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Seduite par Mélanie – Chapitre 1

Seduite par Mélanie - Chapitre 1



C’est fou comme travailler en été peut être assommant…la chaleur du soleil de juillet infiltre inévitablement notre bureau (seulement armé d’un faible ventilateur), même en ce début de soirée… Je m’appelle Agathe, j’ai 22 ans et pour compléter mon master en lettres je dois passer par le traditionnel stage, pour lequel je travaille dans une institution culturelle française. En organisant pour la fin de la semaine une conférence pour commémorer le centenaire de la mort d’une écrivaine célèbre, je dois imprimer toute une série de documents, ce qui va probablement m’obliger à rester tard…Heureusement, ma hiérarchie a déserté le bureau (laissant le sale boulot à l’infortunée stagiaire), et surtout je suis accompagnée de Mélanie, stagiaire aussi mais surtout excellente compagne d’infortune.

Elle est marrante, extravertie, légèrement déjantée, dotée d’un petit caractère qui a fini par dissuader notre maitre de stage de l’emmerder, tout l’inverse de moi qui a tendance à un peu encaisser en silence les petites conneries que nous fait subir la vie. Excellente vanneuse, Mélanie fait les blagues, et moi je me marre à chacune de ses blagues, ça ne loupe pas. On est un peu complémentaires, en fait. Complémentaires même au niveau physique en plus : mes longs cheveux roux coulaient en cascade le long de mon visage ovale, de mon dos et de ma petite poitrine, elle était un peu plus petite que moi, un visage franc et carré, avait des beaux cheveux bruns un peu bouclés et des seins rondouillets qui ont dû faire saliver plus d’un homme… bref, une bombe.

Toutes les deux au travail, plus ou moins productives (qu’est-ce vous croyez, une journée de bureau en été ça fatigue), en occupant seules le couloir du bâtiment, nous avons de moins en moins d’entrain à finir notre boulot. Au bout d’un moment Mélanie ramène même une bière pour chacune, histoire de bien finir la soirée. Une demi-heure après on ne travaille même plus du tout, on parle plutôt de tous les sujets possibles et imaginables, décompressant gentiment en parlant un peu de tout, jusqu’à ce que la discussion dérive sur nos relations amoureuses. Cela faisait quelque mois que j’avais rompu avec mon dernier petit copain et j’ai l’air un peu inexpérimentée par rapport à ma jolie collègue, qui ne se gêne pas pour mettre les pieds dans le plat, avec des mots bien crus…

— Et tu aimes te faire doigter ? Moi ça loupe pas, à chaque fois je finis en sueur tellement ça m’excite…et puis après tout, ça peut se faire avec des hommes ou des femmes, pas de jaloux !

— Euh….je t’avouerai que j’ai jamais essayé, je suis pas trop fan de ces trucs-là…

— Ah ah allez ma Agathe, rougis pas comme ça, on est entre nous !

— J’arrive pas à comprendre comment tu peux parler de sexe à une personne que tu as genre rencontrée y à peine deux semaines !

— Cherche pas à comprendre, c’est l’alchimie entre nous ! Mieux que le plomb qui se transforme en or !

— Ahah, arrête de parler d’alchimie et dis tout de suite que tu es une vraie décadente !

— Bah, c’est quoi au fond la décadence? J’aime ça, y a pas de honte, assume-toi un peu aussi ! Tu fais la gênée comme ça, mais au fond t’as un côté coquine aussi, comme tout le monde !

— Peut-être…mais es-tu certaaaaine de vouloir le découvrir?

Sur le coup je joue l’amusée, après tout au fond on s’amuse, mais dès qu’on parle de trucs gênants je n’en mène pas large, je ne parle pas énormément de mes désirs intimes…et le regard de ce canon n’arrangea rien, elle a le chic pour me déstabiliser, mais elle arrive à transformer cette gêne en amusement, très vite je sens que je peux complètement me livrer à elle…

Et vient un moment où elle se lève, ferme la porte après avoir jeté un coup d’il à l’extérieur du couloir, et je la vois revenir dans la pièce en se dandinant comme une mannequin, ce qui me fait éclater de rire…toujours en jouant la mannequin, elle avance lentement vers moi, tout en sensualité exagérée, dans un grand éclat de rire elle s’assoit sur mes jambes, face à moi, en chantonnant alors que je ris de plus belle, elle approche lentement son visage du mien, doucement mais fermement, je n’ai pas peur, enfin presque.

