Chapitre 39 : Un grand pouvoir implique de niquer sa race ! (Partie 2)
L’expression des trois filles se décomposa subitement à la vue d’Erika et de son sexe viril au garde-à-vous. Lubrifié comme il était, il reflétait la lumière des toilettes ce qui lui conférait une aura des plus intimidante. Les GSM des trois étudiantes s’abaissèrent lentement tandis qu’elles contemplaient Erika avec des yeux rond d’étonnement.
Un silence pesant régnait au sein des toilettes. Celle qui venait d’ouvrir la porte en forçant la serrure se mit à bafouiller :
-Je je suis vraiment fin je voulais pas que Je pensais que Virginie était fin, je savais pas qu’elle
Erika la fixait sans rien dire. Même sa queue semblait scruter la jeune fille avec autorité. La pauvre fille ne savait pas où se mettre et se répandait en excuse. Erika fit un pas en avant, faisant instinctivement reculer les trois étudiantes. Elle sourit intérieurement mais conserva son masque sévère.
-Qu qu qu’est-ce que tu es, au juste ? Bégaya la jeune fille.
Erika tiqua. La question n’était pas « qui es-tu ? » mais « Qu’es-tu ? ». Quel genre de monstre es-tu, en somme. C’est ainsi que la jeune fille le comprit. Son regard s’assombrit subitement et les étudiantes qui lui faisaient face ne tinrent plus en place.
-Il il faut qu qu’on y aille
Elles prirent leurs jambes à leur cou et s’encoururent vers la sortie. Erika réagit au quart de tour. Sans réfléchir, elle déchaîna son pouvoir.
Les trois filles poussèrent un hurlement de concert et s’écroulèrent sur le sol avant qu’elles n’aient eu le temps d’atteindre la porte des toilettes. Elle se mirent à se trémousser follement sur le carrelage tout en poussant d’irrésistibles gémissements orgasmiques.
-Aaah putaaaiin
-Ouaaah Mmmh !
Erika les toisa en se demandant comment elle avait bien pu faire ça aussi rapidement. Les dernières fois, il lui avait fallu à chaque fois presque dix minutes de concentrations Elle s’empara d’une chaise et vint la caler sous la poignée de la porte des toilettes. Elle vérifia que celle-ci était bien scellée puis se tourna vers les adolescentes qui se tordaient toujours dans tous les sens.
L’une d’entre elles, sous le coup de l’excitation, abaissa son pantalon et se mit à se doigter furieusement. Les gémissements n’en finissaient pas et Erika eut peur de se faire entendre. Elle relâcha la pression et les filles se calmèrent peu-à-peu.
Le silence revint, presque dérangeant à côté de la cacophonie qu’il venait d’y avoir.
L’ainée de Morgane contempla avec satisfaction les trois jeunes filles étendues devant elle. Elles haletaient, le corps saisit de soubresauts incontrôlables. Celle qui s’était doigtée avait toujours sa main enfuie entre ses cuisses ouvertes. Elle portait une paire de lunette qu’elle remit en tremblant sur son nez.
-Qu’est-ce qu’est-ce que tu nous as fait ? Souffla celle-ci.
-Moi ? S’étonna Erika sans cesser de sourire narquoisement. Je n’ai rien fait. C’est vous qui avez commencer à gémir.
-Mais tu
-Donnez-moi vos téléphones, la coupa Erika.
Trop sonnées pour réfléchir correctement, elles s’exécutèrent docilement. Erika s’en empara et, sans état d’âme, les jeta dans la cuvette des WC.
-Hey mais qu’est-ce qui te pr S’exclama la binoclarde.
-Toi ! Ordonna Erika en pointant du doigt la fille qui avait forcé les toilettes. Suis-moi ! Et reste à quatre pattes !
La jeune fille obtempéra silencieusement. Elle avait un léger écart entre les dents et Erika, furieuse d’avoir été dérangée pendant son coït, eut envie de se venger.
-T’avais l’air de bien rigoler, tout à l’heure avec tes copines, dents de lapin.
-Je m’appelle
-J’en n’ai rien à secouer ! Grouille !
L’étudiante se hâta et entra à quatre pattes dans les toilettes que lui désignait Erika. Virginie s’y trouvait toujours. Son pantalon et sa culotte étaient abaissés au niveau de ses chevilles et elle masquait son intimité en croisant peureusement ses jambes.
-Dis-moi, dents de lapin, t’avais l’air de kiffer tout à l’heure.
-N non je
-Tais-toi. Tu nous as dérangés alors qu’on était nous aussi en train de kiffer Approche !
