Jour 24 (5ème partie)
Après une nouvelle demi-heure, je reviens voir si mon esclave est toujours en forme. Elle semble fatiguer et ne fait même plus deffort pour approcher son sexe du vibreur, elle a transpiré et des gouttes de sueur se son accumulées sur son cou, sous ses aisselles et sur son aine.
« Jespère que tu as retenu la leçon. NE JAMAIS CHERCHER A JOUIR SANS MON AUTORISATION ». Jexamine son sexe : ses grandes lèvres sont largement ouvertes autour du tube métallique et lentourent, ses petites lèvres sont écartées et rougies du frottement à plusieurs reprises contre le vibreur. Je passe deux doigts sur son clitoris qui durcit aussitôt, et le frotte quelques instants. Sa respiration saccélère et elle halète rapidement. Je marrête alors et elle ouvre des yeux implorants en croisant mon regard. Je lui rappelle dune voix plus douce « JE décide si cest le moment pour toi de jouir. Et ce nEST PAS le moment. Tu dois laccepter, tu dois tabandonner à moi pour ça aussi. Et tu ressentiras encore plus de plaisir lorsque je tautoriserai un orgasme. Fais-moi confiance. »
Pour toute acceptation, elle ferme les yeux. Je le prends comme une marque de soumission. En récompense, je lui caresse la joue et je retire les pinces à linge de sa poitrine, celles des tétons en dernier, ce qui tend son corps dans un arc de douleur. Puis je calme les mamelons en les massant doucement et en les prenant successivement dans ma bouche pour les lécher et les suçoter. Ses seins sont assez menus mais encore fermes, et cest un plaisir de les sentir palpiter entre mes lèvres, les pointes érigées par leur double traitement.
Je détache ensuite ses liens un par un en terminant par le harnais de visage, et je la laisse à genoux. Elle ne cherche pas à se relever. Je range les affaires et je reviens vers elle. Elle sapproche de moi et frotte son visage contre mon pantalon. Je tapote son visage et caresse ses cheveux, comme on ferait dun chien obéissant. Elle me jette des regards interrogateurs, attendant mes instructions. Cela me donne une idée.
Je la regarde en la montrant de lindex « Reste comme ça ne bouge pas ». Je vais à larmoire et je prends quelques accessoires. Puis je reviens vers elle et jette devant elle mon attirail.
Je lui ordonne « Enfile ça ! ». Elle jette un regard sur les habits en cuir en vrac et sassied pour commencer par les cuissardes à hauts talons. La pointure est juste en-dessous de la sienne, afin que ses pieds soient un peu comprimés à lintérieur et quelle ne puisse pas marcher vite. Puis elle doit se mettre à genoux pour enfiler le bustier qui ne gaine que son ventre et qui laissent libres et accessibles son sexe et sa poitrine, en soutenant cette dernière afin quelle soit pigeonnante. Enfin elle reste perplexe devant le dernier accessoire : il sagit dun collier en cuir, terminé par une longue lanière. Puis elle rougit en comprenant son usage : il sagit dune laisse ! Elle le passe néanmoins et attend.
Je la regarde avec gourmandise, le cuir lui va si bien et me donne envie delle à nouveau. Je vais chercher une cravache dans larmoire et revient en cinglant lair
« Je vais tapprendre une nouvelle position de soumission. Lorsque tu es à genoux, tu dois écarter les cuisses. Voilà, comme ça. Puis tu mets tes bras derrière ton dos, comme lorsque tu es debout. Bien. Cela fait davantage ressortir ta poitrine et te fais un dos droit. Enfin, tu attend dans cette position les ordres de ton maître. Noublie pas : ton maître te dit quoi faire, quand le faire et comment le faire. Acceptes-tu cela ? »
« Oui, Maître » répond-elle sans hésiter
« Pourquoi ? » lui demandès-je pour vérifier sa compréhension autant que son degré de soumission
« Parce que ça mexcite ! » avoue-t-elle.
