Après ces furieux ébats dans leur chambre d’hôtel tunisien, Sandra apprécie la douche. Elle goûte aussi la chaleur de ce climat qui lui permet de sortir nue de la salle de bain sans être obligée de s’emmitoufler dans un peignoir. Elle en profite pour observer son corps dans le grand miroir situé dans la chambre à coucher où son mari ronfle doucement. Ses seins en poire sont menus, mais redevenus fermes grâce à sa pratique sportive. Ses aréoles sont foncées et les tétons d’un rouge vif sont à peine dressés, son mari n’ayant pas vraiment pris le temps de les exciter tout à l’heure.
Ses fesses sont rondes et tout aussi fermes. Son sexe est encore bien ouvert suite à la saillie qu’elle vient de subir. Elle n’a pas opté pour l’épilation totale et ses poils pubiens forment un élégant triangle.
Ses hanches restent également fines, ses cuisses et mollets de sportive régulière, mais non acharnée présentent une belle harmonie. Seuls ses pieds ne trouvent pas grâce à ses yeux.
Satisfaite de son inspection, elle ouvre sa valise pour en retirer ses maillots de bain. Elle opte pour le deux-pièces blanc, son préféré. Elle sait bien qu’il attire les regards masculins, mais cela ne l’effraie plus aujourd’hui, bien au contraire même.
Elle enfile donc son maillot, s’enveloppe d’un paréo, glisse serviette de bain, lunettes de soleil crème solaire, téléphone et livre policier en cours dans un sac de plage puis enfile ses tongs.
Un dernier regard vers son mari ronflant lui confirme qu’elle va bien descendre bien toute à la piscine.
Le trajet entre la chambre, située au 5ème étage et la piscine, valide l’attrait de son maillot envers la gent masculine. En cette période, les lieux semblent fréquentés par une population plutôt âgée. Les vieux messieurs redressent la tête et bombent le torse à son passage, provoquant sourires et regards moqueurs de leurs compagnes.
Arrivée au bord du bassin, Sandra aperçoit tout de suite Gérard, son voisin d’avion et chambre. Il a choisi un transat à bonne distance de l’eau, sans doute pour se prémunir des cris et éclaboussures inhérents à cet environnement. Elle hésite, le lieu est peu fréquenté en ce milieu d’après-midi, les places disponibles ne manquent donc pas. Elle se dirige tout de même vers le gentil retraité. L’évident désir qu’elle peut lire dans le regard du Monsieur pourrait la déranger, mais elle commence en fait à prendre goût à ces jeux érotiques.
Rebonjour Gérard ! lance-t-elle gaiement. Puis-je m’installer à côté de vous ?
Rebonjour, belle voisine, répond le vieux charmeur. Avec grand plaisir, je vous en prie. Votre mari ne vous accompagne pas ?
Non, il avait besoin de se reposer.
Elle capte tout de suite le demi-sourire entendu de Gérard, confirmant qu’il les a bien écoutés faire l’amour un peu plus tôt.
Sandra prend place sur le transat, chaussant ses lunettes de soleil et saisissant sa crème solaire. Elle en étend soigneusement sur ses jambes, ses bras, de même que son ventre et le haut de sa poitrine. Les regards en coin de Gérard ne lui échappent pas. « Ça doit lui rappeler de bons souvenirs au veuf et moi ça ne me fait pas de mal non plus », se dit la jolie brune.
Elle observe aussi son admirateur. Pas très grand, de la même taille qu’elle en fait, il a des cheveux gris clairsemés, mais coiffés avec soin, il présente un petit ventre rebondi, normal à cet âge, mais l’harmonie générale de son corps montre qu’il s’entretient un minimum. Son regard est vif et ses yeux gris expriment une intelligence certaine.
Bref, il n’est pas si mal papy.
Sa séance de sexe avec son mari la laisse aussi un peu sur sa faim. La frénésie mériterait d’être complétée par de la douceur.
De son côté, Gérard ne perd pas une miette du spectacle de la brunette s’enduisant de crème solaire. Son maillot blanc est à la limite de l’indécence ! Les aréoles brunes se devinent aisément et le renflement du mont de Vénus laisse discerner une toison foncée.
Voulez-vous que je vous passe un peu de crème sur le dos et les épaules ? lance alors Gérard. Ce serait dommage de prendre des coups de soleil dès le premier jour, même s’il est vrai que vous avez une peau mate qui doit bien bronzer.
Pensez-vous que ce soit raisonnable alors que mon mari dort là-haut ? le provoque-t-elle.
Gérard perd un peu de son assurance.
Oh, pardon, je ne pensais pas à mal.
Sandra s’esclaffe.
Non, désolée, c’est moi qui vous cherche !
Puis, sur un ton plus sensuel :
Tenez, je vais m’allonger sur le ventre. Prenez ma crème et étalez en moi sur le dos et l’arrière des jambes s’il vous plaît.
