Chapitre 5 : enfin seule … ou presque (suite)
Morgane se faisait violemment écraser contre le mur à chaque coup de boutoir du jeune homme. Elle était enculée sans ménagement par Simon qui avait saisi ses hanches pour pouvoir la perforer le plus puissamment possible.
-Oh mon Dieu, oui ! Défonce-moi mon Simon ! Plus fort !
Le jeune chercheur grognait en s’enfonçant dans les entrailles de la femme en chaleur. Les fesses de celles-ci émettaient un claquement sonore à chaque pénétration. Elle ne pouvait s’empêcher de crier de plaisir en sentant sa rondelle à ce point stimulée.
-Qu’est-ce que tu me mets … je peux même sentir ton gland dans le fond de mon cul ! Qu’est-ce que c’est bon putain ! Plus vite Simon !
Simon accéléra encore le rythme et son bassin s’écrasa plus violemment encore sur le cul de la jeune femme qui commençait doucement à devenir rouge.
-Mais c’est qu’elle y prend goût la salope.
-Oui ! J’a … dore … ça !
Les coups étaient devenu tellement fort qu’elle n’arrivait plus à prononcer des phrases entières sans s’arrêter.
-Waouh … qu’est … ce que … tu me …mets !! C’est trop … Mmmh … bon putain !
Le jeune homme avait saisi fermement les fesses de Morgane et les écartait pour pouvoir s’enfoncer le plus loin possible en elle. Alors qu’elle se faisait sodomiser dans les règles de l’art, son sexe était redevenu tout dur et se dressait, fière et droit, le long de son ventre. Elle le saisit à pleine main et se mit à le branler sauvagement, comme pour concurrencer la violente pénétration anale qu’elle subissait.
-Oh … mon cul … putain ! Défonce … moi … mon Simon ! Vas-y … donne tout … ce que … tu as !
Simon n’avait jamais vu Morgane aussi obscène mais il adorait quand elle était comme ça. Il jubilait intérieurement car il avait réussi à la rendre esclave au sexe et il pourrait à présent la baiser dès qu’il le voudra. Il suffira juste de l’exciter un peu …
-Ton cul est fantastique Morgane ! Je glisse en toi comme dans du beurre, c’est divin !
-Oui ! C’est trop … bon ! Je crois … que … je vais jouir … du cul !
-Moi aussi je vais jouir !
Simon donna encore trois coups de boutoir dans lesquels il mit toute sa force. Morgane hurla pour chaque pénétration et jouit à la dernière. Son anus se contracta autour de la verge de Simon qui jouit à son tour ! La semence remplit la jeune femme. Elle était toujours en train de se branler et quand elle sentit les jets de sperme gicler dans le fond de son cul, elle éjacula elle aussi ! Elle repeignit littéralement de son foutre le mur en face d’elle.
-Ouiiiiiii ! Cria-t-elle.
Elle s’écroula au pied du mur, morte de fatigue, du sperme coulant de son anus béant. Elle haletait bruyamment et ses seins tressautaient à chaque expiration. Elle sentit une goutte contre sa tête, leva les yeux et aperçut des filaments de son sperme qui dégoulinaient le long du mur. Instinctivement, elle se mit à lécher le foutre sur la paroi en donnant de grands coups de langue assoiffés.
Simon la regarda faire et fut terriblement excité par cette vision. Et bizarrement, il voulait ardemment lui faire un cunnilingus. Comme elle était sur ses genoux, les jambes écartées, Simon en profita pour se mettre sur le dos et venir se glisser sous son cul. Elle gémit intensément, surprise, quand le jeune homme enfonça sa langue dans sa chatte. Son sperme, qui sortait toujours des entrailles de Morgane, lui coulait sur la glotte mais il s’en foutait. Il s’excitait sur le vagin de la jeune femme, aspirant comme quelqu’un qui n’aurait rien bu depuis une semaine toute la cyprine qui passait à sa portée.
-Mmmh oui … Bois-moi mon Simon. Aspire-moi la chatte !
Morgane était aux anges. Elle ne savait pas ce qui prenait à Simon de lui faire ça mais ce n’était pas elle qui allait s’en plaindre. Elle prit la tête du jeune homme et le pressa entre ses jambes pour le forcer à la lécher encore plus fort. Elle gémissait sous le travail linguistique du chercheur. Cette langue qui fouillait sans scrupules son intimité et le bruit de déglutition que le jeune homme faisait à chaque gorgée de cyprine l’excitait au plus haut point.
-Alors, suis-je bonne mon Simon ?
Elle adorait l’appeler « mon » Simon. Elle avait l’impression qu’il lui appartenait et qu’elle pouvait en faire ce qu’elle voulait. Le jeune homme tenta dacquiescer mais, trop prit par son occupation, ne réussit qu’à pousser un grognement d’appréciation.
Sentant l’orgasme venir, elle se mit à frotter sa chatte contre la bouche qui lui procurait tant de plaisir. Elle poussait maintenant d’incontrôlables râles de jouissances et sous le coup du plaisir, elle serra ses jambes, bloquant la tête du pauvre Simon entre celles-ci. Ce dernier agrippa les hanches de Morgane et tenta de s’enfoncer encore plus en elle. Soudain, elle jouit et Simon reçut un flot de cyprine directement dans le fond de la gorge.