Et elle m’embrasse tout d’un coup, plaquant ses lèvres contre les miennes, aidée par sa main qui retenait mon visage. Après une seconde d’ébahissement, je la repousse :

— Mais Mélanie tu fais quoi la ?!!!

— Relax, on est toutes seules…

— mais je suis désolée, j’ai jamais fait ça avec une fille !

— je m’en fous, j’ai envie de toi…

Ses lèvres filent vers mon cou, elle est toujours collée à moi, son débardeur touche mon chemisier…

— Mélanie, arrête !

— Allez, je sais que t’en as envie toi aussi, tu me trouves pas jolie ? fit-elle avec un sourire amusé, pendant que je m’affole, à quoi elle joue?

— je sais pas, Mélanie, arrête…

— Agathe, j’en peux plus…

Elle m’embrassa encore, ses mains plaquent mes bras contre le bureau tandis que nos lèvres fusionnent une nouvelle fois, je tente de retirer mon visage mais elle libère mon bras pour aller remettre mon visage près du sien, et alors que mon bras avait une nouvelle chance de la repousser… Tout ce que je vois, c’est plonger lentement ma main dans ses cheveux. En quelques secondes, nos langues s’accouplent, mon cerveau en ébullition et tous les mots que j’avais dit pour la repousser s’étaient soudainement envolés, elle avait l’air de me désirer tellement…ce premier baiser s’arrêta, je bégaye :

— Je…je sais pas ce que…

— Chuuuut….

Elle mit le doigt sur ma bouche, me faisant taire.

— Tu es tellement jolie, je suis désolé, j’en pouvais plus

Elle chuchote ça avec des yeux si tendres et tristes, si différents de ceux que j’avais vus avant… Doucement nos visages se rapprochent, on reprend notre langoureux baiser, ses mains sont si doucement posées dans mes cheveux, je n’avais jamais pensé qu’on puisse faire preuve d’une telle tendresse avec moi…je pose lentement mes mains sur ses hanches, elles sont seulement couvertes par son débardeur noir, elle est tellement sexy, plus nos langues s’emmêlent moins j’avais envie de clore notre baiser…puis elle embrasse mon oreille, mon cou… "Mélanie…." murmure-t-elle en continuant ses baisers, elle est de plus en plus passionnée, ses baisers plus appuyés, et moi dans sa fougue je la rejoins, je m’excitais doucement mais sûrement…elle passe ses mains sous mon chemisier, je la laisse faire ; d’ailleurs j’en ai de plus en plus qu’elle me caresse, vas-y ma belle… quant à moi je remonte doucement mes mains le long de ses hanches, je réalise peu à peu que je suis en fait plaqué contre la chaise, je prends conscience de son corps collé à moi (son corps si parfait, tout contre moi,…connaissez-vous seulement cette sensation de chaleur qui nait de la fusion des corps?) et je commence à savourer cette sensation d’un corps féminin qui me désirait tout entier…

— Ma Agathe, si tu savais comme t’es jolie….

— C’est tellement bon, j’ai pas envie que ça s’arrête…

Elle sourit et reprend son baiser, je ne mentais pas, jamais quelqu’un ne m’avait embrassée comme ça…Puis elle se redresse, enlève son débardeur dans un mélange de naturel de sexytude, l’instant d’après elle rattrape mes lèvres…tout d’un coup mes mains ne savaient plus où se mettre mais elle les colle à son buste, instinctivement je caresse son torse vers le haut, ne m’arrêtant finalement que pour effleurer ses seins recouverts d’un soutien-gorge bleu foncé en dentelle, elle était tellement magnifique.. Elle se met à rire doucement (elle était ce faisant encore plus mignonne, comment c’est possible ?) et plaque mais mains contre ses seins, tout ce que j’avais à faire c’était de pétrir ce soutien-gorge et sensuellement elle me sourit :

— Allez ma beauté, lâche-toi, je suis à toi, ensemble on peut tout faire….