« Intéressante réponse mais ce nest pas la bonne ! » je finis la phrase en haussant le ton et cinglant lair juste sous son nez avec la cravache. Je vais chercher un tabouret posé à côté de la table et le pose devant Gaëlle, et je my assied. Je prend ses tétons entre le pouce et lindex de chacune de mes mains, et je lui dis
« Je te le redemande : Pourquoi acceptes-tu de faire ce que ton maître te demande ? »
Elle réfléchit quelques secondes avant de reprendre
« Parce que jaime vous faire plaisir »
Je pince fortement les deux tétons entre mes doigts, lui arrachant un « Aïïeee » de surprise autant que de douleur. Je la gronde « ce nest toujours pas la bonne réponse, même si on sen approche un peu plus. Je te le redemande une troisième fois : pourquoi acceptes-tu tout ce que ton maître te demande ? »
« Aïeparce que ssss…..cest ce que vous voulez, cest votre volonté ! »
Je relâche aussitôt la pression, sans pour autant lâcher les tétons.
« Bien ! Tu vois, avec un peu de stimulation, tu arrives à te concentrer davantage ! Si tu mes totalement soumise, ta seule volonté est de mobéir. Maintenant, si nous poursuivons cette logique, et que je pars du principe que tu mobéis en tout, pourquoi devrais-je te punir à certains moments ?»
« Pour me rappeler les règles ? Aïe, non ! »
Jai aussitôt commencé la pression sur ses tétons. Elle garde néanmoins les mains sur ses coudes, derrière son dos, et ne tente pas de déplacer mes mains de ses seins.
« Je repose la question : pourquoi te punirais-je même si tu mobéis parfaitement ? »
« Parssssse que ..cest vous qui décidez ! »
« Bien ! » je suis surpris quelle ait compris si vite et je relâche une nouvelle fois la pression. « Effectivement, si je te punis, cest ma décision, et tu nas pas à te demander pour quelle raison, seulement à accepter ta punition. Bien, nous allons maintenant effectuer une petite promenade »
Je prends la laisse et je commence à méloigner de Gaëlle, toujours à genoux. Aussitôt elle se lève pour me suivre. Je larrête dun léger coup de cravache sur les cuisses, qui la stoppe net. « Tai-je dit de te lever ? Non, nous allons nous promener comme un maître promène son esclave : JE suis debout et TU es à quatre pattes ! ». Je la regarde dans les yeux. Elle baisse le regard après mavoir dévisagé pendant une seconde. Puis, lentement, elle se baisse pour se mettre à quatre pattes. De la voir ainsi, de cuir vêtue, les fesses et les seins à lair, avec son collier de chienne, me donne une érection naissante. Celle-ci se confirme lorsque je tire doucement sur la laisse et quelle se laisse mener, avançant avec ses mains et ses genoux. Je lui fais faire le tour de la cave, ce qui dure quelques minutes. Puis je décide de monter les marches, lentement afin quelle puisse suivre malgré les cuissardes et les marches assez étroites. A un moment elle fait mine de se lever un peu pour mieux grimper, je len dissuade dun coup de cravache sur ses seins, quelle a de fait exposés en redressant son buste. Arrivés au rez-de-chaussée, je lui fais faire un tour dans le salon.
« Ta promenade te plaît ? Tu nas sans doute jamais vu une maison à ce niveau, nest-ce pas ? Cest une perspective intéressante, autant pour toi que pour moi. Tu es belle comme ça, tu le sais ? Oui, je suis sûr que tu le sais. Ebroue-toi un peu, voilà, comme ça. Oui ! Ca fait remuer tes seins, cest excitant ! Viens, on va faire une pause. »
Je la conduis jusquau tapis du salon, où se trouve une table basse carrée.
« Monte sur cette table, à genoux, en te tournant vers la cheminée, et prosterne-toi, les mains sur tes fesses »
Pendant quelle mobéit, je déplace un peu le fauteuil dans lequel jai fait ma sieste mémorable afin quil se trouve devant son cul offert.
« Ecarte tes fesses avec tes mains ! »
Je suis étonné de la rapidité avec laquelle elle a intégré sa nouvelle condition, et par son obéissance sans discussion à mes ordres les plus humiliants. Elle place ses mains bien à plat sur ses fesses et sécarte pour me laisser découvrir son anatomie intime. Je constate, à la manière dont sécartent un peu ses lèvres vaginales, que la situation lexcite. Jen obtiens la confirmation lorsque je pose un doigt à lentrée de son vagin et que je lenfonce doucement. Il ne rencontre guère de résistance dans les premiers centimètres.