Le vieux bonhomme n’en croit pas ses oreilles. Après avoir jeté un regard circulaire pour s’assurer que personne ne prêtait attention à eux, il bondit de son transat pour saisir la crème tout en observant la jeune femme se retourner pour lui laisser admirer son dos, ses jambes et surtout son formidable cul.
Mais elle aussi l’observe.
Quand vous aurez fini de reluquer, vous pourrez commencer.
Oh, pardon encore, vous êtes si belle.
Gérard prend de la crème et commence par en étaler sur le haut du dos. Il masse consciencieusement les épaules, le haut des bras puis descend progressivement. Les bretelles du maillot le gênent bien, mais il n’ose pas proposer de les retirer. Ses mains sont maintenant dans le bas du dos de la jeune femme. Elles passent et repassent sur les hanches, le haut des fesses. Il ne peut s’empêcher de penser qu’il a entendu cette déesse crier son plaisir il y a juste quelques dizaines de minutes.
Son sexe commence à se déployer dans son caleçon de bain. Heureusement, les quelques personnes qui profitent de la piscine sont assez éloignées.
Après avoir pris une nouvelle dose de crème, le retraité s’attaque maintenant aux jambes. Il monte et descend, du haut des cuisses aux chevilles, puis remonte. Il n’ose s’aventurer sur la partie basse des fesses pourtant en partie découvertes par le maillot. Alors que ses mains n’osent s’aventurer plus avant, Sandra l’encourage.
Vous pouvez en mettre un peu plus haut aussi ? J’aurais peur de ne plus pouvoir m’asseoir si je prenais des coups de soleil là.
Gérard est aux anges. L’invitation ne saurait être plus claire. Il porte ses mains avec gourmandise sur le bas des fesses de la jeune femme. Il entame de doux mouvements de rotation de l’extérieur vers l’intérieur. Mon Dieu, qu’elles sont douces, se dit-il. Ses mains remontent progressivement le maillot. Celui-ci s’insère un peu plus dans le sillon fessier.
La belle brune pousse un soupir et écarte un peu plus les jambes. Désormais, les mains du jeune papy couvrent entièrement les fesses de Sandra, ses doigts agiles s’insérant allègrement sous le maillot. Il ne pense même plus à ajouter de la crème, seule la caresse compte. Ses pousses s’aventurent vers l’intérieur, gagnant quelques millimètres à chaque passage pour s’approcher du sexe de la jeune femme. Il commence d’ailleurs par sentir une humidité suspecte, invitant à une exploration plus approfondie.
Presque aspiré, le pouce de sa main gauche pénètre tout à coup dans l’antre humide et accueillant. Sandra ne peut retenir un « Oh », entre surprise et délectation. C’est bien la première fois qu’elle se fait ainsi doigter en public.
Mais elle coupe soudainement l’habile masseur dans son élan.
Je crois qu’il vaut mieux arrêter là. Quelqu’un arrive.
En effet, Gérard a tout juste le temps de retirer ses mains alors qu’un serveur s’approche pour proposer des rafraichissements. Le vieux Monsieur couvre son bas-ventre de sa serviette, masquant tant bien que mal son érection.
Il se force à patienter en observant les rares personnes étendues aux alentours. De son côté, la brunette brûle d’envie de glisser ses propres doigts dans sa chatte. Ses tétons plaqués contre le transat sont érigés, son sexe palpite.
Le serveur apporte enfin leurs boissons. Gérard tend son verre à la jeune femme :
A la vôtre chère amie.
A votre santé, Monsieur le séducteur.
Gérard pose un regard chargé d’envie, provoquant un nouveau sourire de la belle jeune femme. Y voyant une invitation, il tend sa main droite pour empaumer le sein gauche. Sandra tend sa poitrine pour accentuer la caresse. La main se glisse maintenant sous le tissu, tâtant la chair souple, titillant le téton.
Mais de nouveaux pas se font entendre, les obligeant à se redresser et adopter une attitude plus correcte. Un couple de personnes âgées passe auprès d’eux, les saluant discrètement.
Mais cela suffit pour rompre le charme, d’autant que plusieurs personnes s’installent maintenant sur les transats voisins. Les touristes, visiblement de retour d’une excursion sont désormais trop proches.
Poussant un profond soupir, Gérard se voit contraint de s’écarter. Une plongée dans les mots croisés en sirotant sa boisson devrait lui permettre de faire baisser sa température.
Sandra elle, s’amuse de son audace. Il l’a bien excitée le vieux. Elle sent son sexe palpiter. Elle aurait bien aimé poursuivre. Son téléphone bourdonne. Elle a reçu un SMS… de son mari « Alors, elle est bien étalée la crème ? » suivi d’un Smiley sous forme de pouce approbateur. Elle tourne la tête vers le côté du bâtiment où se situe leur chambre et aperçoit son mari, accoudé au balcon au 5ème étage. Il lui fait un signe, pouce levé.
Que ces vacances démarrent bien !