Chapitre 3 : Le potentiel
-Oh … je jouis !
Simon s’extirpa de Morgane et lui éjacula dessus, ajoutant sa semence à celle qui la recouvrait déjà. Il eut un élan de jalousie quand il constata que Morgane pouvait déverser beaucoup plus de sperme que lui, mais il n’y pensa plus en la voyant si belle et rayonnante. Il trouvait que le foutre étalé sur elle lui donnait un côté dépravé qui la rendait encore plus sexy. La jeune femme était toujours étendue sur le lit et cherchait à récupérer son souffle. Elle souriait de bonheur en pensant aux nombreux orgasmes qu’elle venait d’avoir.
-Simon … Je … oh, c’était bon ! Je … j’ai soif.
Le jeune homme s’empressa d’aller dans sa salle de bain pour lui prendre un verre d’eau. Passant devant la baignoire, il alluma le robinet pensant qu’elle en aurait grandement besoin. Alors qu’elle buvait, le jeune chercheur courut à sa voiture pour y prendre sa mallette avec tout son attirail et rejoignit Morgane.
-Où étais-tu ?
-J’ai été chercher mon matos pour t’analyser. Surtout que toutes les substances que je dois avoir se trouvent à portée de mains étalées de-ci de-là sur ton corps …
La remarque fit sourire la femme. Elle le regarda sortir tout un tas d’éprouvettes et d’autres instruments dont elle ne comprit pas l’utilité. Elle s’en moquait de toute façon : elle était encore un peu dans les vapes à cause de la formidable expérience qu’elle venait d’avoir.
Simon s’accroupit auprès de Morgane et commença par prélever un peu de son sperme dans un tube en plastique. Il mit après une espèce de coton-tige dans la bouche de la jeune femme pour y prendre un peu de salive. Ensuite, il arracha d’un coup sec un poil pubien ce qui fit sursauter la jeune femme. Elle lui jeta un regard noir mais il n’y prêta pas attention, plaçant le poil dans un sac en plastique.
-tu pourrais presque jouer dans une série policière, plaisanta-t-elle.
Le jeune chercheur esquissa un sourire mais ne se départit ni de son calme, ni de sa concentration. Il poursuivit son travail en frottant la queue de Morgane à l’aide d’un bout de tissu qu’il plaça lui aussi dans un sac en plastique. Il recueillit ensuite au fond de deux bocaux les substances qui se trouvaient au bord de sa chatte ainsi que de son anus. Pour finir, il fit une prise de sang et rangea tout son précieux matériel dans sa petite valise.
-Ok, c’est fini. Tu peux aller prendre un bain. Enfin… si tu le désir, fit Simon avec un sourire espiègle.
Morgane rit et se releva. Le jeune homme la regarda faire et fut hypnotisé par les centaines de petits serpentins de sperme qui dégringolèrent le long de son corps. Elle baissa les yeux, gênée par cette inspection un peu trop poussée et s’éclipsa dans la salle de bain ne laissant derrière elle que quelques gouttes blanches sur le sol. Simon s’ébroua pour remettre ses idées au clair et son regard se posa sur le lit. Une tache sombre s’étendait là où se trouvait quelques minutes plus tôt le bassin de la jeune femme. « C’est dingue la quantité de cyprine qu’elle rejette… Sans compter tout ce que j’ai avalé en plus ! »
-Morgane, l’appela-t-il.
-Oui ? Répondit-elle dans un bruit de clapotis d’eau.
-Je vais aller faire mes analyses. Je sais que tu as dormi toute la journée mais penses quand même à te reposer un peu : ton corps n’est peut-être pas totalement remis de … tout ça.
-Oui, d’accord, je n’y manquerai pas. Quand auras-tu les résultats ?
-Si tout se passe bien, demain soir.
-Parfait. À demain alors.
-Oui, à demain.
Morgane l’entendit quitter sa maison. Elle attendit que le bruit de la voiture ait disparu au loin avant de se détendre complètement et profiter de son bain chaud. « Quelle journée ! Je n’arrive pas à croire tout ce qui m’arrive. Ça s’est passé si brusquement. Bon, il faut que je me change les idées : ce soir, ma petite Morgane, on va en boîte ! Et au diable les conseils de l’autre. ». Fière de sa décision, elle se prépara pour sortir.
Morgane marchait d’un pas tranquille dans la rue qui menait à la boîte où elle voulait aller. En s’habillant, elle avait opté pour un t-shirt moulant et une jupe. Elle avait d’abord hésité à mettre un jean, malheureusement, ce dernier étant trop serré, n’importe qui aurait pu apercevoir le petit renflement au niveau de son bas-ventre. La jeune femme arriva devant la boîte et du faire la file avant d’entrer. Le sorteur la regarda avec une lueur d’envie dans les yeux et la laissa passer.
