Chapitre 40 : Un apprentissage laborieux
Cindy se réveilla en pleine nuit. Elle balaya la pièce du regard se demandant où elle pouvait bien se trouvée avant de se souvenir qu’elle était au couvent. Elle s’assit sur son lit et se frotta les yeux en se demandant ce qui avait bien pu la tirer de son sommeil. Une envie pressante la fit se lever et elle se dirigea vers les toilettes.
En chemin, un bruit étrange attira son attention. Elle tourna la tête sur le côté pour tenter de trouver la provenance du son et comprit qu’il venait de l’une des chambres. Elle colla son oreille contre la porte de celle-ci. Des gémissements, voilà ce qu’elle perçut. Elle comprit également que ce devait être cela qui l’avait éveillée.
Étrange d’entendre cela dans un couvent, songea la jeune fille avec perplexité.
Elle alla aux toilettes et lorsqu’elle repassa devant la chambre, les gémissements s’étaient tus. Elle retourna donc dans sa chambre sans plus se préoccuper de cet étrange phénomène.
Pour son premier jour au couvent, Mère Sabrina s’était proposée pour lui faire visiter le couvent. Cindy avait accepté avec joie, se disant que ce serait l’occasion idéale pour elle d’en savoir un peu plus sur sa guérison future.
-Voici la cantine, montra la religieuse, nous nous y réunissons matin, midi et soir pour manger toutes ensemble. Un peu plus loin se trouve l’autel où nous prions le Seigneur.
-Et quelle est ce couloir, là-bas ? S’enquit la jeune fille.
-C’est l’aile ouest, elle est réservée aux surs qui ont fait vux de silence. Je t’interdis formellement de passer cette porte.
Le visage de la religieuse perdit subitement son air bienveillant et se durcit sévèrement. Cindy acquiesça prestement.
-Je vous le promet.
-Bien, sourit Sabrina en récupérant sa mine joyeuse.
La visite guidée se poursuivit jusqu’au repas de midi. Cindy se retrouva à la cantine avec toutes les autres surs et constata qu’il n’y en avait pas tant que ça
-Tu dois être la nouvelle, lui sourit une sur en s’asseyant près d’elle. Cindy, c’est ça ?
-Oui, mais je ne sais pas encore si je vais rester longtemps
-Ne t’en fais pas pour ça, Mère Sabrina sait retrouver ses brebis égarées.
Cindy ne fut pas sûre de saisir le sens de cette dernière phrase mais se dit que ça n’avait pas d’importance en fin de compte.
-Excuse-moi, je ne me suis pas présentée. Je suis sur Elise, je pense que nous somme voisines de chambre.
Cindy revit en un flash la chambre de laquelle s’échappaient des gémissements durant la nuit. Elle considéra sur Elise d’un autre il
Cette dernière était, comme toutes les autres religieuses, habillée d’une robe noir bouffante et d’une coiffe de la même couleur. Le col d’une chemise blanche dépassait et masquait un cou gracieux. Elle avait une peau très blanche, de grands yeux bleu surmontés de longs cils. Quelques rares mèches de fins cheveux blonds s’échappaient de sous sa coiffe.
-Ravi de faire votre connaissance.
La sur partit d’un rire cristallin.
-Oh non, pas de ça entre nous, je préfère nettement qu’on se tutoie.
Elles bavardèrent un moment puis ce fut le temps de la prière. Après cela, la jeune fille remonta dans sa chambre et elle eut la surprise de découvrir sur son lit une lettre avec un mot griffonné à la hâte : « Tu es en danger ».
Quelqu’un frappa à la porte. Cindy sursauta et eut juste le temps de fourrer le bout de papier dans sa poche avant que Mère Sabrina n’entre.
-Alors, comme s’est déroulée ta première journée au couvent ? Bien j’espère.
-Oui oui, les surs m’ont très bien accueilli. Merci encore pour tout ce que vous faites pour moi.
-Je t’en prie, c’est naturel. Viens, allons dans mon bureau.
La jeune fille suivit la Mère sans rechigner. Elle attendait avec impatience le moment où elle allait être soignée et elle ferait tout pour que cela arrive le plus tôt possible.
