’approche de son clito, le fais rouler entre deux doigts, il s’allonge et s’allonge encore, merde il va aller ou comme ça. Plus de deux centimètres presque une petite bite.
— Suce-le, fais-moi jouir et prends-le en photo avec ma cyprine qui commence à me couler sur les cuisses, il va être content mon jules, mais toi aussi, tu en es à combien ?
— Pour l’instant une cinquantaine.
— Bon, je vais mettre autre chose.
— J’attends.
— Non, viens, donne-moi un coup de main.
Une guêpière, des bas résille, avec couture, un string, si toutefois je peux appeler ça de cette façon, un triangle minimaliste sur le devant qui montre plus que ne cache sa chatte avec des cordelettes très fines qui partent de ses extrémités. Une fois "ré habillée" si je puis dire, je me suis remis à la "tâche", en essayant de rester "pro", ça devenait de plus en plus difficile.
— Reviens titiller mes tétons, faut que ça pointe plus que ça, ils ne sont pas assez longs.
— Fais-le toi-même.
— Non ça ira plus vite avec toi, le temps passe, je voudrais pas qu’il débarque maintenant, grouille.
— Bon, j’arrive.
Et rebelote, me voici de nouveau sollicité, mais plus de complexes, j’ai en quelque sorte, le "feu vert", je ne vais pas m’en priver.
— Continue comme ça, vas-y ça monte, prends tes putains de photos, et occupe-toi de ma chatte, elle a besoin de tes doigts.
— Je peux pas tout faire à la fois, j’ai pas dix mains, c’est pas facile.
J’essaie donc de m’arranger pour faire fonctionner l’appareil, lui procurer ce qu’elle me demande, et tenter de rester "pro" mais là où nous en sommes, je commence à ne plus répondre de moi.
— Attends que je regarde les photos, transfère-les sur l’ordi, qu’on les regarde ensemble.
— T’as pas peur qu’il débarque ?
— Je m’en fous. Merde on voit pas mon visage, refais-en d’autres avec.
— Alors change de tenue.
— Je vais mettre une nuisette, elle est un peu transparente, tu vas voir.
Oui pour voir, j’ai vu. Enfin si je puis dire. Pour vous donner une idée, un nuage de fumée, et encore.
— Tu es très sexy comme ça, je sais pas si je vais pouvoir encore faire d’autres photos, moi j’en peux plus, je suis pas de marbre.
— Continue un peu, après je te soulagerai.
— Tu veux dire quoi par là ?
— Vu la bosse qu’il y a dans ton pantalon, je me doute que tu dois être serré.
Ben oui au départ c’était une séance de photos ordinaire, pourquoi me serais-je déshabillé ?
— On a encore un peu de temps, continue à faire tes photos, mais en contre-plongée, je m’occupe de ce qu’il y a dedans.
— Tu veux pas dire ?
— Si si, mets-le en automatique, déclenche, je m’occupe de ce qu’il y a plus bas.
Je me suis retrouvé en caleçon devant une femme que je ne connaissais pas, il y a maintenant plus d’une heure. Et ce que devait arriver arriva.
— Si tu continues comme ça, moi j’assure plus.
— Alors lâche-toi, tu seras plus détendu pour la suite.
— C’est pas fini ?
— Oh que non mon coco, je vais pas te lâcher. Je vais enlever ma nuisette et tu vas t’occuper de ma chatte, elle a faim.
Imaginez-moi, debout, mon appareil en main, l’autre occupée ailleurs, devant cette femme. Que pouvais-je faire ? Dites-moi !
— Je vais te "bouffer" la chatte. Merde tu ruisselles, c’est plus humide, ça coule.
— Eh oui je pensais pas à ça au départ, mais là j’ai l’impression de le tromper.
— Si tu veux je replie mon matériel, je charge les photos sur ton ordi, et je me "casse"
— Tu vas pas me laisser dans cet état, j’en peux plus moi, fais quelque chose.
J’étais donc à lui téter son clito, et au point où nous en étions, j’ai tenté l’expérience, pas besoin d’humidifier quoi que ce soit, comme déjà signalé, y en avait partout, j’ai donc mis un premier doigt que j’ai recourbé pour faire des cercles sur son point G. A partir de là ça a été une folie.
— Combien de doigts tu m’as mis dans la chatte ?
— Un.
— Pas suffisant.
— J’en veux au moins trois.
— Je veux pas te faire mal.
Nous étions toujours debout.
— On va se mettre sur le canapé, je pourrais écarter mes jambes. Lâche ton appareil et viens me mettre tous tes doigts dans la chatte.
— Tu as pas peur ?
— Non. Vas-y merde.
Alors j’ai recommencé, un, deux, trois, quatre, elle était ouverte comme c’est pas possible, puis ce qui devait arriver arriva.
— Mets-moi la main, fiste-moi, j’en ai envie.
— OK tu l’auras voulu.
Ça a duré presque un quart d’heure. Nous nous sommes calmés tous les deux. J’ai transféré mes photos sur son ordi, nous les avons regardées ensemble, éliminé celles qu’elle ne désirait pas garder. J’ai rangé mes affaires. Je pense que son mari a dû avoir une drôle de surprise en voyant les photos.
— Tu gardes tout ceci pour toi Anatole, je ne tiens pas à ce que quelqu’un sache ce qui s’est passé, surtout pas mon "mec" il ne comprendrait pas.
Il est bien évident qu’elle ne s’appelle pas Patricia. Faites la part des choses. Beaucoup sont réelles.