Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines à Bordeaux chez ma tante Véronique très bcbg, sur de ma mère Anne.
Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.
Nous sommes en "couple" depuis une semaine. Nous avions fait l’impensable mais hier nous l’avons dépassé. J’ai proposé à ma tante une pratique peu répandue et si taboue
Nous partons voir mes parents et ma grand-mère.
Durant tout le voyage, Véro d’abord peu enclin à la conversation se libéra au bout d’une bonne heure de conduite.
Elle était autant contrariée de ce que nous avions fait hier que perturbée à l’idée de croiser le regard de sa sur Anne. Pour l’occasion et toujours élégante, elle portait un ensemble blanc ivoire avec des escarpins blancs. Bien entendu, elle n’avait pas mis de culotte mais nous avions eu à ce sujet une discussion âpre. Au final, elle avait accepté à contre cur pour me faire plaisir.
Elle trouvait cela enfantin et estimait avoir dépassé l’âge pour ces gamineries.
En fait, je voulais marquer le coup et la savoir sans culotte face à ma mère la mettrait plus à l’aise d’après moi. Et puis avouons-le, c’était aussi une façon de lui montrer qu’elle m’appartenait, qu’elle était dorénavant plus que ma tante.
— Ca va Patrick, tu n’es pas fatigué, tu veux que je te remplace ? Demanda-t-elle en passant sa main sur mon avant-bras en signe d’affection.
— Non ça va, je suis avec toi ! Lui répondis-je en lui faisant un bref clin d’il.
— Bon je résume pour ne pas faire de gaffes ! Tu as une copine qui s’appelle Adeline et qui a ton âge, c’est bien ça ?
— Exact mais ma vraie copine est à côté de moi ! Lui rétorquai-je.
— Oui bah tu ne fais pas de mauvais esprit, je suis déjà mal à l’aise rien qu’à l’idée de voir Anne. Et quand je pense à hierOh Mon dieu
— Véronique je crois que ça t’a fait de l’effet et je savais que tu aimerais. Lui fis-je remarquer.
— Patrick je ne vais pas te mentir, c’était nouveau et Bon on peut parler d’autre chose ? Conclut-t-elle embarrassée sur le sujet.
— Oui il faudrait trouver un fleuriste, j’en connais un pas très loin.
— Ah heureusement que tu m’y fais penser, décidément tu penses à tout ! S’exclama-t-elle en me caressant le bras.
Nous arrivions aux abords de la Capitale vers 16h. Mes parents avaient une vaste propriété avec un grand jardin. J’allais retrouver ma chambre et Véro la chambre d’amis. Ma grand-mère coucherait probablement en bas, l’escalier étant devenu une vraie galère à son âge.
— Ah les voilà enfin ! S’écria mon père.
Tout le monde se fit la bise et je montais les bagages à l’étage. En regardant la chambre d’amis, un sentiment étrange m’envahissait. Je repensais aux conversations avec ma tante quelques semaines auparavant, époque durant laquelle j’échafaudais mon plan drague ! Que de chemin parcouru depuis pensais-je.
Ce fut le moment où ma mère m’appela pour l’apéritif.
Nous étions tous réunis et ma Mamie, adorable personne m’avait remis un petit billet en douce.
— Alors Véro, ton neveu ne te cause pas trop de soucis ? Demanda mon père.
— C’est un courant d’air, il part et revient de temps en temps pour midi. Il plonge une tête dans la piscine et rentre tard le soir ! Répondit-elle en allumant une cigarette sur la grande terrasse ensoleillée.
— Patrick, je t’avais demandé de prendre soin de ta tante et je vois que tu la négliges ! S’offusqua ma mère.
— Mais non elle exagère, on s’est fait deux ou trois petites soirées sympas. Et puis elle a son amie Patricia et toi Mamie, comment vas-tu ? Demandai-je en changeant de sujet.
— Oh tu sais mon petit, à mon âge on fait avec mais je ne vais pas me plaindre. Ta maman s’occupe bien de moi et elle a aménagé son bureau en haut pour que j’y passe la nuit.
— Mais Anne, tu aurais pu lui donner la chambre d’amis ! Dit ma tante.
— Écoute Véro, maman voulait que tu aies la chambre d’amis et comme en plus elle ne voulait pas dormir en bas, j’ai fait au mieux.
— Et comme ça vous pourrez papoter tard le soir toutes les deux. Conclut ma grand-mère.
Ma mère tout comme ma tante rigolèrent de cette boutade. Nous passions à table et je n’avais d’yeux que pour ma tante, ravissante dans son tailleur moulant mettant en valeur ses jambes et sa paire de fesses toujours autant attrayante.
J’étais en bout de table à ses côtés et la savoir sans slip me donnait des frissons.