Je siffle « Mais cest que tu mouilles ! Tu aimes ça, dêtre traitée comme une chienne en laisse et dêtre promenée dans toute la maison ? Et ça aussi, tu aimes, je crois » tout en parlant, je fais des lents va et vient avec mon majeur et je caresse son clitoris qui soffre à moi, provoquant une lubrification plus importante au fur et à mesure de mon mouvement. Ses mains se crispent sur ses fesses pour les maintenir ouvertes. Je continue mes mouvements lentement, trop lentement pour quelle puisse jouir mais assez pour que son plaisir monte peu à peu. Je sens sa respiration saccélérer, ses yeux doivent être fermés. Elle est offerte sur cette table, à genoux et prostrée en avant, tel un bibelot de chair, et je la fouille et la caresse à mon rythme. Au bout de quelques minutes, je décide dexplorer une partie de son intimité qui na pas encore fait lobjet de mes attentions. Peu à peu, je remonte mon doigt plein de mouille sur sa fente culière, sans latteindre, puis je redescend et mintroduit à nouveau dans son sexe. Puis je recommence, une fois, deux fois, trois fois, à chaque tentative je mapproche davantage de son petit trou et elle doit se douter de ma destination finale. Ses mains se crispent un peu plus mais ne lâchent pas prise. Puis vient le moment où jatteins enfin mon objectif. Mon doigt se pose sur la petite entrée brune, à lheure actuelle fermée. Il pousse un peu, et rencontre de la résistance. Il ninsiste pas et revient se nicher dans la cavité humide qui laccueille avec soulagement. Pourtant il ny reste pas longtemps et revient faire une incursion devant lentrée récalcitrante. Cette fois il insiste davantage et arrive à passer la première phalange, au prix dun grognement de la gardienne du lieu. Une fois dans la place il se laisse enserrer et bouge à peine un peu, pour que son environnement shabitue à lui. Je laide en prenant le manche de la cravache et en lintroduisant peu à peu dans le sexe offert et maintenant mouillé, puis en lui imprimant des mouvements de va et vient. Ma respiration saccélère un peu, mais moins que la sienne, qui halète à nouveau. Peu à peu, mon doigt reprend son exploration dans son anus, et senfonce un peu plus, un peu plus, encore un peu plus.
Distraite par le plaisir ressenti dans son vagin, Gaëlle sest détendue et sest laissée envahir dans son orifice sans doute encore vierge, jusquà ce que je ne puisse aller plus loin. Pour en être certain, je lui demande, en arrêtant mes mouvements : « Il semblerait que tu aimes ce que je te fais, je me trompe ? »
« Non, Maître, cest boonn ! Ne vous arrêtez pas, sil vous plaît ! »
« Justement, je recommencerai lorsque tu auras répondu à ma question : as-tu déjà goûté aux plaisirs de Sodome ? »
« Nnon, Maître »
« Aucun de tes amants na essayé de te prendre par là ? »
« Simais je nai jamais voulu »
« Tu es donc vierge de cet orifice. Avec moi, tu sais que tu nauras pas le choix : la question nest pas de savoir si je te sodomiserai, mais quand je le ferai. »
« Oui, Maître » répond-elle dune voix soumise.
« Cest bien. Tu as mérité une petite récompense » Je reprends ma double caresse, en faisant onduler mon doigt dans son anus, tout en recommençant de la branler avec le manche de la cravache. Quelques minutes plus tard, Gaëlle ne peut sempêcher de gémir de plaisir et mouille tant quelle peut. Je retire mon doigt de son cul ainsi que le manche, elle ne peut sempêcher de laisser échapper un « Nooon ! ». Aussitôt je lui donne une bonne claque sur chaque fesse.