Cette phrase me rend folle, je me relève, l’attrape par les hanches pour ne pas qu’elle tombe, on se prend les mains pour se rouler une autre pelle, elle était vraiment trop bonne…on se caresse, elle m’enlève mon chemisier, découvrant un soutien-gorge blanc à motifs fleurs rouges, ma déesse se précipite pour embrasser chaque côté du sous-vêtement, ses mains effleurant sensuellement mes fesses… Les sensations étaient trop fortes, mes propres mains caressent ses cheveux bruns, tressaillant à chaque assaut de mes lèvres sur mes tétons recouverts…je me désinhibe peu à peu, j’ai tellement plaisir à sentir ses mains qui passaient sous ma jupe noire, qui se défait vite avec mon aide, nous sommes toujours en train de nous embrasser quand la jupe tombe en me laissant en sous-vêtements blancs pendant que cette beauté me galochait avec passion… c’est à mon tour de tirer son jean : sa culotte noire dentelée pleine de gouttes de mouille se dévoile à mes yeux, surpris de voir que je lui faisais un tel effet ! J’embrasse vite sa chatte sous la culotte, sa main colle doucement mon visage au tissu…

— Oui ma Agathe, regarde ce que tu me fais…

— Mélanie…

— Oui ?

— Toi aussi, tu es belle…

Elle rit tandis que lui enlève sa culotte, ma langue fonce ensuite vers sa chatte mouillée, je n’avais jamais fait cela mais tout me parait comme instinctif, la déesse que je léchais me guide avec sa main sur ma tête, je la sens tressaillir, mes mains remontent sur ses fesses parfaites, je jouais avec, elles étaient douces et un peu rebondissaient quand on les tapait… Elle riait de plaisir, plus ma langue tourne dans sa chatte plus sa main me plaque contre son intimité, les poils de sa chatte me chatouillent le nez, l’odeur me rend folle et sa mouille coule sur ma langue… Elle n’en peut plus, prend ma tête à deux mains, m’écartant de sa chatte pour m’embrasser avec passion, que c’est bon, j’ai envie de lui crier mon excitation ! On se retire nos soutifs respectifs, mes petits seins pointent devant sa belle poitrine, deux seins rondouillets que je ne résiste pas à l’envie de prendre en main, elle fit de même en me réembrassant amoureusement.

— Tu m’avais caché tes jolis seins ma Agathe…

— tu les aimes, avec la poitrine que t’as?

— t’as un corps de rêve ma chérie, laisse-moi en profiter…

— je te laisse faire, fais-moi jouir…

Alors nous nous allongeons sur la moquette, magnifiquement nues, elle m’allonge sur le dos en léchant mes seins, caresse ma chatte qui ne demande qu’à jouir, elle donne quelques coups de langue puis y insère deux doigts. Tremblante, je crie en regardant sa chevelure près de mon organe, elle alterne doigtage et quelques généreux coups de langue, je m’excite sous l’effet des spasmes qui secouent ma chatte, c’est qu’elle sait bien y faire, très vite elle se redresse et revient vers mes seins, les prenant en bouche pendant que ses doigts continuent de le tripoter le clitoris, c’était vraiment trop bon… Je caresse ses beaux cheveux noirs, en laissant échapper des "Oui, Mélanie, oui…." pendant qu’elle continue de m’exciter "vas-y ma belle, jouis, t’as l’air de bien aimer ça…". En même temps je la sens embrasser mon corps, je n’en peux plus, je laisse échapper ma jouissance… Elle rit en voyant ma cyprine déborder de ma chatte, puis elle entreprend de coller sa chatte à la mienne, elle m’embrasse tout en liant ses mains avec les miennes…après quelques mouvements de bassin, elle jouit aussi dans un râle sensuel.

Sa mouille déborde sur mes cuisses, je suis au paradis et elle aussi, à voir comment elle m’embrasse fougueusement, en rideau de fin de ma première expérience lesbienne…

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