La pièce dans laquelle la fit entrer Mère Sabrina était sobrement meublée. Un vaste bureau au centre, deux chaises de part et d’autre et à titre décoratif, des tableaux représentant la Sainte Vierge accrochés un peu partout.
-Déshabille-toi et installe-toi sur le bureau.
Cindy s’arrêta net et contempla la religieuse avec surprise.
-Je pardon ?
-Eh bien ? Tu veux que je te soigne, oui ou non ? S’impatienta Sabrina en retirant sa coiffe.
Sa chevelure rousse étincela à la lumière de la pièce. Cindy fut percutée par la beauté de Mère Sabrina. Elle bredouilla :
-Oui mais fin je
-Allez, sur le bureau !
Cindy se dévêtit entièrement. Elle n’était pas du tout gênée par sa nudité mais l’ordre de la Mère l’avait tellement étonnée qu’elle n’avait pas su comment réagir. La seule chose dont elle avait un peu honte était le mini-sexe masculin qui surplombait son pubis mais comme elle avait déjà tout raconté à Mère Sabrina, ça ne lui dérangeait pas de le lui montrer. Elle s’assit sur le bureau et attendit la suite des événements.
-Bien. Couche-toi et remonte les pieds sur le bureau. Oui comme ça. Parfait, maintenant, laisse-toi faire.
Mère Sabrina S’installa sur la chaise qui se trouvait juste en face de la vulve de la jeune fille. Elle posa sa main sur le ventre de Cindy et attendit. Cette dernière ressentit une profonde chaleur l’envahir. La paume de la religieuse était d’une grande douceur et l’apaisait aussi sûrement qu’une berceuse.
Cindy se détendit complètement et la Mère retira sa main.
-C’est très bien, ma fille. Je vois que tu ne ressens aucun désir, c’est exact ?
-Oui, Mère Sabrina.
-Et je vois également que quelqu’un est déjà entré dans ton anus.
-Oui, Mère Sabrina.
Cindy était étonnée que la religieuse sache cela. Elle lui avait tout dit, mais pas à ce point détaillé
Mère Sabrina introduisit un doigt dans le vagin de la jeune fille et l’y laissa quelques minutes. D’abord gênée par cette incursion, Cindy finit par se détendre et à nouveau, une bienfaisante chaleur l’inondant.
-Voilà, détends-toi complètement, dit Mère Sabrina d’une voix chantante. Es-tu croyante, Cindy ?
-Non, Mère Sabrina.
La jeune fille fut elle-même surprise par sa réponse. Les mots étaient sortis de sa bouche sans qu’elle ne puisse rien y faire. Elle espéra que la religieuse ne lui en veuille pas de son honnêteté.
-Je vais te confier un secret, sourit Mère Sabrina. Moi non plus.
-Co comment ça ? S’étonna la jeune fille. Vous êtes la Mère de ce couvent et vous ne croyez pas en Dieu ?
-Précisément !
C’était à n’y rien comprendre. Comment pouvait-on être une religieuse faisant partie d’un couvent sans croire en le Père tout puissant.
-Sais-tu pourquoi ? Demanda la Mère supérieure avec un sourire enjôleur.
-Non, pourquoi ?
Le doigt dans l’intimité de Cindy était comme en train de l’anesthésier. Il l’apaisait grandement et rendait la discussion presqu’irréelle.
-Parce qu’il y a peu, j’ai eu une visite. Une femme à la beauté transcendante. Elle m’est apparue lors d’une prière. Elle m’a choisi.
-Elle vous a choisi ? Mais Pourquoi ?
-Pour sauver ses brebis égarées.
Encore cette phrase, songea Cindy, perplexe.
-Je ne comprends pas, avoua-t-elle.
-Ce n’est pas Dieu que les humains prient depuis tant de générations, c’est Déesse ! Dieu est une femme ! Je l’ai compris quand elle est venue me rendre visite. Les hommes ont réduit ce monde en cendre. Ils le détruisent petit-à-petit et nous, les femmes, ne sommes que les spectatrices de ce désastre. Déesse est venue me trouver pour que je prenne les rênes de ce monde à la dérive. Elle souhaite que je récupère toutes les brebis égarées. Elle m’a choisie !
Les mots entraient en Cindy avec vigueur et prenaient un aspect quasi divin. Elle comprenait tout ce que Mère Sabrina lui disait et l’approuvait vivement.