« Comment oses-tu ? Tourne-toi vers moi, mets-toi dans la position que je tai apprise, à genoux, jambes écartées, bras dans le dos ! » Ma voix sest durcie instantanément. Elle se tourne lentement vers moi, sortant de son nuage de plaisir, et prends la pose demandée. Son sexe est toujours accessible et de la cyprine sécoule un peu sur le haut de lintérieur de ses cuisses.
« Pour ta peine, tu vas nettoyer les instruments de ton plaisir ». Je tends la cravache par le bout, lui présentant le manche devant la bouche. Elle sait ce quelle doit faire pour se racheter. Elle ouvre la bouche et je lenfourne sans ménagement. Elle a un léger mouvement de recul, que jaccompagne avec la tige. Une fois bien en bouche, je tourne plusieurs fois linstrument en lui ordonnant de bien lécher partout pour remplacer les traces de mouille par sa salive. Une fois bien léchée, je retire la cravache et lessuie sur ses seins. Puis japproche mon doigt odorant de sa bouche. Cette fois elle ne peut sempêcher de reculer franchement le buste, en grimaçant. Lorsque japproche mon doigt à hauteur de sa bouche, elle fronce le nez et reste les lèvres pincées.
Je lui ordonne dun ton impérieux « Ouvre la bouche et suce ! ». Elle recule la tête et la secoue en dénégation. Je lui répète sur le même ton : « Suce mon doigt ! ». Elle garde les lèvres pincées et murmure un « non ! » dégoûté.
« Ah tu veux jouer à ça .Très bien, suis-moi ! »
Je prends la laisse et tire dessus en me levant. Déséquilibrée, elle tente de me suivre en se mettant debout. Jattendais sa réaction et je cingle son bas-ventre dun coup de cravache en lui criant « A quatre pattes ! Tu as donc tout oublié en si peu de temps ?! La prochaine fois tu ten prends deux de plus sur le sexe ! ». Elle comprend quelle na pas intérêt de pousser trop loin et se met aussitôt sur le sol, sur ses mains et ses genoux. Sans ménagement, je la conduis jusquaux escalier de la cave, et je la maintiens dans la même position devant les marches afin quelle nait pas la tentation de se relever.
« Tu as intérêt à faire attention sinon tu vas dégringoler jusquen bas. Mais tu descends à quatre pattes, nessaie pas de te relever ou il ten cuira »
Elle pose ses mains sur les premières marches, mais saperçoit rapidement que si elle tente de descendre la tête la première elle va glisser et se casser la figure. Cest pourquoi elle change de tactique et se met en arrière, en descendant une par une les marches. Je lencourage en lui donnant des coups de cravache sur les fesses mais sans tirer sur la laisse pour ne pas la faire tomber. Lorsquelle parvient en bas, son postérieur est rouge, et ses genoux sont à vif davoir frotté sur les marches en béton dur. Je la mène vers la partie gauche de la cave, la moins éclairée.
« Enlève tes botte ! » Elle mobéit aussitôt, trop heureuse de se débarrasser de ces cuissardes qui comprimaient ses jambes et ses pieds.
« A genoux en position ! » Elle se met sur ses genoux, jambes écartées et bras dans le dos, et attend. Je me dirige vers la partie droite de la cave et revient en portant un banc de gymnastique, dont deux des pieds sont prolongés par des barres verticales jusquà deux mètres de hauteur. Je pose le banc près de larmoire et de la table, pour méviter dinutiles aller-retour, et je lui ordonne de sy coucher, les fesses à la limite de lextrémité du banc. Jattache tout dabord ses bras, chacun à un pied du banc. Puis je passe une autre corde à hauteur de son plexus pour bien limmobiliser. Enfin, jattache ses chevilles chacune à une des barres verticales. Son corps ne fait donc plus quun avec le banc, sauf ses jambes qui forment un V et qui sont à la perpendiculaire de son bassin. Ainsi liée, elle moffre autant son cul que son con, et je compte bien en profiter. Je prends un écarteur de mâchoire que je place dans sa bouche, pour lui maintenir son orifice buccal grand ouvert. Elle napprécie pas trop et tente de me le faire savoir mais elle ne produit que des « hon hon » ou des « han han ». Une petite gifle et un « tais-toi » la stoppent net. Elle pensait sans doute que jallais en profiter pour introduire de force mon doigt toujours odorant dans sa bouche. Elle se trompe lourdement, jai bien pire en préparation pour elle.