Une fois qu’elle eut franchi la porte, le bruit de techno et des odeurs de fumée mélangé à la sueur l’assaillir. Elle fut prise d’un haut-le-cur mais se reprit bien vite. Elle parcourut la salle des yeux. Il y avait du monde ce soir et Morgane, qui était une habituée, avait rarement vu la salle aussi pleine. Elle fut rapidement gagnée par l’excitation ambiante et rejoignit la piste de danse où se trémoussaient tout un tas de jeunes. Elle se retrouva compressée dans la masse presque incapable de se mouvoir mais ça ne la dérangeait pas. Elle ondula son corps au rythme de la musique sans faire attention aux gens autour d’elle et profita de l’instant.
*****
Simon arriva chez lui à la nuit tombée et alla dans sa cave, où il avait aménagé un laboratoire pour ses expériences. Il sortit son matériel et se mit immédiatement au travail, commençant par analyser la semence de Morgane. Il travailla plusieurs heures durant, faisant de nombreux calculs complexes. Il examina les spermatozoïdes de la jeune femme et les compara avec les siens. L’un des résultats le sidéra tellement qu’il dut recommencer plusieurs fois ses calculs. Lorsqu’il fut convaincu de la véracité de ses équations, il se précipita sur son téléphone et appela en urgence Morgane.
*****
La musique était extrêmement forte et faisait bouger la foule au rythme de ses basses. Des faisceaux de lumière multicolore zébraient la fumée artificielle qui stagnait maintenant sur la piste de danse. Morgane était emportée par la folie ambiante, se mouvant sous les ordres de ses instincts. Son GSM, placé dans son sac qui était lui-même au vestiaire, s’alluma et le nom de Simon s’afficha sur son écran.
Morgane dansait sans se préoccuper de quoi que ce soit. Elle remarqua alors une jeune fille qui se frottait à elle de manière langoureuse. Elle aussi avait mis une jupe mais moins serrée que la sienne. Quand leur regard se croisa, la fille, qui devait avoir entre dix-neuf et vingt ans, se figea. Soudains, sans crier gare, elle se hissa sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur celle d’une Morgane ébahit. Cette dernière se laissa faire dans un premier temps mais finit par bouger timidement sa langue dans cette bouche inconnue et douce. Elle s’enhardit en glissant ses mains le long de ses hanches et en caressant le bas de son dos. L’adolescente se colla brusquement contre elle et introduisit ses doigts sous le fin tissus du t-shirt de Morgane. Cette dernière, qui ne contrôlait déjà plus ce qu’elle faisait, laissa tomber toute retenue et passa sous la ceinture de la fille pour venir pleinement saisir ses fesses soyeuses et fermes qu’elle malaxa tendrement.
Malheureusement, les caresses de la jeune ado étaient loin de la laisser indifférente et elle sentait le sang pulser dans son bas-ventre, poussé par des vagues d’excitation grandissante. Elle regrettait soudainement d’avoir mis une jupe qui aurait tôt fait de dévoiler son secret. Elle eût un sursaut de conscience et regarda autour d’elle pour voir si quelqu’un les observait. Tout le monde dansait collé les uns contre les autres et un écran de fumée les dissimulait au reste de la foule. Elle fut momentanément rassurée. La jeune fille, frustrée que le contacte entre leur bouche ait pris fin, lui prit la nuque et la força à l’embrasser encore. Morgane, qui avait toujours ses mains collées à ses fesses, la souleva pour la placer à sa hauteur. Cette dernière enlaça son ventre avec ses jambes et l’embrassa plus fougueusement encore. Morgane sentit avec horreur sa jupe remonter en même temps qu’elle prenait l’adolescente dans ses bras, la laissant en simple culotte et à la vue de tous. Culotte qui, sous la pression de sa verge en érection, céda bien rapidement …
Morgane ne savait pas quoi faire. Elle se trouvait dans un état d’excitation incontrôlable, entouré de centaines de gens et sa queue en érection était surplombée par le magnifique cul d’une jeune adolescente en chaleur. Comme elle n’avait pas encore pris conscience de l’espace qu’occupait son sexe masculin, elle ne se rendit pas tout de suite compte que son gland frottait le vagin couvert d’un string déjà fortement humide par la cyprine de la jeune fille. Cette dernière, croyant que Morgane voulait la doigter, glissa sa main dans sa jupe et écarta innocemment le bout de tissu. Désormais, plus rien ne se trouvait entre les deux jeunes filles inconscientes de la série dévénements qu’elles étaient sur le point de mettre en branle ( sans faire de jeux de mots… ).
*****
Simon faisait du cent cinquante sur l’autoroute, ignorant les voitures surprises qui klaxonnaient après son passage. Il arriva devant la maison de Morgane et fut pris d’un terrible pressentiment quand il ne vit aucune lumière allumée derrière les fenêtres. Il se jeta sur la porte et frappa à grands coups. Personne. Il appela pour la seizième fois Morgane et tomba à nouveau sur sa messagerie : « Salut, c’est Morgane. Laissez un message après le bip, je vous rappellerai dès que possible »
-Morgane, je t’en supplie, ne fais rien d’inconsidéré. J’ai découvert des choses qu’il faut absolument que je te communique. Appelle-moi le plus vite possible, c’est très important !