La jeune fille obéit et vint se placer devant Virginie qui avait l’air aussi perdue qu’elle. Erika exerça une pression sur les jambes jointes de cette dernière. Virginie se laissa faire sans opposer de résistance et elle fut bientôt aussi ouverte que lorsqu’elle se faisait prendre quelques minutes auparavant.
-Lèche ! Ordonna Erika.
La pauvre fille voulut répliquer mais le regard tranchant d’Erika l’en dissuada. Elle s’avança et colla son visage entre les cuisses de Virginie qui ne put s’empêcher de geindre.
-Mieux que ça, dents de lapin !
La jeune fille s’activa et se mit à donner de grands coups de langue sur la vulve de Virginie. La toilette s’emplit de bruits de léchage humide et de déglutition.
-Mais c’est qu’elle y prend goût, la salope. Tu aimes la chatte de Virginie ? Et je vois que tu te caresses en même temps !
En effet, la jeune étudiante avait glissé une main entre ses cuisses et la faisait coulisser le long de sa fente. Son autre main était venue écarter les lèvres vaginales de Virginie pour pouvoir enfoncer plus loin son appendice buccal.
-T’es encore plus dépravée que Virginie, toi ! S’exclama Erika en s’accroupissant derrière elle.
Elle lui ôta son pantalon et fit courir ses doigts le long de sa culotte.
-T’es une vrai chaudasse ! Tu mouilles comme une cochonne !
Erika lui retira sa culotte et positionna sa verge tendue contre son con. Elle caressa celui-ci avec son gland turgescent, déclenchant une salve de cyprine supplémentaire. La jeune fille vint écarter ses lèvres du bout des doigts, suppliant silencieusement qu’Erika la chevauche sans plus attendre.
-J’arrive pas à le croire ! S’écria cette dernière. Tu veux de la bite, toi ! Regarde-ça ! Tu mouilles comme une fontaine !
Dents de lapin tortilla du cul pour s’empaler sur le sexe qui était à sa porte mais Erika se subtilisa à cette caresse.
-Qu’est-ce qui te prouve que je veux de ta chatte, moi ? Tu n’es pas aussi belle que Virginie et puis tu as l’air d’être une vraie peste. En revanche
Erika caressa la rondelle de la jeune fille et y introduisit un doigt.
-Mmhm ? Fit celle-ci en tournant la tête, surprise par cette incursion.
Virginie lui saisit brutalement les cheveux et fourra son visage contre son sexe assoiffé. Erika sourit et positionna sa queue contre l’anus de la jeune fille.
-Il me semble que tu n’as jamais rien eu là-dedans Quel dommage. Nous allons remédier à ce manque.
Elle fit doucement entrer sa hampe entre les fesses de dents de lapin qui poussa un long gémissement étouffé par l’entrejambe de Virginie.
-Voiiiiilà, souffla Erika dont le sexe était maintenant enfoui à moitié dans les profondeurs de la jeune fille. Ça fait du bien, hein ? On se sent tout d’un coup moins vide, hein ?
Dent de lapin avait l’air de souffrir le martyr. Elle avait plaqué sa main sur sa fesse droite et l’écartait comme pour pouvoir accueillir plus aisément Erika en elle.
-Mmmh, gémit-elle.
Erika fit coulisser avec régale sa hampe dans les tréfonds de la jeune étudiante de façon à ce que son anus se dilate peu-à-peu. Bientôt, elle put faire de plus amples mouvements qui eurent tôt fait de rendre dents de lapin folle de désir.
Le consciencieux léchage que subissait Virginie finit par la faire violemment jouir. Elle pressa le visage de dents de lapin contre son sexe tandis qu’elle se laissait envahir par des vagues orgasmiques.
-Aah ouiii ! Eructa-t-elle avant de relâcher la pression.
Dents de lapin s’effondra sur le sol, éreintée par le cunnilingus qu’elle venait d’offrir presque contre son gré. Cambrée comme elle était, l’excitation d’Erika monta en flèche. Elle saisit les hanches de la jeune fille et la perfora le plus profondément possible.
-Aah Aah Aah, s’extasiait l’étudiante à chaque coup de boutoir dans son cul.
Erika éjacula sans crier gare. Sa semence fusa entre les reins de dents de lapin et la remplie avec délectation.
-Oh mon Dieu, s’ébahit celle-ci en sentant les flots de sperme inondé ses intestins.
Son anus était tout écartelé et rougi par les nombreuses incursions d’Erika. Elle s’étala sur le sol crasseux et puant l’urine, des gouttelettes de semences s’évadant de sa rondelle défoncée.
Erika se releva et contempla avec satisfaction les deux étudiantes avachis dans les toilettes. C’était un bien beau spectacle qui rendait la jeune fille pleine de fierté.
-Et nous ? Fit une petite voix derrière elle.