Ma mère avait préparé un lapin et une terrine en entrée. En nous conformons à nos recommandations, nous n’échangions aucun regard.
— Alors finalement tu as prolongé ton séjour chez ta tante à cause de ta copine ? Demanda ma mère.
— Un peu oui et ça ne l’a pas dérangée.
— Alors c’est du sérieux ?
— Oh maman c’est ma copine simplement. Lui répondis-je un brin agacé.
— Véro ressers-toi ! Insista ma mère.
— Attends Anne, il y avait déjà l’entrée mais c’est excellent. Rajouta-t-elle.
La conversation allait bon train tantôt sur la politique que sur la circulation pour faire un détour vers les arts culinaires. Nous entamions le dessert quand je sentis l’escarpin de ma tante appuyer sur ma chaussure.
Ce petit jeu démarra au début puis je ressentais l’agréable sensation de son pied nu le long de ma cheville. Ma tante était une sacrée allumeuse et me signifiait de par ce geste son envie d’être plus proche de moi dès ce soir. L’idée était fortement plaisante mais s’avérait relativement compliquée, voire très risquée par la suite.
J’avais cette idée en tête depuis le départ et le geste sans équivoque de ma tante m’excitait par-dessus tout.
— On prend le café dehors ? Demandais-je avec une érection du diable.
— Ah vous voulez fumer votre cigarette, ta tante et toi. Répondit mon père.
Aussitôt le pied de Véronique disparaissait et elle se levait pour aider ma mère. Je la regardais et mon envie de la baiser ne faisait que s’intensifier en la scrutant dans la cuisine. Nous passions au café avec un thé pour ma grand-mère en nous délectant de ce temps idéal en cette soirée d’été. Ma tante s’installait à mes côtés, dans le coin fumeur et même s’il n’était que 22h, ma mère raccompagna Mamie au 1er étage. Elle ne tardait pas pour redescendre en se joignant à nous. Avec mon père, nous parlions foot tandis que ma mère avait déjà entamé le dialogue avec sa sur.
Avec un bâillement exagéré de ma part, mon père levait la séance tandis que ma tante me jetait un coup d’il éclair, elle n’eut que le temps de me chuchoter.
— Mets ton portable en silencieux, je t’enverrai un texto.
Je regagnais ma chambre sans oublier de saluer tout le monde en faisant la bise à ma tante. Je laissais ainsi ma mère fait un brin de causette inévitable dans la chambre d’amis, dont la porte donnait dans le couloirface à la mienne.
Patiemment, j’attendais dans mon lit que leur conversation prenne fin mais comme une vieille habitude, je tendais l’oreille pour écouter leurs propos (voir chapitre 1 très instructif).
J’entendais ma mère lui faire une pseudo morale concernant sa vie et qu’elle ne comprenait pas qu’elle reste seule. A chacune de ses questions, Véro évacuait le sujet par des réponses vagues et l’heure passait. Je décidais de lui envoyer un texto pour abréger ses souffrances. -dis que tu es crevée-.
Au bout de longues minutes, ma mère tirait enfin sa révérence et partit se coucher. Le pari était risqué, la chambre de mes parents étant au bout du couloir avoisinant le bureau dans lequel ma grand-mère dormait.
Je recevais un texto -on ne peut pas-bisou-à demain-. Je répondais immédiatement -j’ai trop envie-je viens-. Evidemment je restais en attente et quel ne fut ma surprise, la lumière de sa chambre s’éteignait. Nouveau texto -t’es complétement fou !!!-.
Finalement j’envoyais balader ma tante -tu ne sais pas ce que tu veux-tu es agaçante-. Le cur lourd, je commençais à m’endormir mais la lumière d’un énième texto attira mon attention -ne m’en veux pas-tu sais ce que j’éprouve pour toi,pour toi,pour toi-,
La fin de son message me consolait, même si ma déception était grandissante dans le bas du ventre (!).
Le lendemain en tenue de jogging, je croisais mon père également habillé dans le salon.
— Salut Papa tu pars ?
— Salut mon grand. Oui une partie de pêche ! À plus tard fiston. Répondit-il en partant précipitamment.
A la cuisine, je saluais les femmes au petit-déjeuner. Véro beurrait sa tartine et ma mère me proposa un café. Elle savait que je déjeunais peu le matin.
— Tu as bien dormi Patrick ? Me demanda ma grand-mère.
— Oui très bien, je suis en super forme et je vais partir faire un jogging.
— Ah c’est une bonne idée ! S’esclaffa ma mère en me servant ma tasse.
Je buvais mon café et mon regard croisa celui de Véronique qui me fit un sourire gêné. Ma mère avait terminé et se proposait d’aider ma grand-mère à monter en haut pour faire sa toilette.