Simon, à court d’idée et complètement désespéré, s’adossa à la porte et s’y laissa glisser. Il se prépara à une longue attente.
*****
Le gland pénétra difficilement dans le sexe de la jeune fille, écartant grandement ses lèvres vaginales. Une grande surprise se peignit sur son visage et tout son corps se figea. L’expression de la jeune fille montrait l’incompréhension la plus totale et Morgane ne trouva rien d’autre à faire que de sourire pour la détendre. Elle posa doucement ses lèvres sur celles de la jeune fille qui se décontracta légèrement. Ce contacte sembla la faire revenir sur terre et rendit son baisé à Morgane. Cette dernière n’en demanda pas moins et abaisse précautionneusement le corps de l’adolescente sur son sexe dressé. Celle-ci ouvrit la bouche dans un cri silencieux. Son vagin était étiré comme jamais et elle ressentait puissamment chaque centimètre de la queue qui la remplissait. Elle n’avait encore jamais été aussi comblée et aussi pleine de toute sa vie. Elle sentait le gland glisser en elle de plus en plus loin sans qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit pour en arrêter la course. Elle n’en avait aucune envie de toute façon. C’était l’expérience la plus orgasmique de toute sa vie.
Morgane était aux anges. Son sexe dur était, pour la première fois, chaudement loti entre les reins d’une jolie fille extrêmement serrée. Sa queue était trempée de mouille ce qui rendait la lente pénétration sublime. Son gland, compressé entre les parois brûlantes et trempées, finit par toucher un obstacle tout au fond de l’adolescente qui gémit intensément. Morgane fut déçue de constater que son sexe n’était rentré qu’à moitié mais ne voulait pas faire mal à la jeune fille qui se donnait à elle en s’enfonçant davantage. Elle attendit donc que l’adolescente se remette de ses émotions.
Celle-ci avait fermé les yeux et souriait dextase, savourant la sensation d’être entièrement remplie. Elle ne fut pas longue à réagir. Toujours agrippée à Morgane, elle se souleva légèrement et s’empala en douceur sur la hampe chaude et humide. Morgane ferma aussi les yeux et se laissa envahir par le plaisir qui montait rapidement. Elle prit les devants et commença à faire des mouvements de bassins qui saccélérèrent rapidement. Son sexe plongeait de plus en plus avidement dans le puits à plaisir de la jeune fille qui s’était mise à crier de bonheur. Elle ne bougeait presque plus et se laissait perforer par la jeune femme qui lui apportait pour la première fois autant de plaisir. Elle eût un premier orgasme qui la cueillit et qui liquéfia davantage son sexe comblé. Elle hurlait en continu sous les assauts de cette bite géante qui l’enfournait, ne se souciant aucunement d’être remarqué par la foule autour d’elle.
La musique était assourdissante et personne ne remarquait cette étrange couple qui baisait au plein centre de la piste de danse. Les gens se trémoussaient, chacun dans son monde, inconscients de l’importance du moment …
Un second orgasme emporta la jeune adolescente qui pleurait tellement le plaisir était intense. Son vagin se contracta autour du sexe de Morgane qui ne pût résister plus longtemps. Elle s’enfonça une dernière fois dans la jeune fille et jouit. Pendant un moment, le temps sembla sarrêter. Les deux femmes étaient toutes les deux cambrées et criaient de plaisir vers le ciel. Morgane se déversa alors dans les entrailles de la jeune fille qui, sous la puissance des jets de sperme, jouit une troisième fois. Leur plaisir dura plusieurs longues secondes durant lesquelles aucune des deux femmes ne bougea de peur de mettre fin à cet instant magique. Morgane ne cessait d’éjaculer et le foutre, en trop grosse quantité, s’échappait de la jeune fille et coulait abondamment sur ses bas.
Elles restèrent longtemps dans cette position, toutes deux incapables de faire le moindre mouvement. Finalement, la jeune inconnue relâcha son étreinte autour de Morgane et posa ses pieds par terre. Elles étaient toujours reliées par l’imposante verge devenue molle et Morgane la retira doucement en faisant gémir sa conjointe. Celle-ci remit son string en place pour stopper le flot de foutre qui s’écoulait de son vagin. Elles se regardèrent, complice. La jeune fille se dressa sur la pointe des pieds pour poser un baiser sensuel sur les lèvres de Morgane, puis disparut, engloutie par la foule.
Morgane récupéra son sac et sortit de la boîte dans un état second. Elle prit sa voiture et retourna chez elle sans penser à regarder son téléphone qui affichait une trentaine d’appels manqués …