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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 44

[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine - Chapitre 44



Chapitre 44 : Un combat serré !

  

 Les deux surs se faisaient face. Elles se trouvaient toutes les deux dans la chambre de Claire qui avait l’avantage d’être l’une des pièces la moins meublée de la maison. Autre point positif, un large tapis était disposé au sol, parfait pour ce que les filles s’apprêtaient à faire.

 Elles étaient nues. Leurs tétons pointaient d’excitation et leurs sexes masculins étaient dressés et durs comme le marbre. Toutes deux avaient ramené leurs cheveux en une longue tresse serrée de peur d’être gênée pendant le combat.

 -Tu es prête, petite sur ? S’enquit Erika en arborant une moue narquoise. Cette fois-ci, ne compte pas sur le fait qu’on risque d’être dérangées Toutes nos mamans sont parties et Simon travail dans son labo. Nous sommes seules.

 -Aurais-tu peur, Erika ? Tu ne souhaites pas porter mon enfant ? D’ailleurs, avec quelle queue voudras-tu te faire engrosser ?

 Claire sourit avec arrogance en prenant une verge dans chaque main.

 -Elles ont la même taille mais leur sperme est sans doute différent, poursuivit la jeune brune. Peut-être que la première fait une fille et l’autre un garçon, qui sait ? Tu préfères une fille ou un garçon ?

 -Te fatigue pas, lui conseilla Erika, vu la trainée de mouille qui coule entre tes cuisses et l’érection que tu te tapes, j’en déduis que tu es en manque. Et une fille en manque, ça jouit très, très vite Je n’ai aucun doute sur l’issue du combat et de laquelle de nous deux portera l’enfant.

 -C’est ce qu’on va voir, lança Claire en se ramassant sur elle-même.

 Erika en fit autant. L’espace de quelques secondes, le temps parut s’arrêter. Les deux superbes filles nues s’observaient en chien de faïence, leur corps tendu dans l’expectative du combat à venir.

 Comme précédemment, c’est Claire qui s’élança la première. Elle fonça sur sa sur et tenta de la renverser sur le côté. Erika résista et plaqua sa main sur le cou de Claire pour la forcer à s’abaisser.

 -Oh non ! Pas cette fois ! S’exclama la jeune brune.

 Au lieu de tenter de résister, elle saisit la jambe de sa sur et tira violemment dessus. Erika fut déséquilibrée et se retrouva au sol. Claire ne perdit pas une seconde et fondit sur le sexe dressé de sa sur. Aussitôt, elle l’enfourna le plus profondément possible.

 -Mmh, non ! Gémit Erika.

 Elle se débattit mais chaque mouvement qu’elle produisait ne faisait que secouer son sexe dans la bouche de Claire. Elle changea alors de tactique et passa à l’attaque. De sa main droite, elle réussit à atteindre le minou de sa jeune sur qu’elle se mit à doigter avidement.

 Sans cesser de sucer goulûment sa sur, Claire se décala sur le côté ce qui mit suffisamment de distance entre elles deux pour qu’Erika ne puisse plus atteindre son entre-jambe. 

 -Raah non ! Râla celle-ci.

 Elle prit la tête de Claire et tenta de la dégager mais cette dernière tint bon. La pipe qu’elle se faisait faire par sa petite sur était beaucoup trop bonne et elle n’allait pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme-là

 Pendant qu’Erika réfléchissait à une solution pour se tirer de cette mauvaise passe, Claire lâcha une de ses mains qu’elle utilisait pour maintenir sa sur au sol et lui enfourna deux doigts dans la chatte.

 -Mmh aah ! Arrête ! Aaah non !

 Sans aucune pitié, Claire accéléra ses mouvements. Elle pompait sa sur comme une possédée tandis que ses doigts lui labouraient le minou.

 Soudain, Erika parvint à se retourner. Elle se retrouva tout-à-coup au-dessus de sa jeune sur et réussit sans mal à s’extraire de sa bouche.

 -À mon tour, maintenant ! Haleta-t-elle.