Je prends un très gros entonnoir que je fixe en hauteur à une cale de bois elle-même attachée à une des barres verticales qui est liée à une de ses jambes. Je fais en sorte quil soit à peu près droit, et je passe en force un tuyau souple assez long, qui pend presque jusquau sol. De temps en temps Gaëlle relève la tête, par curiosité, mais elle ne comprend pas encore le but de ces préparatifs. Au bout du tuyau, jinsère une canule dont lextrémité libre est plus fine que lautre bout. Jouvre larmoire et en sort un bidon de plusieurs litres sur lequel est inscrit « Glycerol buvable » et le pose par terre, entre les jambes de ma victime. Jouvre le bouchon et y trempe lextrémité de la canule, pour la lubrifier. Puis je pose le bout de la canule sur lanus sans défense.
Gaëlle comprend alors le destin qui lattend et commence à sagiter dans ses liens. Mais elle est attachée suffisamment serrée pour que ça ne fasse que bouger un peu le banc.
« Arrête de bouger ! » elle continue de remuer les fesses pour que je ne puisse pas correctement viser, et laisse échapper des protestations inintelligibles
« Ca suffit ! » Je me suis levé et suis revenu avec un martinet. Jai commencé aussitôt à lui en appliquer plusieurs coups sur le sexe ouvert et en ai retiré des cris de douleur. « Tu vas te tenir tranquille, maintenant ? »
Elle essaie de me répondre par laffirmative (du moins cest ce que je comprends) et ne bouge plus. Je dépose le martinet au sol et reprend la canule en main. Elle a changé de tactique et je constate quelle contracte ses muscles afin que son illet soit bien fermé. Je pose lembout dessus et commence à pousser un peu. Elle continue de résister. Je décide de commencer par la méthode douce, et je chatouille lintérieur de ses cuisses, son aine, et même lentrée de son vagin. Elle ne peut sempêcher de se contracter et de pousser des petits cris, puis de relâcher ses muscles. Je guette ce moment et enfonce un bon centimètre de la canule, aidé par la glycérine qui lenduit. Je continue ma poussée en la chatouillant à nouveau. Son pertuis sécarte devant lintruse, et elle proteste avec des « hon ! Hon ! Ha cha ! » mais je nen tiens aucunement compte et continue ma progression. Elle doit avoir limpression dun très gros suppositoire qui senfonce dans son fondement, puis qui continue sa progression dans ses entrailles. Jai passé la zone où elle pouvait facilement se contracter, et la canule est désormais fichée dans son colon. Il ny a plus que son extrémité du côté du tuyau qui dépasse un peu. Jarrête la progression, satisfait : elle ne pourra lenlever.
« Tu es prête maintenant à une expérience sans doute nouvelle : je vais te faire un lavement. Visiblement tu ne supportes pas ce qui sort de ton cul, ça te dégoûte. Nous allons donc faire en sorte que ton corps soit également nettoyé à cet endroit. Javoue que ton manque de coopération va te valoir une punition : ça aurait été plus agréable si javais employé un liquide à la température de ton corps, voire un peu plus chaud. Là, tu vas avoir limpression de geler de lintérieur, mais je compte sur toi pour le réchauffer ! »
Ses yeux se sont écarquillés deffroi pendant que je parlais et elle secoue la tête et se met à essayer de sexprimer malgré son écarteur. Je comprends vaguement quelle demande que je la détache, que jarrête, elle supplie, elle implore, mais pour toute réponse je reprends le martinet en main et la menace avant de la fouetter quelques secondes pour la calmer. Puis je prends le bidon de glycérine et commence à le déverser dans lentonnoir. Le liquide coule lentement le long des parois puis descend le long du tuyau pour enfin atteindre la canule. Gaëlle a pu suivre sa progression tout le long car le tuyau est translucide, malgré la luminosité assez faible. Quand le liquide commence à couler dans ses entrailles, elle