Pendant une bonne heure, la religieuse lui conta son amour Pour Déesse et Cindy l’écouta cérémonieusement. Elle buvait les paroles de Mère Sabrina comme du petit lait, le doigt de celle-ci toujours planter dans son intimité.
Finalement, Mère retira son doigt et se leva.
-Tu peux te rhabiller, lui sourit-elle. Ta guérison va prendre un moment, mais tu es en bonne voie. Tu viendras tous les soirs dans mon bureau pour que je te soigne.
Cindy approuva, l’esprit accaparé par les histoires de Déesse. Elle retourna dans sa chambre. Elle faillit se coucher sur un autre bout de papier qui traînait sur son lit : « Retrouve-moi dans l’aile ouest une heure après minuit, ce soir. »
Cindy rangea le papier dans sa poche en haussant les épaules. Comment pouvait-elle être en danger dans un couvent. Malgré tout, elle était intriguée par ce message et comptait bien aller à ce rendez-vous des plus mystérieux.
Elle se coucha et songea à tout ce que venait de lui révéler Mère Sabrina. Et si c’était vrai, ce qu’elle disait. Et s’il y avait vraiment quelqu’un là-haut qui veillait sur elles toutes. Et si Déesse existait pour de vrai
***
-Mon Dieu, Erika ! Qu’est-ce qui t’arrive ?
-Aaah C’est trop c’est trop Ooh putaiiiiin !!
La jeune fille se roulait au sol en se faisant littéralement inondée par son propre sperme. Un mélange de semence masculine et de cyprine baignait Erika qui n’en avait cure.
-Comment j’arrête Aaah ! Mmmh ! Comment j’arrête çaaaa ?
Simon fouilla vivement dans tous ses tiroirs et en sortit une seringue contenant un liquide transparent. Il courut auprès de la jeune fille qui paraissait subir mille tortures et faillit glisser sur le sol couvert de sécrétions.
-Arrête de bouger, lui enjoignit-il tandis qu’il tentait d’inoculer la substance dans le bras d’Erika.
Comme elle continuait de gigoter dans tous les sens, il perdit patience et planta la fine aiguille dans la fesse de la jeune fille et déversa le liquide.
Erika se contorsionna par terre quelques secondes encore avant d’enfin se calmer. Son sexe crachota quelques postillons de sperme à l’instar d’un vieux robinet rouillé avant de se mettre doucement à débander.
La jeune fille était étendue par terre, la respiration haletante et le cur battant à tout rompre. Il cognait si fort dans sa poitrine que ça en était douloureux.
-Est-ce que ça va ? s’enquit le scientifique.
Il était agenouillé sur le sol gluant et contemplait la jeune fille avec inquiétude. Celle-ci ouvrit des yeux vitreux et lança des regards perdus autour d’elle. Elle se frotta les joues pour en ôter les larmes de sperme et se releva sur ses coudes. La semence qui la recouvrait se mit à couler le long de son corps avant d’aller rejoindre le carrelage du laboratoire de Simon.
-Comment tu te sens ? Fit ce dernier en prenant le visage maculé de sperme de la jeune fille dans sa main.
-Je bien, je crois. Je ne savais pas je ne savais pas comment m’arrêter, trembla-t-elle. C’était trop trop
Erika était au bord des larmes et le chercheur la serra contre lui dans une étreinte paternelle. Sa blouse s’imbiba de semence mais il s’en moquait comme de sa première capote usagée.
Mon caleçon est déjà plein de foutre de toute façon, songea-t-il.
-Je n’aurais pas dû te demander de faire ça, c’était une erreur.
La jeune fille se laissa bercer par les bras de Simon.
-Je suis heureuse que tu ais été là, avoua-t-elle. Je ne sais pas comment j’aurais fait pour m’arrêter sans toi.
Pour la première fois de sa vie, la jeune fille se dit qu’elle venait de frôler la mort. Elle savait au fond d’elle que ce n’était pas une peur passagère mais bien une vérité : elle aurait pu en mourir.
-Au moins, on sait qu’il ne faut pas que tu recommences cela.
-Oui, approuva Erika. Regardons ce que ça donne en vidéo. J’irai prendre une douche après.
-Tu as raison. Allons voir ça.