 -Comment tu commença Claire, cherchant elle aussi son souffle.

 Mais avant qu’elle ait eu le temps de formuler sa question, Erika se retourna et s’assit sur son visage.

 -Tais-toi et lèche plutôt mon cul ! Ordonna-t-elle.

 Elle avait même réussi à coincer les mains de Claire sous ses genoux. Sa sur n’avait plus que sa bouche pour se défendre. Enfin elle reprenait l’avantage ! C’était vraiment  

 Erika cessa de jubiler lorsqu’elle sentit la langue de claire se frayer un passage entre ses fesses et perforer son anus.

 -Oh ! Qu’est-ce que tu Mmmh, non attends !

 Comment Claire parvenait-elle à lui faire ressentir autant de sensations juste en lui léchant l’anus ? Elle tenta de se dégager mais sa jeune sur était solidement ancrée à son cul et ne le lâcha pas une seconde. Elle sentait sa longue langue pénétrer son délicat anus et fouiller tous les recoins les plus obscures de son anatomie.

 -Mmh non ! Arrête ! Supplia Erika.

 Elle ne voulait pas perdre ! Non, ce serait Claire qui porterait son enfant ! Erika décida de riposter. Elle plongea en avant telle une harpie et avala voracement l’une des queues qui se trouvaient devant elle.

 Claire sursauta et, l’espace d’une seconde, relâcha la pression qu’elle exerçait sur le petit trou de sa sur.

 -Mmf ! Ouah c’est bon !

 Elle replongea derechef entre les fesses d’Erika mais, cette fois-ci, elle changea de tactique. Au lieu de concentrer toute son attention sur le petit anus tout suintant qui se trouvait à sa portée, elle décida de donner de grands coups de langue partant du clitoris et se terminant dans le haut de la raie. L’effet fut immédiat.

 -Aaah ouiii ! Non, arrête ! Oooh la salope ! Gémit Erika.

 Cette dernière sentait avec terreur son plaisir grimper à une vitesse folle. Elle se faisait lécher la vulve comme s’il s’agissait d’une vulgaire glace. Claire était une véritable furie et lui léchait la vulve avec vigueur et appétit. Alors qu’elle était sur le point d’exploser, elle se leva subitement et prit ses distances, le cur battant la chamade.

 Claire se releva à son tour et verrouilla son regard sur celui de sa grande sur.

 -Tu commence à avoir peur, fit-elle en souriant cruellement.

 Erika ne répliqua pas, préférant garder sa concentration pour le combat à venir. Tant qu’elle ne jouissait pas, rien ne serait terminé ! Elle n’abandonnerait jamais !

 Claire chargea. Erika s’y attendait et se décala au dernier instant tout en saisissant le bras de sa sur. Emportée par son élan, Claire perdit l’équilibre et se retrouva plaquée au sol, une Erika déterminée assise sur elle.

 -On fait moins la maligne, maintenant, susurra celle-ci.

 Claire se débattit mais Erika était trop forte et elle ne parvint pas à se dégager de son emprise. L’aînée rit de ses efforts.

 -À mon tour, maintenant !

 Elle déplaça son bassin, faisant ainsi courir son sexe tout le long du corps transpirant de Claire. Finalement, la verge tendue s’installa chaudement entre les cuisses de la jeune fille prisonnière.

 -Nous allons voir qui est celle qui tiendra le plus longtemps Lança Erika.

 -Non, ne fait pas

 L’aînée planta son pieu dans le minou de Claire.

 -Aaaaah ! Cria cette dernière en se débattant. Mmmh ! Tu me le paieras !

 Erika partit d’un rire cruel et commença à baiser sauvagement sa jeune sur. Elle posa fermement ses mains sur les fesses de Claire et introduisit ses deux pouces dans son anus.

 -Tu aimes ça, pas vrai ?

 -Aah mmh ! Oh ouais, putain ! Arrête ! Ooh

 L’aînée s’enfonçait dans sa jeune sur tandis qu’elle lui doigtait l’anus. Claire n’allait pas tarder à craquer. D’autant plus qu’elle-même sentait le plaisir monter extrêmement vite.