se raidit. Je sais que, pour être agréable, un lavement doit être administré à la température du corps. Et cest encore mieux un peu plus chaud, vers 40°C. Mais si on injecte un liquide froid dans le fondement dune personne, de plus inexpérimentée dans le domaine, elle ressent une sensation atroce, son ventre se fige, comme sil devenait de pierre. Cela la fait frissonner généralement des pieds à la tête, le liquide monte dans les intestins et partout où il passe, ce nest que glace et douleur. Certains simaginent même que leur sang se glace dans leurs veines. Gaëlle ne fait pas exception à la règle : lorsque la glycérine à la température de la pièce commence à réellement couler dans son colon, elle se met à hurler comme une folle en agitant la tête. Elle ne pouvait pas imaginer une telle sensation, comme si elle gelait de lintérieur peu à peu. Jai prévu deux litres, et je les passe peu à peu dans le tuyau, en massant le ventre de Gaëlle en mouvement circulaires. Son corps est recouvert de chair de poule. Elle sest un peu calmée, mais ne peut sempêcher de frissonner devant la sensation de prise de possession de son corps. Lorsque le liquide est entièrement passé par son anus, je prends un plug dans ma main et retire doucement la canule. Puis je la remplace par le plug, mais celui-ci est plus gros et passe difficilement malgré la glycérine qui tapisse son anus. Je force et lui arrache un nouveau cri, mais finalement il sengouffre dans les chairs distendues et bouche son orifice. Je suis à genoux entre ses jambes écartées, et je contemple son ventre distendu.
« On dirait presque que tu es enceinte. Maintenant, pour que tu sois parfaitement nettoyée, il va falloir que tu gardes tout ça en toi une vingtaine de minutes. Tu vas ressentir dénormes crampes en étant obligée de te contenir si longtemps. Cest pourquoi je te propose de te distraire un peu pendant ce temps. »
En finissant ma phrase, jai enduit ma main des restes de glycérine qui sécoulaient par la canule et jai introduit deux doigts dans son vagin, le pouce me servant à caresser son clitoris. Je me mets à la caresser et à la branler comme tout à lheure, sauf que de deux je passe à trois doigts. Puis à quatre. Ses chairs se distendent, ses sucs intimes se mélangent à la glycérine et elle ne sait plus si elle doit gémir du plaisir qui provient de son sexe ou des douleurs de ses entrailles. Je mets ma main en poinçon et jessaie de la pénétrer entièrement, mais je ny parviens pas : elle est trop étroite et pas encore assez élargie par mes mouvements. Je décide alors de plutôt caresser ses parois vaginales, autant lantérieure que la postérieure. Je déclenche des vagues dans son ventre, qui se répercutent dans ses entrailles, et qui lui arrachent des cris à moitié de plaisir à moitié de douleur. Je continue à la travailler ainsi pour lamener au bord du plaisir mais lorsquelle sen approche de trop je lui rappelle ses douleurs intestinales , ce qui la déconcentre totalement. Finalement, je la détache, en commençant par ses bras, puis en finissant par ses jambes. Elle tient à peine debout devant les crampes qui la plient en deux. Je lui ai également enlevé lécarteur de mâchoires, elle sen est à peine aperçue, entièrement concentrée sur la douleur dans son ventre. Je la prends dans mes bras pour la monter directement au premier étage, et je la dépose sur la cuvette des WC. A elle denlever seule le plug, je ly autorise verbalement, et jattends derrière la porte. Un cri et un bruit de liquide giclant dans la cuvette mindiquent quelle a réussi. Lorsque elle tire la chasse deau, au bout dune bonne minute, je lui ordonne de sortir sans plus attendre. Dès quelle me voit elle se jette sur moi en me criant « salaud ! » et me refaisant une crise comme ce matin dans le salon. Je la maîtrise en grondant « ça suffit ! ».
