Chapitre 4 : Enfin seule … ou presque
Quand elle arriva devant chez elle, Morgane fût surprise d’y voir la voiture de Simon. Elle l’aperçut, adossé à sa porte d’entrée, la regardant sévèrement.
-Où étais-tu ?
-J’ai été me détendre, pourquoi ? Il s’est passé quelque chose ?
-Non, je te demande où tu étais !
Morgane ne comprit pas la raison de la soudaine colère de Simon. Elle répondit calmement :
-J’ai été me promener pour me changer un peu les idées, mentit-elle. Qu’est-ce qui ne va pas ? J’ai faits un truc qu’il ne fallait pas ?
-Te promener ? Et ça ta empêché de répondre à mes appels ? Dis-moi que tu n’as pas fait de bêtise.
La jeune femme, devant le regard sévère du chercheur, sût qu’elle devait taire son secret et ne plus jamais en parler sous peine de subir ses foudres.
-J’ai mis mon téléphone en mode silencieux et j’ai oublié de regarder une fois que je suis retourné à ma voiture. Je suis désolé. Bon dis-moi ce qui ne va pas maintenant.
-J’ai faits une découverte sur ton corps. On peut en parler à l’intérieur ?
Morgane ouvrit la porte. Ils s’installèrent au salon et elle prépara du thé qu’ils pourront siroter durant les explications de Simon. Elle vit qu’il était une heure du matin et elle se dit que ça devait quand même être assez urgent.
-Je t’écoute, qu’as-tu de si important que ça pour venir me trouver chez moi à une heure si avancée.
-J’ai commencé les analyses de ton sperme. Et je commence seulement maintenant à prendre conscience de ce que j’ai créé …
Morgane ne se formalisa pas plus que ça que Simon la considère comme étant sa création. Elle avait l’habitude de ses petits moments d’absences et de rêveries. Elle attendit donc qu’il veuille bien développer ses pensées.
-Sais-tu combien de temps un spermatozoïde survit dans le vagin d’une femme ? Reprit-il.
Morgane haussa négligemment les épaules et croisa ses bras dans l’attente d’une réponse.
-Entre deux et cinq jours. Tout en sachant qu’un spermatozoïde qui survie cinq jours est un fait plutôt rare. Maintenant, sais-tu quelle est la durée de vie de tes spermatozoïdes ? Ne réponds pas ! Tu ne pourrais même pas imaginer … Ils peuvent tenir entre vingt-cinq et trente-cinq jours, peut-être plus. Sais-tu ce que cela signifie ?
Morgane ne répondit pas ? Elle comprenait maintenant l’attitude de Simon. Elle baissa les yeux, repensant à cette jeune adolescente s’empalant sur son sexe en criant d’extase …
-Maintenant je veux que tu me regardes dans les yeux et que tu me jures qu’il ne s’est absolument rien passé cette nuit.
La jeune femme leva la tête et croisa le regard dur et froid de Simon. Elle ne pouvait rien dire et se promit de garder ce secret aussi longtemps que possible. Elle jura sans ciller et Simon sembla se décontracter.
-Est-ce que …, commença-t-elle.
Morgane hésitait à poser la question, de peur que Simon la suspecte d’avoir fait quelque chose de mal, mais elle devait en avoir le cur net.
-Est-ce que je pourrais être … maman ? Enfin, je veux dire : est-ce que je peux féconder quelqu’un ?
Simon la regarda en plissant les yeux, suspicieux. Il observa un silence gênant pendant un moment puis il répondit lentement, en pesant chacun de ses mots :
-Chaque fois que tu feras l’amour avec une femme, si cette dernière n’est pas déjà enceinte, elle aura 100% de chance d’être fécondée.
Morgane accusa le choc.
-Comment est-ce possible ?
-L’étonnante longévité de tes spermatozoïdes n’est pas la seule chose que j’ai découverte. Ils sont aussi incroyablement résistants à tout ce qui est pilule ou contraceptif de par leur habitude à régner dans un milieu fort en hormone féminine. Même les pilules du lendemain, qui sont une véritable bombe de ces mêmes hormones, ne réussiraient pas à créer une réaction suffisamment puissante pour détruire tes spermatozoïdes.