Elles partirent et j’entendais le grincement des escaliers. Ma tante avait sa robe de chambre bleu pâle et son pyjama. Elle avait les cheveux en bataille et son absence de maquillage lui donnait le charme de la quadragénaire fatale. Avec ses jambes croisées, j’observais l’élégance de sa cheville avec son pied élancé.
Je me souvenais de cet ado timide la dévorant dès la première heure, de ces matins durant lesquels je la voyais prendre son petit-déjeuner avec ma mère et moi, tout penaud filant au lycée.
J’étais assis face à elle en buvant mon café et je la débarrassais de ce chausson inutile pour passer ma main sur le dessus de ses orteils. Je prenais mon pied avec ce petit geste si anodin mais ô combien symbolique à mes yeux. Véro termina sa tasse elle aussi et entama la conversation.
— Patrick pour hier, je suis sincèrement désolée. Je ne pouvais pas faire autrement. Dit-elle son pied posé sur mon pantalon de jogging.
— Qu’est-ce que tu as la peau douce à cet endroit. Lui fis-je remarquer en passant mes doigts au-dessus de ses orteils ravissants.
— Bon tu ne m’en veux pas pour hier ? Demanda-t-elle inquiète.
— Viens t’asseoir sur mes genoux que je câline ma Tatie préférée.
Ma tante se leva en souriant pour s’installer sur moi et j’en profitais pour desserrer sa ceinture. Je déboutonnais un à un les boutons de sa veste de pyjama tandis qu’elle m’enlaçait.
— Patrick, ta mère va redescendre et si elle nous découvre Murmura-t-elle en se laissant caresser la base de ses seins bien souples.
— Allez je prends ma petite tétée matinale. Lui soufflai-je en jouant avec sa pointe.
— Tu dis n’importe quoi, tu me fais rire ! S’exclama-t-elle tandis que son téton, prisonnier entre mes dents commençait à faire des siennes.
— Oh mais c’est que tu aimes
J’avais complétement ouvert sa chemise et désormais, je pressais l’un de ses seins en l’aspirant pour le faire mûrir. Véronique respirait profondément et me caressait machinalement la nuque. J’abandonnais mon fruit pour me porter à hauteur de ses lèvres. Tout naturellement, elles s’accordèrent avec les miennes pour entamer un slow improvisé entre nos langues.
— Tu entends ? S’exclama-t-elle paniquée et en se mettant subitement debout.
— C’est le bruit de la douche, Mamie en prend une et ma mère la surveille. Lui répondis-je avec un calme absolu.
Ma tante avait la veste de son pyjama toujours ouverte et j’admirais sa poitrine haletante, fruit de mon uvre. Je gardais mon calme mais mon sexe attendait son bien depuis hier soir.
J’étais assis, le jogging baissé et mon gros pénis fier de prendre l’air.
— Ôte ton pantalon Véronique et viens sur moi.
— Tu crois qu’on peut ? Dit-elle toujours angoissée.
— Mais oui on peut !
Véro ne gardait que sa veste ouverte et sa robe ce qui la rendait en fait encore plus sexy. En fait, elle était fortement excitée et sans difficulté elle s’installait en position de cavalière. J’adorais l’avoir sur moi dans cette position et je la sentais toute fébrile à l’idée que ma mère nous surprenne.
— J’ai la trouille Patrick !
— Plus on discute et plus on perd du temps ! Soulève-toi
Ma tante s’exécuta et se laissa couler pour me recevoir en posant ses mains sur mes épaules. Dieu que j’étais bien dans sa chaleur matinale, mon sexe parcourant son canal apprivoisé.
J’étais aux anges, je baisais enfin ma tante dans cette cuisine aux souvenirs remplis de frustrations.
— Accélère ma belle Lui dis-je en plaquant mes mains sur ses fesses.
— Oui Soupira-t-elle la bouche entre ouverte en se balançant.
— Viens ! Viens en moi Lui dis-je en la serrant contre moi.
— Oh j’aimeJ’aime
Tellement prise au jeu, Véro me faisait une partie de rodéo en s’agitant avec frénésie. Sentant ma jouissance venir, ma belle femelle mûre ralentissait pour me donner un plaisir plus puissant. Elle aussi me connaissait.
Très vite nos corps s’unissaient et je prenais le relais final
Notre jouissance finie, ma tante me chuchotait des mots impensables.
— C’est unique avec toi, je ne veux pas que ca s’arrête. J’aime trop me faire baiser par toi. Tu es le meilleur ! S’emporta-t-elle.
Nous embrassions comme des collégiens, nous avions faim l’un de l’autre. Je ne me lassais pas de caresser, enfin de peloter ses belles fesses si fermes. Au détour d’un baiser, une voix se fit entendre.