 -Mmm, c’est trop bon ! Oouuuh ! Geignit Claire.

 La hampe de sa sur lui labourait la chatte et sa rondelle se faisait malicieusement distendre. Dieu que c’était bon ! Tout son entrejambe était en feu. Elle sentait l’imposante hampe d’Erika écarter ses chaires et s’enfoncer le plus profondément possible, lui arrachant à chaque fois des couinements de plaisirs.

 -Aah arrête ! Noon ! Mmmh je vais jouir !

 Erika s’esclaffa et ouvrit les bras en signe de victoire. C’est l’instant que choisit Claire pour ruer comme un taureau fou. Le rire d’Erika s’étrangla dans sa gorge tandis qu’elle tombait à la renverse. Claire fit volte-face et fondit sur la queue de sa sur. Cette dernière tenta de l’en empêcher mais sans succès et Claire enfourna toute entière la verge gonflée d’Erika.

 -Non, Claire ! Aaah, mon Dieu ! Cria l’aînée.

 La petite sur pompa comme si sa vie en dépendait et mit également deux doigts dans le vagin d’Erika. Soudain, elle sentit le pilier de chaire sursauter dans sa gorge et elle l’enfonça le plus loin possible avec jubilation.

 -Nooooon ! Se lamenta Erika en se contorsionnant sous l’effet de son terrible orgasme.

 Sa semence inonda directement l’sophage de Claire qui n’eut même pas à déglutir tant le sexe était planté profondément en elle. Elle avala ainsi une terrifiante quantité de foutre sans rechigner, comme une oie qu’on gaverait grassement.

 Lorsque les salves de spermes cessèrent d’inonder son estomac, elle ôta le python de sa bouche et tourna son regard vers sa grande sur. Celle-ci était allongée sur le dos, les yeux fermés, ses deux mains posées sur son visage en une manifestation évidente de sa défaite. Claire ne put contenir un rire narquois et rampa le long du corps d’Erika. Elle y parsema, toujours avec espièglerie, une myriade de petits baisers taquins. Chaque bisou était comme un refrain qui clamait : « J’ai gagné ! J’ai gagné ! J’ai gagné ! » 

 Claire parvint au niveau de son aînée. Elle retira ses mains de son visage et elles s’observèrent :

 -On va être maman ! S’extasia-t-elle ironiquement.

 -Oh c’est pas vrai ! S’apitoya Erika. Comment j’ai pu perdre ? J’allais gagner. Tu allais jouir !

 -D’ailleurs, en parlant de ça minauda Claire. Je n’ai toujours pas eu mon orgasme Et tu me dois un gosse.

 Et sans préambule, elle planta l’un de ses sexes dans l’intimité de sa grande sur.

 -Oh mmh ! Sursauta Erika qui ne s’attendait pas à une telle incursion en elle. Attends, attends ! Tu es sûre de toi ? Mmh Peut-être que que avoir un enfant à notre âge n’est pas

 -Shhhh Lui enjoignit Claire sans cesser de la regarder.

 -Mais

 Claire saisit sa seconde verge et l’enfonça dans le derrière d’Erika.

 -Oooooh ouiii ! Geignit cette dernière en se mordant la lèvre inférieure.

 Claire sourit et se mit à baiser sa sur, ses deux énormes verges profondément enfouies dans les chaires de la perdante.

  

 ***

  

 Cindy referma le journal de Sabrina. Elle était loin d’avoir fini sa lecture mais elle avait besoin de faire le point. Tout ce qu’elle venait d’apprendre la troublait énormément.

 Sabrina avait donc bel et bien rencontré Déesse et, qui plus est, la nuit de ses dix-huit ans. Celle-ci lui avait donné un sexe masculin en même temps qu’une mission dont, malheureusement, Cindy n’en comprenait pas la teneur. Et ces étranges pouvoirs que possédait la mère supérieure, d’où provenaient-ils, au juste ? Mystérieusement, ceux-ci lui faisaient songer aux nouvelles capacités de ses surs, apparues elles aussi le jour de leur anniversaire.

