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Sandrine la pute – Chapitre 2

Sandrine la pute - Chapitre 2



Au bout de mon deuxième client, je pensais avoir tout vu. Javais sucé des bites de toutes tailles, javais avalé du sperme, je m’étais faite baiser et même enculer. Jétais devenue une vraie pute, sûre d’elle. Mais on ne se sait jamais tout

Javais simplement oublié que j’étais mariée.

Quand mon troisième client se présenta face à moi, je le reconnus immédiatement. Malheureusement pour moi, c’était un copain de travail de mon mari : la tuile, en quelque sorte !

Eh bien, sardine, on arrondit la fin de mois ? Ton mari va être déçu quand il va apprendre ça !

Je vous en prie, ne dites rien de tout cela Je vous en supplie

Tu me prends pour l’abbé Pierre, ou quoi ? Je nai aucune envie de te couvrir ; et dailleurs, pourquoi je ferais ça ?

Je vous en supplie Je ferai tout ce que vous voudrez ! Vraiment tout !

J’étais piégée.

À partir de cet instant, tu mobéis ; tu deviens ma pute. Au moindre faux pas, je dis tout. Tas compris ?

Jai compris.

OK. Je texplique alors. Ton mec, je le hais ; il me gonfle avec son air supérieur. Alors toi, je vais te baiser par tous les trous, et en plus je vais toffrir à qui je veux. Au moindre faux pas, je balance tout. Tas compris ?

Je tai dis oui.

OK, c’est bien. Alors, tu vas venir avec moi.

Et je fais quoi ?

Tu verras. Grimpe dans la voiture.

Une fois dans la voiture, je le vis prendre la nationale ; je pensais qu’il allait m’emmener dans un coin tranquille pour me baiser à sa guise. Encore une erreur de ma part.

Il m’emmena effectivement à la sortie de la ville près d’un bois que je ne connaissais pas du tout, et où quelques voitures étaient arrêtées. Je ne comprenais rien du tout. Cétait quoi, cet endroit ?

Je fus vite renseignée.

Cet endroit, tu vois, c’est un repaire de voyeurs : des mecs qui n’ont pas les moyens de se taper une pute de bourgeois comme toi.

Mais je

Tais-toi ! Tu vas te foutre entièrement à poil et te mettre contre larbre, là. Tous ces mecs-là, tu vas tout leur donner ; au moindre refus de ta part, je dis tout.

Ça va, ça va ; j’ai compris.

Entièrement nue, il me fit sortir de la voiture. En un instant, un groupe d’une dizaine de personnes apparut, sorti de nulle part.

Et tout ce groupe se rapprochait ; et moi, je reculais. Et ils s’approchaient encore et toujours, jusqu’à ce que je sois bloquée par l’arbre qui piégeait ma retraite.

Toutes ces mains me touchaient les seins, le sexe, les fesses. Puis une main plus vigoureuse mobligea à magenouiller. Immédiatement, je fus entourée par des sexes tendus, de toutes tailles, qui forcèrent ma bouche. Je fus obligée de sucer et sucer encore

À chaque fois qu’une bite se vidait dans ma bouche, une autre prenait sa place. Pendant de longues minutes, j’ai dû avaler des quantités de sperme de personnes qui, visiblement, n’avaient pas baisé depuis longtemps. Jusquà l’écurement, surveillée par mon bourreau.

Au bout de quelques minutes, heureusement, tous ces sexes reprirent une taille normale, annonçant de ce fait la fin de mon supplice.

Couverte de sperme et toujours entièrement nue, je rejoignis la voiture de mon bourreau.

Cest bon ! Ça y est ! Mon supplice est terminé : tu as eu ce que tu voulais ; tu tes vengé de mon mari.

Tu plaisantes ? Ça, c’était rien ! Ça fait que commencer, ma ptite pute

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