— Véro ? Tu es en bas ?
— Oui Anne. Répondît-elle en s’éloignant de moi.
L’escalier grinçait et sur la pointe des pieds, j’évacuais la pièce en passant par le jardin tout en remontant mon jogging. Ma tante aimait le risque, elle avait été servie.
Je partais l’âme légère sans savoir où aller, quelque peu bouleversé des évènements soudains.
Nous étions dimanche et l’après-midi fut dédiée à des activités diverses. Contre toute attente, j’entamais une partie de jeu de dames avec ma Mamie, toute heureuse que je m’intéresse à elle.
Mes parents discutaient avec ma tante de sujets sensibles. Ma mère lui reprochant son attitude laxiste avec son ex, laquelle s’emporta à un point que je l’entendais depuis le salon.
Le soir en nous mettant à table, la tension était palpable. Je prenais à part ma tante pour avoir son point de vue, ma mère amenant les plats et s’impatientant.
— Oui on arrive ! Criai-je à ma mère pour qu’elle se calme.
— Mais Patrick, ils trouvent que je suis trop gentille avec lui, que je devrais être plus vache ! Mais je n’en ai pas envie. Je ne veux pas que Jules et Oscar en fasse les frais.
— Tu as parfaitement raison. Oh et puis tu connais ma mère, elle est entière et veut ton bonheur. Reste calme ce soir, ça n’est pas méchant, c’était plutôt mal formulé. Résumai-je.
— Toi tu es toujours posé, calme. Tu m’apportes le bien être dont j’ai besoin en ce moment et j’ai cette impression que tu es le seul à me comprendre. Oh je suis pressé de rentrer demain. Me confia-t-elle.
— Viens ils vont s’énerver, tu es ravissante ce soir.
— Merci Dit-elle émue.
— N’oublie pas mon texto quand tu auras fini avec ma mère.
— Eh ce main on était un peu limite.
— Oui mais tu as grandement aimé. Conclus-je.
Ma tante me jeta un long regard complice en sachant fort bien que je ne faisais qu’évoquer sa jouissance intense. Elle ne pouvait pas m’embrasser mais elle rajouta.
— J’écourterai la conversation avec Anne
Avec cette dernière phrase, j’entrevoyais un scénario possible en étant impatient que le diner commence et se termine au plus vite.
Ma mère avait préparé un plat de charcuterie et une bonne salade. Évidemment Véro était à nouveau à mes côtés. Tout le monde se régalait. Mon père amateur de bon vin nous faisait goûter sa dernière trouvaille puis au dessert, il ouvrait une bouteille de champagne pour le plaisir.
Ma grand-mère étant fatiguée monta se coucher en nous saluant.
Nous trinquions tous ensemble et mon père me prit à partie.
— Allez Patrick, à quoi tu trinques ?
— A la femme idéale enfin si elle existe Répondis-je pendant que ma belle voisine s’amusait à frôler son pied nu contre mon mollet.
— Oh mon chéri tu vas la rencontrer. Et si elle existait, comment la définirais-tu ? Demanda ma mère bien curieuse de ma réponse sous le regard attentif de Véronique.
— Dans quoi je m’embarque ! D’abord il faudrait qu’elle soit belle, grande, raffinée et qu’elle est la nuque élancée, une poitrine modérée, blonde et surtout intelligente !
— Ca en fait des choses, mais elle existe. Ajouta mon père.
— Important ! Et qu’elle soit mûre d’esprit, joyeuse, rieuse Terminai-je fou d’excitation d’imaginer de sucer les pieds délicieux de ma tante.
— Et toi Véro, maintenant que tu es séparée qu’elles sont les qualités que tu aimerais chez un homme ? Lui demanda-t-il.
— J’ai un peu arrêté de rêver mais comme Patrick, je le rejoins. Quelqu’un de beau, intelligent et qui comprenne mes enfants aussi. Dit-elle un peu désabusée.
— Mais vous avez les mêmes idées vous deux ! Tu serais plus jeune Anne, Patrick serait l’homme qu’il te faut. Il est beau et intelligent. Plaisanta-t-il.
Je connaissais bien ma tante et je savais quand elle se trouvait mal à l’aise. C’était le cas et sur cette boutade sans sous-entendus, même si elle dissimulait sa gêne, sa façon de sourire trahissait son embarras. J’étais bien le seul à le remarquer et mes parents, notamment ma mère était à cent lieues de penser que je couchais avec elle. Loin de penser que le matin même, je la sautais dans la cuisine et qu’elle jouissait dans mes bras pour mon plus grand bonheur. J’observais Véronique, affolante de sensualité et criante de beauté à cette heure tardive, Dieu que la sur de ma mère pouvait m’attirer autant physiquement que verbalement quand je l’écoutais.