 Toutes ces questions tournoyaient dans l’esprit de la jeune fille sans trouver de réponse. Du moins, sans trouver de réponse acceptable

 La cloche annonçant le repas du soir sonna. Cindy remit une mèche blonde derrière son oreille et se leva de son lit. Elle rangea le journal intime sous son matelas et sortit de sa chambre. Plusieurs autres surs en firent de même, dont sur Elise qui lui servit un large sourire. 

 -On mange ensemble ?

 -Avec plaisir, accepta Cindy.

 Elle ne put cependant pas s’empêcher de se demander si le vibromasseur était actuellement en elle. Elles mangèrent sans parler car mère Sabrina avait ordonné quatre heures de silence pour prier comme il se doit le Tout Puissant. Cindy observa à la dérobée la mère du couvent qui mangeait un peu plus loin. Ses questions la tourmentaient toujours …

 Après le repas, les surs se dirigèrent vers la chapelle pour prier. Cindy voulut les suivre lorsqu’elle aperçut mère Sabrina qui lui faisait signe de la rejoindre. Elle s’approcha et la mère supérieure mit un doigt sur ses lèvres pour lui faire comprendre qu’elle devait garder le silence tandis qu’elle se dirigeait vers son bureau.

 -Nous pouvons parler tranquillement, ici, la rassura mère Sabrina en refermant la porte de son bureau derrière elle.

 -Vous vouliez me voir ? S’enquit Cindy, légèrement perplexe.

 Depuis qu’elle connaissait l’histoire de la religieuse, elle voyait cette dernière d’un autre il.

 -En effet, sourit mère Sabrina. J’ai rendu visite à ta famille, cet après-midi. 

 -Vraiment ? Comment vont-ils ? Est-ce qu’ils ne s’inquiètent pas trop ?

 -S’inquiéter ? S’étonna Sabrina. Non, certainement pas ! Ta mère, Morgane, m’a affirmé que tu ne fais qu’une crise passagère et que tu reviendras très vite. Elle m’a dit de te dire que si tu es bien ici, tu n’as qu’à rester.

 -Vraiment ? Demanda Cindy, déçue. Et mes surs ? Que disent-elles ?

 -Claire et Erika ? Rien de spécial.

 La jeune fille baissa les yeux. Elle avait espéré un minimum d’attention de la part de sa famille cependant celle-ci n’avait pas l’air intéressée par ses problèmes.

 La mère supérieure sourit intérieurement. Évidemment que la famille de Cindy s’inquiétait pour elle, mais si elle voulait arriver à ses fins, elle devait avant tout libérer Cindy de ses attaches De plus, si elle était allée voir la famille, ce n’était pas pour leur donner des nouvelles de la jeune blonde, loin de là. Si elle était allée à leur rencontre, c’était avant tout pour les voir. Grâce à ses étonnantes facultés, elle avait pu comprendre à qui elle avait affaire Elle avait ainsi appris de nombreuses choses notamment sur les pouvoirs des trois femmes. Elle savait que ces renseignements seront capital à l’avenir et était très fière que son stratagème pour se les procurer ait fonctionner.

 -Quelque chose ne va pas ? S’enquit Sabrina.

 -Non, non, tout va bien. Enfin

 -Oui ?

 -Non rien, se reprit Cindy en souriant avec confiance. Tout ce que je désire, c’est guérir.

 -Très bien ! Approuva la mère supérieure. Ne perdons pas un instant de plus, dans ce cas ! déshabille-toi, je m’occupe du reste.

 Cindy obéit sans rechigner et se coucha sur le bureau. Mère Sabrina vint s’installer devant son entre-jambe qu’elle massa quelque peu.

 -Tu ne ressens toujours rien ? S’enquit-elle par acquis de conscience.

