Moi c’est Édouard, 32 ans, je bosse dans la finance. Taille moyenne, châtain, pas vraiment dessiné, avec des poignets d’amour. Je suis marié depuis 2 ans avec Claire, 30 ans, grande, mince, cheveux châtains, décoratrice, assez calme et posée. On a une vie assez tranquille, on compte avoir des enfants bientôt, on vît dans un appart au cur de Paris, et on a une vie sociale pas mal remplie.
Je sors de mon cour de boxe, avec mon ami Seb, un grand brun mate de peau, typé latino avec des abdos et des pecs de folie. Il me propose d’aller prendre une bière avant de se séparer. Je lui réponds que je ne peux pas, je dois retourner au boulot finir un dossier important, et ça va me prendre une partie de la nuit.
Mon patron est resté pour m’aider, ce dossier a été bouclé en moins d’une heure. Ma soirée étant sauvée, je saute dans un taxi pour aller retrouver ma petite femme chérie. J’arrive au pied de mon immeuble, je grimpe les marches deux par deux. J’entre dans mon appartement, je pose mes affaires, et j’entends ma femme pousser des cris. Je me précipite vers l’origine de ces cris et je m’aperçois que ce sont en fait des cris de plaisir. J’entre dans notre chambre. Ma femme est là, nue sur le lit, allongée sur le dos, ses jambes autour de celles d’un homme. Ce mec, c’est mon ami Seb.
Je suis assez choqué, je n’arrive même pas à parler. Seb me regarde en souriant, tout en continuant de pilonner la chatte de ma femme comme un bourrin. Claire est gênée, mais elle garde ses mains sur le cul de Seb et couine à chacun de ses coups de bite. La seule pensée qui me venait à l’esprit, c’était de leur casser la gueule à tous les deux. Seb se tourne sur le côté, entraînant ma femme avec lui. Avec une main il écarte ses fesses.
— Allez viens la baiser cette chienne, elle a encore un trou de libre !
Bizarrement, ma colère laisse place à de l’excitation. Je n’ai jamais retiré mon costume-cravate aussi vite, et le temps de me foutre à poil, je suis déjà en train de bander comme un porc. Je me jette sur le lit, derrière ma femme. Je crache dans ma main histoire de lubrifier ma bite. Seb m’attrape le poignet avant que j’en ai le temps.
— Pas besoin de ça, fais-lui mal à cette pute, c’est tout ce qu’elle mérite !
Claire jouit tellement que j’applique le conseil de Seb. J’essuie ma bave sur ma cuisse, je place mon gland contre son petit trou du cul, et en regardant Seb dans les yeux, j’enfonce mes 17 cm dans son cul en entier, jusqu’aux couilles. Elle crie de douleur, puis serre les dents. Je n’enculais presque jamais ma femme. Nos relations sexuelles étaient ce qu’il y a de plus classique d’habitude. Seb reprend ses coups de queue, je fais pareil, en suivant son rythme. C’est pas souvent qu’on sent la queue d’un autre mec limer la chatte de sa femme. On la défonce dans tous les sens et toutes les positions, que ce soit allongé ou debout. On l’insulte tout le long, on enchaîne les fessées et les gifles, les crachats sur le visage, et ses seins sont constamment malaxés et léchés. Elle est au bord de l’orgasme, ce qui lui arrivait rarement durant nos parties de jambes en l’air habituelles.
Je me jette sur le lit, allongé sur le dos. Ma femme vient chevaucher ma bite. Je lui baise sa chatte comme un bourrin, et Seb approche sa grosse bite de 20 cm et épaisse de sa chatte.
— Oh oui vas-y enfonce moi ta bite aussi !
— T’en fais pas sale chienne, tu vas la recevoir.
Je ne pensais pas que ça rentrerait, mais en quelques secondes, alors que ma bite est entièrement dans sa chatte, je sens le gland de mon pote contre le mien. Nos deux bites sont serrées l’une contre l’autre, sans capote. On commence à lui défoncer son trou, en faisant nos va-et-vient en même temps. Notre baise est toujours aussi sauvage. Je ne suis même pas sûr que ma femme ait tenue plus de cinq minutes. Elle a un superbe orgasme qui la fait gémir comme une folle. Son corps entier se cambre. Sa chatte est remplie de mouille, mes cuisses sont même trempées. On se retire avec Seb, et on lui déverse tout notre sperme directement dans la bouche. Elle avale tout comme une affamée, à tel point qu’elle suce même nos queues pour ramasser le sperme qu’il reste.
On tombe, Seb et moi, sur le lit, épuisé. Claire se lève comme elle peut et se dirige vers la salle de bain, en se tenant d’une main sa chatte défoncée. On s’allume une clope, on discute un peu. Seb m’avoue qu’il baise ma femme depuis que je lui ai présenté, et qu’il l’a même baisé le jour de notre mariage. Dans d’autres circonstances, j’aurai piqué une crise. Là, je souris. Le plus important, c’est d’avoir procuré à ma femme un superbe orgasme.