— Alors Patrick et l’amie de Véro, comment s’appelle-t-elle déjà ? S’interrogea ma mère.
— Patricia. Répondit ma tante en frôlant toujours ses orteils soyeux sur ma peau.
— Oui comment est-elle, sympa ?
— Elle me court après, elle me trouve beau et intelligent et je suis le type idéal pour elle !
Véronique éclatait de rire puis s’écroulait quand je racontais ma séance de bricolage chez elle pour réparer des tuiles.
— Heureusement que Véro est là. Ajoutai-je.
— Comment ça ? Demanda ma mère.
— Ah bah elle me sort de situation extrême, elle me prévient quand elle vient pour que je m’éclipse par exemple !
J’avais fait une jolie pirouette, ma mère demandait à sa sur si nous partions le lendemain matin, ce à quoi elle répondit par l’affirmatif. Les flutes étaient vides et personne ne prit de café. Ainsi mes parents montaient et nous laisser seuls sur la terrasse, le temps de fumer une cigarette. Nous étions debout et je m’approchais de ma tante afin de lui offrir une cigarette. Avec nonchalance, elle acceptait et me demandait du feu. Dans le même temps, ma main glissait le long de sa cuisse en relevant furtivement sa jupe.
— Ca te convient, c’est comme tu aimes ? Dit-elle en faisant allusion à son absence de culotte.
— C’est un peu fou Je réalise tous mes fantasmes avec toi. Tu es belle, intelligente, grande, raffinée avec une poitrine comme j’aime.
— Tu l’as dit, c’est un peu fou nous deux. Je suis un peu mélancolique ce soir Patrick, j’ai besoin de tendresse. Se désola-t-elle en fixant le ciel étoilé.
— Allez Tatie ! Je vais passer te voir, j’attendrai ton signal et à force de regarder les étoiles, je vais t’amener à elles.
— A propos d’étoile, je ne dois pas être née sous une bonne. Avec le divorce, la maison à entretenir et la faible pension, je suis un peu raide et Patricia ne me dit rien mais elle attend que je la rembourse. Je lui dois une sacrée somme. Se lamenta-t-elle.
C’était une nuit de pleine lune et le jardin était illuminé par cette lumière blanche. Un aspect magique se dégageait en regardant Véro, bien droite et avec son tailleur impeccable. Cette histoire de dette me tourmentait. Pourquoi ma tante me racontait-elle tout cela ?
— Elle te doit combien ?
— Tu ne le répètes à personneElle m’a prêté 50.000 euros depuis près de six mois et je ne sais pas quoi faire.
— Bon je vais me coucher et on en reparle demain. J’ai des petites économies, environ 7.000 euros.
— Ah non Patrick, tu n’y penses même pas ! Bon on monte et je te fais signe.
— T’es ma Tatie d’amour ! Lui dis-je en lui faisant un long baiser.
Sachant qu’elle ne portait pas de culotte, nous reculions peu à peu à l’écart des portes vitrées. Notre étreinte prenant fin, je soulevais sa jupe pour prendre à pleines mains ses fesses dont je devinais les courbes.
— Qu’est-ce que t’es bandante ! Lui dis-je en promenant ma main dans la raie de son superbe cul.
— Patrick ! Nous sommes chez tes parents ! S’indigna-t-elle.
— Je sais Lui dis-je en cajolant son intimité.
Du coup ma tante posa sa tête sur mon épaule et écarta les jambes. Elle jouait les vierges effarouchées mais restait une sacrée baiseuse.
Du fait d’une légère caresse le long de ses grandes lèvres et la voilà qui s’agrippait à moi. Preuve que sa libido était au top, elle me fit un baiser dans le cou pour m’inciter à continuer.
— Véronique ! Appela ma mère.
— Ne dis rien Lui soufflai-je en introduisant mon doigt dans son vagin.
— Oh comme j’aime. Gémit-elle parcourut de légers spasmes en se laissant faire à ma guise.
J’adorais faire ce genre de choses avec elle, je la savais à ma portée, je faisais ce que je voulais d’elle. Elle en était consciente et plus je tourmentais agilement son intimité, plus elle s’agrippait à moi en poussant des petits cris jouissifs.
— Patrick ! Hurla ma mère.
— Bon j’arrête Qu’est-ce qu’elle peut me faire chier !
Ce langage châtié aurait pu être évité, mais dans l’instant je n’avais que ces seuls mots en tête. J’attrapais les escaliers pour donner une explication à ma mère. Je racontais que nous avions vu un chat sur le mur et que nous avions entendu un bruit. Du grand n’importe quoi que ma mère n’écoutât que d’une oreille tant l’histoire s’avérait d’une banalité sans fin.
Il était près de 23h et je restais sous mon drap, le portable à portée de main.