Le scientifique s’installa derrière son ordinateur, enclencha le filtre à hormone et lança la vidéo.
Comme précédemment, Erika était peu visible et à sa place se tenaient un million de petits points mauves. Petit-à-petit, ceux-ci convergèrent vers le sexe de la jeune fille qui se dressa assez rapidement. Subitement, elle s’effondra et la caméra la suivit dans sa chute. Son sexe éjacula une première salve de semence saturée en hormones. Mais alors qu’elle jouissait, un autre curieux phénomène se produisit. Il y eut comme une explosion au niveau du bas-ventre d’Erika et les points mauves semblèrent se multiplier. Les hormones qui venaient d’apparaître su ruèrent vers le cerveau de la jeune fille, doublèrent une nouvelle fois de volume avant de descendre à une vitesse fulgurante dans son pubis. Nouvel orgasme. Nouvelle explosion d’hormones. Le même phénomène se produisit à nouveau : les hormones montèrent au cerveau, se dédoublèrent puis redescendirent dans le sexe.
Ce schéma se reproduisit plusieurs fois, si bien que Simon put compter le nombre d’orgasmes qu’avaient eu Erika.
-Seize, souffla-t-il en se tournant vers l’intéressée. Seize orgasme Erika ! Je n’ai qu’est-ce que tu fais ?
Simon s’arrêta de parler lorsqu’il constata que la jeune fille ne l’écoutait plus du tout et ne prêtait même pas attention à la vidéo. Elle se doigtait furieusement.
-J’ai soif, gémit-elle, ses doigts coulissant en elle à une vitesse ahurissante. Prends-moi !
-Heu je bafouilla le chercheur.
Erika ne perdit pas de temps et retira le pantalon de Simon. Il bandait et son sexe était couvert de son foutre. La jeune fille posa ses mains sur le bureau et s’empala sans plus attendre sur la tige du scientifique.
-Aah oui ! Baise-moi ! Ordonna-t-elle.
Simon se leva et se mit à la pilonner avec toute la force qu’il avait. L’intérieur de la jeune fille était bouillonnant.
-Mmmh oui ! J’ai soif !
Erika tourna la tête dans tous les sens et son regard finit par tomber sur la flaque de son propre jus.
-Erika, tu es sûre que ça va ? Ahana Simon.
-Oui, répliqua aussitôt la jeune fille. Viens, suis-moi ! Continue de me baiser !
Sans cesser de se faire labourer, Erika s’avança jusqu’à la marre de sperme et se vautra dedans en poussant un soupir de soulagement. Immédiatement, elle se mit à laper son propre jus, la croupe levée le plus haut possible pour continuer à se faire pilonner.
-Mmmh, c’est bon ! Gémit-elle.
Telle mère, telle fille, songea le scientifique en s’agrippant aux voluptueuses fesses de la jeune étudiante.
Sa queue entrait en elle avec régularité tandis que son ventre claquait sur son petit cul. Erika faisait un bond en avant à chaque coup de boutoir, l’envoyant toujours un peu plus loin contre le carrelage poisseux. Sa joue raclait le sol et elle tirait la langue pour aspirer le plus de semence possible. Ses longs cheveux noirs baignaient à présent dans les sécrétions qui les maculaient de taches blanches.
-Je crois que j’ai compris ce qui s’est passé, haleta Simon.
-Ah bon ? Demanda-t-elle en aspirant le jus avec régale. Aah putain oui ! Vas-y, je t’écoute.
Elle déglutit bruyamment puis se remit à lécher le sol.
-Je pense que tu as créé une sorte de cercle vicieux Roh ton cul putain ! Quand tu as joui tu as généré d’autres hormones qui ont directement été dans ton cerveau. Ta chatte est vraiment chaude Erika ! Mais comme tu avais déjà donné l’ordre à ton cerveau de te faire jouir ces hormones ont immédiatement convergé vers ton sexe. Mmh ! Tu comprends ? Mmh !
La jeune fille hocha la tête sans pour autant cesser d’aspirer goulûment le sperme étalé par terre.
-Mais, poursuivit Simon en s’enfonçant dans la jeune fille, le passage des hormones dans ton cerveau a généré l’apparition d’autres hormones qui se sont elles aussi ruées vers ta queue ce qui a enclenché un nouvel orgasme. Et ça s’est reproduit seize fois ! Et à chaque fois, ton corps a emmagasiné de plus en plus d’hormones.
