Je m’appelle Alexandre, j’ai 16 ans.
Je suis brun, aux yeux marrons, 1m80, pas spécialement musclé. J’ai une sur, Marie 20 ans, blonde aux yeux bleus, pas spécialement jolie, 1m70 pour 60 kilos, peut être 85 b dans le soutient gorge, avec des fesses un peu grosse malgré un ventre plutôt plat.
Notre histoire commence en vacance. Mes parents sont divorcés, et nous sommes dans la maison de vacance familiale dans le sud de la France, vers Cannes. Elle est séparée en deux parties. Une partie contient le salon salle a manger, la cuisine, la chambre de ma mère et de mon beau père et l’autre partie contient deux chambres et une salle de bain/toilettes. La maison a été rénovée récemment et nous la découvrons durant ces vacances.
Le premier soir, alors que je fume une petite cigarette dehors, j’aperçoit une fenêtre a environ 2m de hauteur qui s’allume. Ne connaissant pas encore très bien la topographie intérieure de la maison, je monte sur le rebord de l’ancien lavoir. A ce moment, un spectacle magnifique s’offre a mes yeux. Je distingue de profil le bas d’un corps de fille cambré, surement en raison de la hauteur du miroir. Un dépôt s’est formé sur la vitre pendant les travaux et la lumière s’échappe peux, je suis donc certain de ne pas pouvoir être aperçut si je regarde discrètement depuis le coin de la fenêtre.
Je vois donc, les fesses et les jambes de ma sur, de profil, je n’ai donc aucune vue sur son intimité. Soudain ma sur se dirige vers la douche italienne. Je me cache, et attend d’entendre le bruit de l’eau. Je regarde discrètement. Elle est maintenant de dos, et j’ai une vue imprenable sur ses fesses charnues. Je sors mon sexe et commence à me masturber tout en regardant ce beau spectacle qui s’offre à moi. Ma sur se cambre encore pour ramasser le shampoing. Son anus est révélé et mon érection commence à me faire mal. Elle se lave donc les cheveux, puis se cambre de nouveau pour attraper le savon. Le shampoing la gêne et elle met quelque temps à le ramasser. Son anus est toujours visible. Elle se savonne et se tourne face à la fenêtre. La hauteur m’empêche toujours de voir ses petites lèvres mais j’ai une vue imprenable sur ses seins qu’elle frotte. Ses tétons ont l’air de durcir. Je sais qu’elle n’a jamais eu de vrai copain, et n’a jamais fait l’amour, bien que son hymen est craqué à l’époque où elle faisait du cheval, ce qui explique qu’il lui en faut peu pour être excitée.
Elle se rince le corps. Pensant que le spectacle se termine, je suis déçut de ne pas avoir éjaculé. Mais soudain, le miracle se produit. Elle prend une serviette, s’assure que je ne suis pas dans le bout de maison, puis rentre dans la douche, et ouvre la fenêtre pour que la buée s’en aille. J’ai eu le temps de me cacher, et rejette vite un regard. Elle se saisit alors d’un objet que je ne connait pas. Un espèce de tube assez fin, trop pour être un gode, doté de plusieurs petits trous, ainsi qu’une poire en son extrémité. Elle le place sous le jet d’eau et pompe avec la poire. Puis elle se cambre devant moi et s’enfonce l’objet dans l’anus. Je bande alors si fort que je crois que mon sexe va exploser. Elle appuie sur la poire et un gémissement de sa part entraine mon éjaculation. Quelque seconde après, l’eau ressort, marron, heureusement que j’ai éjaculé avant ça…
Elle renouvèle la manuvre. Je me suis assis contre le mur, je ne la vois plus, mais ses gémissements m’excitent énormément. J’entend l’eau s’arrêtée, et je décide d’attendre un peu avant de retourner dans ma chambre.
Je ne me suis jamais bien entendu avec ma sur, mais jamais mal non plus. Un peu plus tard, dans mon lit, je me sens fou de m’être masturbé en matant ma sur. Il me reste 3 semaines à passer avec elle, une dans cette maison, une à Rome avec notre père et une chez notre mère. En manque de sexe, je crois que je pourrais tenter de séduire ma propre sur… C’est sur cette pensée que je m’endors, à coté de la chambre ou repose l’objet de mon désir pervers et incestueux.
Les vacances vont être mouvementées…
La suite à venir, si cette histoire vous plaît!