Elle jeta un regard par-dessus son épaule et aperçu les deux autres filles. Elles s’étaient entièrement déshabillées et contemplait Erika avec dévotion. Leur corps nu appelait à la luxure. Appel auquel Erika fut bien incapable de résister
Elle avança sur les deux jeunes filles, son sexe récupérant petit-à-petit sa taille impressionnante
Lorsqu’Erika rentra chez elle, toute la famille était réunie autour de la table à manger. Le salon était enfermé dans un silence irréel qui inquiéta aussitôt la jeune fille.
-Cindy est parti, lui annonça Claire avait qu’elle n’ait le temps de poser la moindre question.
Comme Erika n’avait pas l’air de comprendre, Morgane lui tendit la lettre qu’avait laissé Cindy. La jeune fille dû la relire à plusieurs reprises pour être sûre d’avoir bien compris.
-Mais pourquoi ? Qu’est-ce qu’on a fait de mal ?
Seul des regards perdus lui répondirent.
-Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? S’enquit Erika qui se sentait oppressé par ce calme.
-Je pense que vous avez une punition à terminer, mesdames, fit Simon en se levant. Quant à moi, je vous emprunte Erika comme elle ne peut plus participer à vos jeux et je vais faire quelques petits tests sur elle.
-Tu as raison, approuva Morgane. Je suis persuadée que Cindy reviendra parmi nous. En attendant, Claire, tu me suis ?
C’était une question mais la jeune fille sut qu’elle n’avait aucun droit de refuser l’invitation. Elle se leva avec résignation et parti à la suite de ses mamans.
-Que veux-tu tester sur moi ? Questionna Erika une fois qu’elle fut seule avec le scientifique.
-À ton avis ? Je veux savoir comment fonctionne ton pouvoir ! Allons dans mon laboratoire.
Simon demanda à Erika de se placer devant un scanner tandis que lui se positionnait quelques mètres plus loin.
-Bon, voilà comment ça va se passer : tu vas tenter de me faire jouir et cette machine va enregistrer le phénomène. Elle est capable de percevoir un large spectre d’ondes en tout genre, auditives comme visuelles. Elle enregistrera également tous les dégagements de chaleurs que tu émettras ainsi que le taux d’hormone dans ton sang. Je pense que ça peut être pertinent de voir l’effet qu’aura
-Bon, je dois juste te faire jouir ? L’interrompit Erika qui savait que les monologues de Simon pouvaient par moment s’éterniser.
-Heu Oui, c’est ça.
Erika se focalisa sur le plaisir du chercheur. Deux courtes minutes après Simon se pliait au sol, le corps saisi de spasmes orgasmiques.
-Aaah sto stoop ouaaah !
La jeune fille relâcha la pression. Simon resta prostré par terre, le temps de récupérer ses esprits puis se releva péniblement en jurant dans sa barbe.
-J’aurais dû me déshabiller avant mon caleçon est rempli de sperme maintenant.
Erika rit devant la mine déconfite de Simon.
-Alors, tu as aimé ?
-Et comment ! S’exclama-t-il. Tu as été très rapide cette fois-ci, je ne m’attendais pas à jouir aussi vite. Tu t’es entraînée ou quoi ?
-Ah non, non, mentit la jeune fille. C’est juste que je comprends de mieux en mieux comment mon pouvoir fonctionne. Ce que je maîtrise très mal pour l’instant c’est l’intensité du plaisir, je ne sais pas comment doser
-Oui, en effet, j’ai pu le constater Nous allons travailler ça, la rassura Simon en s’installant derrière son ordinateur. Voyons voir ce qui se passe en toi
Il passa une fois la vidéo dans laquelle on ne voyait qu’Erika mais rien d’étrange ne se produisit si ce n’est un léger gonflement au niveau de son entrejambe. Il changea alors les paramètres et les couleurs de la vidéo devinrent chatoyantes.
-Ça risque de prendre un moment, annonça Simon. Je dois passer au peigne fin chaque filtre possible ce qui n’est pas une mince affaire
-J’ai toute la soirée, sourit la jeune fille.
Le scientifique travailla durant une bonne heure, visionnant et revisionnant la même vidéo en changeant à chaque fois le filtre. Au bout de ce laps de temps, Simon se mit à désespérer.
-Je m’attendais quand même à avoir ne fut-ce qu’un petit résultat après une heure de recherche mais je n’ai rien. Pas le moindre petit indice sur la manière dont tu utilises ton pouvoir.
-Rien ? S’étonna Erika. Mais il doit bien y avoir plus d’hormones dans mon sang ou un truc dans le style, non ?