La jeune femme s’assit, hébétée par ce qu’elle venait d’apprendre. Des larmes perlèrent aux coins de ses yeux. Simon ne sut pas quoi faire. Il finit par demander :
-Pourquoi est-ce que tu pleures ? J’ai dit quelque chose de mal ?
-C’est juste que tout est arrivé trop vite, dit-elle en essuyant ses larmes du bout des doigts. Je me réveille tout à l’heure avec une bite et j’ai à peine le temps de digérer l’information que j’apprends que je ne pourrai pas m’en servir sous peine d’avoir une flopée de chiards sous les bras.
Morgane sourit à travers ses larmes qui coulaient silencieusement.
-Qu’est-ce qui tu fais sourire ?
-Toi qui disais que je n’aurai pas de sperme … Je suis la seule femme capable d’avoir du sperme et pour courronner le tout, c’est le plus fertile de toute la terre. Et tout ça, c’est grâce à toi.
Morgane s’encourut jusqu’à sa chambre et s’y enferma. Simon n’avait aucune idée de la position à adopter. C’était un chercheur, il n’avait jamais eu à régler d’autres problèmes que des équations stchiométriques et des calculs de math. Finalement, il sortit et prit sa voiture pour rentrer chez lui pensant que tout ce dont la jeune femme avait besoin était un peu de repos et de solitude.
*****
Le lendemain, Morgane se réveilla difficilement. Comme c’était lundi, elle appela son boulot pour dire qu’elle n’allait pas venir aujourd’hui, prétextant un mal de tête carabiné, puis se recoucha.
Son second réveil fût légèrement différent … Elle ouvrit les yeux en sentant que quelque chose était différent. Elle se releva, ne comprenant pas d’où provenait cette étrange impression. Elle parcourut la pièce du regard et sarrêta sur … la grosse bosse que formait la couverture. Morgane avait une érection du matin !
-Aah alors c’est ça qu’ils ressentent presque tous les matins! Fit-elle en rigolant.
Elle avait dormi toute nue et rejeta la couette au loin pour pouvoir s’admirer. Son sexe viril était vraiment grand. Elle le saisit à pleine main et joua avec la peau qui coulissait agréablement sur sa hampe. De son autre main, elle vint doucement caresser les abords de son vagin où perlaient déjà quelques gouttes de cyprine. Elle se vit alors dans le miroir en face d’elle et se trouva terriblement excitante. Les jambes écartées surmontées de son magnifique sexe qu’elle branlait tendrement. Son autre main jouait malicieusement avec sa féminité, faisant s’ériger d’excitation ses deux mamelons. Morgane aperçut alors entre ses fesses son anus et eût une soudaine envie de le combler avec quelque chose… Elle abandonna la chaude humidité de sa chatte pour venir titiller la moiteur de son petit trou sombre. Elle y enfonça son doigt jusqu’à la première phalange.
-Mmmh oui … waouh je ne m’attendais pas à autant de sensations.
Elle poussa un peu plus et son doigt disparut bientôt entre ses fesses. Elle gémit bruyamment et fit quelques allers-retours qui eurent tôt fait de la mettre dans tous ses états. La jeune femme changea de position, souhaitant avoir une meilleure vue sur sa croupe. Elle se mit à quatre pattes, le cul dressé vers le miroir et recommença à se doigter l’anus. Son trou s’enduit soudainement d’un liquide qui facilita grandement ses mouvements. Elle aimait tellement ça qu’elle poussa l’audace de rajouter un doigt dans ses tréfonds, étirant délicieusement ses bords. C’était fantastique.
-Mmmh j’adore ça ! Qu’est-ce que c’est bon ce doigt dans mon cul !
Son autre main s’échinait machinalement sur sa queue pointée vers le lit, mais elle finit par la lâcher pour jouer avec son vagin. Ses deux trous étaient occupés et elle avait plongé sa tête dans son coussin pour étouffer ses râles. Ne sachant pas quoi faire pour avoir plus de plaisir, elle se mit à faire de mouvements de bassin pour frotter sa queue contre le lit. C’était moins agréable que le sexe de la jeune fille de la veille mais elle appréciait quand même les ondes de plaisir qui parcouraient son corps. Elle sentait des gouttes de cyprines dévaler le long de ses jambes et venir se perdre dans le creux de ses genoux.