Le lendemain matin, je me réveillaisle portable dans la main. J’avais juste un message -pas possible,trop risqué,bisous,bisous,bisous-.
Nous étions lundi et nous partions comme prévu le matin. Après une bonne douche, j’enfilais une belle chemise blanche avec un jeans bien près du corps. Le temps de m’observer dans la glace, je me trouvais plus que séduisant même si ça n’était que mon humble avis.
Arrivé dans la cuisine, je fis mon effet.
— Ah je suis fier de mon fils ! S’exclama ma mère sous l’il attentif de ma Mamie.
— Véro n’est pas là ?
— Non elle a pris son déjeuner et se prépare.
— Ah
Je bavardais avec ma grand-mère et je saluais mes parents. Ma tante toujours soignée avait remis son tailleur avec un chemisier qui sans me tromper, laissait quelques vacances à ses deux beaux fruits.
Elle annonçait la couleur, était-ce avec la fin de soirée d’hier en se terminant en queue de poisson ? Se sentait-elle coupable d’avoir renoncer par peur ?
Nous partîmes vers 9h et au premier coin de rue, je stoppais la voiture, le moteur en marche.
— Alors Véro ?
— Excuse-moi ! Dit-elle en plongeant sa langue chaude dans ma bouche.
Dès le matin, j’éprouvais un certain et même un grand plaisir à embrasser ma tante, alors quand il lui arrivait de prendre l’initiative comme maintenant, imaginez un peu (!).
Le temps de l’embrasser, ma main se faufila sous son chemisier et Véronique me fit un sourire.
— Dès ton premier regard ce matin, j’ai su que tu avais deviné.
— Alors pas de culotte et maintenant plus de soutien-gorge, mais où vas tu t’arrêter ? Plaisantai-je.
— Oh tu sais me faire rire toi à la première heure ! Et mon maquillage maintenant !
— Pas grave, t’es presque plus belle sans, en fait tu n’as besoin de rien pour être ravissante.
— Bon voilà une journée qui commence bien, moi qui avais peur que tu l’aies mal pris Hier Anne n’arrêtait pas de se lever pour aller voir maman, enfin Mamie. Elle avait une forte toux et du coup j’ai trouvé que ça devenait trop risqué et puis quand je repense à la cuisine hier matin Termina-t-elle évasive.
— Oui c’était plutôt pas mal tout comme hier soir sur la terrasse.
— Alors là Patrick, je peux te dire que tu m’avais bien excitée ! Quand ta mère t’a appelé, j’étais folle de rage. Et puis je me suis couchée toute seule mais ce soir, je t’aurai près de moi Dit-elle en prenant son air enfantin.
Ce fut sous une pluie battante que nous arrivâmes à demeure. Je sortais les deux valises et Véro, trempée, alla se changer toute heureuse d’être enfin chez elle. Les cheveux humides, elle revenait avec un long pull et rien de plus.
Je l’observais discrètement en évitant de me pâmer à chaque instant, sachant fort bien qu’elle cherchait à me séduire. Installée sur le canapé avec les jambes repliées, il m’était aisé d’apercevoir qu’elle ne portait que son pull.
Mais dans l’immédiat, une question me turlupinait au sujet de sa dette envers Patricia.
— A quoi penses-tu Patrick ? Me demanda-t-elle en se caressant la cuisse.
— Ton histoire de pognon avec Patricia, tu sais comment tu vas la rembourser ?
— Euh nonRépondit-elle totalement surprise que j’évoque ce problème.
— Tu dois 50.000 balles à ta meilleure amie depuis six mois et tu n’as aucune idée pour la payer et en plus il te reste encore six mois à rembourser ta part de la maison.
— Je n’aurais peut-être pas dû t’en parler, après tout c’est mon problème. Je trouverai une solution.
— Écoute moi bien Véronique. Yan est mon meilleur ami et il a des contacts en Suisse, à Genève précisément. Un soir il m’a raconté qu’il connaissait un cercle qui organise des soirées très privées. Ce sont des gens plein aux as. Ils aiment voir un couple faire l’amour sur une scène mais ils paient très cher quand cela devient inédit. Tu me suis toujours ?
— Euh oui Alors il faut faire l’amour devant tout le monde Ajouta-t-elle rébarbative.
— Attends, ils adorent quand le couple a une différence d’âge et quand il s’agit d’inceste. Ils sont une vingtaine à regarder et principalement des couples âgés. Dans notre cas, on peut se faire une fortune. Mais il faut montrer des papiers d’identité pour prouver que nous sommes de la même famille.
Ma tante avait cessé ses caresses depuis un long moment et m’écoutait attentivement. Tout en parlant, elle réfléchissait à cette chance inouïe de payer Patricia et de résoudre le rachat de sa demeure, mais dans le même temps une peur inexorable s’abattait sur elle.