Simon considéra longuement Erika sans rien dire, comme s’il prenait subitement conscience de quelque chose. Il se tourna brusquement vers son écran en marmonnant intelligiblement dans sa barbe. La jeune fille crut entendre « crétin », « pourquoi pas pensé plus tôt ? » et « sombre idiot » mais elle n’en fut pas certaine.
Simon appliqua le filtre hormonal dans les paramètres et lança la vidéo. Instantanément, un changement apparut. Erika n’était plus visible mais elle était remplacée par un million de petits points mauve. Pendant la première minute, toutes les particules mauves se dirigèrent vers un même point : la tête. Quelques-unes s’attardèrent au niveau de bas-ventre mais en très petite quantité si bien qu’elles étaient difficiles à percevoir. Ensuite, très précisément à 1 minute et 42 secondes, les hormones, parce que c’est ce qui était représentées en mauve sur la vidéo, se ruèrent en dehors du corps d’Erika telle une gigantesque vague déferlante et sortirent du cadre de la vidéo.
Simon s’adossa contre le dossier de sa chaise silencieusement.
-Qu’est-ce que ça signifie ? S’enquit la jeune fille.
-C’était ton pouvoir. C’est ainsi qu’il se manifeste lorsque je pose le filtre hormonal sur la vidéo.
-D’accord, mais encore ?
-Cela signifie que tu utilises tes hormones pour déclencher l’orgasme de ta cible. Tu les utilises comme une sorte de fusil J’ignore par quel mécanisme mais tu parviens à les projeter hors de toi pour qu’elles aillent envahir le corps de la personne visée. Elles font ensuite leur boulot, c’est-à-dire exciter tout le système nerveux et libérer tout un tas d’autres hormones telles que la dopamine, l’endorphine,
-Ouah trop cool !
-Effectivement, c’est assez cool, approuva Simon avec un léger sourire.
-Et comment je pourrais faire pour apprendre à gérer ce pouvoir, d’après toi ?
Simon se plongea dans ses pensées. À sa connaissance, il n’y avait aucun autre organisme capable d’envoyer une telle quantité d’hormone aussi violemment. Son regard se perdit sur la vidéo qui avait été mise en pause. Quelques taches mauves traînaient encore par-ci, par-là dans le corps de la jeune fille. Simon ne put s’empêcher d’observer avec attention un petit paquet d’hormones qui s’étaient entassées dans le sexe d’Erika, épousant ainsi les formes de la verge. Il eut une idée :
-On va essayer quelque chose ! Lança-t-il. Déshabille-toi, je te prie.
La jeune fille s’exécuta, impatiente d’apprendre à maîtriser ses incroyables facultés.
-Très bien. Place-toi devant la caméra, à présent. Voilà.
-Et maintenant ? S’impatienta Erika.
-Maintenant, je veux que tu jouisses.
La jeune fille s’empara de sa queue mais Simon la stoppa immédiatement.
-Non, non, non. Sans te toucher.
-Hein ? Mais comment veux-tu S’exclama-t-elle avant que la lumière ne se fasse dans son esprit. Oh je comprends ! Avec mon pouvoir !
-Exactement. Quoi de mieux que de s’entraîner sur soi-même ? Tu pourras comprendre ce que tu fais subir aux autres et ainsi mieux doser ton pouvoir.
-C’est une super idée ! Approuva Erika. OK, je me lance.
Simon appuya sur le bouton Play et s’assit confortablement dans son siège. Le sexe d’Erika se suréleva très rapidement tandis qu’elle affichait une mine intensément concentrée. Elle se mit à haleter silencieusement, ses tétons pointant avec arrogance.
Soudain, elle poussa un petit gémissement surpris, ouvrit de grands yeux avant de s’écrouler au sol.
-Aaaah ! Hurla-t-elle. Oh mon Dieuuuu !
Sa queue envoya de violentes salves de spermes qui vinrent s’écraser sur son corps tremblant et son vagin propulsa d’incommensurables jets de cyprine sous elle.
-Aaah ! Co Putain ! Aaaah ! Comment Aaaah !
-Erika ? S’alarma Simon. Tout va bien ?
-Comment je l’aaaaaah ! Stop ! Stop ! Comment je l’arrête ?! Aaah putinnnnnn !!
La jeune fille se tordait dans tous les sens, se roulant dans sa propre semence et étalant celle-ci sur tout son corps. Elle se recroquevilla sur elle-même sans cesser de pousser de terribles cris. Son sexe n’en finissait pas de se déverser. Ses propulsions de sperme venaient s’écraser sur le corps nu et luisant d’Erika. Elle en avait dans les cheveux, sur les seins, sur le ventre, dans les yeux, dans la bouche,
-Aaaah !!!
Simon l’observait sans savoir quoi faire