Je tiens ses poignets entre mes mains, et je les passe dans son dos, lobligeant à se coller à moi. Je lui répète, en approchant mes lèvres de son oreille et sur un ton plus doux « Ca suffit. Tu vas te calmer maintenant. Tu sais que tu ne dois pas refuser un de mes ordres. Tu as voulu tester les limites, tu les as trouvées. Il fallait que je te punisse durement, je voulais que tu comprennes bien ce qui tarriverait, à chaque fois que tu ferais la forte tête. »
Elle sanglote entre mes bras « Jamais je nai ressenti une telle sensation, jai cru geler de lintérieur, et ces crampes ! Ca faisait horriblement mal ! Mais vous vous en foutez ! »
« Non, au contraire, mais il fallait que tu comprennes que jamais, jai bien dit jamais, tu ne dois refuser un de mes ordres. Tu es allée trop loin maintenant pour revenir en arrière. Regarde-moi dans les yeux : est-ce que tu obéiras sans discuter dorénavant ? ». Je recule ma tête pour croiser son regard.
Elle soutient mon regard quelques secondes, dabord dun air encore furieux, les sourcils froncés, puis ses traits se détendent, et enfin elle baisse les yeux. Dune voix mal assurée, elle répond « Vous savez que je vous obéirai. Mais je ne suis pas prête à tout »
Je la reprends instantanément « Pas encore. Mais ça viendra ! »
« N..non ! »
« Oh si ! Et sois assurée quà chaque fois, si tu ne te soumets pas de suite, la leçon sera désagréable à retenir. Mais tu la retiendras. Tu peux me faire confiance. Viens maintenant, nous retournons en bas, nous navons pas tout à fait fini ta leçon »
« Q..que voulez-vous dire ? »
« Tu verras » et je lentraîne par la main dans les escaliers.
Elle ne peut sempêcher de résister un peu en suppliant « Nonpas encore un lavement ! »
Jéclate de rire en continuant de la tirer par la main « Non, ne tinquiète pas : pour le lavement, cest terminé ». Je sens alors sa résistance mollir et elle se laisse mener jusquà la cave une nouvelle fois. Le banc et tout lattirail sont encore sur place. Je lui ordonne de prendre les cordes et lécarteur de mâchoires et de me suivre dans le côté « gymnastique ». Elle semble soulagée de passer dans cette partie, mieux éclairée et ressemblant moins à une salle de torture. Cest pourquoi elle mobéit sans discuter lorsque je lui indique de se coucher sur un banc de musculation en forme descalier. Ses genoux reposent sur des supports rembourrés et sont écartés de quelques dizaines de centimètres. Son ventre et sa poitrine sont horizontaux et reposent sur la partie supérieure du banc. Je lie ses bras dans son dos, les avants-bras lun contre lautre. Puis je veille à ce que son ventre soit bien fixé au banc, ainsi que ses mollets. Enfin, je ramasse lécarteur de mâchoire et me place devant elle. « Ouvre la bouche ! » Elle me sonde du regard puis baisse les yeux devant mon air déterminé et écarte ses lèvres. Je place lappareil métallique qui lui maintient la bouche grande ouverte et lui donne un air un peu grotesque. Je lui tapote la joue gauche pour lui signifier que je suis satisfait de son obéissance. Puis je caresse son visage de mes deux mains, ses cheveux. Jintroduis deux doigts dans sa bouche et lexplore en caressant sa langue, ses gencives, son palais. Elle a un petit haut le cur lorsque je touche sa luette. Je retire ma main pour la poser sur mes boutons de jean et les défaire un par un devant son visage, puis extraire mon sexe à moitié tendu de son carcan de tissu. Je lapproche de sa bouche et lintroduis dans cette cavité chaude et humide, en passant la barrière métallique. Cet anneau qui empêche sa bouche de se fermer me permet daller et venir à ma guise mais la sensation nest pas extraordinaire car il ne lui permet pas du coup de me sucer réellement. Tout juste peut-elle passer sa langue sur mon membre. A cet instant, ce nest pas ce que je recherche. Seulement me lubrifier un peu et de manière agréable, et bien raidir ma queue. Ainsi, au bout de quelques secondes de ce petit jeu, je me retire et vais me positionner derrière elle. Jécarte ses fesses de mes mains pour que son petit trou soit bien visible et légèrement ouvert. Elle comprend vite où je veux en venir et sécrie « Hon ! Ha cha ! »