-Mais alors, déglutit Erika, le visage couvert de foutre, pourquoi j’ai encore Mmh besoin de sexe maintenant ?
-Eh bien ton corps est saturé d’hormones étant donné que tu n’es pas parvenue à les évacuer de façon naturelle. À chaque orgasme tu perdais certes une certaine quantité oh mon Dieu ! d’hormones mais tu en créais par la suite dix fois plus !
-Prends-moi plus fort, dans ce cas !
-Oui, oui, pardon.
-Ooh oui ! Je vais jouir ! Simon, accélère, je viens ! Aah !
Le chercheur se mit à la perforer violemment. Erika cria et jouit pour la dix-septième fois consécutive. Le chercheur fut balayé à son tour par un orgasme et il s’effondra sur le corps gluant de la jeune fille.
-C’est dingue tout le sperme qu’il y a dans mon labo, déplora Simon lorsqu’il eut récupéré son souffle.
Les deux amants étaient vautrés dans une marre de sperme en position cuillère et tentaient de récupérer leur souffle.
-Ça va, ma queue est aussi bien que celle de Morgane ? S’enquit le scientifique avec humour.
-Ne t’en fais pas ! Rigola la jeune fille exténuée par toutes ces jouissances. Je l’aime beaucoup ta bite. Laisse-la en moi pour l’instant. C’est agréable.
-D’accord, sourit Simon en se serrant contre Erika. Tiens, quand on parle du loup.
Morgane se trouvait dans l’embrasure de la porte, les bras croisés, l’air pas commode et considérait le couple avec sévérité. Elle était nue, son imposant sexe se balançant mollement entre ses cuisses au bout duquel pointait une petite larme de sperme.
-On en voit la queue termina la jeune fille qui se demandait pourquoi sa maman les regardait ainsi. Quelque chose ne va pas ? Demanda-t-elle innocemment.
-Tu veux que je te dise ce qui ne va pas ? Fit Morgane avec humeur. Je vais te le dire. Ça fait deux jours qu’on essaie de punir ta sur, Claire, parce qu’elle a dépucelé Cindy sans notre autorisation. Hier, tu l’as fait jouir sans le faire exprès, nous ne pouvons pas t’en vouloir pour ça. Mais tu aurais au moins pu attendre demain pour lâcher une fois encore ton pouvoir
-Mais je quoi ? S’étonna Erika en se relevant. Je n’ai rien fait !
-Ah oui ? Et tu peux m’expliquer pourquoi tout le monde s’est mis à jouir en même temps dans la maison, y compris Cindy ?
-Mais je répéta stupidement Erika qui ne savait manifestement pas quoi dire.
-Il doit y avoir une raison à tout cela, fit Simon en se relevant à son tour. La caméra tournait toujours, allons voir ce qu’elle a filmé.
Il s’installa derrière son ordinateur et lança la vidéo. L’on y distinguait Erika remplie de points mauves de la tête au pied qui se faisait prendre au sol par Simon. Ce dernier, piqueté de quelques traces mauves par-ci, par-là, était presqu’invisible en comparaison à la jeune fille qui semblait irradier d’hormones.
Soudain, le corps d’Erika parut exploser sous les coups de boutoir du scientifique et toutes les hormones furent projeter aux quatre vents.
-C’est donc ça, approuva Simon.
-Quoi ? Je ne comprends rien, avoua Morgane.
-Le dernier orgasme qu’a eu Erika a évacué toutes les hormones que contenait son corps. Elle a utilisé son pouvoir mais sans le faire exprès, vois-tu ? Et avec la séance qu’on vient d’avoir, j’aime autant te dire qu’elle était bien chargée ! Les hormones se sont alors fixées sur ce qu’elles trouvaient : toi, moi, Eugénie et même Cindy. Mais Erika n’était pas du tout consciente de ce qu’elle faisait.
-Bon, d’accord, fit Morgane en se tournant vers sa fille. Mais il faudrait vraiment que tu apprennes à gérer ton pouvoir, toi !
Erika sourit et se tourna vers Simon.
-On va s’en charger, ne t’en fais pas