— Patrick, pour n’importe quel prix je ne le ferai pas. Dit-elle catégorique.
— Je précise que la lumière est tamisée et d’après Yan, si le couple est de toute beauté avec une filiation très proche et pas avec une arrière petite cousine. Ca peut démarrer à 20.000 euros la soirée et en fonction de la prestation, tu reçois ce qu’ils appellent des gains d’honneur.
— Oh non d’un chien ! Mais ils sont fous ! S’exclama-t-elle.
— Non ils s’emmerdent Tatie ! Nuance Rétorquai-je posément.
— C’est un peu dingue ton truc et je suis si pudiquealors faire ca devant des gens et en plus avec toi.
— T’as rien compris Véronique.
Je m’installais à ses côtés en prenant soin de poser ses jolies jambes sur moi. Bien entendu, ses pieds se retrouvaient vite prisonniers de mes mains. Je prenais un malin plaisir à les caresser tout en poursuivant notre conversation, ma tante se montrant de plus en plus attentive depuis que je lui avais révélais les sommes astronomiques pour une soirée. Néanmoins, issue de la bourgeoisie, tout comme moi évidemment ma proposition ne lui plaisait guère. Déjà qu’elle avait passé la barrière incestueuse, je lui suggérais de faire l’amour, enfin de la baiser en public. Mais certaines conditions étaient requises et je me devais de lui en faire part. Auparavant, il me fallait m’assurer de savoir si elle était intéressée par cette aventure. J’avais des arguments et dans mon for intérieur, rien que de faire le voyage jusqu’à Genève déclenchait en moi un sentiment jouissif.
— J’ai rien compris ? A part que tu aimerais me sauter en plein public, ça j’ai bien compris. Répondit-elle exaspérée de ma remarque déplacée en employant des termes qu’elle n’utilisait que rarement.
— Oublie un peu tes principes, mets-les de côté pour une fois. Tu connais du monde en Suisse ? Personne si je me trompe et j’essaie de t’aider.
— Oui mais c’est pas légal ce genre de truc et puis c’est un peu pervers tu ne trouves pas ?
— C’est une sorte de voyeurisme et il s’agit d’un cercle fermé, Yan l’a fait une fois avec une cousine éloignée. Il m’a dit que c’était clean et rien de sado-maso, juste de l’érotisme et ils veulent voir de l’inédit. C’est tout. Argumentai-je tout en bichonnant instinctivement le dessus de ses orteils précieux.
— Patrick je te fais confiance, je veux bien en savoir plus alors appelle Yan mais je ne suis pas du tout partante, je te préviens.
Dans la foulée, je passais un coup de fil à mon meilleur ami. Sans rentrer dans les détails, il m’expliquait les formalités, à savoir rencontrer le comité et fixer une date et surtout ouvrir un compte en Suisse avec un nom d’emprunt. Enfin il ajoutait que la soirée se déroulait en deux parties, la première quand la femme devait se montrer docile et inversement pour la deuxième dans laquelle le mâle se devait d’être obéissant. Il me donnait un numéro de téléphone.
J’appelais dans la foulée et une voix féminine avec un accent allemand me répondit. Je lui expliquais notre relation, nos âges et nos tailles respectives. Fortement intéressée par notre couple qualifié de parfait, elle nous fixa un rdv dans un grand palace parisien le lendemain soir.
Ma tante paniqua immédiatement.
— Demain ? Et qui sont-ils ?
— Pas de panique Tatie, je réserve sur le net 2 billets en TGV et on prend un taxi !
Le lendemain soir, nous étions gare Montparnasse pour prendre un taxi. Véro avait suivant mes conseils en mettant son tailleur blanc ivoire avec escarpins assortis et un chemisier blanc. Pour ma part, un simple jeans avec mocassins et une chemise firent l’affaire. Je tentais de calmer Véronique comme je pouvais, une fois dans le hall du palace. Je demandais le nom de la personne, Madame Schmitt (quelle originalité) et nous prîmes l’ascenseur en 6ème étage.
— Patrick, j’ai peur.
— Ne crains rien, tu es avec moi.
Je n’emmenais pas large mais je n’allais pas le lui montrer. Un petit toc à la porte et un grand type assez costaud nous accueillit, souriant.
C’était une suite, nous parcourions le couloir puis dans le salon, une table et derrière cette table, une femme.
Le type resta debout et elle nous posa des questions avec son accent germanique.
— Alors vous êtes tante et neveu vous deux ?
— Oui. Répondis-je.
— Madame, vous êtes la sur du père ou de la mère de ce garçon ?
— Je suis la petite sur de sa mère. Dit-elle en baissant la tête, honteuse de sa réponse.