« Mais si ma belle, tu es peut-être vierge par cet orifice mais plus pour longtemps ! ». Mon gland se pose à lentrée de son anus encore graisseux du contenu de ses intestins, et je lui permets de commencer son intromission en maintenant ses fesses largement écartées, ainsi que lentrée de son cul du bout d mes doigts. Je menfonce assez facilement de plusieurs centimètres, et lui arrache un cri de surprise autant que de douleur. Elle est étroite mais son corps se laisse envahir sans trop de difficulté, trahi par la glycérine. Je continue de pousser, et de menfoncer dans son fondement, millimètre par millimètre. La sensation est extraordinaire, mon sexe est serré comme dans le vagin dune vierge. Elle essaie au début de résister mais le lubrifiant a fait son effet, et je pousse encore plus fort. Elle ne peut maintenir ses muscles en contraction si longtemps et je continue ma progression au moindre relâchement. Finalement, mes poils pubiens atteignent lorée de son anus et je savoure cet instant, alors que Gaëlle na cessé de pousser des râles durant toute la durée de son viol anal. Elle bave copieusement, ne pouvant fermer sa bouche. Je caresse son clitoris pour la détendre, tout en restant planté en elle. Au bout de quelques dizaines de secondes, je sens quelle ressent les premiers émois et quelle commence à sentir monter son plaisir. Je continue à rouler son petit bouton entre mes doigts, et peu à peu ses râles initiaux se sont transformés en gémissements de plaisir. Je commence à bouger un peu dans son cul, en commençant par des va et vient limités, que jaugmente en intensité progressivement. Je persiste à la câliner de mes doigts, en commençant à lenculer franchement. Ma queue est enserrée mais pilonne son cul en ressentant un maximum de sensations. Ce cul qui est désormais franchement offert et qui fait ressentir pour la première fois à Gaëlle un plaisir différent, où la douleur sest effacée pour faire place à une sensation de remplissage de son corps, de prise de possession totale. Elle mappartient totalement, elle le sait mais je veux lui prouver que, quelque soit ce que je lui ordonnerai, elle devra sy soumettre, même si ça la répugne de prime abord. Après quelques coups de boutoir supplémentaires, je me retire totalement. Son anus reste ouvert, comme pour regretter mon départ. Il me reverra bientôt.
Je me place devant elle, la queue rougie des efforts quelle a produit et luisante des lubrifiants qui tapissent ses entrailles.
« Cest là que tu vas regretter de ne pas avoir sucé mon doigt tout à lheure, quand tu en avais la possibilité ». Elle me regarde et comprend à son air horrifié quel est mon projet. Elle secoue la tête dans tous les sens en minvectivant à nouveau autant que sa bouche grande ouverte lui permet. Je prends sa tête entre mes mains pour la bloquer et approche lentement mon phallus de la cavité béante. Sa respiration saccélère et elle pousse des petits cris. Mon gland a passé la barrière de métal et elle tente de le repousser avec sa langue. Sans le savoir elle mexcite encore plus et surtout met en contact sans le vouloir sa bouche avec mon sexe encore dans son cul quelques secondes auparavant. Je continue de la pénétrer plus avant, jusquà atteindre lentrée de sa gorge, avant de faire en sorte de bien mettre en contact toute la longueur de mon membre avec son palais, ses joues, sa langue. Elle exprime son dégoût en ayant plusieurs haut le cur, et finit même par vomir en me laissant à peine le temps de me retirer vivement avant quun jet nauséabond se répande devant le banc, entre mes pieds. Elle est secouée de soubresauts et crache plusieurs fois encore, ce qui me fait rapidement débander. Dautant que lécarteur la empêchée de refermer la bouche et que des vomissures se sont déposées sur son menton et ont coulé dans son cou.
Cela ne me dérange pas outre mesure, lobjectif étant atteint, et je ne men cache pas tout en la détachant : « Ce nest pas grave. Ce nest que la première fois. Tu ty habitueras. Dautant que je sais que tu as apprécié ta sodomie, nest-ce pas ? ». Jessuie son menton et son cou et jenlève lécarteur avant de finir de détacher ses mollets mais elle ne me répond pas pour linstant. Elle doit certainement analyser son conflit intérieur, entre son dégoût et son plaisir, sa volonté qui labandonne et qui est remplacée par un désir dobéir.