-Oh, je viens mon Simon ! Je viieeeeenns !
Le jeune homme ouvrit de grands yeux surpris sous la puissance des jets de cyprine et essaya tant bien que mal de tout avaler. Il buvait à grands traits l’éjaculation vaginale de Morgane tout en s’agrippant à ses hanches tel un homme en train de se noyer qui tenterait de remonter sur son radeau.
Morgane cessa de jouir et relâcha la pression dans ses jambes. Le pauvre Simon s’écrasa sur le sol, essoufflé et le cur battant la chamade. Il avait le visage barbouillé de mouille et de la bave coulait à la commissure de ses lèvres.La jeune femme se coucha à ses côtés, tout aussi épuisée et, ensemble, ils tentèrent de retrouver leur souffle.
-C’était bien hein ? Sourit Morgane.
-Oh oui ! J’adore te boire jusqu’à la lie. Tu devrais maccueillir comme ça plus souvent, rigola-t-il.
-Haha quand tu veux on remet ça ! Dailleurs, pourquoi tu es venu ? Tu as avancé dans tes recherches ? Et comment tu savais que je ne comptais pas aller travailler aujourd’hui ?
-Heu … En fait, avec tous ces événements, j’ai oublié qu’on était lundi … Et je n’ai pas vraiment avancé dans mes travaux. Je voulais juste passer pour savoir comment tu allais, prendre un peu de tes nouvelles… et je constate que tu vas super-bien, ajouta-t-il en riant à nouveau.
Morgane rit avec lui et se relava. Elle alla dans la cuisine où elle but une grosse quantité d’eau.
-Est-ce que tu as remarqué quelque chose de nouveau sur ton corps ? Demanda le chercheur.
-Laisse-moi réfléchir. Tout à l’heure, j’ai eu la trick du matin … Du coup, je me suis branlé. Et je venais de finir quand tu es arrivé, j’ai donc profité de ta présence, conclut-elle en souriant de manière espiègle.
-Attends, tu veux dire que tu venais d’éjaculé ? Ça veut dire que tu as éjaculer deux fois d’affiler en moins de dix minutes ?
-Heu … oui. C’est grave ?
-Mais … C’est énorme ! Tu crois que tu pourrais encore te branler maintenant ?
-Houla, j’en sais rien moi … peut-être, il faudrait que je sois excitée … je crois que j’y parviendrais mieux avec une fille.
-Oui je me doute bien, mais je préfère éviter d’avoir plein de femmes enceintes de petits …
-De petits quoi ? Demanda-t-elle, touché au vif.
-De petits avec des malformations … On ne sait pas ce que donnerait l’union d’un de t’es spermatozoïdes avec un ovule normal … Tu as remarqué autre chose de bizarre ? Dit-il pour détourner le sujet de ce terrain dangereux.
-Oui, je meure de soif à chaque fois que j’ai joui.
-Ça ne m’étonne pas. Ton corps dépense une quantité impressionnante d’eau pour lubrifier ton vagin, ton anus et même ta queue. Aussi, lorsque tu as un orgasme, tu te vides en un coup de beaucoup d’eau de par ton éjaculation « normale » et vaginale. Ton corps, voyant ses réserves d’eau baisser si subitement, envoie un message d’alerte à ton cerveau pour te faire savoir qu’il faut absolument que tu boives.
-Et, est-ce qu’il y a des risques ?
-Ça, je ne pourrais pas te le dire …
Morgane réfléchit à ce qu’elle venait d’apprendre. Elle comprit qu’elle ne devait pas trop abuser du sexe si elle ne voulait pas avoir de problème dans l’avenir. Elle frissonna et se rendit compte qu’elle était toujours nue, en plein milieu de la cuisine avec Simon qui ne pouvait détacher ses yeux de son corps. Elle lui sourit et grimpa jusqu’à sa chambre pour s’habiller.
-Je crois que je vais quand-même aller travailler, lui cria-t-elle à travers toute la maison. Je me sens d’attaque après cette petite partie de jambes en l’air.
-D’accord, mais veilles à ce que personne ne remarque quoi que ce soit.
-Bien sûr, je ne suis pas bête, rétorqua-t-elle.
Simon sourit intérieurement. Évidemment qu’elle n’était pas bête, loin de là. Mais il n’était pas sûr qu’elle puisse résister longtemps à l’appel du sexe une fois qu’elle était excitée … Il ajouta donc :
-Non non, mais si jamais tu te retrouves dans une situation disons … dangereuse, évite de … tu sais … avoir des enfants quoi …
Simon fut bien content que Morgane soit dans sa chambre sinon elle l’aurait vu rougir d’embarras.
-Ne t’inquiètes pas, lui répondit-elle en descendant. Bon aller, j’y vais. On se revoit bientôt.
-Oui à bientôt. Et une dernière question, tu fais quoi déjà comme travail ?
-Je suis prof de terminales…