— Et éprouvez-vous des sentiments l’un envers l’autre ?
— Nous évitons d’en parler. Répondit ma tante.
— Bon, votre ami vous a expliqué ? Nous cherchons des couples comme vous, il faut pratiquer fellation et cunnilingus puis position d’Andromaque et si possible sodomie. Il faut que ce soit de l’art, notre clientèle est très exigeante. Puis-je Madame vous demandez de vous dévêtir ainsi que vous jeune homme ?
Nous ne répondions pas et cette fois, Véro avait conservé son slip. Nous étions en sous-vêtements et je jetais un coup d’il sur la silhouette de ma tante qui pour l’occasion avait conservé ses escarpins. Elle avait une gueule folle et des jambes sans fin. Il fallait que je reste concentré.
— Pas mal, pas mal du tout. Dit la femme.
— On se rhabille maintenant ?
— Vous oui mais mon ami va examiner votre tante. Dit-elle pendant que je remettais mon jeans.
— Pas question, elle reste là. Lui dis-je posément.
— Ach jeune homme ! Vous tenez à elle, c’est bien mais mon ami doit l’examiner.
— Non.
— Euh bon vous avez les documents qui me prouvent votre filiation ? Demanda-t-elle en perdant de sa superbe.
Après échange des papiers la femme chuchota avec le type. Nous n’échangions aucun regard avec ma tante, l’atmosphère étant tendue.
— Voilà, nous vous proposons de participer à notre prochaine fête pour fin du mois près de Genève. Pour les tarifs, ce sera 3.000 et 6.000 pour votre tante.
— Oubliez nous dans ce cas. Répondis-je à la femme.
— Que signifie cette réponse bien arrogante jeune homme ?
— Je connais un autre cercle près de Londres, vous nous faites perdre notre temps Madame. A ce prix-là, c’est un baiser en public que l’on vous donne.
— Très bien très bienje vous écoute.
— 10.000 pour moi et 20.000 pour ma tante. A prendre ou à laisser.
— Vous aurez l’argent sur votre compte et vous serez contactés pour le lieu et la date. Le programme est deux parties. L’un est soumis puis c’est au tour de l’autre. Chaque partie dure entre 45 minutes et une heure et notre public apprécie les dialogues, surtout dans une relation dite incestueuse. Ah j’oubliais, certains couples s’entraînent pour durer le plus longtemps. Nous cherchons douceur et amour dans vos gestes, nous détestons ce qui est bâclé. Un bon conseil cher Monsieur, ne nous décevez pas.
— C’est bon, on a compris.
— Alors à bientôt. Répondit la femme.
Aucun mot dans le taxi, mais une fois dans le train, Véro me prit la main et se mit à me questionner.
— Mais Patrick, Londres ? Tu connais aussi un cercle ?
— Que du bluff Tatie ! On allait pas faire ça pour 9.000 balles ! Rigolai-je.
— Oui mais tu as vu, ils n’ont pas l’air commodes et ils ont payé d’avance et puis tu pars à la fin de la semaine, comme allons-nous faire pour être parfaitenfin pour s’entrainer comme ils disent.
J’avoue que le mot entrainement sorti de la bouche de ma tante ne m’effrayait guère. Mais elle poursuivit par des questions pratiques.
— Tes cousins, enfin mes enfants rentrent dimanche prochain et cela nous laisse 5 jours. Ajouta-t-elle morte d’inquiétude.
— Je vais faire une chose, je pars comme convenu et je reviens une semaine avant et on s’arrangera quand les garçons dorment.
— J’aurais préféré que tu restes jusqu’à la fin du mois. Patrick, ça me fout un peu la trouille et tu te rends compte, 30.000 euros ! Ca ne plaisante pas.
— N’oublie pas ce qu’elle a dit à la fin, "ne nous décevez pas". Faut vraiment faire gaffe et faire des répétitions.
— Oh Patrick, sur ce plan-là je ne me fais pas de souci, tu seras un excellent professeur pour un bon planning ! Dit-elle en pouffant de rire.
— Bon je préviendrai ma mère que je reste jusque début août et tant pis pour Biarritz.
— Oui c’est dommage.
Dès notre arrivée, j’expliquai à ma mère que j’allais rester à Bordeaux et pour une fois, je lui fis part de ma vie privée en lui avouant que je vivais une folle passion avec cette jeune fille.
En y pensant, tout était vrai si j’avais rajouter que cette passion, je la vivais avec sa propre sur.
Le soir même, nous ne fîmes pas l’amour, ma tante étant trop préoccupée par cette aventure hors du commun. Je ne lui en voulais point en pensant à la nécessité de s’entrainer. Décidément, je commençais à avoir une adoration pour ce verbe