La jeune femme changea à nouveau de position : elle se leva, mit une jambe sur son lit et, toujours face au miroir, doigta sauvagement son anus. Ses fesses étaient maintenant trempées du lubrifiant qui s’écoulait de son trou. En regardant dans le miroir cette femme avec une formidable érection et ses doigts qui disparaissait dans son cul, elle se trouva extrêmement dépravée et elle adorait ça. Toute sa vie durant, elle n’avait connu pareil moment d’extase que ces deux derniers jours. Elle était devenue mi-femme, mi-homme, elle avait eu ses premiers orgasmes et elle s’était « dépucelé » avec une jeune fille. Elle qui en était dégoûtée au début, ne pourrait à présent plus jamais se passer de son nouveau sexe.
Morgane se recoucha sur le dos, se sentant au bord de la jouissance. Elle souhaitait grandement goûter à nouveau son sperme … elle positionna donc le canon de son sexe vers sa tête et se branla frénétiquement en poussant d’incontrôlables gémissements. Soudain, n’y tenant plus, elle se cambra et éjacula un long jet qui vint se perdre loin derrière la tête de Morgane. Elle tenta de reprendre les commandes de son cerveau en plein orgasme et visa mieux pour les autres giclées de foutre qui vinrent s’écraser contre son visage. Elle en avala une quantité énorme tandis que son sexe continuait de l’asperger tel un véritable geyser. Tout le haut de son corps était maintenant blanc et visqueux de foutre et Morgane laissa tomber son corps toujours cambré. Elle était essoufflée mais heureuse.
Elle ressentit tout à coup une grande soif, mais elle ne voulait pas de l’eau … Elle baissa les yeux sur ses seins devenus tout blancs et se mit à racler la douce crème qui tapissait ses seins pour l’avaler avidement. Elle prit bien soin de bien récupéré tout le foutre qui la recouvrait pour venir le placer entre ses lèvres et l’aspirer goulûment. Elle était aux anges.
Mais elle voulait plus. Elle voulait encore jouir. Elle glissa sa main dans la raie de son cul tout humide et recommença à se doigter.
Tout à coup, la sonnette retentit alors qu’elle pourléchait avidement ses doigts et que son autre main était perdue dans les profondeurs de son postérieur en feu. Elle jura.
-Qui est-ce qui peut bien venir me déranger à une telle heure ?
Elle se leva et marcha jusqu’à la fenêtre au-dessus de la porte d’entrée. Elle tira les rideaux d’une main, l’autre n’ayant aucune envie de quitter sa chaude grotte, et regarda de biais qui osait la déranger pendant un tel moment. Simon. Elle aurait dû s’en douter. Il attendait patiemment qu’elle vienne lui ouvrir. Elle l’observa durant un moment en haletant tant ses doigts dans son cul lui faisait du bien. Mais elle voulait toujours plus …
-Mais… je suis bête ou quoi ?
Morgane dévala littéralement les escaliers, sa queue battant sur ses jambes, et se jeta sur la porte. Elle l’ouvrit en grand, agrippa un Simon des plus surpris et le tira à l’intérieur. Le pauvre n’eut que le temps de commencer les salutations que déjà Morgane plaquait violemment ses lèvres sur les siennes. Elle ôta prestement son pantalon et son caleçon. Simon ne comprenait vraiment rien à ce qui lui arrivait. La jeune femme venait de lâcher la bouche de Simon pour saisir son sexe et l’enfourner fissa sous les dents de la femme affamée.
-Qu’est-ce que … Morgane …
Il ne fut pas long à bander comme un cheval. Morgane se releva et le regarda droit dans les yeux.
-Je veux que tu m’encules ! Maintenant, fit-elle en se retournant et en se collant à la porte. Vite ! S’il te plaît je ne peux plus attendre …
Simon regarda cette femme contre le mur, la croupe légèrement surélevée et les fesses luisantes de ce qu’il croyait être de la cyprine. Il ne réfléchit pas longtemps. Il s’avança, écarta les fesses incroyablement sexy de Morgane et embrocha de sa bite son trou dilaté. Elle hurla de plaisir …