 -Eh bien ce n’est pas désagréable mais je n’ai aucun désir sexuel.

 -D’accord. Relaxe-toi et laisse-toi bercer par ma voix.

 La mère supérieure introduisit deux doigts dans l’intimité de la jeune fille et parla d’une voix douce :

 -Ce n’est pas moi qui vais te soigner, jeune Cindy. Je ne suis qu’une messagère, un instrument divin. Déesse est Celle qui va te guérir. Elle va m’utiliser comme on se sert d’une seringue et va injecter Ses bienfaits en toi. Elle va dispenser de Son incommensurable désir pour réparer les erreurs de ta famille

 Le flot de paroles qui s’écoulait de la bouche de la religieuse envoûtait la jeune fille. Elle sentait un puissant engourdissement la gagner et faire taire ses inquiétudes. Sous les caresses de la mère supérieure, tout paraissait plus doux. Une bienfaisante chaleur naissait au contact des doigts de Sabrina et gagnait l’entièreté de son corps.

 -Tu retrouveras toutes tes capacités et bien plus encore, poursuivit la religieuse de sa voix suave. Mais cela a un prix : ton allégeance. Elle désir que tu fasses partie de ses brebis. Crois-tu en Elle ?

 Cindy répondit sans réfléchir :

 -Oui.

 Sabrina esquissa un léger sourire. 

 -Lui jure-tu allégeance pour le restant de tes jours ?

 Une fois encore, la réponse jaillit sans que Cindy n’ait à y penser :

 -Oui.

 Il y eut ensuite un silence pendant lequel mère Sabrina eut l’air de méditer.

 -Tu es prête à être guérie, annonça-t-elle. Viens, suis-moi.

 Elle prit Cindy par la main et celle-ci la suivit comme si elle était dans un rêve. Mère Sabrina la conduisit dans sa chambre et la coucha sur son lit. Elle se dévêtit, exhibant pour la première fois son sexe masculin à la jeune fille. Cindy, toujours dans les vapes, ne fit même pas mine d’être surprise.

 -Je sais que tu as lu mon journal, jeune fille. Tu sais qui je suis, à présent. Ou tout du moins, tu as de sérieux doutes.

 La mère du couvent était sublime. Sa longue chevelure rousse cascadait sur ses fines épaules, lui procurant un air sauvage et indomptable. Ses seins, d’une blancheur immaculée si ce n’est quelques grains de beauté disparates, étaient comme gonflés d’envie. Elle avait un ventre plat qui laissait place à de superbes hanches bien larges. Confortablement logé entre celles-ci se trouvait son sexe masculin pourvu d’une splendide érection. Un petit bouton rose caché sous celui-ci laissait deviner l’entrée d’un timide puits d’amour.

 Cindy ne pouvait détacher ses yeux de la religieuse. Elle était tout simplement sublime.

 Cette dernière se mit à quatre pattes sur le lit et avança sans quitter Cindy des yeux. Ses seins pendaient de façon extrêmement provocante tandis qu’elle progressait telle une lionne se rapprochant silencieusement de sa proie.

 -Je veux te l’entendre dire, murmura-t-elle une fois qu’elle se retrouva au-dessus de la jeune fille. Qui suis-je ?

 Cindy ne voyait plus qu’elle. Le rideau de ses cheveux de feu masquait tout le reste du décor, les plongeant toutes les deux dans une ambiance diablement érotique.

 -Qui suis-je, Cindy ? Répéta-t-elle en se rapprochant jusqu’à ce que leurs seins se touchent.

 Son haleine se mêla à celle de la jeune fille. Cette dernière était en pleine confusion, incapable de réfléchir normalement à cause de l’envoûtante beauté de Sabrina. Tout en elle semblait fait pour captiver : ses lèvres sensuelles, son regard ravageur, son souffle chaud, sa peau blanche piqueté de taches de rousseur, son odeur entêtante,

 -Qui suis-je ? Demanda-t-elle un dernière fois tandis que leurs lèvres s’effleuraient. 

 -Tu es ma grande sur.

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